Titre de l'histoire érotique : Un professeur sexy
Récit érotique écrit par Clossty [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-07-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : Un professeur sexy
-Chloé, je te préviens une dernière fois. La prochaine c'est l'heure de colle.
Je lance un regard noir au professeur qui me toise. Cela ne fait qu'une demie-heure que le cours à commencé et il m'a déjà pris deux fois en train de discuter avec mon voisin. Mais que puis-je y faire ? Ses cours d'économie n'ont rien qui me passionne, et je dois bien passer le temps. J'essaye de me concentrer sur le cours, en vain. Le flot de parole incessant sortant de sa bouche ne pourra jamais réussir à me captiver. Sans cesser de faire semblant d'écouter, je laisse mes pensées divaguer, tandis que mon regard se dirige vers le corps de monsieur Frayn. Cet homme est trop beau pour être vrai, et encore plus pour être prof. Il doit avoir vingts-cinq ans tout au plus, et à cause de ça il est assez difficile de le vouvoyer. Il a un corps de rêve, finement musclé, et taillé en V. Une peau magnifiquement halée, sans imperfection. Il est de ce qu'on appelle les ''bruns ténébreux''. Il a les cheveux assez courts, une barbe de trois jours bien coupée. Et le plus beau dans tout ça, ce sont ses yeux. De magnifiques yeux noisettes aux reflets dorés, entourés de longs cils noirs, dont je le jalouse. Il me lance un regard méfiant, et je détourne la tête. Il baisse donc la garde et se tourne pour écrire au tableau. Quand je vois la tête de plusieurs filles se redresser, je me rend compte que j'ai oublié un détail important : il a un cul sublime. Je me tourne une nouvelle fois vers mon voisin et lui chuchote :
-Tu penses qu'il a quel âge le prof ?
Ce dernier n'a même pas le temps de me répondre qu'une voix chaude mais cassante résonne :
-Chloé, une heure de colle. Tu viens demain matin à huit heure, dans cette salle.
Je pousse un long soupir d'exaspération. Venir en cours le samedi matin, quelle torture. Mon voisin rigole et je lui donne un coup de coude dans les côtes. Il étouffe son rire, et M. Frayn nous lance un regard noir.
Le lendemain, je décide que pour une heure de colle, je peux me permettre de m'habiller d'un style plus décontracté que d'habitude. Je met exceptionnellement un short, à cause de la chaleur qu'il fait en ce moment, et un chemisier blanc au décolleté plutôt plongeant, et au tissu moulant. J'attache mes cheveux châtains -tirant sur le blond- en un chignon négligé, et je me maquille légèrement. Je me contente d'enfiler des chaussures ouvertes à talons compensé, et je pars à l'arrêt de bus.
Je rentre dans la salle sans même toquer, trop occupée à maudire ce prof pour me faire venir un jour du week-end. Il tourne la tête vers moi, me dévisage un instant, puis il secoue la tête et dit:
-Assis toi.
Je m'exécute, puis sort une feuille de mon sac.
-T'as des devoirs à faire ?
Je secoue négativement la tête.
-Bon, tu feras les exercices page 34 et 35 de ton livre.
Je hausse les épaules, acceptant mon sort. Je me penche sur ma feuille, et commence les exercices.
Au bout de quelques minutes, me désintéressant de mon activité, je lève les yeux. Le regard du prof qui était plongé dans mon décolleté se détourne rapidement. Je rougis légèrement. Etait-il vraiment en train de faire ce que je pense ou était-il seulement perdu dans ses pensées ? Je lui jette un coup d’œil, il semble d'un coup très intéressé par son ordinateur. Pour vérifier que je ne me trompe pas, je feins d'avoir chaud, et déboutonne d'un cran de plus mon chemisier, me surprenant moi-même. Déjà que je le trouvais plutôt sexy, là ça en devient carrément indécent. On voit même une partie de mon soutien-gorge en dentelle blanche. Je me penche un peu plus sur mon bureau pour le laisser jouir de la vue. Ce comportement ne me ressemble pourtant pas. Mais comme je m'en doutais, j'aperçois du coin de l’œil son regard sur ma poitrine. Je lève mes yeux, qu'il croise, et là une lueur change dans les siens. Il a compris que j'avais vu son petit manège. Loin de sembler gêné, il fait comme si de rien était, et continue à mater.
-Lève toi.
-Pardon ?
-Lève toi, il répète.
Sans vraiment comprendre ce qu'il se passe, j'obéis. Lui, recule jusqu'à la porte tout en louchant sur mes jambes, presque entièrement dévoilées, et je vois qu'il la ferme à clef. Je ravale ma salive.
-Vous faites quoi ?
-T'es vachement bien foutue pour un meuf de dix-huit ans.
Il tourne autour de moi, la situation m'échappe. Soudain, il me plaque contre le mur, et je gémis de douleur. Son corps se presse contre moi, et je peux sentir sa chaude odeur masculine. Je sens son torse contre ma poitrine, il respire très fort, comme s'il venait de courir. Il me regarde dans les yeux, et un frisson me parcourt le corps. La raison reprenant le dessus, j'essaie de le repousser. Mais il me maintient fermement, et agrippe mes deux poignets d'une seule main qu'il bloque au dessus de ma tête.
-Lâche moi.
-Oh, on passe au tutoiement ?
Il sourit en coin, Dieu ce qu'il est beau.
-Tu crois vraiment que je peux te vouvoyer dans cette situation ? Je rétorque.
Il ne répond pas et se contente de passer sa langue sur ses lèvres très sensuellement. J'essaie de contrôler ma respiration, pour ne pas qu'il voit l'effet qu'il me fait. Mais c'est difficile de rester sereine devant une telle situation. Mon cœur bat très fort, je peux carrément entendre mon sang tambouriner dans mes oreilles. M. Frayn me regarde droit dans les yeux et me dit :
-Mon prénom c'est Matt.
Sans sourciller, et en feignant celle qui s'en fiche, je rétorque :
-Et alors ?
Loin d'être déstabilisé, il penche sa tête de façon à ce que ses lèvres frôlent mon oreille, et murmure :
-Et alors, c'est mieux que tu le saches pour pouvoir le crier…
Mon cœur fait un bond mais j'essaie de paraître le plus calme possible à l’extérieur. Son regard descend jusqu'à ma poitrine, et il pose sa main gauche dessus, sans se gêner. Il appuie légèrement et je comprend qu'il cherche à sentir mon pouls. Sans lâcher mes seins des yeux il dit tout bas :
-Ton cœur bat vachement vite dis moi… Serait-ce à cause de moi ?
J'essaie de chercher une réplique sanglante, mais elle ne vient pas, et je reste sans rien faire.
Ses doigts descendent négligemment jusqu'aux boutons de mon chemisier qu'il défait un par un, très lentement. Il l'enlève. Je n'ose plus bouger et me contente de chuchoter :
-Arrête…
Il me fixe posément, et approche son visage du mien. J'ai une irrésistible envie de l'embrasser, en voyant ses lèvres si proches des miennes, mais je ne le fais pas. Il semble le remarquer, et s'approche encore un peu plus. Sa bouche frôle la mienne, je peux sentir son souffle chaud. Puis enfin, il m'embrasse. Ses lèvres sont douces et sucrées, et elles embrassent si bien qu'une excitation vient se loger dans mon bas ventre, contre ma volonté. Sa langue vient trouver la mienne, à laquelle elle s'enroule presque sauvagement. Elles se cherchent, se caressent comme si tout pouvait s'arrêter à tout moment.
Il plonge ensuite sa tête dans mon cou et me le mord brusquement, je laisse échapper un fort gémissement que je regrette aussitôt. Il me suce la peau, et je respire fort, sans plus chercher à me contrôler. Il me mordille le lobe de mon oreille avec une sensualité pas permise. Je sens ses lèvres chaudes descendre jusqu'à ma poitrine. D'une main agile, il dégrafe mon soutien-gorge et prend mon sein droit dan sa main, pour le malaxer avec plaisir. De ses dents il attrape mon téton durci d'excitation et le mord sans ménagement. Il passe une de ses jambes entre les miennes, qui frotte contre mon bas ventre. Je respire fort, trop fort, et il semble s'en amuser. Tout d'un coup il relâche mes poignets, puis prend ma main gauche qu'il pose entre ses jambes. La bosse est évidente. Il se redresse, m'embrasse le cou, la mâchoire, mes épaules dénudées. Ma main est toujours sur son entre-jambe et j'ose appuyer un peu, faire quelques frottements. C'est avec satisfaction que je l'entend gémir. Soudain, il se recule et enlève son tee-shirt. Je me retiens de faire un commentaire, mais mon dieu ce qu'il est bien foutu. Sans que je m'y attende il commence à défaire également sa ceinture, puis son bouton de pantalon, qu'il enlève sans ménagement. Je ne pensais pas que ça irait si loin. Son torse se recolle contre le mien, et il recommence à m'embrasser. Entre deux baisers, il soupire :
- Tu veux me faire plaisir ?
Sans qu'il ait besoin d'en dire plus, je comprend sa requête. J'échange nos places, et le colle contre le mur. Il allait protester mais se retient quand il voit que je baisse mon visage. J'embrasse son torse, puis trace une ligne imaginaire avec ma langue de son nombril jusqu'à l'élastique de son boxer noir. Son ventre se soulève et se baisse très rapidement, montrant son excitation. Avec hésitation je descend son sous-vêtement et prend son membre légèrement dur en bouche. Il gémit. Je le suce doucement, fais des vas et viens. Il pose sa main dans mes cheveux mais se laisse faire. Je le lèche de tout son long et il soupire :
- Tu fais ça bien putain…
Après quelques minutes, son érection a pris de l'ampleur, et il me redresse pour me plaquer contre le mur de nouveau. Il m'embrasse langoureusement, sans plus de pudeur. Il déboutonne mon short, et le fait glisser sur mes jambes lisses. Ma culotte blanche en dentelle ne reste pas longtemps sur moi, et rejoint vite le sol également. Mon estomac se tord, en partie dû au plaisir, mais aussi au stress.
Nos corps nus se collent et je sens son sexe contre moi. Il pose ses mains en dessous de mes fesses, et me porte contre lui. Il fait quelques pas en arrière et avant que je comprenne ce qu'il se passe, il me pose sur le bord d'un des bureaux de la salle. Il m'embrasse le cou, et je le sens me pénétrer lentement. Je retiens de justesse un cri de pur plaisir. Mes mains agrippent son dos et je le griffe involontairement tandis qu'il débute des allers-retours. Son corps bute contre le mien, transpirant. Ses mains se baladent sur mon corps, tirent mes cheveux. Il me mord la peau alors que ses vas et viens sont de plus en plus puissants. Il gémit :
- Putain c'est bon…
Il jure encore puis m'embrasse fougueusement, couvrant ainsi mes propres gémissements et soupires. Trois coups toqués à la porte interrompent net nos mouvements.
- Monsieur Frayn ? Résonne une voix d'homme dans le couloir.
Mon professeur semble hésiter, puis, toujours en moi, il prend une grande inspiration et répond :
- Je suis occupé là, repassez plus tard.
Il donne un coup de rein et je manque de crier.
- C'est très important.
La respiration de Matt devient lourde et il recommence ses mouvements sans se soucier de l'homme qui le demande. Il répond tout de même :
- Je ne peux pas. Il me regarde dans les yeux. J'ai autre chose à faire actuellement. Revenez à la fin de l'heure.
Sa voix se casse à la fin de sa phrase.
- D'accord.
Matt ralentit ses gestes et on entend des pas s'éloigner. D'un coup il reprend en vitesse et je soupire très fort :
-Matt…
Il sourit en coin et continue, lui même ne cachant plus son aise. Il continue de me pénétrer avec fougue, l'excitation atteint son comble. Je pose une main sur ses fesses si belles et musclées. Sa respiration plus que saccadée me fait comprendre qu'il est au bord de la jouissance. Mon corps se cambre de plaisir quand je sens son membre rentrer en moi avec force et cette fois je ne peux retenir un dernier cri. L'orgasme déferle par vague et me fait oublie la raideur du bureau sur lequel je suis. Matt donne quelques derniers coups de reins dans un soupire rauque et viens en moi. Il continue pourtant de m'embrasser avec une certaine délicatesse. Il se retire, transpirant. Mon ventre se soulève à une vitesse folle. Je souris. Mon professeur récupère son tee-shirt qu'il enfile, ainsi que son caleçon. Redevenant pudique, je cherche mes vêtements également et les met rapidement. Il me dévisage mais ne dis rien, alors je récupère mon sac et vais pour m'enfuir.
- Attend !
Je me retourne à peine qu'il me plaque contre la porte, dépose un baiser sur mes lèvres, et dévie vite dans mon cou. Il aspire ma peau, la suce sauvagement et la mord par la même occasion. Ce connard veut laisser une marque. Comment vais-je l'expliquer à mes amis ? Je lâche tout de même un gémissement quand il lèche une dernière fois mon cou. Sa main au creux de ma hanche, il me murmure à l'oreille :
-On remet ça quand tu veux, chérie.
Je lance un regard noir au professeur qui me toise. Cela ne fait qu'une demie-heure que le cours à commencé et il m'a déjà pris deux fois en train de discuter avec mon voisin. Mais que puis-je y faire ? Ses cours d'économie n'ont rien qui me passionne, et je dois bien passer le temps. J'essaye de me concentrer sur le cours, en vain. Le flot de parole incessant sortant de sa bouche ne pourra jamais réussir à me captiver. Sans cesser de faire semblant d'écouter, je laisse mes pensées divaguer, tandis que mon regard se dirige vers le corps de monsieur Frayn. Cet homme est trop beau pour être vrai, et encore plus pour être prof. Il doit avoir vingts-cinq ans tout au plus, et à cause de ça il est assez difficile de le vouvoyer. Il a un corps de rêve, finement musclé, et taillé en V. Une peau magnifiquement halée, sans imperfection. Il est de ce qu'on appelle les ''bruns ténébreux''. Il a les cheveux assez courts, une barbe de trois jours bien coupée. Et le plus beau dans tout ça, ce sont ses yeux. De magnifiques yeux noisettes aux reflets dorés, entourés de longs cils noirs, dont je le jalouse. Il me lance un regard méfiant, et je détourne la tête. Il baisse donc la garde et se tourne pour écrire au tableau. Quand je vois la tête de plusieurs filles se redresser, je me rend compte que j'ai oublié un détail important : il a un cul sublime. Je me tourne une nouvelle fois vers mon voisin et lui chuchote :
-Tu penses qu'il a quel âge le prof ?
Ce dernier n'a même pas le temps de me répondre qu'une voix chaude mais cassante résonne :
-Chloé, une heure de colle. Tu viens demain matin à huit heure, dans cette salle.
Je pousse un long soupir d'exaspération. Venir en cours le samedi matin, quelle torture. Mon voisin rigole et je lui donne un coup de coude dans les côtes. Il étouffe son rire, et M. Frayn nous lance un regard noir.
Le lendemain, je décide que pour une heure de colle, je peux me permettre de m'habiller d'un style plus décontracté que d'habitude. Je met exceptionnellement un short, à cause de la chaleur qu'il fait en ce moment, et un chemisier blanc au décolleté plutôt plongeant, et au tissu moulant. J'attache mes cheveux châtains -tirant sur le blond- en un chignon négligé, et je me maquille légèrement. Je me contente d'enfiler des chaussures ouvertes à talons compensé, et je pars à l'arrêt de bus.
Je rentre dans la salle sans même toquer, trop occupée à maudire ce prof pour me faire venir un jour du week-end. Il tourne la tête vers moi, me dévisage un instant, puis il secoue la tête et dit:
-Assis toi.
Je m'exécute, puis sort une feuille de mon sac.
-T'as des devoirs à faire ?
Je secoue négativement la tête.
-Bon, tu feras les exercices page 34 et 35 de ton livre.
Je hausse les épaules, acceptant mon sort. Je me penche sur ma feuille, et commence les exercices.
Au bout de quelques minutes, me désintéressant de mon activité, je lève les yeux. Le regard du prof qui était plongé dans mon décolleté se détourne rapidement. Je rougis légèrement. Etait-il vraiment en train de faire ce que je pense ou était-il seulement perdu dans ses pensées ? Je lui jette un coup d’œil, il semble d'un coup très intéressé par son ordinateur. Pour vérifier que je ne me trompe pas, je feins d'avoir chaud, et déboutonne d'un cran de plus mon chemisier, me surprenant moi-même. Déjà que je le trouvais plutôt sexy, là ça en devient carrément indécent. On voit même une partie de mon soutien-gorge en dentelle blanche. Je me penche un peu plus sur mon bureau pour le laisser jouir de la vue. Ce comportement ne me ressemble pourtant pas. Mais comme je m'en doutais, j'aperçois du coin de l’œil son regard sur ma poitrine. Je lève mes yeux, qu'il croise, et là une lueur change dans les siens. Il a compris que j'avais vu son petit manège. Loin de sembler gêné, il fait comme si de rien était, et continue à mater.
-Lève toi.
-Pardon ?
-Lève toi, il répète.
Sans vraiment comprendre ce qu'il se passe, j'obéis. Lui, recule jusqu'à la porte tout en louchant sur mes jambes, presque entièrement dévoilées, et je vois qu'il la ferme à clef. Je ravale ma salive.
-Vous faites quoi ?
-T'es vachement bien foutue pour un meuf de dix-huit ans.
Il tourne autour de moi, la situation m'échappe. Soudain, il me plaque contre le mur, et je gémis de douleur. Son corps se presse contre moi, et je peux sentir sa chaude odeur masculine. Je sens son torse contre ma poitrine, il respire très fort, comme s'il venait de courir. Il me regarde dans les yeux, et un frisson me parcourt le corps. La raison reprenant le dessus, j'essaie de le repousser. Mais il me maintient fermement, et agrippe mes deux poignets d'une seule main qu'il bloque au dessus de ma tête.
-Lâche moi.
-Oh, on passe au tutoiement ?
Il sourit en coin, Dieu ce qu'il est beau.
-Tu crois vraiment que je peux te vouvoyer dans cette situation ? Je rétorque.
Il ne répond pas et se contente de passer sa langue sur ses lèvres très sensuellement. J'essaie de contrôler ma respiration, pour ne pas qu'il voit l'effet qu'il me fait. Mais c'est difficile de rester sereine devant une telle situation. Mon cœur bat très fort, je peux carrément entendre mon sang tambouriner dans mes oreilles. M. Frayn me regarde droit dans les yeux et me dit :
-Mon prénom c'est Matt.
Sans sourciller, et en feignant celle qui s'en fiche, je rétorque :
-Et alors ?
Loin d'être déstabilisé, il penche sa tête de façon à ce que ses lèvres frôlent mon oreille, et murmure :
-Et alors, c'est mieux que tu le saches pour pouvoir le crier…
Mon cœur fait un bond mais j'essaie de paraître le plus calme possible à l’extérieur. Son regard descend jusqu'à ma poitrine, et il pose sa main gauche dessus, sans se gêner. Il appuie légèrement et je comprend qu'il cherche à sentir mon pouls. Sans lâcher mes seins des yeux il dit tout bas :
-Ton cœur bat vachement vite dis moi… Serait-ce à cause de moi ?
J'essaie de chercher une réplique sanglante, mais elle ne vient pas, et je reste sans rien faire.
Ses doigts descendent négligemment jusqu'aux boutons de mon chemisier qu'il défait un par un, très lentement. Il l'enlève. Je n'ose plus bouger et me contente de chuchoter :
-Arrête…
Il me fixe posément, et approche son visage du mien. J'ai une irrésistible envie de l'embrasser, en voyant ses lèvres si proches des miennes, mais je ne le fais pas. Il semble le remarquer, et s'approche encore un peu plus. Sa bouche frôle la mienne, je peux sentir son souffle chaud. Puis enfin, il m'embrasse. Ses lèvres sont douces et sucrées, et elles embrassent si bien qu'une excitation vient se loger dans mon bas ventre, contre ma volonté. Sa langue vient trouver la mienne, à laquelle elle s'enroule presque sauvagement. Elles se cherchent, se caressent comme si tout pouvait s'arrêter à tout moment.
Il plonge ensuite sa tête dans mon cou et me le mord brusquement, je laisse échapper un fort gémissement que je regrette aussitôt. Il me suce la peau, et je respire fort, sans plus chercher à me contrôler. Il me mordille le lobe de mon oreille avec une sensualité pas permise. Je sens ses lèvres chaudes descendre jusqu'à ma poitrine. D'une main agile, il dégrafe mon soutien-gorge et prend mon sein droit dan sa main, pour le malaxer avec plaisir. De ses dents il attrape mon téton durci d'excitation et le mord sans ménagement. Il passe une de ses jambes entre les miennes, qui frotte contre mon bas ventre. Je respire fort, trop fort, et il semble s'en amuser. Tout d'un coup il relâche mes poignets, puis prend ma main gauche qu'il pose entre ses jambes. La bosse est évidente. Il se redresse, m'embrasse le cou, la mâchoire, mes épaules dénudées. Ma main est toujours sur son entre-jambe et j'ose appuyer un peu, faire quelques frottements. C'est avec satisfaction que je l'entend gémir. Soudain, il se recule et enlève son tee-shirt. Je me retiens de faire un commentaire, mais mon dieu ce qu'il est bien foutu. Sans que je m'y attende il commence à défaire également sa ceinture, puis son bouton de pantalon, qu'il enlève sans ménagement. Je ne pensais pas que ça irait si loin. Son torse se recolle contre le mien, et il recommence à m'embrasser. Entre deux baisers, il soupire :
- Tu veux me faire plaisir ?
Sans qu'il ait besoin d'en dire plus, je comprend sa requête. J'échange nos places, et le colle contre le mur. Il allait protester mais se retient quand il voit que je baisse mon visage. J'embrasse son torse, puis trace une ligne imaginaire avec ma langue de son nombril jusqu'à l'élastique de son boxer noir. Son ventre se soulève et se baisse très rapidement, montrant son excitation. Avec hésitation je descend son sous-vêtement et prend son membre légèrement dur en bouche. Il gémit. Je le suce doucement, fais des vas et viens. Il pose sa main dans mes cheveux mais se laisse faire. Je le lèche de tout son long et il soupire :
- Tu fais ça bien putain…
Après quelques minutes, son érection a pris de l'ampleur, et il me redresse pour me plaquer contre le mur de nouveau. Il m'embrasse langoureusement, sans plus de pudeur. Il déboutonne mon short, et le fait glisser sur mes jambes lisses. Ma culotte blanche en dentelle ne reste pas longtemps sur moi, et rejoint vite le sol également. Mon estomac se tord, en partie dû au plaisir, mais aussi au stress.
Nos corps nus se collent et je sens son sexe contre moi. Il pose ses mains en dessous de mes fesses, et me porte contre lui. Il fait quelques pas en arrière et avant que je comprenne ce qu'il se passe, il me pose sur le bord d'un des bureaux de la salle. Il m'embrasse le cou, et je le sens me pénétrer lentement. Je retiens de justesse un cri de pur plaisir. Mes mains agrippent son dos et je le griffe involontairement tandis qu'il débute des allers-retours. Son corps bute contre le mien, transpirant. Ses mains se baladent sur mon corps, tirent mes cheveux. Il me mord la peau alors que ses vas et viens sont de plus en plus puissants. Il gémit :
- Putain c'est bon…
Il jure encore puis m'embrasse fougueusement, couvrant ainsi mes propres gémissements et soupires. Trois coups toqués à la porte interrompent net nos mouvements.
- Monsieur Frayn ? Résonne une voix d'homme dans le couloir.
Mon professeur semble hésiter, puis, toujours en moi, il prend une grande inspiration et répond :
- Je suis occupé là, repassez plus tard.
Il donne un coup de rein et je manque de crier.
- C'est très important.
La respiration de Matt devient lourde et il recommence ses mouvements sans se soucier de l'homme qui le demande. Il répond tout de même :
- Je ne peux pas. Il me regarde dans les yeux. J'ai autre chose à faire actuellement. Revenez à la fin de l'heure.
Sa voix se casse à la fin de sa phrase.
- D'accord.
Matt ralentit ses gestes et on entend des pas s'éloigner. D'un coup il reprend en vitesse et je soupire très fort :
-Matt…
Il sourit en coin et continue, lui même ne cachant plus son aise. Il continue de me pénétrer avec fougue, l'excitation atteint son comble. Je pose une main sur ses fesses si belles et musclées. Sa respiration plus que saccadée me fait comprendre qu'il est au bord de la jouissance. Mon corps se cambre de plaisir quand je sens son membre rentrer en moi avec force et cette fois je ne peux retenir un dernier cri. L'orgasme déferle par vague et me fait oublie la raideur du bureau sur lequel je suis. Matt donne quelques derniers coups de reins dans un soupire rauque et viens en moi. Il continue pourtant de m'embrasser avec une certaine délicatesse. Il se retire, transpirant. Mon ventre se soulève à une vitesse folle. Je souris. Mon professeur récupère son tee-shirt qu'il enfile, ainsi que son caleçon. Redevenant pudique, je cherche mes vêtements également et les met rapidement. Il me dévisage mais ne dis rien, alors je récupère mon sac et vais pour m'enfuir.
- Attend !
Je me retourne à peine qu'il me plaque contre la porte, dépose un baiser sur mes lèvres, et dévie vite dans mon cou. Il aspire ma peau, la suce sauvagement et la mord par la même occasion. Ce connard veut laisser une marque. Comment vais-je l'expliquer à mes amis ? Je lâche tout de même un gémissement quand il lèche une dernière fois mon cou. Sa main au creux de ma hanche, il me murmure à l'oreille :
-On remet ça quand tu veux, chérie.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très bon récit, on jurerait du vécu!
une histoire comme je les aime
l'écriture et la syntaxe sont bonnes ce qui ne gâche rien
bien sûr on espère une suite
une histoire comme je les aime
l'écriture et la syntaxe sont bonnes ce qui ne gâche rien
bien sûr on espère une suite
Très joli récit !
merci, je l'ai trouvé bien excitant !
Benoit
merci, je l'ai trouvé bien excitant !
Benoit
C'est bien raconté et c'est assez érotiquement efficace. Est-ce une histoire vécue ou un fantasme?
La suite!
La suite!