Titre de l'histoire érotique : Un soir de vacances
Récit érotique écrit par Stephtoy [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-07-2010 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : Un soir de vacances
Cet été là, j’étais partit en vacance au bord de la mer. Baignade, soleil, boite de nuit, la totale. Ce jour là, après une journée passée à la plage, je me fis beau, mit une belle chemise et décidait d’aller éprouver mes talents de danseur dans la boite du coin.
J’arrivais vers 11h, en voiture. La salle était pleine et je me frayais tant bien que mal un chemin vers le bar pour un petit truc, avant de me laisser guider par le rythme de la musique. Le rythme était agréable à danser, et je me laissais tranquillement aller. Je gardais un œil sur les jeunes demoiselles en tenus assez légères se trémousser près de moi, et vraiment je n’aurai pu me sentir mieux qu’à cet instant. Mais j’en remarquais une, brune, les cheveux longs et les yeux verts dans un débardeur blanc, et elle détournât le regard au moment même où je posais les yeux sur elle. Je souris, en m’imaginant beaucoup de choses. J’essayais donc de la garder dans mon champ de vision, et je m’aperçus qu’elle me regardait elle aussi du coin de l’œil. Je tentais de m’approcher doucement, au fil des danses. Et quand j’arrivais quasiment a ça hauteur, des rythmes plus chauds et rapides se firent entendre, ce qui me facilitait la tache. Je fus rapidement tout près d’elle.
Tout allait vite. Après un échange de sourire, nos corps se déplaçaient quasiment l’un contre l’autre. La danse suivante, l’une de mes mains atterrit sur sa hanche, ce qui la fit sourire. Une danse plus tard, nous dansions coller l’un à l’autre, mes mains sur ses hanches et mes doigts frôlant le haut de ses fesses parfaitement galbées. Ses mains, elles, étaient également sur mes hanches. Je commençais à être excité, et mon pantalon également. Puis l’une de ses mains remontât le long de mes cotes, jusqu’au bord de mon visage. Elle me regardait dans les yeux et la suite me vint à l’esprit avant même que le goût sucré de ses lèvres n’atteigne ma bouche à demi ouverte. Ce moment était magique, tout simplement éternel. Hélas une éternité bien courte quand elle quittait mes lèvres cinq secondes plus tard et disparut dans la foule.
Je la cherchais désespérément des yeux, sans pour autant la trouver. Je décidais donc de sortir sur le parking, quitte à attendre mais je ne pouvais pas la laisser s’envoler. Je marchais vite, regardant partout mais il faisait nuit tout de même. Et soudain je la vis à environ 50 mètres de moi, qui partais en courant. Je la suivais donc, sans toutefois trop accélérer car je doutais qu’elle cherche réellement à fuir. On a couru environ 15 minutes, dans des petites rues, dans avenues, pour finalement débarquer sur une plage, reflétant l’éclat de la lune et des étoiles. Je restais un moment sans voix devant ce merveilleux paysage, mais pas longtemps car je vis sont éclat blanc disparaître derrière d’imposantes dunes. Je la suivais, un peu à l’aveuglette.
J’avançais prudemment, je ne la voyais plus. La situation était bizarre à vrai dire, mais pas pour me déplaire. Soudain, elle surgit littéralement d’un coin d’ombre et m’embrassa fougueusement, collant son corps fiévreux contre le mien. La surprise me fit tomber, mais cela n’entamât pas son ardeur et le baiser repris avec son corps sur le mien. Je lui rendit son baiser, la température montait doucement et mes sens s’enflammèrent sous cette avalanche de sucre. J’en profitais pour découvrir son corps de mes mains. Ses seins sous son débardeur avec la pointe de ses tétons qui commençait à apparaître, ses fesses si parfaitement sculpté dans la volupté. Elle commençât alors à déboutonner doucement ma chemise, bouton par bouton. Je profitais intensément de ses mains sur mon torse, du contact qui me fit une grande sensation. Et cette sensation augmentât quand elle massât la bosse formé au niveau de mon pantalon, et que je vis le regard gourmand passer dans ses yeux. Ma ceinture ne résistât pas non plus à son envie. Ni le bouton. Ni la fermeture éclair. Mais c’est lorsque mon pantalon et mon caleçon furent sur le sable, sans moi, que je pris pleinement conscience de son envie, insatiable.
Elle prit mon sexe en main, le caressât. Je sentais un début de chaleur m’envahir doucement. Je devais avoir un regard qui lui suppliait de continuer car elle sourit. Elle s’arrêta et ce relevât, pour commencer à doucement enlever son débardeur et sa jupette, dans un strip-tease d’anthologie. Chacun de ses mouvements si sensuels mi le feu en moi. Elle était maintenant en string blanc à dentelle et soutien gorge assortie que déjà je n’en pouvais plus. Quand son soutien gorge vola prés de mon boxer, je crus que j’allai exploser. Elle descendit au niveau de mon sexe, je sentais ses tétons chatouiller mes cuisses. Elle le prit en main, le caressa, lui fit un bisou. J’étais véritablement au supplice. Et puis, elle l’englobât dans sa bouche chaude. Je poussais un mmm de contentement. Sa fellation était divine, je ressentais la chaleur de sa bouche autour de mon sexe si intensément que le plaisir montait vite. Sa langue tournait autour de mon sexe, titillant le bout. Le plaisir montait de plus en plus je me cambrai. Elle se retira avant que je n’explose et me sourit à pleines dents, avec le clair de lune en toile de fond.
Je pris les choses en mains, dans tous les sens du terme. Je l’allongeais sur le sol et mi directement un doigt dans son string, ce qu’elle attendait depuis longtemps vu le soupir de soulagement quelle poussât. Mon doigt s’activait sur son clitoris, d’abord doucement, puis frénétiquement. Je le titillais, le faisait tourner sous mes doigts en la faisant gémir et mouiller abondamment, ce qui m’excitait vraiment beaucoup. Puis je lui retirais rapidement son string, et ma langue vint remplacer mon doigt. Je m’activais du bout de la langue a lui donner du plaisir, allant et venant très vite, appuyant son clitoris sur une lèvre, changeant le sens de la caresse, et ce de façon rapide mais appuyée. Elle ne mit pas longtemps à jouir dans un ultime cri de bonheur.
Je lui laissais reprendre ses esprits, et pendant ce temps je pris une capote dans ma poche (l’une des six héhé) et l’enfilait sur mon sexe excité de l’effet que j’avais produit. Elle était allongée sur le dos, et visiblement elle n’attendait plus que moi alors je ne me fie pas prier. Je pressentais mon sexe a l’entrée du sien, et poussa doucement pour entrer en elle. J’avançais doucement, la faisant légèrement grimacer, mais visiblement ça lui plaisait. Et je fus totalement en elle, mon sexe entièrement dans son sexe dégoulinant de plaisir. Je commençais doucement le va et viens. Je faisais un va et vient lent, mais profond. Mon sexe parcourait tout le sien a chaque coup et j’accélérais petit a petit. Elle commençait à gémir, se qui m’encourageait à continuer, et je ne mis pas longtemps a gémir a mon tour. C’était le bonheur, le plaisir montait si haut, la chaleur était accueillante, je faisais l’amour avec une fille torride !
Le plaisir montait toujours, mais elle se retournât pour me chevaucher et entamer un va et vient très rapide, en gémissant très fort. Visiblement sa jouissance approchait. Je la laissais aux manettes, elle haletait et fini par jouir bruyamment, et s’affala sur moi. Mais je n’avais pas joui. Elle me sourit et enleva la capote pour mettre mon sexe directement dans ça bouche et entamer un rapide va et vient. Sa bouche chaude était enivrante et je ne mis pas longtemps à jouir, un flot de sperme dans sa bouche, sa langue tournant toujours autour de mon sexe et elle avalât le tout, pour le plus grand plaisir de mes yeux.
Ce moment était magique, et sans trop comprendre, je m’endormis au coté d’une fille dont je ne savais même pas le nom…
J’arrivais vers 11h, en voiture. La salle était pleine et je me frayais tant bien que mal un chemin vers le bar pour un petit truc, avant de me laisser guider par le rythme de la musique. Le rythme était agréable à danser, et je me laissais tranquillement aller. Je gardais un œil sur les jeunes demoiselles en tenus assez légères se trémousser près de moi, et vraiment je n’aurai pu me sentir mieux qu’à cet instant. Mais j’en remarquais une, brune, les cheveux longs et les yeux verts dans un débardeur blanc, et elle détournât le regard au moment même où je posais les yeux sur elle. Je souris, en m’imaginant beaucoup de choses. J’essayais donc de la garder dans mon champ de vision, et je m’aperçus qu’elle me regardait elle aussi du coin de l’œil. Je tentais de m’approcher doucement, au fil des danses. Et quand j’arrivais quasiment a ça hauteur, des rythmes plus chauds et rapides se firent entendre, ce qui me facilitait la tache. Je fus rapidement tout près d’elle.
Tout allait vite. Après un échange de sourire, nos corps se déplaçaient quasiment l’un contre l’autre. La danse suivante, l’une de mes mains atterrit sur sa hanche, ce qui la fit sourire. Une danse plus tard, nous dansions coller l’un à l’autre, mes mains sur ses hanches et mes doigts frôlant le haut de ses fesses parfaitement galbées. Ses mains, elles, étaient également sur mes hanches. Je commençais à être excité, et mon pantalon également. Puis l’une de ses mains remontât le long de mes cotes, jusqu’au bord de mon visage. Elle me regardait dans les yeux et la suite me vint à l’esprit avant même que le goût sucré de ses lèvres n’atteigne ma bouche à demi ouverte. Ce moment était magique, tout simplement éternel. Hélas une éternité bien courte quand elle quittait mes lèvres cinq secondes plus tard et disparut dans la foule.
Je la cherchais désespérément des yeux, sans pour autant la trouver. Je décidais donc de sortir sur le parking, quitte à attendre mais je ne pouvais pas la laisser s’envoler. Je marchais vite, regardant partout mais il faisait nuit tout de même. Et soudain je la vis à environ 50 mètres de moi, qui partais en courant. Je la suivais donc, sans toutefois trop accélérer car je doutais qu’elle cherche réellement à fuir. On a couru environ 15 minutes, dans des petites rues, dans avenues, pour finalement débarquer sur une plage, reflétant l’éclat de la lune et des étoiles. Je restais un moment sans voix devant ce merveilleux paysage, mais pas longtemps car je vis sont éclat blanc disparaître derrière d’imposantes dunes. Je la suivais, un peu à l’aveuglette.
J’avançais prudemment, je ne la voyais plus. La situation était bizarre à vrai dire, mais pas pour me déplaire. Soudain, elle surgit littéralement d’un coin d’ombre et m’embrassa fougueusement, collant son corps fiévreux contre le mien. La surprise me fit tomber, mais cela n’entamât pas son ardeur et le baiser repris avec son corps sur le mien. Je lui rendit son baiser, la température montait doucement et mes sens s’enflammèrent sous cette avalanche de sucre. J’en profitais pour découvrir son corps de mes mains. Ses seins sous son débardeur avec la pointe de ses tétons qui commençait à apparaître, ses fesses si parfaitement sculpté dans la volupté. Elle commençât alors à déboutonner doucement ma chemise, bouton par bouton. Je profitais intensément de ses mains sur mon torse, du contact qui me fit une grande sensation. Et cette sensation augmentât quand elle massât la bosse formé au niveau de mon pantalon, et que je vis le regard gourmand passer dans ses yeux. Ma ceinture ne résistât pas non plus à son envie. Ni le bouton. Ni la fermeture éclair. Mais c’est lorsque mon pantalon et mon caleçon furent sur le sable, sans moi, que je pris pleinement conscience de son envie, insatiable.
Elle prit mon sexe en main, le caressât. Je sentais un début de chaleur m’envahir doucement. Je devais avoir un regard qui lui suppliait de continuer car elle sourit. Elle s’arrêta et ce relevât, pour commencer à doucement enlever son débardeur et sa jupette, dans un strip-tease d’anthologie. Chacun de ses mouvements si sensuels mi le feu en moi. Elle était maintenant en string blanc à dentelle et soutien gorge assortie que déjà je n’en pouvais plus. Quand son soutien gorge vola prés de mon boxer, je crus que j’allai exploser. Elle descendit au niveau de mon sexe, je sentais ses tétons chatouiller mes cuisses. Elle le prit en main, le caressa, lui fit un bisou. J’étais véritablement au supplice. Et puis, elle l’englobât dans sa bouche chaude. Je poussais un mmm de contentement. Sa fellation était divine, je ressentais la chaleur de sa bouche autour de mon sexe si intensément que le plaisir montait vite. Sa langue tournait autour de mon sexe, titillant le bout. Le plaisir montait de plus en plus je me cambrai. Elle se retira avant que je n’explose et me sourit à pleines dents, avec le clair de lune en toile de fond.
Je pris les choses en mains, dans tous les sens du terme. Je l’allongeais sur le sol et mi directement un doigt dans son string, ce qu’elle attendait depuis longtemps vu le soupir de soulagement quelle poussât. Mon doigt s’activait sur son clitoris, d’abord doucement, puis frénétiquement. Je le titillais, le faisait tourner sous mes doigts en la faisant gémir et mouiller abondamment, ce qui m’excitait vraiment beaucoup. Puis je lui retirais rapidement son string, et ma langue vint remplacer mon doigt. Je m’activais du bout de la langue a lui donner du plaisir, allant et venant très vite, appuyant son clitoris sur une lèvre, changeant le sens de la caresse, et ce de façon rapide mais appuyée. Elle ne mit pas longtemps à jouir dans un ultime cri de bonheur.
Je lui laissais reprendre ses esprits, et pendant ce temps je pris une capote dans ma poche (l’une des six héhé) et l’enfilait sur mon sexe excité de l’effet que j’avais produit. Elle était allongée sur le dos, et visiblement elle n’attendait plus que moi alors je ne me fie pas prier. Je pressentais mon sexe a l’entrée du sien, et poussa doucement pour entrer en elle. J’avançais doucement, la faisant légèrement grimacer, mais visiblement ça lui plaisait. Et je fus totalement en elle, mon sexe entièrement dans son sexe dégoulinant de plaisir. Je commençais doucement le va et viens. Je faisais un va et vient lent, mais profond. Mon sexe parcourait tout le sien a chaque coup et j’accélérais petit a petit. Elle commençait à gémir, se qui m’encourageait à continuer, et je ne mis pas longtemps a gémir a mon tour. C’était le bonheur, le plaisir montait si haut, la chaleur était accueillante, je faisais l’amour avec une fille torride !
Le plaisir montait toujours, mais elle se retournât pour me chevaucher et entamer un va et vient très rapide, en gémissant très fort. Visiblement sa jouissance approchait. Je la laissais aux manettes, elle haletait et fini par jouir bruyamment, et s’affala sur moi. Mais je n’avais pas joui. Elle me sourit et enleva la capote pour mettre mon sexe directement dans ça bouche et entamer un rapide va et vient. Sa bouche chaude était enivrante et je ne mis pas longtemps à jouir, un flot de sperme dans sa bouche, sa langue tournant toujours autour de mon sexe et elle avalât le tout, pour le plus grand plaisir de mes yeux.
Ce moment était magique, et sans trop comprendre, je m’endormis au coté d’une fille dont je ne savais même pas le nom…
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