Titre de l'histoire érotique : Un suceur des tous les diables
Récit érotique écrit par César [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-01-2005 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Titre de l'histoire érotique : Un suceur des tous les diables
Julien est un garçon au physique très agréable. Il est grand, châtain, plutôt mignon et ses yeux sont bleus. Il est marié à Sandrine, une superbe femme blonde qui dégage une telle sensualité que l’on en tombe amoureux au premier contact. Quant à moi, je m’appelle César.
Cela fait maintenant plusieurs années que nous nous connaissons, ils sont mes meilleurs amis, et dès que cela est possible, nous partageons de nombreux moments ensemble, que ce soit une après-midi, un week-end, où comme cela nous est déjà arrivé, des vacances entières.
En fait, nous partageons plus que des moments, nous partageons nos corps. Plus que mes amis, Julien et Sandrine sont mes amants. Nous aimons faire l’amour à trois mêlant intimement nos salives, nos sueurs et nos liquides plus intimes.
Poser à plat ces quelques lignes réveille en moi une forte excitation car le simple fait de penser à nos corps qui se mélangent suffit à faire se dresser ma virilité. Aussi, je voudrais vous faire partager mon plaisir, à vous qui êtes en train de me lire, femme, homme, hétéro, bisexuel ou homo, et je vous souhaite, tout comme cela m’est arrivé, de découvrir le plaisir aussi bien entre les jambes d’une femme que pénétrer par le sexe d’un homme.
Au moment de notre rencontre, j’écrivais des histoires érotiques que je déposais sur des sites internet spécialisés. Julien avait lu une de mes histoires racontant la relation homosexuelle entre un prof de gym et un étudiant. Il trouvait mon histoire bien écrite et me l’avait d’ailleurs dit via un mail. Je lui ai répondu, et petit à petit, nous avons échangé une véritable correspondance. Nous nous sommes tout dis, moi que j’étais bisexuel, divorcé, à la recherche de rencontres pouvant allié sexe et amitié, mais que les précédentes m’avaient toutes un peu déçu jusque là, lui, qu’il était marié, également bisexuel, et que sa femme, au mœurs sexuelles un peu libérée, était d’accord pour tenter l’expérience à trois, avec un autre homme. Après plusieurs semaines et des dizaines de messages, tous plus chauds les uns que les autres, nous avons convenus de nous rencontrer dans un bar fréquenté de la capitale. Il viendrait avec sa femme, prétextant une course urgente à faire pour son boulot, ne lui disant rien de la rencontre que nous avions prévue.
J’avais prévenu Julien de ma tenue vestimentaire, et lui avait fait pareil afin que nous nous reconnaissions directement dans le bar. Lorsque je suis entré, je l’ai tout de suite reconnu à son habillement, une veste noire avec une écharpe rouge, comme prévu. Lui aussi me reconnu directement grâce à la veste militaire que je portais. Je suis allé m’asseoir à quelques tables de la leur, dans le dos de Sandrine et face à lui, j’avais donc tout le loisir de contempler son beau visage au teint halé. Il ne m’avait pas menti, il était comme il s’était décrit. Je restai plusieurs instants à les regarder, lui de temps en temps jetais des regards discrets vers moi. Ensuite, je me suis levé de ma table, comme nous l’avions convenu, et je me suis dirigé vers les toilettes. Si tout se passait comme prévu, il devait rapidement m’y rejoindre. Les toilettes étaient grandes, et il y avait de nombreuses cabines, s’est d’ailleurs la raison pour laquelle nous avions choisi se bar. Je n’ai attendu que quelques secondes avant d’entendre la porte s’ouvrir et de le voir surgir. Il ne dit rien dans l’immédiat, il se mit face à moi et me regarda dans les yeux durant quelques secondes.
-Tu es beau, je suis content de te voir.
Tout en disant cela, il s’approcha de moi et posa délicatement ses lèvres sur les miennes. Notre premier baiser.
Il me prit la main et m’emmena avec lui dans une des cabines de toilettes. Nous étions à l’étroit une fois la porte fermée, mais s’était mieux ainsi, car de cette manière, nous étions serrés l’un tout contre l’autre, deux homos dans les toilettes d’un bar. Nous nous sommes longuement embrassé en prenant bien garde de ne pas faire trop de bruit. Sa bouche avait un goût exquis, et il embrassait comme un Dieu. Je sentais les poils de sa barbe sur mes joues, sur mes lèvres, cela m’excitait énormément car j’avais l’impression d’être une femme entre ses bras virils, sa femme, sa chose. Nos langues se sont faites l’amour pendant plusieurs instants, mélangeant nos salives, allant au plus profond dans la gorge de l’autre. Nous nous sommes regardé dans les yeux durant tout ce baiser, je ne voulais pas cesser de le contempler. Mon cœur battait la chamade dans ma poitrine, j’étais excité comme jamais, et lui aussi d’ailleurs, ce qui suivit me le prouva. Il fut le premier à faire un geste vraiment sexuel. Il glissa lentement sa main le long de ma poitrine et la posa sur mon entrejambe. Au début, il ne faisait que caresser délicatement mon intimité se contentant d’effleurer mon pantalon. Ensuite, il se recula un peu, et me poussa contre la paroi des toilettes en me faisant signe de ne pas bouger et de ne pas parler. Il ouvrit les boutons de mon pantalon un à un et glissa sa main à l’intérieur. De cette manière, il ne pouvait que constater l’excitation qu’il réveillait en moi car je bandais pour lui aussi dur que je ne l’avais jamais fait pour une fille. Ses caresses se firent un peu plus appuyées. Il me flattait le sexe au dessus de mon caleçon faisant aller et venir sa main sur toute sa longueur. Je n’en pouvais plus, j’avais envie d’exploser à l’intérieur de mon slip, mais je ne pouvais pas le faire, je ne devais pas. Il fallait absolument que cet instant de bonheur dure le plus longtemps possible, je voulais qu’il me caresse comme cela pendant des heures tellement s’était bon. Je voulu à mon tour approcher ma main de son sexe mais il m’en empêcha en me faisant non de la tête.
- C’est moi qui te fais jouir, je veux ta queue, je veux goûter ton sperme. Me souffla-t-il dans le creux de l’oreille. Il posa ensuite sa langue sur mes lèvres, les lécha l’espace d’un instant et s’accroupit pour se retrouver le visage face à l’objet de ses caresses, mon sexe. Il baissa mon pantalon jusqu’à mes chevilles et approcha sa tête de mon paquet. Ses lèvres se posèrent sur le tissus de mon slip, juste à l’endroit où l’on pouvait distinguer la forme de mon gland. Ensuite, il continua ses caresses, non plus avec ses mains mais avec son visage. Il frottait véritablement mon sexe avec ses joues, son nez sa bouches son menton,…
QUEL PLAISIR !! WHOUAAAAAAAAA !!!!!!!! Surtout ne pas décharger maintenant !!!!
Ses mains glissèrent le long de mes cuisses pour remonter par l’arrière et aller trouver mes fesses. Il les palpa un instant avec douceur avant de les malaxer plus fort. Il les glissa sous le tissus de mon slip et je sentis qu’à chaque caresse, il se rapprochait de plus en plus de ma raie.
NE PAS DECHARGER MAINTENANT !!!!!
Il posa enfin un doigt dans ma raie et le fit aller d’avant en arrière, poussant à chaque passage un peu plus fort sur mon anus qui ne demandait pas mieux que d’être pénétrer par ce type.
Il se décida enfin à ôter mon slip, dernier rempart avant le plaisir totalement impudique de livrer ma queue à l’appétit homosexuel d’une personne que je rencontrais pour la première fois. Mon sexe se présenta au garde à vous devant lui, à la fois fier et soumis, car des envies de mon partenaire masculin dépendait entièrement mon plaisir.
Il posa sa main sur la hampe de mon sexe et commença à me branler avec beaucoup de douceur. A cet instant, je pouvais lire dans ses yeux brillants l’excitation qui l’habitait et le poussait à agir ainsi. D’ailleurs, il était tellement excité (il me l’avoua par la suite), qu’il ne pu se retenir longtemps de l’envie de poser sa langue sur mon gland.
Maintenant, ça y est, je suis en train de me faire sucer la queue par un mec que je ne connais pas dans des toilettes publiques alors que n’importe qui peut entrer et nous surprendre. Je réalise enfin un de mes premiers fantasmes homosexuels. Quel pied, Quel pied,….
Je le regardais, je voyais sa langue qui s’affairait tout autour de mon gland, s’attachant à ne pas oublier d’en goûter 1seul mm carré. Et puis, tout d’un coup, il engloutit mon sexe au plus profond de sa gorge, il commençait les mouvements de succion. D’une main, il caressait mes bourses pleines d’un sperme qui ne demandait qu’à sortir, et de l’autre, il continuait toujours ses allers et venues entre mes fesses, en insistant particulièrement sur mon anus. A ce rythme là, c’est sur, je ne saurai plus me retenir longtemps, d’ailleurs, je n’en ai plus envie, je veux jouir, je veux décharger tout mon foutre dans sa bouche, je veux lui montrer tout le plaisir qu’il est en train de me donner. Je me laisse aller, je ne me retiens plus, mais ma jouissance ne vient pas instantanément, et il continue toujours sa fellation. Il accélère ses mouvements de tête, je vois ma queue qui entre et qui sort de sa bouche de plus en plus vite et enfin, cette fois ça y est…
JE VAIS JOUIR, JE VAIS LUI JOUIR DANS LA BOUCHE ;
Je pense qu’il a sentit que j’étais au bord de l’explosion, car à cet instant, son doigt qui se faisait de plus en plus pressant à l’entrée de mon petit trou s’est frayé un passage pour m’investir le colon. Cette sensation est ineffable, la jouissance est intense.
Et enfin, j’éjacule, je sens mon sperme parcourir toute la longueur de ma verge pour aller frapper le fond de sa gorge. A chaque éjaculation, je sens mon anus qui se resserre autour de son doigt, me procurant un tel plaisir qu’il m’est pratiquement impossible de rester droit sans faire de bruit. Je suis plié en deux, vaincu par mon adversaire, vaincu par l’orgasme qu’il vient de me donner et je gémis tellement c’est bon. Il continue ses mouvements de succion pendant encore quelques instants, il enlève son doigt de mon anus et se relève pour me faire face.
-Merci.
Visiblement, il avait avalé tout le sperme que j’avais déchargé dans sa bouche. Il ne dit rien d’autre, m’embrassa sur les lèvres et sorti de la cabine des toilettes en s’assurant que personne ne pouvais le voir. Je ne pu rien dire à ce moment, je suis resté figé en face de lui, et lorsque quelques instants plus tard je suis enfin sortit des toilettes, il avait déjà quitté le bar avec son épouse.
C’était la première fellation que julien m’avait faite. Depuis il y en a eu bien d’autres. J’ai moi aussi eu le plaisir de goûter à sa queue, à son sperme, à son anus. Sa femme est même venue partager nos ébats, apportant par là un peu plus de piments à notre relation.
Cela fait maintenant plusieurs années que nous nous connaissons, ils sont mes meilleurs amis, et dès que cela est possible, nous partageons de nombreux moments ensemble, que ce soit une après-midi, un week-end, où comme cela nous est déjà arrivé, des vacances entières.
En fait, nous partageons plus que des moments, nous partageons nos corps. Plus que mes amis, Julien et Sandrine sont mes amants. Nous aimons faire l’amour à trois mêlant intimement nos salives, nos sueurs et nos liquides plus intimes.
Poser à plat ces quelques lignes réveille en moi une forte excitation car le simple fait de penser à nos corps qui se mélangent suffit à faire se dresser ma virilité. Aussi, je voudrais vous faire partager mon plaisir, à vous qui êtes en train de me lire, femme, homme, hétéro, bisexuel ou homo, et je vous souhaite, tout comme cela m’est arrivé, de découvrir le plaisir aussi bien entre les jambes d’une femme que pénétrer par le sexe d’un homme.
Au moment de notre rencontre, j’écrivais des histoires érotiques que je déposais sur des sites internet spécialisés. Julien avait lu une de mes histoires racontant la relation homosexuelle entre un prof de gym et un étudiant. Il trouvait mon histoire bien écrite et me l’avait d’ailleurs dit via un mail. Je lui ai répondu, et petit à petit, nous avons échangé une véritable correspondance. Nous nous sommes tout dis, moi que j’étais bisexuel, divorcé, à la recherche de rencontres pouvant allié sexe et amitié, mais que les précédentes m’avaient toutes un peu déçu jusque là, lui, qu’il était marié, également bisexuel, et que sa femme, au mœurs sexuelles un peu libérée, était d’accord pour tenter l’expérience à trois, avec un autre homme. Après plusieurs semaines et des dizaines de messages, tous plus chauds les uns que les autres, nous avons convenus de nous rencontrer dans un bar fréquenté de la capitale. Il viendrait avec sa femme, prétextant une course urgente à faire pour son boulot, ne lui disant rien de la rencontre que nous avions prévue.
J’avais prévenu Julien de ma tenue vestimentaire, et lui avait fait pareil afin que nous nous reconnaissions directement dans le bar. Lorsque je suis entré, je l’ai tout de suite reconnu à son habillement, une veste noire avec une écharpe rouge, comme prévu. Lui aussi me reconnu directement grâce à la veste militaire que je portais. Je suis allé m’asseoir à quelques tables de la leur, dans le dos de Sandrine et face à lui, j’avais donc tout le loisir de contempler son beau visage au teint halé. Il ne m’avait pas menti, il était comme il s’était décrit. Je restai plusieurs instants à les regarder, lui de temps en temps jetais des regards discrets vers moi. Ensuite, je me suis levé de ma table, comme nous l’avions convenu, et je me suis dirigé vers les toilettes. Si tout se passait comme prévu, il devait rapidement m’y rejoindre. Les toilettes étaient grandes, et il y avait de nombreuses cabines, s’est d’ailleurs la raison pour laquelle nous avions choisi se bar. Je n’ai attendu que quelques secondes avant d’entendre la porte s’ouvrir et de le voir surgir. Il ne dit rien dans l’immédiat, il se mit face à moi et me regarda dans les yeux durant quelques secondes.
-Tu es beau, je suis content de te voir.
Tout en disant cela, il s’approcha de moi et posa délicatement ses lèvres sur les miennes. Notre premier baiser.
Il me prit la main et m’emmena avec lui dans une des cabines de toilettes. Nous étions à l’étroit une fois la porte fermée, mais s’était mieux ainsi, car de cette manière, nous étions serrés l’un tout contre l’autre, deux homos dans les toilettes d’un bar. Nous nous sommes longuement embrassé en prenant bien garde de ne pas faire trop de bruit. Sa bouche avait un goût exquis, et il embrassait comme un Dieu. Je sentais les poils de sa barbe sur mes joues, sur mes lèvres, cela m’excitait énormément car j’avais l’impression d’être une femme entre ses bras virils, sa femme, sa chose. Nos langues se sont faites l’amour pendant plusieurs instants, mélangeant nos salives, allant au plus profond dans la gorge de l’autre. Nous nous sommes regardé dans les yeux durant tout ce baiser, je ne voulais pas cesser de le contempler. Mon cœur battait la chamade dans ma poitrine, j’étais excité comme jamais, et lui aussi d’ailleurs, ce qui suivit me le prouva. Il fut le premier à faire un geste vraiment sexuel. Il glissa lentement sa main le long de ma poitrine et la posa sur mon entrejambe. Au début, il ne faisait que caresser délicatement mon intimité se contentant d’effleurer mon pantalon. Ensuite, il se recula un peu, et me poussa contre la paroi des toilettes en me faisant signe de ne pas bouger et de ne pas parler. Il ouvrit les boutons de mon pantalon un à un et glissa sa main à l’intérieur. De cette manière, il ne pouvait que constater l’excitation qu’il réveillait en moi car je bandais pour lui aussi dur que je ne l’avais jamais fait pour une fille. Ses caresses se firent un peu plus appuyées. Il me flattait le sexe au dessus de mon caleçon faisant aller et venir sa main sur toute sa longueur. Je n’en pouvais plus, j’avais envie d’exploser à l’intérieur de mon slip, mais je ne pouvais pas le faire, je ne devais pas. Il fallait absolument que cet instant de bonheur dure le plus longtemps possible, je voulais qu’il me caresse comme cela pendant des heures tellement s’était bon. Je voulu à mon tour approcher ma main de son sexe mais il m’en empêcha en me faisant non de la tête.
- C’est moi qui te fais jouir, je veux ta queue, je veux goûter ton sperme. Me souffla-t-il dans le creux de l’oreille. Il posa ensuite sa langue sur mes lèvres, les lécha l’espace d’un instant et s’accroupit pour se retrouver le visage face à l’objet de ses caresses, mon sexe. Il baissa mon pantalon jusqu’à mes chevilles et approcha sa tête de mon paquet. Ses lèvres se posèrent sur le tissus de mon slip, juste à l’endroit où l’on pouvait distinguer la forme de mon gland. Ensuite, il continua ses caresses, non plus avec ses mains mais avec son visage. Il frottait véritablement mon sexe avec ses joues, son nez sa bouches son menton,…
QUEL PLAISIR !! WHOUAAAAAAAAA !!!!!!!! Surtout ne pas décharger maintenant !!!!
Ses mains glissèrent le long de mes cuisses pour remonter par l’arrière et aller trouver mes fesses. Il les palpa un instant avec douceur avant de les malaxer plus fort. Il les glissa sous le tissus de mon slip et je sentis qu’à chaque caresse, il se rapprochait de plus en plus de ma raie.
NE PAS DECHARGER MAINTENANT !!!!!
Il posa enfin un doigt dans ma raie et le fit aller d’avant en arrière, poussant à chaque passage un peu plus fort sur mon anus qui ne demandait pas mieux que d’être pénétrer par ce type.
Il se décida enfin à ôter mon slip, dernier rempart avant le plaisir totalement impudique de livrer ma queue à l’appétit homosexuel d’une personne que je rencontrais pour la première fois. Mon sexe se présenta au garde à vous devant lui, à la fois fier et soumis, car des envies de mon partenaire masculin dépendait entièrement mon plaisir.
Il posa sa main sur la hampe de mon sexe et commença à me branler avec beaucoup de douceur. A cet instant, je pouvais lire dans ses yeux brillants l’excitation qui l’habitait et le poussait à agir ainsi. D’ailleurs, il était tellement excité (il me l’avoua par la suite), qu’il ne pu se retenir longtemps de l’envie de poser sa langue sur mon gland.
Maintenant, ça y est, je suis en train de me faire sucer la queue par un mec que je ne connais pas dans des toilettes publiques alors que n’importe qui peut entrer et nous surprendre. Je réalise enfin un de mes premiers fantasmes homosexuels. Quel pied, Quel pied,….
Je le regardais, je voyais sa langue qui s’affairait tout autour de mon gland, s’attachant à ne pas oublier d’en goûter 1seul mm carré. Et puis, tout d’un coup, il engloutit mon sexe au plus profond de sa gorge, il commençait les mouvements de succion. D’une main, il caressait mes bourses pleines d’un sperme qui ne demandait qu’à sortir, et de l’autre, il continuait toujours ses allers et venues entre mes fesses, en insistant particulièrement sur mon anus. A ce rythme là, c’est sur, je ne saurai plus me retenir longtemps, d’ailleurs, je n’en ai plus envie, je veux jouir, je veux décharger tout mon foutre dans sa bouche, je veux lui montrer tout le plaisir qu’il est en train de me donner. Je me laisse aller, je ne me retiens plus, mais ma jouissance ne vient pas instantanément, et il continue toujours sa fellation. Il accélère ses mouvements de tête, je vois ma queue qui entre et qui sort de sa bouche de plus en plus vite et enfin, cette fois ça y est…
JE VAIS JOUIR, JE VAIS LUI JOUIR DANS LA BOUCHE ;
Je pense qu’il a sentit que j’étais au bord de l’explosion, car à cet instant, son doigt qui se faisait de plus en plus pressant à l’entrée de mon petit trou s’est frayé un passage pour m’investir le colon. Cette sensation est ineffable, la jouissance est intense.
Et enfin, j’éjacule, je sens mon sperme parcourir toute la longueur de ma verge pour aller frapper le fond de sa gorge. A chaque éjaculation, je sens mon anus qui se resserre autour de son doigt, me procurant un tel plaisir qu’il m’est pratiquement impossible de rester droit sans faire de bruit. Je suis plié en deux, vaincu par mon adversaire, vaincu par l’orgasme qu’il vient de me donner et je gémis tellement c’est bon. Il continue ses mouvements de succion pendant encore quelques instants, il enlève son doigt de mon anus et se relève pour me faire face.
-Merci.
Visiblement, il avait avalé tout le sperme que j’avais déchargé dans sa bouche. Il ne dit rien d’autre, m’embrassa sur les lèvres et sorti de la cabine des toilettes en s’assurant que personne ne pouvais le voir. Je ne pu rien dire à ce moment, je suis resté figé en face de lui, et lorsque quelques instants plus tard je suis enfin sortit des toilettes, il avait déjà quitté le bar avec son épouse.
C’était la première fellation que julien m’avait faite. Depuis il y en a eu bien d’autres. J’ai moi aussi eu le plaisir de goûter à sa queue, à son sperme, à son anus. Sa femme est même venue partager nos ébats, apportant par là un peu plus de piments à notre relation.
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