Titre de l'histoire érotique : Une mission pour son assistante

- Par l'auteur HDS Jean-Pierre -
Auteur homme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : Une mission pour son assistante Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-08-2014 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Titre de l'histoire érotique : Une mission pour son assistante
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Un patron, prévint sa fidèle et très intime assistante :

- J'envisage quelque chose de nouveau pour toi demain, tu fileras au comptoir d'Air France, porte Maillot, tu demanderas une enveloppe de ma part au réceptionniste. Inutile de prendre des bagages.

Le lendemain elle se dirigeait vers le comptoir, elle s'était vêtue d'un ensemble de coton léger, plus et d'un simple imper, car c'était le début de l'été et il faisait assez chaud.

Le jeune homme derrière son comptoir, ne fut pas étonné de sa demande : la grosse enveloppe de papier kraft était prête. Excitée, elle put la décacheter, elle en découvrit le contenu : Une petite clé de consigne et deux enveloppes numérotées, et ce petit mot : « A la consigne tu vas retirer le grand sac. Il contient des affaires qui seront plus appropriées. Puis tu remettras tes affaires à l'intérieur et tu replaceras le tout à la consigne n’oublie pas aussi de laisser dans le sac ton imper que tu dois avoir sur toi ».

Elle découvrit dans le sac : Une jupe plissée rouge, très courte, qui lui arrivait à peine en haut de cuisses. Quand elle se regarda de dos, dans la glace des toilettes, elle se sentit nue. Elle découvrit que le moindre mouvement, lorsqu'elle se penchait découvrait ses fesses. Car le petit mot spécifiait bien qu'elle ne devait pas porter de sous-vêtements. En haut, un simple chemisier de soie noire, largement décolleté, transparent au point de voir ses aréoles de seins. Des chaussures noires à hauts talons et c'était tout.

C'est en tremblant qu'elle sortit des toilettes. Elle sentait la pointe de ses seins durcir. Elle réalisa, une sensation de fraîcheur, qu’elle découvrait aussi, le bas de ses fesses charnues aux passagers qui la suivaient.

Elle s'aperçut que les yeux des gens étaient tournés vers elle. Les regards vers ses seins, petits, tendus, à travers le chemisier. Une nouvelle fois, elle sentit ce petit picotement d'excitation au bout de ses mamelons, et son visage prenait une couleur pivoine.

Quand elle passa la porte vitrée, actionnée par un système électronique, le vent s'engouffra sous sa jupe, la soulevant découvrant, ses fesses aux. Elle ne fut pas capable de se contrôler plus longtemps. Elle se mit à courir, serrant son sac contre elle, essayant d'oublier sa jupette qui volait exposant ses charmes les plus intimes.

Ce ne fut que passé le coin de la rue qu'elle calma son rythme, marchant à petits pas, tentant de maintenir sa jupe serrée contre ses cuisses. Elle aperçut un square quasi désert à cette heure, et se réfugia sur un banc, serrant les jambes, son sac devant elle afin de dissimuler un peu de sa poitrine. Elle entreprit alors d'ouvrir l’autre enveloppe.

«Je veux que mon assistante modèle montre ses capacités à devenir une petite pute. Que des inconnues souillent ton corps, que des membres pénètrent ton sexe. Je veux que tu livres ton corps à qui paye. Tu devras rapporter plus de dix mille euros demain matin. Peu importe ce que tu devras faire mais tu ne devras utiliser que les ressources de ton corps. Une chambre t'est réservée tout près d'ici l’adresse est en bas de la page. Le réceptionniste te donnera la clé de la chambre à chaque passe. Tu es libre de l'utiliser ou non. Si tu ne veux pas, tu es libre, retournes à la consigne et rentres chez toi ».

Son cœur battait à tout rompre. Il voulait la prostituer ! Comment pouvait-il imaginer qu'elle accepterait ? Comment pouvait-il être aussi sur qu'elle lui appartenait, et qu'elle l'aimait à ce point ? Elle avait conscience d'être habillée en putain, mais n'avait pas pensé qu'il voulait la faire passer aux actes.

Malgré toute l'angoisse d’une pareille exigence de son maître, elle n'avait pas pensé un seul instant à refuser. Non ! Elle ferait ce que son maître lui demandait.
Elle se leva, et, se dirigea vers son lieu de déchéance. Elle regardait droit devant elle, serrant les jambes. Mais elle ne pouvait pas ne pas sentir, les regards excités pointés sur sa chair.

Il fallait maintenant défiler devant les automobilistes éberlués contemplant cette femme donc chaque pas faisait ballotter un sein et découvrait les fesses généreuses. Les coups de klaxon qui retentirent, finirent d'attirer sur elle à l'orée du bois.

Mais elle n'était pas seule. D'autres filles s'égrenaient le long du trottoir, aguichant les automobilistes circulant à très basse vitesse. Les réverbères éclairaient la scène, les phares des automobiles révélaient successivement des jambes fuselées, et des poitrines provocantes.

S'enfonçant un peu dans le bois, elle passa devant les autres filles, un sourire timide, allant se placer plus loin afin de ne pas leur faire concurrence. Elle savait combien ces filles défendaient leur territoire et pouvaient se montrer agressives.

Elle se tint alors bien droite, sur le bord du trottoir, redoutant, la première voiture qui s'arrêterait. Les voitures ralentirent à sa hauteur, passant lentement, les yeux des conducteurs rivés sur son corps, essayant de pénétrer le tissu pourtant bien mince. Plusieurs fois, une voiture s'arrêta. Elle s'avança alors, essayant d'arborer un sourire aguicheur, mais à chaque fois la voiture redémarra à son approche.

Ses voisines semblaient avoir beaucoup plus de succès qu'elle et au bout de trois quarts d'heures, aucun client ne s'était manifesté, seuls les voyeurs passaient et repassaient devant elle. Les autres filles étaient beaucoup plus charnues elles avançaient des poitrines nettement plus significatives que ses petits seins mais aussi elles se dénudaient beaucoup plus, attirant les hommes.

La fille la plus proche, ne portait qu'une large ceinture de tissu laissant complètement nu ses énormes mamelles, et dégageait un sexe au poil dru, de manière à laisser apparaître ses lèvres longues et charnues. Les autres filles portaient soit un haut, soit un bas, mais toutes exhibaient sans retenue seins ou vulve.

Si elle voulait remplir sa mission elle devait en passer par là. A regret, progressivement, elle écarta les pans de son chemisier pour laisser apparaître un mamelon, puis la pointe d'un sein, puis l'autre. Finalement, elle repoussa les deux pans du vêtement, les coinça dans la ceinture de sa jupe et dégagea complètement ses deux seins qui se mirent alors à durcir et à pointer.

Alors, elle s'avança dans la lumière. La lueur du réverbère sur lequel elle s'appuya éclaira son buste. Le spectacle de ses seins attira immédiatement les automobilistes à la recherche d'un corps à prendre.

Une voiture passa lentement, arrivée à sa hauteur, elle s'arrêta. Le conducteur, un homme d'âge mur. Elle s'approcha corsage ouvert, seins ballottant. Elle était terrorisée mais se forçait à arborer un sourire aguicheur. Tout se passait au ralenti dans sa tête. Elle avança et se pencha vers l'homme. Ses seins se trouvèrent exactement à la hauteur de la fenêtre, pendant, offerts.

- Tu as quelque chose sous ta jupe ?

Sans répondre, sans cesser de regarder l'homme, elle fit glisser sa main le long de sa jupe, et en releva le devant, dégageant son sexe exposant une vulve charnue, épilée, des lèvres longues et bien dessinées, surmontées d'une touffe de poils bruns crépus.

L'homme siffla.

- Superbe ! C'est combien ?

Elle était prise au dépourvu. Tétanisée par l'idée de s'offrir au premier passant qui voudrait d'elle, elle n'avait même pas réfléchi au tarif !

- Mille Euros !

- Tu rigoles ? Pouffiasse ! Mais qu'est-ce que tu crois ? Tu crois que je vais mettre mille Euros pour une vioque comme toi ? Tu t'es vue ?

Il démarra en trombe, la plantant là, nue, au milieu de la rue, dans la lueur des phares des autres voitures. Elle regagna sa place. Comment ferait-elle pour gagner dix mille euros pour demain matin ? Une autre voiture s'arrêtait. A l'intérieur un gros homme, presque chauve. Elle s'approcha de nouveau.

- Combien ?

- Cent euros.

- On va où ?

- J'ai une chambre tout près d'ici…

- C'est d'accord, monte !

Elle était au pied du mur. Elle fut sur le point de tout laisser tomber, de courir reprendre sa vie de petite bourgeoise. Il était encore temps. L'homme conduisait doucement, il la regardait, se demandant s'il faisait une bonne affaire, il lui demanda son nom. Elle n'eut pas la présence d'esprit de donner un autre prénom que le sien. Elle le conduisit jusqu'à l'hôtel. Il la suivit.

Quand elle pénétra dans le hall. Le réceptionniste, un homme à l'aspect peu avenant et mal rasé, considéra cette femme à demi-nue qui s'avançait vers lui, ses longues jambes émergeant de la minijupe plissée, il n'eut aucun doute sur ce qu'elle venait faire.

- Prends ta clé chambre 118 ! Ne fais pas de bruit, il y en a qui dorment !

Ils montèrent l'escalier. Elle sentait dans son dos le regard de l'homme lorgnant ses fesses, ressentant comme une sorte de brûlure sur sa chair. Il pensait qu'il allait se régaler de cette femme qui s'offrait qui pourtant n'avait pas la vulgarité de ses congénères. La porte de la chambre fermait mal. Elle se dit que n'importe qui pourrait les surprendre.

Quand elle se retourna, elle vit que l'homme avait posé les billets sur la table de nuit et se déshabillait. Son ventre énorme pendait sur un sexe rabougri et de taille ridicule. Elle était surprise de la petitesse de ce sexe enfoui dans la graisse.

- Qu’est-ce que tu attends, Déshabille-toi !

L'homme était méfiant, craignant l'embrouille. Elle s'exécuta. Il ne lui fallut pas beaucoup de temps pour ôter le peu de vêtements qu'elle portait. Elle fut rapidement nue devant lui. Il considérait avec une satisfaction gourmande et malsaine ses petits seins pointus et son ventre plat.

- Que désirez-vous ?

- Comment ce que je veux ? Tu me suces bien d'abord et ensuite je te prends ! Et prends ton temps, j'en veux pour mon argent !

Soumise, elle s'agenouilla devant l'homme, mit ses mains sous les testicules poilues, et amena vers sa bouche le petit sexe rabougri. Elle le prit entre deux doigts, et l'introduisit entre ses lèvres. Il semblait grossir un peu. Avec le bout de sa langue, elle essaya de stimuler le gland encore sous la peau du prépuce. Elle suçait ce sexe inconnu sans préservatif. La grosse main de l'homme pesa sur son crâne afin de mieux faire pénétrer le sexe dans sa bouche.

- Qu'est-ce que tu fiches ? Suce !

Bravement, comme une gentille petite soumise, elle se mit à sucer du mieux qu'elle pouvait. Jamais elle n'avait accepté de ses livrer à cette activité répugnante. Même quand son mari lui avait demandé. Peut-être était-ce pour des choses de ce genre qu'il était parti… Le sexe de l'homme grossissait rapidement même s'il ne durcissait pas vraiment.

- C’est bon ! ça vient ! Couche-toi vite.

L'homme était sur le point d'éjaculer. Il la repoussa vivement. Elle n'eut que le temps de s'allonger sur le lit, il était sur elle et la pénétrait difficilement de son sexe mou. Soufflant bruyamment, il s'activait. Ses mains pétrissaient brutalement les seins fragiles de la fille, pinçant les tétons. Il l'écrasait. Elle ne pouvait rien faire que subir.

Heureusement l’épreuve fut de courte durée. Il éjacula bientôt, inondant son sexe d'un liquide épais et odorant. Il s'écarta bientôt d'elle, cherchant à reprendre son souffle. Il la regarda, à la fois repu et honteux. Elle était restée allongée, les cuisses écartées, le sexe gluant de sperme. Il s'habilla rapidement, sans un mot.

- C'était bien, vous avez eu du plaisir ?

- Oui ! Mais tu aurais pu prendre ton temps, tu m'as fait éjaculer tout de suite. Vous êtes toutes les mêmes.

Il était déjà habillé. Il lui glissa un au revoir et quitta la chambre. Elle se leva doucement. Ses seins écrasés et malmenés lui faisaient mal. Elle alla se laver, rangea les billets dans son sac, se rhabilla et emprunta l'escalier.

Le réceptionniste la regardait descendre lorgnant sur ses jambes, un sourire ironique et graveleux sur les lèvres.

- Vous auriez des préservatifs, s'il vous plait ?

- Il serait temps d'y penser, voici une boite, mais, il faut me rendre la clé de la chambre avant de partir !

Quand elle quitta l'hôtel, elle se sentait souillée, avilie. Comment avait-elle pu tomber si bas. Elle repartit au travail, bravement. Quand elle parvint à son poste, il y avait encore plus de filles et plus de voitures. Sa place étant prise, elle se mit un peu plus loin, cette fois directement dans la lumière. Elle s'appuya sur un arbre, ouvrit son chemisier, exposa ses seins.

Une voiture s'arrêta aussitôt. A l'intérieur, un noir d'une quarantaine d'années. C'est lorsqu'elle fut dans la voiture qu'elle se rendit compte à quel point il était grand et musclé. En même temps qu'il conduisait, sa grosse main alla s'enfouir sous sa minijupe. Il émit un grognement de satisfaction quand il constata qu'elle n'avait pas de culotte et que son sexe était exempt de tout poil, prêt à la pénétration.

Elle n'osait pas repousser cette main elle sentit bientôt un doigt fort qui pénétrait sa chatte sans ménagement, il était pressé de la prendre. De même, dans l'escalier qui menait à sa chambre, il ne put s'empêcher de soulever complètement sa minijupe, dégageant ses fesses rebondies, et les prenant chacune dans ses mains. Le réceptionniste, qui suivait la scène, émit un petit rire.

A peine dans la chambre, l'homme la déshabilla lui-même. Une fois complètement nue, elle se mit à genoux devant lui pendant qu'il se déshabillait à son tour. Quand il retira son caleçon, ses yeux s'exorbitèrent. Sa queue noire était énorme, la peau parcourue de veines tendue à se rompre. Le gland rose, émergeait de lui-même, attendant qu’elle le suce. Celle-ci entreprit alors de l'enfouir entre ses lèvres. Sa bouche peinait à absorber la queue de l'homme. Elle dut l'ouvrir au maximum pour l'enfourner, le membre alla heurter le fond de sa gorge.

L'homme y prenait un plaisir évident et le mouvement de va et vient s'accéléra, défonçant la bouche de la fille qui avait du mal à respirer. Il tenait sa tête à deux mains contre son sexe. Aussi rapide que soudain, un flot de sperme jaillit, inondant la bouche de la fille, pénétrant sa gorge. Elle sentit aussitôt le liquide visqueux de cet étranger courir vers l'intérieur de son corps.

- Allez ! Avale !

Elle entreprit de déglutir, absorbant les jets successifs de sperme. Elle le sentait s'écouler le long de son œsophage, courir vers son estomac… Il se retira enfin d'elle, satisfait. Un bon sourire illuminait son visage.

- Tu es une bonne petite suceuse blanche !

La fille finissait de déglutir, reprenant son souffle.

- Redresse-toi. Fais voir comme tu es belle ! Tu es nouvelle toi ? Je ne t'ai jamais vue !

- Oui, monsieur. Dit la fille. C'est la première fois.

- La première fois ! Alors ! J'inaugure ?

Au fur et à mesure qu'il parlait, son membre redevenait dur. Elle n'en croyait pas ses yeux. Ce membre monstrueux était de nouveau prêt. L'homme retourna alors la fille pour la prendre à nouveau, son calvaire n'était pas fini. Il la cambra sur le lit. Du doigt, il repéra l'orifice qui l'intéressa. Elle comprit de quelle manière il voulait la prendre. Elle s'affola non seulement à l'idée d'être sodomisée car jamais elle n'avait été prise de cette manière mais aussi à la pensée de la taille énorme du membre de l'homme. Elle supplia :

- Je vous en prie ! Pas comme ça ! Je vous en prie !

- Qu'est-ce que tu as petite blanche ? Tu ne sais pas ce que tu veux ! Tu te trimbales à poil dans la rue, tu as accepté mon argent. Maintenant, il te faut subir. Ma queue te fait l'honneur de te pénétrer. Tu peux en être fière. Il y en a peu comme ça.

- S'il vous plaît ! Mettez au moins le préservatif…

- Ok ! Donne !

Il tenta d'enfiler le mince voile. Mais la taille de son sexe le tendait au maximum. Il n'eut pas le temps de le poser jusqu'au bout, que déjà il se rompait.

- Il est trop juste ! Tant pis !

L'énorme engin buta contre sa frêle rosette encore vierge de cet orifice, la fille hurla. L'homme s'acharna, excité au maximum par la beauté de la fille, son élégance naturelle mise en valeur par la position courbée et offerte qu'il lui imposait, par ses gémissements aussi. D'une ruade, il la força. Pénétrant d'un seul coup, s'enfonçant jusqu'à la garde. Elle hurla de plus belle, vrillée par la douleur, se sentant abîmée, déchirée dans sa chair. On tambourina à la porte. C'était le réceptionniste :

- Tu as bientôt fini de beugler comme ça. Continue et je te fous dehors !

Elle sanglotait avant même que l'homme ne se retire. Il avait l'air satisfait de lui, et d'elle aussi. La brute se montra soudain plus calme. Peut-être enfin conscient de la douleur infligée à cette fille, même si ce n'était qu'une petite pute. Il lui caressa
la joue pour sécher ses larmes :

- Il faut que tu arrêtes de te prostituer. Tu n'es pas faite pour ça. Tu es trop délicate.

Il se rhabilla rapidement, attendit qu'elle-même se fût apprêtée et la raccompagna dans le bois. Quand il s'arrêta devant l'emplacement où il l'avait cueillie, Elle fut sur le point de se confier, de lui demander de l'emmener, de la sortir de cet enfer. Mais il ne lui en laissa pas l'occasion et elle se retrouva seule, nue, exposée aux voitures qui convergeaient vers elle.

La nuit s'avançait et elle n'avait gagné en tout et pour tout que deux mille euros. Et au prix de quelles souffrances ! Elle décida alors de se faire besogner en voiture ou dans le bois, car les trajets pour l’hôtel lui faisaient perdre du temps, mais aussi parce qu'elle se sentirait moins isolée et moins vulnérable en restant dans les parages.

Elle demanda donc à son prochain client de la conduire à l'écart sur un parking, où, pour le même prix, elle s'offrit à lui. Ejaculateur précoce, il explosa dans sa bouche et ne put la pénétrer. Il maugréa, parla de récupérer son argent, mais finalement ne fit pas d'histoire, la raccompagna et partit.

Puis les hommes assoiffés de cette fille qui ne ressemblait pas aux autres se succédèrent. Elle était, une machine, qui avait perdu conscience de ce qu'elle faisait. Comme ses voisines, elle ne prit bientôt même plus la peine de se rhabiller et c'est intégralement nue, vêtue de son seul sac qu’elle tapinait.

Elle arpenta l'avenue, offrant son corps à la lueur des phares, laissant les passagers des voitures détailler ses seins et son sexe, lui lancer des plaisanteries ou des commentaires humiliants sur ses attributs, proposant ses services à des hommes avinés, montant sans réticences dans la première voiture venue, suçant la première queue qui se présentait, offrant son ventre au fond d'une voiture.

Par deux fois, elle partit avec plusieurs clients à la fois. Ils la sodomisèrent à tour de rôle. Elle ne dit rien, se prêtant à leurs caprices, subissant tous les outrages, du moment qu'ils payaient. Vers trois heures du matin, elle avait presque réuni la somme que son patron lui avait assignée. Un homme s'était approché d'elle. Elle s'avança vers lui, arborant un sourire aguicheur :

- Je t'emmène ? Je te suce bien. Regarde !

Prenant la main de l'homme, elle la guida vers son sexe pour lui faire sentir des doigts la douceur de ses lèvres longues et fines. L'homme se laissait faire, lorgnant les seins pointus de la fille, prêt à céder à la sollicitation.

Soudain il se dégagea, repoussant ses appâts il s'éloignant à grands pas. A peine s'éloignait-il que la fille entendit un bruit de pas rapides derrière elle et se sentit saisie, les bras plaqués dans le dos. Trois policiers l'entouraient, deux hommes, dont un qui la maintenait, et une femme.

Elle jeta un coup d'œil alentour, toutes les filles avaient disparu, les voitures soudain se faisaient rares, et passaient rapidement. Moins aguerrie que ses collègues, elles ne les avaient pas vus venir. Le faisceau d'une torche se braqua sur son visage :

- Tu es nouvelle toi ? On ne t'a jamais vu par ici !

Le faisceau descendit, éclairant sa poitrine dénudée, puis son ventre plat, puis son sexe nu et offert. Elle essayait de se dégager, mais l'homme qui la tenait la secoua pour modérer toute velléité de fuite.

- Pas mal ! Mais tu n'es pas toute jeune pour faire ça ! Vocation tardive ?

Elle était paralysée. Le monde s'écroulait sur elle ! Sa déchéance allait être publique. Ses proches allaient être informés. Tous allaient apprendre que la nuit, elle faisait la pute au bois, se promenant nue entre les voitures….Jamais elle ne le supporterait.

- Allez, on l'embarque ! Passe-lui les bracelets.

Un claquement sec retentit, ses mains étaient bloquées dans son dos, dégageant sa poitrine, avançant ses petits seins. Elle n'avait même pas eu le temps d'enfiler son chemisier. C'est une femme nue qui monta dans le car de police. La suite se déroula comme un cauchemar. L'interrogatoire, la photo dans le plus simple appareil, l'enfermement, l'homme à moitié ivre qui vint la rejoindre et les attouchements qu'elle dut subir. Puis, le commissaire qui vint la libérer :

- Tu as de la chance ! Ton patron nous a demandé de te faire sortir. Allez, file !

Il m'attendait à la porte de commissariat. Il m'a réchauffée d'une couverture et m'a raccompagnée. Devant chez moi il m'a embrassé puis demandé de montrer ce que j'avais gagné : Neuf mille deux cents !

- Dommage, tu t'étais bien débrouillée et presque atteint ton objectif 10.000 euros. Garde l'argent pour toi. Allez c’est bien, disons que tu as réussi.

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