Titre de l'histoire érotique : Une rencontre à mon travail
Récit érotique écrit par Jean-Pierre [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 146 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.4 • Cote moyenne attribuée par HDS : 8.5
- • L'ensemble des récits érotiques de Jean-Pierre ont reçu un total de 4 435 363 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-04-2010 dans la catégorie A dormir debout
Cette histoire de sexe a été affichée 15 969 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Titre de l'histoire érotique : Une rencontre à mon travail
Une rencontre à mon travail
Je suis Patrick je travaille comme barman dans un petit bistro de Paris. Un jour de décembre une jeune fille est arrivé toute tristounette complètement frigorifiée, il est 22 heures, elle prend place à une table, ouvre son sac et regarde son porte monnaie, je viens la voir pour prendre sa commande :
- Vous désirez mademoiselle ?
- Je voudrais manger quelque chose, mais je n’ai pas beaucoup d’argent.
Elle étale sa monnaie sur la table, je lui dis alors :
- Le cuisinier est parti, pour ce que vous avez comme argent, je peu vous faire un croque monsieur, et vous servir un thé.
- Oui je veux bien un croque monsieur et un thé.
Je lui prépare sa commande rapidement ce soir-là le bistro est presque désert.
- Bon appétit mademoiselle, quel est votre prénom ?
- Je m’appelle Sylvie.
- Moi c’est Patrick ! Bonne appétit.
Je retourne à mes activitées, en regardant de temps en temps cette jeune fille, très jolie, très mignonne mais vraiment triste, il est rare de voir une jeune fille venir seule surtout à une heure aussi tardive.
Il est maintenant 23heure 30, La petite Sylvie est toujours à sa table, il reste juste une bouché dans son assiette, je vais la voir et lui dit :
- Nous allons bientôt fermer Sylvie il va falloir rentrer chez vous.
Elle se met alors à pleurer, j’ai beaucoup de mal à la consoler, elle fini par me dire :
- Je ne sais pas où aller, je partager une chambre chez une copine, mais elle m’a mise dehors, car elle a rencontré un copain et ne veux plus de moi chez elle.
- Attendez, je reviens.
Je vais voir le patron et lui explique la situation, il me dit alors que je peux rentrer chez moi il n’y a presque personne et il fera la fermeture du bistro seul. J’ai un patron extra, d’une très grande gentillesse, il met même les restes des clients dans des bidons d’alimentation, et il les donne à des SDF pour nourrir leur compagnon de route. Je retourne voir la jeune fille et je lui dis :
- Si vous voulez, pour ce soir vous pouvez dormir chez moi.
- Mais et votre femme que va-t-elle dire ?
- Je ne suis pas marié, je vie seul, juste un petit studio sous les toits.
Nous partons ensemble, je lui dis de me prendre le bras, pour se réchauffer, elle n’a qu’une toute petite valise, je la rassure, et lui dit que pour une nuit nous allons nous arranger.
Je lui laisse le lit, elle refuse d’abord et accepte, pendant la nuit je l’entends grelotter de froid, c’est vrais en hiver sous les toits il fait un froid de canard, et en été c’est un vrai four. Je m’installe donc à ses cotés sur le lit, et elle se blotti au creux de mon épaule, elle me serre très fort la taille.
Elle sent bon, elle tremble, comme une enfant qui a peur, je lui prends aussi la taille pour dormir. A 7 heures le réveil sonne, elle dort profondément, je me lève très doucement, mais elle se réveil, comme il faisait froid, elle avait gardé presque tout ses vêtements. Nous sortons ensemble. Nous allons au bistro, et nous prenons notre petit déjeuner, je lui confie les clefs de mon appartement, et lui dit :
- A ce soir ! Vous pouvez revenir le temps de retrouver une chambre.
- Merci, vous être vraiment très gentil.
Le temps a passé et cela fait deux ans que nous vivons ensemble. Sylvie a trouvé un travail dans la vente, c’est merveilleux, elle est devenu maintenant ma petite amie.
Il fait très chaud, c’est le mois d’aout, J’arrive à mon appartement, mais tu es en train de dormir. Je rentre tout doucement pour ne pas te réveiller, et je m’assoie au bord du lit. J’aime beaucoup te regarder, mes yeux parcourent ton corps et s’attardent sur certaines zones que la chaleur dans l’appartement ta poussé à dénuder.
J’observe tes seins, dont les pointes sont dressées, et je pense que tu es en plein rêve érotique, à la façon dont tu respires, avec des petits soupirs qui s’échappent de tes lèvres. Tu repousses la couette vers le bas, découvrant la toison brune de ton sexe. Cela me procure une vive sensation, et je dois me retenir pour ne pas l’effleurer. Je me relève pour me déshabiller, puis je vais prendre une bonne douche. En sortant de la cabine, tu ne t’es même pas réveillée, tu es maintenant sur le ventre, et tes jambes sont un peu écartées, révélant discrètement les lèvres de ton sexe.
Je m’essuie brièvement puis viens me rasseoir sur le lit près de toi. Cette fois, je laisse aller ma main sur tes jambes, je caresse l’intérieur de tes cuisses, je les effleure, avant de m’aventurer plus haut pour caresser ta bouche. Ta réaction me surprend, tu écartes un peu plus les cuisses, comme si tu voulais me laisser l’accès à ton trésor, pour te donner plus de plaisir.
Je suis ton invitation, et glisse un de mes doigts entre les lèvres de ton sexe, et constate avec malice qu’elles sont humides. Je fais aller et venir mon doigt quelques instants, avant de remonter de façon plus prononcée sur ton clitoris. L’effet est immédiat, tu gémis en relevant une de tes cuisses, ce qui accentue ta cambrure et me laisse accès à ta chatte qui est maintenant très mouillée. Je suis très excité par la situation, et mon sexe est droit et très dur.
Je vois alors que tu es complètement trempée, et je prends un grand plaisir à porter mon doigt à ma bouche, goûtant ton excitation. Je glisse mes doigts à l’intérieur de ton sexe, ma queue est toute gonflée de désir et de plaisir. Je commence à te lécher, et je suis vite trempé par ton excitation qui coule de ta chatte. Je lèche en faisant tournoyer ma langue autour de ton clitoris, aspirant tes lèvres. Tu trésailles de plaisir à chaque fois que je passe sur ton clito.
J’ai dû mal à croire que tu dors encore, alors j’arrête mes caresses et je retire ma tête. Tu ne bouges pas, tu fais toujours semblant de dormir. Je sais que tu ne dors pas, je te connais trop bien, mais je décide d’entrer dans ton jeu. Je te retourne doucement, feignant de croire que tu dors, et tu te retrouves sur le dos, les seins tout gonflés, tes cuisses trempé par ton sexe et par ma salive.
Tout en continuant à te caresser, je frotte doucement le bout de mon sexe sur tes lèvres entrouvertes. Je vois un sourire de malice passer rapidement sur ton visage, mais tu ne bouges pas et tu te laisses faire. Ma main droite te caresse, sur ton clito, ce qui te fait pousser un soupir et entrouvrir ta bouche. J’en profite pour glisser le bout de mon sexe à l’intérieur.
Tu ne bouges toujours pas, ta bouche est refermée sur ma queue dure et gonflée. J’abandonne alors ta chatte quelques instant pour caresser tes seins. Tu ne dis toujours rien alors j’accentue un peu les mouvements en pénétrant plus profond dans ta bouche. Mon plaisir grandit vite, la situation est excitante ! Je sais maintenant pertinemment que tu es éveillée, mais je trouve la situation super !
Je recommence mes caresses avec ma main droite, je ne m’étais pas trompé, tu es encore plus mouillée que tout à l’heure, et tu réagis à chacun des passages de mes doigts sur ton clito en gémissant de plus en plus fort. Je connais ton corps depuis deux ans, et je sens que tu ne vas pas tarder à jouir. Je modifie alors les mouvements de ma main, qui se font plus précis. Tu gémis tellement fort qu’à un moment mon sexe s’échappe de ta bouche.
Je l’introduis à nouveau et je sens tes lèvres se refermer discrètement dessus, ce qui m’excite d’avantage ! Mon bassin fait des mouvements de plus en plus rapides à mesure que ma main accélère tes gémissements s’intensifient. D’un seul coup ton orgasme arrive, dévastateur, et je ne peux résister plus longtemps, je sens mon sexe se gonfler et se tendre et j’ai l’impression qu’il va exploser dans ta bouche, le premier jet de sperme va jaillir, je recule un peu pour le sortir de ta bouche.
Tu gardes ta bouche ouverte pour hurler ton plaisir, le mien est à son terme et je crie alors que mon sperme jaillit en inondant ta bouche, tes lèvres, et ta joue. Je continue doucement le mouvement de ma main pour poursuivre ton orgasme, puis introduit à nouveau mon sexe dans ta bouche pour prolonger aussi le mien.
Et là tu ouvres les yeux avec un grand sourire malicieux, et nous nous serrons l’un contre l’autre, épuisés par notre plaisir, et tu me dis grande coquine :
- Tient ! Tu es là ?
Je suis Patrick je travaille comme barman dans un petit bistro de Paris. Un jour de décembre une jeune fille est arrivé toute tristounette complètement frigorifiée, il est 22 heures, elle prend place à une table, ouvre son sac et regarde son porte monnaie, je viens la voir pour prendre sa commande :
- Vous désirez mademoiselle ?
- Je voudrais manger quelque chose, mais je n’ai pas beaucoup d’argent.
Elle étale sa monnaie sur la table, je lui dis alors :
- Le cuisinier est parti, pour ce que vous avez comme argent, je peu vous faire un croque monsieur, et vous servir un thé.
- Oui je veux bien un croque monsieur et un thé.
Je lui prépare sa commande rapidement ce soir-là le bistro est presque désert.
- Bon appétit mademoiselle, quel est votre prénom ?
- Je m’appelle Sylvie.
- Moi c’est Patrick ! Bonne appétit.
Je retourne à mes activitées, en regardant de temps en temps cette jeune fille, très jolie, très mignonne mais vraiment triste, il est rare de voir une jeune fille venir seule surtout à une heure aussi tardive.
Il est maintenant 23heure 30, La petite Sylvie est toujours à sa table, il reste juste une bouché dans son assiette, je vais la voir et lui dit :
- Nous allons bientôt fermer Sylvie il va falloir rentrer chez vous.
Elle se met alors à pleurer, j’ai beaucoup de mal à la consoler, elle fini par me dire :
- Je ne sais pas où aller, je partager une chambre chez une copine, mais elle m’a mise dehors, car elle a rencontré un copain et ne veux plus de moi chez elle.
- Attendez, je reviens.
Je vais voir le patron et lui explique la situation, il me dit alors que je peux rentrer chez moi il n’y a presque personne et il fera la fermeture du bistro seul. J’ai un patron extra, d’une très grande gentillesse, il met même les restes des clients dans des bidons d’alimentation, et il les donne à des SDF pour nourrir leur compagnon de route. Je retourne voir la jeune fille et je lui dis :
- Si vous voulez, pour ce soir vous pouvez dormir chez moi.
- Mais et votre femme que va-t-elle dire ?
- Je ne suis pas marié, je vie seul, juste un petit studio sous les toits.
Nous partons ensemble, je lui dis de me prendre le bras, pour se réchauffer, elle n’a qu’une toute petite valise, je la rassure, et lui dit que pour une nuit nous allons nous arranger.
Je lui laisse le lit, elle refuse d’abord et accepte, pendant la nuit je l’entends grelotter de froid, c’est vrais en hiver sous les toits il fait un froid de canard, et en été c’est un vrai four. Je m’installe donc à ses cotés sur le lit, et elle se blotti au creux de mon épaule, elle me serre très fort la taille.
Elle sent bon, elle tremble, comme une enfant qui a peur, je lui prends aussi la taille pour dormir. A 7 heures le réveil sonne, elle dort profondément, je me lève très doucement, mais elle se réveil, comme il faisait froid, elle avait gardé presque tout ses vêtements. Nous sortons ensemble. Nous allons au bistro, et nous prenons notre petit déjeuner, je lui confie les clefs de mon appartement, et lui dit :
- A ce soir ! Vous pouvez revenir le temps de retrouver une chambre.
- Merci, vous être vraiment très gentil.
Le temps a passé et cela fait deux ans que nous vivons ensemble. Sylvie a trouvé un travail dans la vente, c’est merveilleux, elle est devenu maintenant ma petite amie.
Il fait très chaud, c’est le mois d’aout, J’arrive à mon appartement, mais tu es en train de dormir. Je rentre tout doucement pour ne pas te réveiller, et je m’assoie au bord du lit. J’aime beaucoup te regarder, mes yeux parcourent ton corps et s’attardent sur certaines zones que la chaleur dans l’appartement ta poussé à dénuder.
J’observe tes seins, dont les pointes sont dressées, et je pense que tu es en plein rêve érotique, à la façon dont tu respires, avec des petits soupirs qui s’échappent de tes lèvres. Tu repousses la couette vers le bas, découvrant la toison brune de ton sexe. Cela me procure une vive sensation, et je dois me retenir pour ne pas l’effleurer. Je me relève pour me déshabiller, puis je vais prendre une bonne douche. En sortant de la cabine, tu ne t’es même pas réveillée, tu es maintenant sur le ventre, et tes jambes sont un peu écartées, révélant discrètement les lèvres de ton sexe.
Je m’essuie brièvement puis viens me rasseoir sur le lit près de toi. Cette fois, je laisse aller ma main sur tes jambes, je caresse l’intérieur de tes cuisses, je les effleure, avant de m’aventurer plus haut pour caresser ta bouche. Ta réaction me surprend, tu écartes un peu plus les cuisses, comme si tu voulais me laisser l’accès à ton trésor, pour te donner plus de plaisir.
Je suis ton invitation, et glisse un de mes doigts entre les lèvres de ton sexe, et constate avec malice qu’elles sont humides. Je fais aller et venir mon doigt quelques instants, avant de remonter de façon plus prononcée sur ton clitoris. L’effet est immédiat, tu gémis en relevant une de tes cuisses, ce qui accentue ta cambrure et me laisse accès à ta chatte qui est maintenant très mouillée. Je suis très excité par la situation, et mon sexe est droit et très dur.
Je vois alors que tu es complètement trempée, et je prends un grand plaisir à porter mon doigt à ma bouche, goûtant ton excitation. Je glisse mes doigts à l’intérieur de ton sexe, ma queue est toute gonflée de désir et de plaisir. Je commence à te lécher, et je suis vite trempé par ton excitation qui coule de ta chatte. Je lèche en faisant tournoyer ma langue autour de ton clitoris, aspirant tes lèvres. Tu trésailles de plaisir à chaque fois que je passe sur ton clito.
J’ai dû mal à croire que tu dors encore, alors j’arrête mes caresses et je retire ma tête. Tu ne bouges pas, tu fais toujours semblant de dormir. Je sais que tu ne dors pas, je te connais trop bien, mais je décide d’entrer dans ton jeu. Je te retourne doucement, feignant de croire que tu dors, et tu te retrouves sur le dos, les seins tout gonflés, tes cuisses trempé par ton sexe et par ma salive.
Tout en continuant à te caresser, je frotte doucement le bout de mon sexe sur tes lèvres entrouvertes. Je vois un sourire de malice passer rapidement sur ton visage, mais tu ne bouges pas et tu te laisses faire. Ma main droite te caresse, sur ton clito, ce qui te fait pousser un soupir et entrouvrir ta bouche. J’en profite pour glisser le bout de mon sexe à l’intérieur.
Tu ne bouges toujours pas, ta bouche est refermée sur ma queue dure et gonflée. J’abandonne alors ta chatte quelques instant pour caresser tes seins. Tu ne dis toujours rien alors j’accentue un peu les mouvements en pénétrant plus profond dans ta bouche. Mon plaisir grandit vite, la situation est excitante ! Je sais maintenant pertinemment que tu es éveillée, mais je trouve la situation super !
Je recommence mes caresses avec ma main droite, je ne m’étais pas trompé, tu es encore plus mouillée que tout à l’heure, et tu réagis à chacun des passages de mes doigts sur ton clito en gémissant de plus en plus fort. Je connais ton corps depuis deux ans, et je sens que tu ne vas pas tarder à jouir. Je modifie alors les mouvements de ma main, qui se font plus précis. Tu gémis tellement fort qu’à un moment mon sexe s’échappe de ta bouche.
Je l’introduis à nouveau et je sens tes lèvres se refermer discrètement dessus, ce qui m’excite d’avantage ! Mon bassin fait des mouvements de plus en plus rapides à mesure que ma main accélère tes gémissements s’intensifient. D’un seul coup ton orgasme arrive, dévastateur, et je ne peux résister plus longtemps, je sens mon sexe se gonfler et se tendre et j’ai l’impression qu’il va exploser dans ta bouche, le premier jet de sperme va jaillir, je recule un peu pour le sortir de ta bouche.
Tu gardes ta bouche ouverte pour hurler ton plaisir, le mien est à son terme et je crie alors que mon sperme jaillit en inondant ta bouche, tes lèvres, et ta joue. Je continue doucement le mouvement de ma main pour poursuivre ton orgasme, puis introduit à nouveau mon sexe dans ta bouche pour prolonger aussi le mien.
Et là tu ouvres les yeux avec un grand sourire malicieux, et nous nous serrons l’un contre l’autre, épuisés par notre plaisir, et tu me dis grande coquine :
- Tient ! Tu es là ?
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Jean-Pierre
1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
c'est magnifique :)
et j'adore les fins de vos histoires
et j'adore les fins de vos histoires