Titre de l'histoire érotique : Une tranche de vie 14
Récit érotique écrit par Maceron [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-08-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Titre de l'histoire érotique : Une tranche de vie 14
Au club + Bain de minuit – AL raconte
Samedi 22 aout 1981
Naturellement chez les amis, nous étions en retard. Nous étions une douzaine. Nous saluons tout le monde, avec la bise classique aux femmes et une poignet de main aux hommes. Comme à l’habitude, l’apéritif se prend debout, ce qui permet aux invités de se regrouper par petits groupes et de tourner d’un groupe à l’autre. Enfin le dîner est annoncé et tout le monde se met à table. Le repas fut agréable, chacun y allant d’anecdotes, de blagues du temps ou nous étions en France ou autres lieux pour certains. Nous étions jeunes, plein de vie, d’espoir et l’avenir ne nous souciait pas trop. Le dîner terminé tout le monde prit la direction du club de nuit ou nous devions retrouver certains de la bande dont B et Véro.
En fait ils n’avaient pas pu venir étant invité ailleurs pour un dîner qui avait de fortes chances de se terminer tard. J’étais relativement dépitée, pensant que B aurait pu nous, enfin me prévenir. Je pense que Jean s’aperçut de cette contrariété et après avoir salué tout le monde, il m’invita à danser et après quelques slows bien collés et très frottants et ce que nous avions fait avant le dîner, je commençais à m’échauffer et je senti qu’il en était de même de Jean.
À un moment j’étais tellement excitée que j’avais failli accepter la proposition de Jean de se rendre sur le parking pour y baiser. Cependant, je m’étais rattrapée à temps en lui disant que j’avais passé l’âge de faire ce genre d’exercice en plein air et qu’il y avait certainement des filles autour du club qui se prêtaient volontiers à ce genre de sport. Vers minuit nous avons quitté le club et prenions la voiture pour rentrer. En sortant du parking je dis à Jean de prendre à gauche vers la plage.
Jean : « On va à la plage ? »
Al : « Oui, à moins que tu préfères rentrer à la maison ? »
Jean : Non, mais je suis surpris. Un bain de minuit. Tu as amené un maillot ? »
Al : « Non pas de maillot, tu n’est pas tenté. Penser à l’expérience de la dernière fois m’a excité, j’aimerais recommencer »
Jean : « Je t’adore »
Il mit sa main sur ma cuisse et commença à me caresser et à remonter lentement je le laissais faire et me dit : « Tu pourrais remonter ta jupe. » Je la remontais et j’écartais légèrement les cuisses pour le laisser s’approcher de ma chatte, sans qu’il puisse encore y accéder. Pendant qu’il me caressait, en mettant la main sur son entrejambe, je constatais que la bosse était bien là, et je lui en fis compliment. Nous arrivions à la hutte. Nous sommes descendu, et y sommes allés directement. A peine arrivée la fermeture éclair ouverte j’étais entièrement nue et Jean était collé contre mon dos. J’avais mes mains sur ces mains qui malaxaient mes seins, puis descendirent sur mon ventre enfin il glissa une main entre mes cuisses que j’écartais de façon à lui donner un accès facile à mon intimité. Je me penchais en avant, il en profita pour m’enfoncer deux doigts dans ma chatte alors que le pouce titillait mon petit trou. Il ressorti ses doigts trempés de ma mouille pour humidifier mon petit trou. Recommençant plusieurs fois son manège pour enfin en s’enfonçant dans mon minou s’enfoncer également dans ma rosette. Je manifestais assez bruyamment mon plaisir ce qui excitait Jean et le confortait dans son action. Je le suppliais, de me prendre, je voulais sentir ses va et vient en moi, mais il me dit : » Avant je veux que tu me suces ». Je me mettais à genoux et le pris en bouche, au bout de quelques aller et retour je lui demandais « Tu veux prendre ma bouche »
« Non pas maintenant, mais suces moi bien et fais toi plaisir ». Il savait que le suçant j’aimais bien me caresser et me pénétrer. Ce que je fis.
Je commençais à n’être qu’une envie, qu’il me prenne ce qu’il voulait, mais qu’il me prenne. Je quittais sa queue qui avait bien durci et je lui dit « Prends moi, vite, je te veux, viens, prends moi comme ça » Je le suppliais, de me prendre, je voulais sentir ses va et vient en moi. « Tu veux que je te prennes en levrette »
« Oui, j’ai envie de toi, montes moi dessus, je veux te sentir me monter » Il se laissa tomber derrière moi, parcouru avec son sexe le sillon de mes fesses pour enfin venir se présenter dans ma moule ouverte et ruisselante. Je le prenais et le guidais en moi. Enfin mon chaud fourreau était plein de lui et l’accueillait enfin. Me tenant par les hanches il commença à me travailler « à m’astiquer le minou » comme il disait quelque fois. La pression montait, quand tout à coup, il sortit de moi. « Non, non, continues, ne t’arrêtes » En fait il remonta le long du sillon de mes fesses et il me dit :
« écartes tes fesses, je veux prendre ton cul »
AL : « Non, pas maintenant, continues dans ma chatte »
Jean : « J’en ai envie, ouvres toi »
Tout à coup j’en ai eu envie. J’écartais mes fesses et les ouvris, il se présenta sur mon petit trou et m’ayant préparé avant avec son pouce il commença à s’enfoncer lentement, et fermement jusqu’à ce que je m’ouvre et l’accueil complètement. Il se mit à me ramoner régulièrement, je sentais le plaisir monter. Je glissais ma main droite entre mes cuisses dans mon minou et je me masturbais suivant le rythme imposé par mon mari.
Jean : « Je sens que ça vient » et il continua à me ramoner quelques secondes encore et explosa pendant que mes doigts se trempaient de cyprine. Et que le cri que je poussais exprimait ma jouissance, en espérant qu’il n’y ait personne dans les environs. Faute de quoi, ils n’auraient pas besoin de dessin pour deviner sur ce qui ce passait dans cette cabane.
Je me laissais aller au sol, Jean s’écroula sur moi et il me prit la main et se mit à sucer, lécher mes doigts qui sortant de ma moule étaient plein de cyprine, ce qui me fit couler de plaisir, j’avais encore l’impression de lui faire l’amour. Cela faisait longtemps que nous n’avions pas baisé avec cette intensité. J’en avais les jambes flageolantes et je devais me coller à lui pour me relever et rester debout, ce qui était très agréable sentant entre autres, son sexe encore contre mon ventre mes seins s’écrasant sur sa poitrine et ses mains me caressant les fesses.
Je lui dis : « Ça fait longtemps que tu ne m’a pas fait l’amour comme ça. Je t’adore. »
Il m’a pris par la main et sommes allés plonger dans l’océan et nager quelque temps. L’eau était agréable et nous avons barboté comme des gamins et avons décidé de rentrer en nous chahutant, on se poussait on s’arrosait comme des gamins. Arrivant au bord de la plage, mais encore dans l’eau, je tombais dans l’eau, Jean vint sur moi et me dit :
Jean : « Je t’aime »
AL : « Moi aussi, je t’aime, même plus »
Alors je sentis sa trique contre ma cuisse,
AL : « t’as envie »
Jean : « Oui, et toi »
AL: « Viens » Je le pris et le dirigeais en moi pour qu’il me prenne. Il commença son va et vient, rapidement et tout d’un coup je sentis que j’allais jouir, je me cambrais pour qu’il me prenne entièrement et complètement, il se vida. C’était bon, ce n’était pas l’explosion de toute à l’heure, mais une jouissance amoureuse, qui vous prenait les sens.
Jean m’aida à me relever et on se dirigea vers la voiture. Je n’avais pas le courage de me rhabiller, je m’enveloppais vaguement dans ma robe, Jean passa un pantalon, espérant qu’on ne rencontre pas de flics.
Nous sommes rentrés tranquillement à la maison, un peu fatigué par cette soirée pleine d’imprévues.
Le dimanche le temps était maussade nous sommes restés à la maison. Jean avait de la paperasse à faire et moi des copies à corriger.
Une visite impromptue - Jean raconte
Jeudi 27 aout 1981
J’étais au bureau en train de bouffer de la paperasse quand ma secrétaire après avoir frappé à la porte entra pour me dire : « Chef Madame Véro veut vous voir »
« Fais la rentrer »
Effectivement l’élégante Véro entra vêtue d’un joli corsage très sage rose et d’une jupe jean trapèze arrivant au niveau des genoux et qui se fermait par de gros boutons blancs L ‘ensemble était agréable à voir et faisait très femme d’affaire élégante. De plus elle tenait à la main un porte document.
Pendant ce rapide coup d’œil, je me levais pour la saluer. Véro suivit des yeux le départ de ma secrétaire. Celle-ci disparut elle vint se coller à moi « Ca fait presque trois semaines que je ne t’ai pas vu »
« J’étais un déplacement au siège et ça a duré plus que prévu »
« Tu aurais pu passer au magasin en arrivant »
Alors je lui dit en rigolant :
« Ou, et on aurait pu avoir ce dialogue avec ta secrétaire : Bonjour je veux voir Madame Vero »
« Oui, c’est à quel sujet ? »
« Je viens juste pour lui brouter le minou. »
et elle m’aurait réponds, « Madame Véro est occupée, mais je peux la remplacer »
Véro : » Tu es un goujat »
Moi : « C’est pour ça que tu m’as choisi. »
Pendant cet échange, elle avait ses bras autour de mon cou, moi les mains sur ses hanches, mais nos deux bassins étaient restés collés et je lui dis : « Je sens que quelque chose croit entre nous »
Véro : »Je pourrais peut-être m’en occuper ? Est-ce que ta secrétaire ne risque pas de venir ?» Je me dirigeais vers la porte de communication et l’ouvrant je dis à ma secrétaire : « pendant l’heure qui suit, je ne veux pas être dérangé, personne, compris » « Elle me répondit « D’accord Chef »
Véro : « On ne sera pas dérangé ? »
« Ne t’inquiète pas, elle a empêché un secrétaire des TP d’entrer »
Avec Véro on se recolla et Véro reprit : « Tu parlais de brouter quoi ? Je pense que c’est le moment, je sens que la touffe s’humidifie »
Moi : « Assieds toi sur le bureau, relèves ta jupe et montres moi cette jolie moule »
Ce qu’elle fit et je m’aperçus qu’elle avait un joli slip quasiment transparent. « Mais, tu caches ta chatte ? Ce n’est pas dans nos habitudes.»
Véro : « Je ne pouvais pas venir nue sous ma jupe, j’ai mis le plus petit que j’ai pu trouver, mais tu peux l’enlever»
Moi : « Mets toi sur le bureau exceptionnellement je vais te l’enlever et tu écartera largement les cuisses pour me montrer ta chatte »
« Oui, dénudes ma chatte et je vais m’ouvrir à toi » C’est ce que je fis, elle sera les jambes pour me permettre de lui enlevé son petit slip et aussitôt après elle écarta largement les cuisses me donnant une belle vue sur sa chatte.
Véro se laissa glisser du bureau et me dit : « Laisse moi, j’ai envie de te sucer, de goutter à ta queue, pour me faire pardonner »
Mon attirail fut rapidement mis à l’air et elle entreprit de le prendre en bouche et commencer un pompage énergique. Elle avait des lèvres douces et enveloppantes qui étaient accompagnées par une langue agile. Le résultat ne tarda pas à se faire sentir j’avais une trique dure et gonflée prête à servir. Elle le senti et me demanda : « Tu veux prendre ma bouche ? » « Non je veux ton abricot, je veux te fourrer la chatte, monte sur le bureau et ouvres toi que je vois ton abricot »
Elle ralenti la cadence puis passant deux ou trois coup de langue sur ma hampe, elle se releva et s’installa sur le bureau en écartant généreusement les cuisses et me demanda : « C’est assez ouvert, viens prendre ma chatte avec ta bouche, viens me boire ». Ce que je m’empressais de faire, mais ce jeu ne dura pas très longtemps, je lui lâchais la chatte et pointais ma queue en remplacement, qu’elle guida vers son intimité et qui y pénétra facilement tellement elle était prête à me recevoir. Je commençais à la travailler avec es va et vient. Elle encaissait mes coups de reins par des « Han, …oui » successifs. Le plaisir venant Véro commença à se lâcher « OuiIII, … continues, … baises moi, ….baises moi fort , … OHHHHHH … Ouiiiiii, … remplis moi, … c’est bon, … ne t’arrêts pas, …». Heureusement que le climatiseur fonctionnait à fond et les moteurs des engins de l’atelier voisins tournaient, tout cet environnement bruyant couvrait aisément les bruits que nous pouvions faire. Véro se cambra avec des : « OUIIIIIII, …, OUIIIIII ? je vais jouir, …. restes, …. Je veux te sentir me remplir, …. » et elle referma brutalement ses jambes autour de moi, ce qui déclencha mon plaisir et je me vidais en plusieurs fois dans sa chatte accueillante.
Enfin elle se redressa et toujours assise sur le bureau et moi entre ses jambes, mettant ses bras autour de mon cou et se collant contre moi elle me dit « C’était bon, j’ai eu du plaisir et toi » Je lui confirmais que j’avais aimé ce que nous avions fait et que j’étais prêt à recommencer. Je me reculais pour la laisser descendre du bureau et me regardant dans les yeux, elle remonta sa jupe glissa quelques instants deux doigts dans sa chatte et les ressorti plein du mélange de nos jus et toujours me regardant droit dans les yeux les glissa dans sa bouche et se mit à les sucer avec des soupirs de plaisirs. L’effet sur moi, fut immédiat et elle le constata. « J’ai aimé, mais il faut que je parte, rends mon slip, je n’aime laisser mes affaires trainer partout » Elle se réajusta, un coup d’œil dans son miroir, elle était prête. « A samedi soir au club ». Avec cette fin je restais sur ma faim
Samedi 22 aout 1981
Naturellement chez les amis, nous étions en retard. Nous étions une douzaine. Nous saluons tout le monde, avec la bise classique aux femmes et une poignet de main aux hommes. Comme à l’habitude, l’apéritif se prend debout, ce qui permet aux invités de se regrouper par petits groupes et de tourner d’un groupe à l’autre. Enfin le dîner est annoncé et tout le monde se met à table. Le repas fut agréable, chacun y allant d’anecdotes, de blagues du temps ou nous étions en France ou autres lieux pour certains. Nous étions jeunes, plein de vie, d’espoir et l’avenir ne nous souciait pas trop. Le dîner terminé tout le monde prit la direction du club de nuit ou nous devions retrouver certains de la bande dont B et Véro.
En fait ils n’avaient pas pu venir étant invité ailleurs pour un dîner qui avait de fortes chances de se terminer tard. J’étais relativement dépitée, pensant que B aurait pu nous, enfin me prévenir. Je pense que Jean s’aperçut de cette contrariété et après avoir salué tout le monde, il m’invita à danser et après quelques slows bien collés et très frottants et ce que nous avions fait avant le dîner, je commençais à m’échauffer et je senti qu’il en était de même de Jean.
À un moment j’étais tellement excitée que j’avais failli accepter la proposition de Jean de se rendre sur le parking pour y baiser. Cependant, je m’étais rattrapée à temps en lui disant que j’avais passé l’âge de faire ce genre d’exercice en plein air et qu’il y avait certainement des filles autour du club qui se prêtaient volontiers à ce genre de sport. Vers minuit nous avons quitté le club et prenions la voiture pour rentrer. En sortant du parking je dis à Jean de prendre à gauche vers la plage.
Jean : « On va à la plage ? »
Al : « Oui, à moins que tu préfères rentrer à la maison ? »
Jean : Non, mais je suis surpris. Un bain de minuit. Tu as amené un maillot ? »
Al : « Non pas de maillot, tu n’est pas tenté. Penser à l’expérience de la dernière fois m’a excité, j’aimerais recommencer »
Jean : « Je t’adore »
Il mit sa main sur ma cuisse et commença à me caresser et à remonter lentement je le laissais faire et me dit : « Tu pourrais remonter ta jupe. » Je la remontais et j’écartais légèrement les cuisses pour le laisser s’approcher de ma chatte, sans qu’il puisse encore y accéder. Pendant qu’il me caressait, en mettant la main sur son entrejambe, je constatais que la bosse était bien là, et je lui en fis compliment. Nous arrivions à la hutte. Nous sommes descendu, et y sommes allés directement. A peine arrivée la fermeture éclair ouverte j’étais entièrement nue et Jean était collé contre mon dos. J’avais mes mains sur ces mains qui malaxaient mes seins, puis descendirent sur mon ventre enfin il glissa une main entre mes cuisses que j’écartais de façon à lui donner un accès facile à mon intimité. Je me penchais en avant, il en profita pour m’enfoncer deux doigts dans ma chatte alors que le pouce titillait mon petit trou. Il ressorti ses doigts trempés de ma mouille pour humidifier mon petit trou. Recommençant plusieurs fois son manège pour enfin en s’enfonçant dans mon minou s’enfoncer également dans ma rosette. Je manifestais assez bruyamment mon plaisir ce qui excitait Jean et le confortait dans son action. Je le suppliais, de me prendre, je voulais sentir ses va et vient en moi, mais il me dit : » Avant je veux que tu me suces ». Je me mettais à genoux et le pris en bouche, au bout de quelques aller et retour je lui demandais « Tu veux prendre ma bouche »
« Non pas maintenant, mais suces moi bien et fais toi plaisir ». Il savait que le suçant j’aimais bien me caresser et me pénétrer. Ce que je fis.
Je commençais à n’être qu’une envie, qu’il me prenne ce qu’il voulait, mais qu’il me prenne. Je quittais sa queue qui avait bien durci et je lui dit « Prends moi, vite, je te veux, viens, prends moi comme ça » Je le suppliais, de me prendre, je voulais sentir ses va et vient en moi. « Tu veux que je te prennes en levrette »
« Oui, j’ai envie de toi, montes moi dessus, je veux te sentir me monter » Il se laissa tomber derrière moi, parcouru avec son sexe le sillon de mes fesses pour enfin venir se présenter dans ma moule ouverte et ruisselante. Je le prenais et le guidais en moi. Enfin mon chaud fourreau était plein de lui et l’accueillait enfin. Me tenant par les hanches il commença à me travailler « à m’astiquer le minou » comme il disait quelque fois. La pression montait, quand tout à coup, il sortit de moi. « Non, non, continues, ne t’arrêtes » En fait il remonta le long du sillon de mes fesses et il me dit :
« écartes tes fesses, je veux prendre ton cul »
AL : « Non, pas maintenant, continues dans ma chatte »
Jean : « J’en ai envie, ouvres toi »
Tout à coup j’en ai eu envie. J’écartais mes fesses et les ouvris, il se présenta sur mon petit trou et m’ayant préparé avant avec son pouce il commença à s’enfoncer lentement, et fermement jusqu’à ce que je m’ouvre et l’accueil complètement. Il se mit à me ramoner régulièrement, je sentais le plaisir monter. Je glissais ma main droite entre mes cuisses dans mon minou et je me masturbais suivant le rythme imposé par mon mari.
Jean : « Je sens que ça vient » et il continua à me ramoner quelques secondes encore et explosa pendant que mes doigts se trempaient de cyprine. Et que le cri que je poussais exprimait ma jouissance, en espérant qu’il n’y ait personne dans les environs. Faute de quoi, ils n’auraient pas besoin de dessin pour deviner sur ce qui ce passait dans cette cabane.
Je me laissais aller au sol, Jean s’écroula sur moi et il me prit la main et se mit à sucer, lécher mes doigts qui sortant de ma moule étaient plein de cyprine, ce qui me fit couler de plaisir, j’avais encore l’impression de lui faire l’amour. Cela faisait longtemps que nous n’avions pas baisé avec cette intensité. J’en avais les jambes flageolantes et je devais me coller à lui pour me relever et rester debout, ce qui était très agréable sentant entre autres, son sexe encore contre mon ventre mes seins s’écrasant sur sa poitrine et ses mains me caressant les fesses.
Je lui dis : « Ça fait longtemps que tu ne m’a pas fait l’amour comme ça. Je t’adore. »
Il m’a pris par la main et sommes allés plonger dans l’océan et nager quelque temps. L’eau était agréable et nous avons barboté comme des gamins et avons décidé de rentrer en nous chahutant, on se poussait on s’arrosait comme des gamins. Arrivant au bord de la plage, mais encore dans l’eau, je tombais dans l’eau, Jean vint sur moi et me dit :
Jean : « Je t’aime »
AL : « Moi aussi, je t’aime, même plus »
Alors je sentis sa trique contre ma cuisse,
AL : « t’as envie »
Jean : « Oui, et toi »
AL: « Viens » Je le pris et le dirigeais en moi pour qu’il me prenne. Il commença son va et vient, rapidement et tout d’un coup je sentis que j’allais jouir, je me cambrais pour qu’il me prenne entièrement et complètement, il se vida. C’était bon, ce n’était pas l’explosion de toute à l’heure, mais une jouissance amoureuse, qui vous prenait les sens.
Jean m’aida à me relever et on se dirigea vers la voiture. Je n’avais pas le courage de me rhabiller, je m’enveloppais vaguement dans ma robe, Jean passa un pantalon, espérant qu’on ne rencontre pas de flics.
Nous sommes rentrés tranquillement à la maison, un peu fatigué par cette soirée pleine d’imprévues.
Le dimanche le temps était maussade nous sommes restés à la maison. Jean avait de la paperasse à faire et moi des copies à corriger.
Une visite impromptue - Jean raconte
Jeudi 27 aout 1981
J’étais au bureau en train de bouffer de la paperasse quand ma secrétaire après avoir frappé à la porte entra pour me dire : « Chef Madame Véro veut vous voir »
« Fais la rentrer »
Effectivement l’élégante Véro entra vêtue d’un joli corsage très sage rose et d’une jupe jean trapèze arrivant au niveau des genoux et qui se fermait par de gros boutons blancs L ‘ensemble était agréable à voir et faisait très femme d’affaire élégante. De plus elle tenait à la main un porte document.
Pendant ce rapide coup d’œil, je me levais pour la saluer. Véro suivit des yeux le départ de ma secrétaire. Celle-ci disparut elle vint se coller à moi « Ca fait presque trois semaines que je ne t’ai pas vu »
« J’étais un déplacement au siège et ça a duré plus que prévu »
« Tu aurais pu passer au magasin en arrivant »
Alors je lui dit en rigolant :
« Ou, et on aurait pu avoir ce dialogue avec ta secrétaire : Bonjour je veux voir Madame Vero »
« Oui, c’est à quel sujet ? »
« Je viens juste pour lui brouter le minou. »
et elle m’aurait réponds, « Madame Véro est occupée, mais je peux la remplacer »
Véro : » Tu es un goujat »
Moi : « C’est pour ça que tu m’as choisi. »
Pendant cet échange, elle avait ses bras autour de mon cou, moi les mains sur ses hanches, mais nos deux bassins étaient restés collés et je lui dis : « Je sens que quelque chose croit entre nous »
Véro : »Je pourrais peut-être m’en occuper ? Est-ce que ta secrétaire ne risque pas de venir ?» Je me dirigeais vers la porte de communication et l’ouvrant je dis à ma secrétaire : « pendant l’heure qui suit, je ne veux pas être dérangé, personne, compris » « Elle me répondit « D’accord Chef »
Véro : « On ne sera pas dérangé ? »
« Ne t’inquiète pas, elle a empêché un secrétaire des TP d’entrer »
Avec Véro on se recolla et Véro reprit : « Tu parlais de brouter quoi ? Je pense que c’est le moment, je sens que la touffe s’humidifie »
Moi : « Assieds toi sur le bureau, relèves ta jupe et montres moi cette jolie moule »
Ce qu’elle fit et je m’aperçus qu’elle avait un joli slip quasiment transparent. « Mais, tu caches ta chatte ? Ce n’est pas dans nos habitudes.»
Véro : « Je ne pouvais pas venir nue sous ma jupe, j’ai mis le plus petit que j’ai pu trouver, mais tu peux l’enlever»
Moi : « Mets toi sur le bureau exceptionnellement je vais te l’enlever et tu écartera largement les cuisses pour me montrer ta chatte »
« Oui, dénudes ma chatte et je vais m’ouvrir à toi » C’est ce que je fis, elle sera les jambes pour me permettre de lui enlevé son petit slip et aussitôt après elle écarta largement les cuisses me donnant une belle vue sur sa chatte.
Véro se laissa glisser du bureau et me dit : « Laisse moi, j’ai envie de te sucer, de goutter à ta queue, pour me faire pardonner »
Mon attirail fut rapidement mis à l’air et elle entreprit de le prendre en bouche et commencer un pompage énergique. Elle avait des lèvres douces et enveloppantes qui étaient accompagnées par une langue agile. Le résultat ne tarda pas à se faire sentir j’avais une trique dure et gonflée prête à servir. Elle le senti et me demanda : « Tu veux prendre ma bouche ? » « Non je veux ton abricot, je veux te fourrer la chatte, monte sur le bureau et ouvres toi que je vois ton abricot »
Elle ralenti la cadence puis passant deux ou trois coup de langue sur ma hampe, elle se releva et s’installa sur le bureau en écartant généreusement les cuisses et me demanda : « C’est assez ouvert, viens prendre ma chatte avec ta bouche, viens me boire ». Ce que je m’empressais de faire, mais ce jeu ne dura pas très longtemps, je lui lâchais la chatte et pointais ma queue en remplacement, qu’elle guida vers son intimité et qui y pénétra facilement tellement elle était prête à me recevoir. Je commençais à la travailler avec es va et vient. Elle encaissait mes coups de reins par des « Han, …oui » successifs. Le plaisir venant Véro commença à se lâcher « OuiIII, … continues, … baises moi, ….baises moi fort , … OHHHHHH … Ouiiiiii, … remplis moi, … c’est bon, … ne t’arrêts pas, …». Heureusement que le climatiseur fonctionnait à fond et les moteurs des engins de l’atelier voisins tournaient, tout cet environnement bruyant couvrait aisément les bruits que nous pouvions faire. Véro se cambra avec des : « OUIIIIIII, …, OUIIIIII ? je vais jouir, …. restes, …. Je veux te sentir me remplir, …. » et elle referma brutalement ses jambes autour de moi, ce qui déclencha mon plaisir et je me vidais en plusieurs fois dans sa chatte accueillante.
Enfin elle se redressa et toujours assise sur le bureau et moi entre ses jambes, mettant ses bras autour de mon cou et se collant contre moi elle me dit « C’était bon, j’ai eu du plaisir et toi » Je lui confirmais que j’avais aimé ce que nous avions fait et que j’étais prêt à recommencer. Je me reculais pour la laisser descendre du bureau et me regardant dans les yeux, elle remonta sa jupe glissa quelques instants deux doigts dans sa chatte et les ressorti plein du mélange de nos jus et toujours me regardant droit dans les yeux les glissa dans sa bouche et se mit à les sucer avec des soupirs de plaisirs. L’effet sur moi, fut immédiat et elle le constata. « J’ai aimé, mais il faut que je parte, rends mon slip, je n’aime laisser mes affaires trainer partout » Elle se réajusta, un coup d’œil dans son miroir, elle était prête. « A samedi soir au club ». Avec cette fin je restais sur ma faim
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