Titre de l'histoire érotique : Une tranche de vie 4
Récit érotique écrit par Maceron [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-07-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : Une tranche de vie 4
Lundi 29 Juillet – au bureau
Je devais partir le lendemain, étant donné que nous nous étions séparé rapidement, je dirais sans même que je puisse lui dire au revoir, depuis le matin, cela me taraudait de savoir si je devais l’appeler à son bureau (chez elle c’était interdit) et lui faire mes adieux. Oui, …, Non, ... En fait il m’est apparu qu’il serait parfaitement mal élevé de ne pas lui passer un coup de fil pour la saluer avant mon départ. Le numéro de son bureau était dans l’annuaire, je le composais et naturellement je tombais sur sa secrétaire :
« Bonjour, je voudrais parler à Mme P. »
« C’est à quel sujet, svp ? »
Après une seconde d’hésitation je répondis : « Elle m’a laissé un message, me disant de la rappeler «
« Bien, je vous la passe »
« Bonjour Sophie, je voulais t’appeler, pour,.. »
« Bonjour Jean, attends, ne quittes pas, je prends une autre ligne »
Effectivement j’entendis un vague déclic et Sophie se remit à parler.
En fait le changement de ligne n’avait pas opéré et j’entendis toute la conversation.
« Maïté, j’ai un RV à 2,30 heures vous le déplacez à quand il veut, trouvez une excuse, il ne posera pas de problèmes. Par contre j’en ai un autre vers 4,00 heures, faites le glisser d’une demi-heure. Lui on ne peut pas le déplacer »
« Désolée Jean, mais j’ai du appeler ma secrétaire pour déplacer un RV. Comme ça, tu pourras venir en début d’après-midi, je suis libre »
« Mais, … (un moment d’hésitation car je ne voulais seulement lui dire au revoir par politesse et voilà qu’elle voulait que je vienne, que faire), … J’avais prévu de finir mes bagages, mais je suis content que tu aies pu te libérer, je viendrais en début d’après-midi »
« Bon je t’attends à deux heures »
Et en garçon bien obéissant à 2,00 heures précises, j’étais dans ses bureaux. Sa secrétaire me fit rentrer et se retira rapidement. Son bureau était en fond d’une grande pièce, sans particularité spéciale, sinon perpendiculaire à son bureau, une table de conférence avec 6 chaises. Sans à peine me regarder, elle glissa un bonjour Jean. Alors que je m’approchais du bureau Sophie se leva fit le tour de son bureau, sans un mot et en un seul mouvement, ses bras m’entourèrent, elle vint se coller à moi, ses lèvres se collèrent aux miennes. Pendant que nos langues se reconnaissaient son corps se frottaient au mien, ses hanches dansaient doucement contre moi, une danse excitante, telle qu’il ne fallu pas longtemps pour qu’un bosse apparue dans mon pantalon, ce qui ne fit qu’augmenter le roulement des hanches.
Enfin elle dit : « Je vois que tu es en forme, assieds toi sur une chaise, il n’y a pas de fauteuils ici, un café ? »
Elle était habillée d’un tailleur gris clair, jupe naturellement courte, assez courte pour attirer le regard sur ses jambes et être très sexy. Veste cintrée de même couleur légèrement décolletée, qui laissait apparaître le col d’un corsage noir, bas fins noirs et escarpins évidemment.
Elle partit vers la machine à café qui se trouvait près de la porte d’entrée à 4 ou 5 mètres, et je pus la regarder s’y rendre. Elle balançait toujours aussi agréablement son petit cul.
Elle dut sentir que je la regardais et sans se retourner elle me dit : « Alors il te plait toujours autant »
« Oui, tu es toujours aussi élégante au travail »
« Oui, vis à vis des clients, pour ma part, je pense que c’est une obligation et un respect pour eux. Le café est presque prêt, j’ai chaud». Aussitôt, joignant le geste à la parole, elle enleva sa veste. Elle avait sous sa veste un corsage noir dont le tissu était tellement fin qu’il me semblait transparent.
« Le café arrive » elle se retourna un gobelet de café dans chaque main.
Wouahhh, non seulement elle ne porte pas de soutien, mais le tissu étant vraiment très fin et surtout transparent, je distingue parfaitement ses seins, qui vivaient leurs vies au gré de sa marche vers moi. De plus le décolleté : profond, le premier bouton qui ferme le chemisier se trouve légèrement sous les seins, ce qui permet de voir leurs rondeurs. Excitant. J’avais déjà vu ses seins à la piscine, mais là, la façon de les montrer entraina une réaction immédiate au niveau de ma braguette... Sophie posa les 2 gobelets sur la table, alors que je me levais, dans son dos je me collais à elle et prenais ses seins bien gonflés avec les mamelons pointant et déjà durs. Elle se laissa faire, puis se retournant, elle me dit : « Tu as aimé » Je ne pouvais répondre ayant la bouche occupé à sucer ses seins, les mordiller, les lécher alors que des que j’en abandonnais un elle me présentait l’autre. Tout cela faisait que j’avais une trique pas possible. Elle avait déboutonné entièrement son corsage et arraché de sa jupe pour le jeter sur une chaise. Ses mamelons pointaient durs, je les pris et les tournais entre pouce et index en serrant un peu, elle m’avait dit qu’ayant la poitrine extrêmement sensible elle adorait ce petit jeu, que je faisais avec plaisir, cela la faisait grimper « Arrêtes, tu me rends folle, … non continues, c’est bon, ça m’excite, tu le sais et tu en profites, … oui, … continues, … j’ai envie de toi, … »
Elle était bloquée par la table, j’en profitais pour glisser une main sous sa jupe, mais bien qu’elle fut courte, elle était trop étroite pour me laisser atteindre sa moule qui devait être prête, chaude et humide, prête à être consommée.
Voyant mes efforts vains, Sophie me dit « Attends » et remontant sa jupe jusqu’à la ceinture elle libérait son entrejambe. En fait elle portait un PJ qui tenait ses bas et encadrait sa chatte nue et rien d’autre. Je la repoussais, enfin, elle se laissa repousser vers la table, et s’y assis. Je me positionnais entre ses cuisses qu’elle avait écartées. Elle me tendit les lèvres, s’en suivi un long baiser, que j’abandonnais pour descendre vers ses seins, puis vers son ventre. Au fur et à mesure que je poursuivais ma descente vers son intimité elle se laissait aller sur les coudes puis carrément sur le dos quand j’arrivais à sa moule, qui comme je le pensais était chaude et humide croquable à souhait. Ce que je m’empressais de faire.
Elle écarta davantage les cuisses : « Viens, je veux sentir tes lèvres sur mes lèvres, sur ma chatte, prends moi avec ta langue, tes doigts, viens vite, … fais moi jouir ». Au lieu de lui obéir de suite, et de me précipiter sur ses grosses lèvres gonflées, je m’arrêtais un peu sur sa toison qui formait un tout petit triangle aux poils coupés très courts ; puis je me dirigeais vers l’intérieur des cuisses, la partie entre le haut du bas et l’intimité, ou la peau est toujours très douce et j’embrassais et caressais cette partie et je tournais ainsi autour de sa chatte, en espérant faire monter ses envies. D’autant qu’elle avait glissée ses mains sous ses genoux et avait soulevé ses jambes bien écartées. Cette position faisait ressortir sa belle chatte aux lèvres gonflées et s’humidifiant de plus en plus.
« Tu exagères, … viens, j’ai envie de tes lèvres, …, ne me fais pas attendre, …, je vais devenir folle, … tes doigts »
La pression avait augmentée, je n’avais plus qu’à obéir avec plaisir et même goulument, et c’est ce que je fis. Je m’attardais encore un peu juste sur ses grosses lèvres et me décidais enfin à utiliser ma langue et mes doigts. Je la masturbais avec des allées et venues assez rapides, mais le jeu ne dura pas longtemps. « Viens, prend moi, … tu m’as fait trop attendre, … je te veux, je veux te sentir me prendre, …, viens »
J’avais une trique de première classe, il fallait que je me dépêche, rapidement je dégrafais mon pantalon et baissais mon caleçon et vu la position de ma partenaire, je me positionnais et d’un grand coup de reins je m’enfonçais facilement dans son fourreau qui était chaud humide et ouvert. Cette pénétration un peu brutale fuit accueillie par un « Ooohhh, … oui ».
J’étais excité et elle m’excitait encore plus avec ses : « OUIiiiii, … baises moi fort, … oui, continues, …, baises moi très fort, fais moi jouir, … ». De faite, elle avait lâché ses genoux et ses deux mains cramponnaient le bord de la table, alors que moi je lui cramponnais les hanches, elle subissait mes coups de reins et continuait à en vouloir plus, la tête allant de gauche à droite. Elle gémissait de plus en plus et il fallait que je la fasse jouir rapidement car je n’allais pas tenir encore longtemps à ce rythme. Alors qu’elle était en train de partir, cramponné à ses hanches, enfoncé compétemment dans son fourreau j’éclatais et me vidais en elle, elle poussa un long gémissement rauque, eut une contraction brutale puis deux ou trois spasmes. Alors que je retrouvais mes esprits elle ouvrit les yeux et j’eu l’impression pendant quelques secondes qu’elle n’était pas encore revenu de son voyage intérieur, puis elle atterrit et me sourit. Elle se redressa et m’entourant de ses bras, elle se colla à moi, elle était encore toute chaude. « C’était bon, je savais que tu étais un amant à la hauteur »
Mais avec mon pantalon sur les chevilles et mon caleçon en ballade, je me sentais ridicule et j’essayais de réajuster le tout au mieux. Alors elle s’accrocha à moi et me dit « Après avoir fait l’amour, j’aime faire un petit câlin, sers moi fort dans tes bras ». Ce que je fis, et elle resta ainsi pendant un certain temps, je sentais ses seins contre ma poitrine, son ventre contre le mien, elle ne bougeait pas, simplement la respiration devenait plus calme, plus tranquille. Puis elle se sépara et dit qu’elle allait préparer un nouveau café. Elle avait rabattu sa jupe, mais à peine au niveau des bas, tant et si bien que celle-ci lui moulait les fesses. Aussitôt arrivé à la machine à café, elle se retourna, ce qui me surprit et elle sourit en me disant « Ça te plait toujours autant ». Que dire sinon « Oui, beaucoup, surtout enserré ainsi dans ta jupe »,
« Ça t’excite ? Attends que je rapporte les cafés, tu devras être à la hauteur »
De retour alors qu’elle posait les godets de café sur la table, je me collais derrière elle et lui prenais les seins que je « triturais » gentiment. Les prenant à pleine main dans tout leur volume puis, caressant les aréoles et récupérant les mamelons qui durcissaient et que je caressais avec la paume des mains. Sophie, posa ses mains sur les miennes m’incitant à malaxer plus durement ses seins. En même temps, je l’embrassais dans le cou. Opérations qui était accompagnée de soupirs de plaisir. Tout ça entrainait une augmentation importante de l’intérieur de ma braguette, ce que Sophie sentit, et elle se mit à frotter son joli cul contre ma trique. Visiblement elle se chauffait et après avoir hésité un moment, je me lâchais et lui glissais dans l’oreille : « Suces moi ». Honnêtement, je craignais un peu sa réaction. Il me sembla qu’il y eut un petit temps d’arrêt, puis se retournant elle me dit : « Tu as aimé, ça te ferait plaisir »
Moi : « Bien sur, j’en ai envi, j’ai beaucoup aimé la dernière fois »
Elle se laissa glisser contre moi. Je voulu défaire mon pantalon, elle me dit : « Non, laisse moi faire, j’aime aller chercher le petit oiseau dans son nid et le sentir grossir dans ma main et dans ma bouche, laisses moi faire »
C’est ce qu’elle fit, le caleçon descendu, l’oiseau avait sacrément grossi.
« Je vois qu’il grandi vite, j’aime »
Elle me caressa légèrement, me lécha la tige à grands coups de langue, ce qui ne fit qu’augmenter mon excitation et me prit en bouche et de me pomper.
« Je sens que ta queue prend des proportion agréables, elle devient bien dure, je sens que tu vas être prêt pour m’enculer, … hum, …. C’est bon, … Viens prends moi »
Elle se releva, remonta sa jupe jusqu’aux hanches, elle se pencha en avant et de ses deux mains écarta ses jolies fesses mettant bien en vue son joli petit trou marron clair juste au dessus de sa chatte plus rose et brillante de cyprine.
« Avant de prendre mon cul, lèche moi la raie »
C’est ce que je fis copieusement de façon à bien l’humidifier.
« Oui, viens, prends moi, fais moi plaisir, fais toi plaisir, oui, …. fais moi jouir »
Je me positionnais en face de son petit trou et tentais de m’enfoncer, l’entrée ne résista pas longtemps alors qu’elle commençait à se décontracter et à s’ouvrir, elle dit :
« Allons, …., défonces moi le cul, … t’as dit que tu aimais rentrer par là, profites, … je veux te sentir, … je veux sentir ta queue s’enfoncer, … je veux que tu m’éclates, …»
Je réussissais enfin à la pénétrer et commençais mon va et vient lentement de façon à ce qu’elle s’habitue à ma présence.
« Tu t’endors, …., baises moi fort, … je veux te sentir me défoncer, … oui comme ça, … »
Je me cramponnais à ses hanches et j’accélérais la cadence et l’enfonçais à grands coups de reins, elle encaissait et chaque coup de rein était ponctué d’un « Oui, … Oui, … « ou « Oui, continues … » Puis la pression montait, son souffle s’accélérait, les oui, … oui, … augmentaient en rythme. Pour ma part, j’étais devenu une machine à baiser, un véritable piston qui allait, venait dans son joli cul accueillant. Je n’étais plus qu’une queue.
Elle était très chaude et très excitée. Elle s’était cramponnée à la table pendant que je lui défonçais le cul à grands coups de rein.
« OUI, oui, …, continues, …, je sens que je vais partir, … ne t’arrêtes pas, … OUIiiiiiiiiiiiiiii, … c’est bon»
Elle était partie, elle avait eu un bel orgasme, avec un surprenant cri de gorge, suivi de deux spasmes et elle s’était laissée tomber sur la table et reprenais doucement son souffle.
Mais moi, elle m’avait vidé un peu plutôt et là je n’avais pas mon compte, je continuais à bander dur et je continuais à prendre son joli cul. Elle se tortillait pour se sortir de sa position, mais avec une main je la maintenais couchée sur la table, malgré tout elle se tortillait et râlait :
« Ohhhhh, …, arrêtes, .., je n’en, peux plus, …, oh, …. arrêtes STP, … tu en profites, … »
Mais je n’entendais rien et je continuais à la ramoner furieusement. Puis , …., elle arrêta de tortiller son joli cul et se cramponnant de nouveau à la table, cambra les reins et tendit son joli cul et « OHhhhhh, …. Oui, … continues, … encore, profites en , … je te sens, continues, … »
Je bandais toujours autant et voyant qu’elle en demandait encore, je ralentissais un peu la cadence.
La réaction ne se fit pas attendre. « Ah, non, …. N’arrêtes pas, …, continues encules moi fort, … j’aime, … Oh, …OUI iiiiiiiiiiiiiiiii »
J’augmentais la cadence ce qui au son était apprécié et c’est alors moi qui me sentis partir et en même temps que je me vidais en elle, elle eu un nouvel orgasme et s’écroula définitivement sur la table, le souffle court. Quant à moi la nature faisant ses effets, je me retirais d’elle et essayais de retrouver mon souffle et mes esprits, fier de la performance, mais peu fière de la méthode.
Heureusement Sophie se redressa et me faisant face : « Tu peux être fier de toi, tu m’as épuisée » et elle se colla contre moi et nous nous embrassâmes avec fougue. Elle dit alors :
« Il faut que nous nous rendions présentable, (et en rigolant) je ne sais ce que penserais mon prochain fournisseur nous voyant ainsi attifé, toi le pantalon aux chevilles et moi les fesses à l’air »
Je me réappropriais, elle baissa sa jupe, oublia le corsage, remis sa veste et la boutonna. Un cou de peigne, un aller retour de rouge sur les lèvres : « Je suis présentable ? »
« Oui, si on oublie que tu ne portes rien en dessous »
« Tu devrais savoir que j’aime ça, la femme classe, peut réserver des surprises, … je ne t’embrasse pas, le rouge, fais bon voyage »
Je m’en allais la tête un peu dans les étoiles.
Le 1er Août je partais en stage d’anglais
Je devais partir le lendemain, étant donné que nous nous étions séparé rapidement, je dirais sans même que je puisse lui dire au revoir, depuis le matin, cela me taraudait de savoir si je devais l’appeler à son bureau (chez elle c’était interdit) et lui faire mes adieux. Oui, …, Non, ... En fait il m’est apparu qu’il serait parfaitement mal élevé de ne pas lui passer un coup de fil pour la saluer avant mon départ. Le numéro de son bureau était dans l’annuaire, je le composais et naturellement je tombais sur sa secrétaire :
« Bonjour, je voudrais parler à Mme P. »
« C’est à quel sujet, svp ? »
Après une seconde d’hésitation je répondis : « Elle m’a laissé un message, me disant de la rappeler «
« Bien, je vous la passe »
« Bonjour Sophie, je voulais t’appeler, pour,.. »
« Bonjour Jean, attends, ne quittes pas, je prends une autre ligne »
Effectivement j’entendis un vague déclic et Sophie se remit à parler.
En fait le changement de ligne n’avait pas opéré et j’entendis toute la conversation.
« Maïté, j’ai un RV à 2,30 heures vous le déplacez à quand il veut, trouvez une excuse, il ne posera pas de problèmes. Par contre j’en ai un autre vers 4,00 heures, faites le glisser d’une demi-heure. Lui on ne peut pas le déplacer »
« Désolée Jean, mais j’ai du appeler ma secrétaire pour déplacer un RV. Comme ça, tu pourras venir en début d’après-midi, je suis libre »
« Mais, … (un moment d’hésitation car je ne voulais seulement lui dire au revoir par politesse et voilà qu’elle voulait que je vienne, que faire), … J’avais prévu de finir mes bagages, mais je suis content que tu aies pu te libérer, je viendrais en début d’après-midi »
« Bon je t’attends à deux heures »
Et en garçon bien obéissant à 2,00 heures précises, j’étais dans ses bureaux. Sa secrétaire me fit rentrer et se retira rapidement. Son bureau était en fond d’une grande pièce, sans particularité spéciale, sinon perpendiculaire à son bureau, une table de conférence avec 6 chaises. Sans à peine me regarder, elle glissa un bonjour Jean. Alors que je m’approchais du bureau Sophie se leva fit le tour de son bureau, sans un mot et en un seul mouvement, ses bras m’entourèrent, elle vint se coller à moi, ses lèvres se collèrent aux miennes. Pendant que nos langues se reconnaissaient son corps se frottaient au mien, ses hanches dansaient doucement contre moi, une danse excitante, telle qu’il ne fallu pas longtemps pour qu’un bosse apparue dans mon pantalon, ce qui ne fit qu’augmenter le roulement des hanches.
Enfin elle dit : « Je vois que tu es en forme, assieds toi sur une chaise, il n’y a pas de fauteuils ici, un café ? »
Elle était habillée d’un tailleur gris clair, jupe naturellement courte, assez courte pour attirer le regard sur ses jambes et être très sexy. Veste cintrée de même couleur légèrement décolletée, qui laissait apparaître le col d’un corsage noir, bas fins noirs et escarpins évidemment.
Elle partit vers la machine à café qui se trouvait près de la porte d’entrée à 4 ou 5 mètres, et je pus la regarder s’y rendre. Elle balançait toujours aussi agréablement son petit cul.
Elle dut sentir que je la regardais et sans se retourner elle me dit : « Alors il te plait toujours autant »
« Oui, tu es toujours aussi élégante au travail »
« Oui, vis à vis des clients, pour ma part, je pense que c’est une obligation et un respect pour eux. Le café est presque prêt, j’ai chaud». Aussitôt, joignant le geste à la parole, elle enleva sa veste. Elle avait sous sa veste un corsage noir dont le tissu était tellement fin qu’il me semblait transparent.
« Le café arrive » elle se retourna un gobelet de café dans chaque main.
Wouahhh, non seulement elle ne porte pas de soutien, mais le tissu étant vraiment très fin et surtout transparent, je distingue parfaitement ses seins, qui vivaient leurs vies au gré de sa marche vers moi. De plus le décolleté : profond, le premier bouton qui ferme le chemisier se trouve légèrement sous les seins, ce qui permet de voir leurs rondeurs. Excitant. J’avais déjà vu ses seins à la piscine, mais là, la façon de les montrer entraina une réaction immédiate au niveau de ma braguette... Sophie posa les 2 gobelets sur la table, alors que je me levais, dans son dos je me collais à elle et prenais ses seins bien gonflés avec les mamelons pointant et déjà durs. Elle se laissa faire, puis se retournant, elle me dit : « Tu as aimé » Je ne pouvais répondre ayant la bouche occupé à sucer ses seins, les mordiller, les lécher alors que des que j’en abandonnais un elle me présentait l’autre. Tout cela faisait que j’avais une trique pas possible. Elle avait déboutonné entièrement son corsage et arraché de sa jupe pour le jeter sur une chaise. Ses mamelons pointaient durs, je les pris et les tournais entre pouce et index en serrant un peu, elle m’avait dit qu’ayant la poitrine extrêmement sensible elle adorait ce petit jeu, que je faisais avec plaisir, cela la faisait grimper « Arrêtes, tu me rends folle, … non continues, c’est bon, ça m’excite, tu le sais et tu en profites, … oui, … continues, … j’ai envie de toi, … »
Elle était bloquée par la table, j’en profitais pour glisser une main sous sa jupe, mais bien qu’elle fut courte, elle était trop étroite pour me laisser atteindre sa moule qui devait être prête, chaude et humide, prête à être consommée.
Voyant mes efforts vains, Sophie me dit « Attends » et remontant sa jupe jusqu’à la ceinture elle libérait son entrejambe. En fait elle portait un PJ qui tenait ses bas et encadrait sa chatte nue et rien d’autre. Je la repoussais, enfin, elle se laissa repousser vers la table, et s’y assis. Je me positionnais entre ses cuisses qu’elle avait écartées. Elle me tendit les lèvres, s’en suivi un long baiser, que j’abandonnais pour descendre vers ses seins, puis vers son ventre. Au fur et à mesure que je poursuivais ma descente vers son intimité elle se laissait aller sur les coudes puis carrément sur le dos quand j’arrivais à sa moule, qui comme je le pensais était chaude et humide croquable à souhait. Ce que je m’empressais de faire.
Elle écarta davantage les cuisses : « Viens, je veux sentir tes lèvres sur mes lèvres, sur ma chatte, prends moi avec ta langue, tes doigts, viens vite, … fais moi jouir ». Au lieu de lui obéir de suite, et de me précipiter sur ses grosses lèvres gonflées, je m’arrêtais un peu sur sa toison qui formait un tout petit triangle aux poils coupés très courts ; puis je me dirigeais vers l’intérieur des cuisses, la partie entre le haut du bas et l’intimité, ou la peau est toujours très douce et j’embrassais et caressais cette partie et je tournais ainsi autour de sa chatte, en espérant faire monter ses envies. D’autant qu’elle avait glissée ses mains sous ses genoux et avait soulevé ses jambes bien écartées. Cette position faisait ressortir sa belle chatte aux lèvres gonflées et s’humidifiant de plus en plus.
« Tu exagères, … viens, j’ai envie de tes lèvres, …, ne me fais pas attendre, …, je vais devenir folle, … tes doigts »
La pression avait augmentée, je n’avais plus qu’à obéir avec plaisir et même goulument, et c’est ce que je fis. Je m’attardais encore un peu juste sur ses grosses lèvres et me décidais enfin à utiliser ma langue et mes doigts. Je la masturbais avec des allées et venues assez rapides, mais le jeu ne dura pas longtemps. « Viens, prend moi, … tu m’as fait trop attendre, … je te veux, je veux te sentir me prendre, …, viens »
J’avais une trique de première classe, il fallait que je me dépêche, rapidement je dégrafais mon pantalon et baissais mon caleçon et vu la position de ma partenaire, je me positionnais et d’un grand coup de reins je m’enfonçais facilement dans son fourreau qui était chaud humide et ouvert. Cette pénétration un peu brutale fuit accueillie par un « Ooohhh, … oui ».
J’étais excité et elle m’excitait encore plus avec ses : « OUIiiiii, … baises moi fort, … oui, continues, …, baises moi très fort, fais moi jouir, … ». De faite, elle avait lâché ses genoux et ses deux mains cramponnaient le bord de la table, alors que moi je lui cramponnais les hanches, elle subissait mes coups de reins et continuait à en vouloir plus, la tête allant de gauche à droite. Elle gémissait de plus en plus et il fallait que je la fasse jouir rapidement car je n’allais pas tenir encore longtemps à ce rythme. Alors qu’elle était en train de partir, cramponné à ses hanches, enfoncé compétemment dans son fourreau j’éclatais et me vidais en elle, elle poussa un long gémissement rauque, eut une contraction brutale puis deux ou trois spasmes. Alors que je retrouvais mes esprits elle ouvrit les yeux et j’eu l’impression pendant quelques secondes qu’elle n’était pas encore revenu de son voyage intérieur, puis elle atterrit et me sourit. Elle se redressa et m’entourant de ses bras, elle se colla à moi, elle était encore toute chaude. « C’était bon, je savais que tu étais un amant à la hauteur »
Mais avec mon pantalon sur les chevilles et mon caleçon en ballade, je me sentais ridicule et j’essayais de réajuster le tout au mieux. Alors elle s’accrocha à moi et me dit « Après avoir fait l’amour, j’aime faire un petit câlin, sers moi fort dans tes bras ». Ce que je fis, et elle resta ainsi pendant un certain temps, je sentais ses seins contre ma poitrine, son ventre contre le mien, elle ne bougeait pas, simplement la respiration devenait plus calme, plus tranquille. Puis elle se sépara et dit qu’elle allait préparer un nouveau café. Elle avait rabattu sa jupe, mais à peine au niveau des bas, tant et si bien que celle-ci lui moulait les fesses. Aussitôt arrivé à la machine à café, elle se retourna, ce qui me surprit et elle sourit en me disant « Ça te plait toujours autant ». Que dire sinon « Oui, beaucoup, surtout enserré ainsi dans ta jupe »,
« Ça t’excite ? Attends que je rapporte les cafés, tu devras être à la hauteur »
De retour alors qu’elle posait les godets de café sur la table, je me collais derrière elle et lui prenais les seins que je « triturais » gentiment. Les prenant à pleine main dans tout leur volume puis, caressant les aréoles et récupérant les mamelons qui durcissaient et que je caressais avec la paume des mains. Sophie, posa ses mains sur les miennes m’incitant à malaxer plus durement ses seins. En même temps, je l’embrassais dans le cou. Opérations qui était accompagnée de soupirs de plaisir. Tout ça entrainait une augmentation importante de l’intérieur de ma braguette, ce que Sophie sentit, et elle se mit à frotter son joli cul contre ma trique. Visiblement elle se chauffait et après avoir hésité un moment, je me lâchais et lui glissais dans l’oreille : « Suces moi ». Honnêtement, je craignais un peu sa réaction. Il me sembla qu’il y eut un petit temps d’arrêt, puis se retournant elle me dit : « Tu as aimé, ça te ferait plaisir »
Moi : « Bien sur, j’en ai envi, j’ai beaucoup aimé la dernière fois »
Elle se laissa glisser contre moi. Je voulu défaire mon pantalon, elle me dit : « Non, laisse moi faire, j’aime aller chercher le petit oiseau dans son nid et le sentir grossir dans ma main et dans ma bouche, laisses moi faire »
C’est ce qu’elle fit, le caleçon descendu, l’oiseau avait sacrément grossi.
« Je vois qu’il grandi vite, j’aime »
Elle me caressa légèrement, me lécha la tige à grands coups de langue, ce qui ne fit qu’augmenter mon excitation et me prit en bouche et de me pomper.
« Je sens que ta queue prend des proportion agréables, elle devient bien dure, je sens que tu vas être prêt pour m’enculer, … hum, …. C’est bon, … Viens prends moi »
Elle se releva, remonta sa jupe jusqu’aux hanches, elle se pencha en avant et de ses deux mains écarta ses jolies fesses mettant bien en vue son joli petit trou marron clair juste au dessus de sa chatte plus rose et brillante de cyprine.
« Avant de prendre mon cul, lèche moi la raie »
C’est ce que je fis copieusement de façon à bien l’humidifier.
« Oui, viens, prends moi, fais moi plaisir, fais toi plaisir, oui, …. fais moi jouir »
Je me positionnais en face de son petit trou et tentais de m’enfoncer, l’entrée ne résista pas longtemps alors qu’elle commençait à se décontracter et à s’ouvrir, elle dit :
« Allons, …., défonces moi le cul, … t’as dit que tu aimais rentrer par là, profites, … je veux te sentir, … je veux sentir ta queue s’enfoncer, … je veux que tu m’éclates, …»
Je réussissais enfin à la pénétrer et commençais mon va et vient lentement de façon à ce qu’elle s’habitue à ma présence.
« Tu t’endors, …., baises moi fort, … je veux te sentir me défoncer, … oui comme ça, … »
Je me cramponnais à ses hanches et j’accélérais la cadence et l’enfonçais à grands coups de reins, elle encaissait et chaque coup de rein était ponctué d’un « Oui, … Oui, … « ou « Oui, continues … » Puis la pression montait, son souffle s’accélérait, les oui, … oui, … augmentaient en rythme. Pour ma part, j’étais devenu une machine à baiser, un véritable piston qui allait, venait dans son joli cul accueillant. Je n’étais plus qu’une queue.
Elle était très chaude et très excitée. Elle s’était cramponnée à la table pendant que je lui défonçais le cul à grands coups de rein.
« OUI, oui, …, continues, …, je sens que je vais partir, … ne t’arrêtes pas, … OUIiiiiiiiiiiiiiii, … c’est bon»
Elle était partie, elle avait eu un bel orgasme, avec un surprenant cri de gorge, suivi de deux spasmes et elle s’était laissée tomber sur la table et reprenais doucement son souffle.
Mais moi, elle m’avait vidé un peu plutôt et là je n’avais pas mon compte, je continuais à bander dur et je continuais à prendre son joli cul. Elle se tortillait pour se sortir de sa position, mais avec une main je la maintenais couchée sur la table, malgré tout elle se tortillait et râlait :
« Ohhhhh, …, arrêtes, .., je n’en, peux plus, …, oh, …. arrêtes STP, … tu en profites, … »
Mais je n’entendais rien et je continuais à la ramoner furieusement. Puis , …., elle arrêta de tortiller son joli cul et se cramponnant de nouveau à la table, cambra les reins et tendit son joli cul et « OHhhhhh, …. Oui, … continues, … encore, profites en , … je te sens, continues, … »
Je bandais toujours autant et voyant qu’elle en demandait encore, je ralentissais un peu la cadence.
La réaction ne se fit pas attendre. « Ah, non, …. N’arrêtes pas, …, continues encules moi fort, … j’aime, … Oh, …OUI iiiiiiiiiiiiiiiii »
J’augmentais la cadence ce qui au son était apprécié et c’est alors moi qui me sentis partir et en même temps que je me vidais en elle, elle eu un nouvel orgasme et s’écroula définitivement sur la table, le souffle court. Quant à moi la nature faisant ses effets, je me retirais d’elle et essayais de retrouver mon souffle et mes esprits, fier de la performance, mais peu fière de la méthode.
Heureusement Sophie se redressa et me faisant face : « Tu peux être fier de toi, tu m’as épuisée » et elle se colla contre moi et nous nous embrassâmes avec fougue. Elle dit alors :
« Il faut que nous nous rendions présentable, (et en rigolant) je ne sais ce que penserais mon prochain fournisseur nous voyant ainsi attifé, toi le pantalon aux chevilles et moi les fesses à l’air »
Je me réappropriais, elle baissa sa jupe, oublia le corsage, remis sa veste et la boutonna. Un cou de peigne, un aller retour de rouge sur les lèvres : « Je suis présentable ? »
« Oui, si on oublie que tu ne portes rien en dessous »
« Tu devrais savoir que j’aime ça, la femme classe, peut réserver des surprises, … je ne t’embrasse pas, le rouge, fais bon voyage »
Je m’en allais la tête un peu dans les étoiles.
Le 1er Août je partais en stage d’anglais
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