Titre de l'histoire érotique : Venus et les sodomites
Récit érotique écrit par ForX [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-07-2006 dans la catégorie Dominants et dominés
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Titre de l'histoire érotique : Venus et les sodomites
Le jour J est arrivé. Tu m’as bien prévenu que cela serait le jour oû je devrais assumer définitivement mes tendances.
Tout excité d’avoir été obligé d’attendre de pouvoir sortir du bureau, j’ai conduit avec une certaine nervosité jusqu’à la maison. Tes remarques moqueuses sur moi, tes petites phrases assassines sur le fait que je préfère d’autres jeux à toi, ne purent diminuer mon excitation. Ce jeu que j’avais souhaité tu allais me l’offrir. C’est un jeu. Il ne s’agit pas d’amour mais de jeu. J’avais la joie d’un enfant recevant son jouet désiré de la main de ses parents. Est-ce pour cela qu’il se détournerait de ses parents ? Non bien sur…au contraire.
Arrivé à la maison, tu m’as demandé d’attendre dehors 5mn. Je tentais durant ce temps de m’occuper à arracher de mauvaises plantes. Quand la porte s’est entrouverte, j’ai foncé directement à la chambre. Je t’ai découvert avec la cravache dans une main et le plug gonflable dans l’autre.
- « Vite déshabilles toi, m’ordonnas tu. »
Je me suis exécuté à la vitesse de l’éclair, laissant mes habits en tas sur le plancher. Tu t’es approché de moi, caressant mon corps avec ta cravache.
Tes lèvres se sont approchées des miennes. Je les ai goutées, aspirées avec toute la fougue possible. Le goût est si délicat que mon sexe ne put s’empêcher de réagir.
- « Penches toi en avant, jambes écartées …..tu embrasses bien ….»
J’obéis. De petits coups de cravache sur les fesses, beaucoup de gel sur l’anus et le plug qui force son passage, s’insinue lentement et inexorablement sous ta pression. Mes sphincters se lâchent d’un coup. Le plug prend possession de moi, s’approprie ma douleur heureusement fugace. Je ne bouge pas le temps de m’habituer. Je respire rapidement. Je veux me redresser mais le ton de ta voix me rappelle qu’aucune équivoque n’est possible sur le détenteur de l’autorité. Je suis soumis.
Tu gonfles le plug. Le début est agréable. C’est comme si le plug cherchait à mieux s’adapter.
Je profite avec délectation de ce moment. Courte pause, que ton empressement à gonfler suspend. Le plug semble vouloir me déchirer. Je crie. Tu dégonfles. Je soupire de soulagement. Tu reprends le gonflage avec des doses plus ou moins fortes….Cela continue pendant une bonne vingtaine de minutes.
Je transpire à grosses gouttent. Quand tu retires le plug gonflable, c’est comme un grand vide. Mon cul réclame encore. Tu m’enfiles un plug en acier et m’ordonnes de m’habiller.
- « Dépêches toi, nous partons, me dis tu »
- « où ? »
- « Ne traines pas, tu verras bien. Tu sais tu as de la chance, je t’ai bien préparé ton cul de petite pute. Comme ça tu souffriras moins…Portes le sac noir. ». …….
Tu me fais arrêter la voiture au fond du parking du Campanil. Je t’attends pendant 5mn. Lorsque tu reviens, tu me conduis jusqu’à une chambre située au RDC. La chambre est petite propre….
Je me mets nu. Du sac, tu sors un collier, une corde, des pinces à seins que tu positionnes immédiatement. La morsure me fait durcir les mamelons. Le cock ring lesté est mis autour des testicules. Tu rajoutes des poids aux testicules. J’adore me retrouver avec les testicules qui pendent.
Tu m’attaches les mains ensembles et les assemblent au niveau du collier. Tu me conduis dans le placard avec un bandeau sur les yeux. J y entre debout. Tu refermes la porte du placard.
A cause de la télé qui fonctionne, je ne comprends pas ce qui se passe. Je t’imagine aller chercher un amant pour lui faire l’amour à coté de moi. Cette idée me fait bander. J’ai vraiment envie de me masturber. Ma position m’en empêche.
Le temps me parait infiniment long. La porte du placard s’ouvre. Tu me tires violement dehors.
Tu me pinces les seins. Tes autres mains me torture les testicules…Je réalise que soudain tu es revenue accompagné. Je veux parler. Mais un « Silence » me rappelle que je ne suis plus qu’une chose, votre chose.
- « Ma petite pute va être bien gentil avec François. Tu vas être sa femme pour la nuit…On ne refuse rien à son Maitre. François sera ton maitre….Ne me déçois pas »
Le François en question me juge pendant ce temps. Une grande claque sur les fesses et un ordre bref. « A genoux ». J’obéis.
On pousse mon visage sur son pantalon au niveau du sexe. Je le lèche à travers l’étoffe. On me demande de le sortir. Je défais maladroitement la ceinture et prends en bouche le sexe à moitié bandé. Tu me susurres à l’oreille, que le sexe est beau, grand, énorme. C’est pourquoi tu l’as choisi sur internet. C’est ton scénario et le sien.
Je me rends compte de l’énormité du sexe en essayant de le gober. Les mains jointes autour du cou m’empêchent de le mesurer.
Mes capacités buccales te donnent envie car tu te joins à moi pour le lécher……..
François me fait mettre à quatre pattes sur le lit le cul offert vers l’extérieur. On m’ôte le plug. C’est toi qui introduis son sexe dans mon anus après avoir sucé une dernière fois. Grace à la préparation maison au plug gonflable, la pénétration est non douloureuse. François s’amuse visiblement à sortir complètement et à se réintroduire d’un coup. Il commente mon anus béant. Son sexe semble ne jamais finir de s’introduire. C’est puissant fort, bestial……
Tu prends mon sexe et l’introduits en toi. Je te pénètre au coup de boutoir de François. Nous jouissons ensemble.
François se retire, enlève son préservatif et se répand sur mon dos. Il me présente son sexe à nettoyer. Visiblement cette intermède lui a plut. Car il retrouve une vigueur instantanée. Tu décides d’en profiter et lui demandes de te pénétrer doucement vu la longueur du sexe.
Le bandeau sur les yeux, j’avance à tâtons. Gauchement je suce un sein. Tu agrippes mon sexe et le masturbes nerveusement au gré de ton plaisir. Je me déplace pour que tu puisses me sucer ou me branler. Tes « prends-moi » résonnent dans ma tête. François alterne les positions et les rythmes. Jamais tu ne lâches mon sexe. Tu jouis fort en exultant ta jouissance. J’éjacule dans ta main.
Un bruit de vêtement. Tu t’approches de moi tout habillé.
- « Ce n’est pas fini pour toi. La petite pute va passer la nuit ici. J’emporte toutes tes affaires et te le rendrais demain. J’emporte les cordes et le plug. Je te laisse le collier, poids et pinces. François va faire venir des amis très bien monté selon lui. Je verrai les photos qu’il fera. Je ne sais pas combien ils seront, mais amuses toi bien. Attention, je ne reviendrai que si tu les as tous satisfaits. François est le libre arbitre. J’attends son téléphone. J’ai négocié avec le directeur pour que vous ne soyez pas dérangés. Il a demandé une gâterie en échange, et je ne veux pas lui faire il est trop moche. Il est d’accord que tu lui fasses. Alors appliques toi.
- Passes une bonne nuit et pense à moi…. »
J’ai eu tout juste le temps de te faire un bisou et te dire que je t’aime, que tu es partie. Je pensais sérieusement que tu reviendrais rapidement. La suite a démontré que j’avais tors.
Une fois ton départ, François s’allonge sur le lit et m’ordonne de le sucer. Il passe un ou deux coup de téléphone.
Il m’enlève le bandeau. La lumière m’aveugle au début. J’aperçois mon Maître d’une nuit. La cinquantaine bien conservée, les cheveux grisonnants, je comprends qu’il t’est plu. Il est grand et mince avec un sexe immense et deux petits testicules. Je réalise que tu as emporté tous mes vêtements.
François me fait coucher en travers de ses genoux et commence à me fesser durement. Il alterne les coups forts et les caresses. J’ai les fesses rouges et mords les draps pour ne pas hurler. François s’arrête seulement quand des coups résonnent à la porte.
Un groupe d’homme entre. Deux blacks chauves ou rasés et un beur aux cheveux courts. Ils sont jeunes et musclés et peu avenants. Ils ne me donnent pas envie. Mon sexe se rétracte. François l’aperçoit et entre en colère.
- « cette pute pense que vous n’êtes pas assez bien pour elle. Donnons-lui une bonne leçon. N’oubliez pas je veux vous voir la prendre trois fois au moins chacun… ».
On me tire par les cheveux. Je reçois des claques sur les fesses, on torture mon sexe pendant que l’on me bâillonne avec un sexe. On me pince les seins. Le beur a sorti des bougies et les fait couler sur mon sexe.
Lorsqu’ils sont nus, je ne peux m’empêcher d’admirer leur sexe énorme. On m’encule dans toutes les positions. Ils éjaculent sur moi, le visage les cheveux…..Je ne suis plus qu’un trou qui suce et reçoit des queues énormes…Ils finissent par me conduire à la salle de bain, me font entrer dans la baignoire et me pissent dessus.
Je suis humilié, ne suis plus qu’un dépravé obscène avec du sperme partout. Et pourtant je jouis.
Trois heures se sont écoulés. Ils partent enfin. Je m’endors d’un coup. François me réveille le matin à 7H00. Il veut une fellation. Je m’applique. On frappe à la porte. Je cours ouvrir en pensant à toi.
Je reste stupide devant l’air lubrique du directeur de l’hôtel venant cherchant son dû. Il entre. François l’apostrophe.
-« Cette pute me suçait, voulez vous vous joindre…. »
Le Directeur sort un sexe mou. François m’oblige à le prendre en bouche. Une fois bien dur, François me fait me tourner et offrir mon cul. La sodomie est douloureuse. Je dois sucer pendant ce temps mon Maitre.
Je suis seul quand tu arrives me chercher. Je me jette dans tes bras. Tu me souris. Je t’aime. Dans la voiture, tu me dis que tu t’étais mis d’accord avec François pour qu’il me prête à ses amis pour une tournante dans les caves des cités pendant que vous deux vous…..ton sourire est si narquois que je ne sais si tu te moques de moi…
Tout excité d’avoir été obligé d’attendre de pouvoir sortir du bureau, j’ai conduit avec une certaine nervosité jusqu’à la maison. Tes remarques moqueuses sur moi, tes petites phrases assassines sur le fait que je préfère d’autres jeux à toi, ne purent diminuer mon excitation. Ce jeu que j’avais souhaité tu allais me l’offrir. C’est un jeu. Il ne s’agit pas d’amour mais de jeu. J’avais la joie d’un enfant recevant son jouet désiré de la main de ses parents. Est-ce pour cela qu’il se détournerait de ses parents ? Non bien sur…au contraire.
Arrivé à la maison, tu m’as demandé d’attendre dehors 5mn. Je tentais durant ce temps de m’occuper à arracher de mauvaises plantes. Quand la porte s’est entrouverte, j’ai foncé directement à la chambre. Je t’ai découvert avec la cravache dans une main et le plug gonflable dans l’autre.
- « Vite déshabilles toi, m’ordonnas tu. »
Je me suis exécuté à la vitesse de l’éclair, laissant mes habits en tas sur le plancher. Tu t’es approché de moi, caressant mon corps avec ta cravache.
Tes lèvres se sont approchées des miennes. Je les ai goutées, aspirées avec toute la fougue possible. Le goût est si délicat que mon sexe ne put s’empêcher de réagir.
- « Penches toi en avant, jambes écartées …..tu embrasses bien ….»
J’obéis. De petits coups de cravache sur les fesses, beaucoup de gel sur l’anus et le plug qui force son passage, s’insinue lentement et inexorablement sous ta pression. Mes sphincters se lâchent d’un coup. Le plug prend possession de moi, s’approprie ma douleur heureusement fugace. Je ne bouge pas le temps de m’habituer. Je respire rapidement. Je veux me redresser mais le ton de ta voix me rappelle qu’aucune équivoque n’est possible sur le détenteur de l’autorité. Je suis soumis.
Tu gonfles le plug. Le début est agréable. C’est comme si le plug cherchait à mieux s’adapter.
Je profite avec délectation de ce moment. Courte pause, que ton empressement à gonfler suspend. Le plug semble vouloir me déchirer. Je crie. Tu dégonfles. Je soupire de soulagement. Tu reprends le gonflage avec des doses plus ou moins fortes….Cela continue pendant une bonne vingtaine de minutes.
Je transpire à grosses gouttent. Quand tu retires le plug gonflable, c’est comme un grand vide. Mon cul réclame encore. Tu m’enfiles un plug en acier et m’ordonnes de m’habiller.
- « Dépêches toi, nous partons, me dis tu »
- « où ? »
- « Ne traines pas, tu verras bien. Tu sais tu as de la chance, je t’ai bien préparé ton cul de petite pute. Comme ça tu souffriras moins…Portes le sac noir. ». …….
Tu me fais arrêter la voiture au fond du parking du Campanil. Je t’attends pendant 5mn. Lorsque tu reviens, tu me conduis jusqu’à une chambre située au RDC. La chambre est petite propre….
Je me mets nu. Du sac, tu sors un collier, une corde, des pinces à seins que tu positionnes immédiatement. La morsure me fait durcir les mamelons. Le cock ring lesté est mis autour des testicules. Tu rajoutes des poids aux testicules. J’adore me retrouver avec les testicules qui pendent.
Tu m’attaches les mains ensembles et les assemblent au niveau du collier. Tu me conduis dans le placard avec un bandeau sur les yeux. J y entre debout. Tu refermes la porte du placard.
A cause de la télé qui fonctionne, je ne comprends pas ce qui se passe. Je t’imagine aller chercher un amant pour lui faire l’amour à coté de moi. Cette idée me fait bander. J’ai vraiment envie de me masturber. Ma position m’en empêche.
Le temps me parait infiniment long. La porte du placard s’ouvre. Tu me tires violement dehors.
Tu me pinces les seins. Tes autres mains me torture les testicules…Je réalise que soudain tu es revenue accompagné. Je veux parler. Mais un « Silence » me rappelle que je ne suis plus qu’une chose, votre chose.
- « Ma petite pute va être bien gentil avec François. Tu vas être sa femme pour la nuit…On ne refuse rien à son Maitre. François sera ton maitre….Ne me déçois pas »
Le François en question me juge pendant ce temps. Une grande claque sur les fesses et un ordre bref. « A genoux ». J’obéis.
On pousse mon visage sur son pantalon au niveau du sexe. Je le lèche à travers l’étoffe. On me demande de le sortir. Je défais maladroitement la ceinture et prends en bouche le sexe à moitié bandé. Tu me susurres à l’oreille, que le sexe est beau, grand, énorme. C’est pourquoi tu l’as choisi sur internet. C’est ton scénario et le sien.
Je me rends compte de l’énormité du sexe en essayant de le gober. Les mains jointes autour du cou m’empêchent de le mesurer.
Mes capacités buccales te donnent envie car tu te joins à moi pour le lécher……..
François me fait mettre à quatre pattes sur le lit le cul offert vers l’extérieur. On m’ôte le plug. C’est toi qui introduis son sexe dans mon anus après avoir sucé une dernière fois. Grace à la préparation maison au plug gonflable, la pénétration est non douloureuse. François s’amuse visiblement à sortir complètement et à se réintroduire d’un coup. Il commente mon anus béant. Son sexe semble ne jamais finir de s’introduire. C’est puissant fort, bestial……
Tu prends mon sexe et l’introduits en toi. Je te pénètre au coup de boutoir de François. Nous jouissons ensemble.
François se retire, enlève son préservatif et se répand sur mon dos. Il me présente son sexe à nettoyer. Visiblement cette intermède lui a plut. Car il retrouve une vigueur instantanée. Tu décides d’en profiter et lui demandes de te pénétrer doucement vu la longueur du sexe.
Le bandeau sur les yeux, j’avance à tâtons. Gauchement je suce un sein. Tu agrippes mon sexe et le masturbes nerveusement au gré de ton plaisir. Je me déplace pour que tu puisses me sucer ou me branler. Tes « prends-moi » résonnent dans ma tête. François alterne les positions et les rythmes. Jamais tu ne lâches mon sexe. Tu jouis fort en exultant ta jouissance. J’éjacule dans ta main.
Un bruit de vêtement. Tu t’approches de moi tout habillé.
- « Ce n’est pas fini pour toi. La petite pute va passer la nuit ici. J’emporte toutes tes affaires et te le rendrais demain. J’emporte les cordes et le plug. Je te laisse le collier, poids et pinces. François va faire venir des amis très bien monté selon lui. Je verrai les photos qu’il fera. Je ne sais pas combien ils seront, mais amuses toi bien. Attention, je ne reviendrai que si tu les as tous satisfaits. François est le libre arbitre. J’attends son téléphone. J’ai négocié avec le directeur pour que vous ne soyez pas dérangés. Il a demandé une gâterie en échange, et je ne veux pas lui faire il est trop moche. Il est d’accord que tu lui fasses. Alors appliques toi.
- Passes une bonne nuit et pense à moi…. »
J’ai eu tout juste le temps de te faire un bisou et te dire que je t’aime, que tu es partie. Je pensais sérieusement que tu reviendrais rapidement. La suite a démontré que j’avais tors.
Une fois ton départ, François s’allonge sur le lit et m’ordonne de le sucer. Il passe un ou deux coup de téléphone.
Il m’enlève le bandeau. La lumière m’aveugle au début. J’aperçois mon Maître d’une nuit. La cinquantaine bien conservée, les cheveux grisonnants, je comprends qu’il t’est plu. Il est grand et mince avec un sexe immense et deux petits testicules. Je réalise que tu as emporté tous mes vêtements.
François me fait coucher en travers de ses genoux et commence à me fesser durement. Il alterne les coups forts et les caresses. J’ai les fesses rouges et mords les draps pour ne pas hurler. François s’arrête seulement quand des coups résonnent à la porte.
Un groupe d’homme entre. Deux blacks chauves ou rasés et un beur aux cheveux courts. Ils sont jeunes et musclés et peu avenants. Ils ne me donnent pas envie. Mon sexe se rétracte. François l’aperçoit et entre en colère.
- « cette pute pense que vous n’êtes pas assez bien pour elle. Donnons-lui une bonne leçon. N’oubliez pas je veux vous voir la prendre trois fois au moins chacun… ».
On me tire par les cheveux. Je reçois des claques sur les fesses, on torture mon sexe pendant que l’on me bâillonne avec un sexe. On me pince les seins. Le beur a sorti des bougies et les fait couler sur mon sexe.
Lorsqu’ils sont nus, je ne peux m’empêcher d’admirer leur sexe énorme. On m’encule dans toutes les positions. Ils éjaculent sur moi, le visage les cheveux…..Je ne suis plus qu’un trou qui suce et reçoit des queues énormes…Ils finissent par me conduire à la salle de bain, me font entrer dans la baignoire et me pissent dessus.
Je suis humilié, ne suis plus qu’un dépravé obscène avec du sperme partout. Et pourtant je jouis.
Trois heures se sont écoulés. Ils partent enfin. Je m’endors d’un coup. François me réveille le matin à 7H00. Il veut une fellation. Je m’applique. On frappe à la porte. Je cours ouvrir en pensant à toi.
Je reste stupide devant l’air lubrique du directeur de l’hôtel venant cherchant son dû. Il entre. François l’apostrophe.
-« Cette pute me suçait, voulez vous vous joindre…. »
Le Directeur sort un sexe mou. François m’oblige à le prendre en bouche. Une fois bien dur, François me fait me tourner et offrir mon cul. La sodomie est douloureuse. Je dois sucer pendant ce temps mon Maitre.
Je suis seul quand tu arrives me chercher. Je me jette dans tes bras. Tu me souris. Je t’aime. Dans la voiture, tu me dis que tu t’étais mis d’accord avec François pour qu’il me prête à ses amis pour une tournante dans les caves des cités pendant que vous deux vous…..ton sourire est si narquois que je ne sais si tu te moques de moi…
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