Titre de l'histoire érotique : Véronique et moi

- Par l'auteur HDS Jerinak -
Récit érotique écrit par Jerinak [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : Véronique et moi Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-05-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : Véronique et moi
Véronique et moi

Je vais vous raconter une aventure qui m’est arrivée il y a maintenant de nombreuses années. Malgré mon âge, j’avais déjà pas mal d’expérience ou tout du moins, plus que la majorité des autres de mon âge. A cette époque je jouais au football dans le plus gros club de ma ville. Bien que n’étant pas une star du ballon rond, mon niveau m’a toujours permis de jouer au meilleur niveau pour mon âge. Nous avions au moins trois entrainements par semaine plus un match le weekend. Comme le planning n’était déjà pas assez chargé, notre entraineur avait pour habitude d’organiser des matchs amicaux en cours de semaine si nous n’avions pas championnat ou coupe le weekend. C’est à l’occasion de l’un de ses matchs que se passe cette aventure.

Ce mercredi, nous jouons à domicile pour ce match amical. Nous ne jouons pas dans notre stade habituel mais sur l’un des terrains de notre centre d’entrainement. Comme c’est un mercredi, peu de parents sont présents au match. Le weekend précédent, j’ai pris un mauvais coup sur le haut du genou et en cours de match, j’ai toujours des douleurs. Je demande donc à sortir et mon entraineur me dit d’aller directement à la douche après seulement une dizaine de minutes de jeu. Je boite pas mal et une maman qui est présente, se propose de m’accompagner jusqu’au vestiaire pour me donner de la glace et me donner de la pommade. Nous nous y dirigeons et lorsque nous arrivons, je m’assois et j’enlève mon maillot ainsi que mes chaussettes et mes protège tibia. Elle arrive au vestiaire avec de la glace et elle s’agenouille devant moi pour la poser sur mon genou. A cet instant, j’ai une vue imprenable sur son décolleté. Je la connais depuis pas mal d’années puisque je joue avec son fils depuis un moment mais c’est la première fois que je la regarde avec autant de détail. Véronique à 38 ans. C’est un petite brune d’environ 1m65, avec des cheveux bruns au carrée. Sans être énormes, ses seins sont assez généreux. Elle a un cul un peu trop large à mon gout mais quand même très attirant. Elle ne s’habille pas hyper sexy mais elle est toujours élégante. Elle porte une jupe qui arrive au dessus du genou avec un chemisier, une petite veste et des bottes. Je réalise que c’est une belle petite bourgeoise et qu’elle m’excite. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle je commence à bander. Mon short de foot ne cache pas du tout cette érection qu’elle remarque alors qu’elle tient toujours la glace sur mon genou. Elle a toujours eu son franc parlé mais là, elle va encore plus loin que je ne la pensais capable d’aller.
«
- Tu es sur que c’est au genou que tu as mal ?
- Bah oui tu vois bien qu’il est gonflé.
- Je vois surtout une autre partie de ton corps qui est gonflé.
- Euh oui mais euh, c’est pas ici que j’ai mal.
- C’est moi qui te fais cet effet ?
- Je vois pas d’autres femmes dans le vestiaire.
- Intéressant !
- Comment ça : « intéressant » ?
- Bah je vois que je plais encore, même à des petits jeunes !
- De toute façon tu es mariée alors ça te sert à rien.
- Tu te trompes ! Mon mari est tout le temps en déplacement et puis il faut dire ce qui est, ce n’est pas un dieu au lit alors crois moi, je passe plus de temps avec d’autres hommes qu’avec mon mari !
- Ah oui et avec qui ?
- Dis donc, ca ne te regardes pas ça. Mais il y a des hommes de mon âge et aussi des plus jeunes. Mais jamais aussi jeune que toi.
- Ok. Mais maintenant que tu en as parlé, j’ai mal sous mon short aussi.
- Petit coquin ! Mais ca ne me dérange absolument pas de te soulager. Je dirais même que je peux bien plus facilement soulager cette douleur que celle de ton genou. Et puis j’ai bien envie d’un petit jeune très jeune pour avoir de la chair bien fraiche. »

Sur ces mots, elle lâche la poche de glace et fait avancer ses mains sur mes cuisses jusqu’à atteindre l’élastique de mon short. Elle fait glisser mon short et mon boxer en même temps jusqu’au sol. Elle regarde ma bite qui est bien dure avec envie. Elle attrape enfin ma bite avec sa main et commence à la branler doucement. Puis elle pose sa langue sur mes couilles et les lèche doucement. Après quelques minutes de ce doux traitement, elle gobe ma bite d’un seul coup jusqu’au bout. Aucune femme ne m’avait encore fait ça. Elle me suce avec envie et gourmandise. La chaleur de sa bouche et la situation m’excite énormément. Je suis assis dans le vestiaire avec la mère bourgeoise d’un coéquipier qui est en train de me sucer. Je suis tellement excité que je glisse ma main dans son décolleté. J’y vais assez timidement au départ mais elle prend le temps de me dire de ne surtout pas me gêner. J’agrippe donc l’un de ses seins à pleine main et je le caresse. Elle semble apprécier et elle ouvre son chemisier tout en laissant ma bite dans sa bouche. Elle porte de la lingerie fine de haute gamme. Je peux maintenant tranquillement malaxer cette jolie poitrine. Après plusieurs minutes de pipe et de tripotage de seins, elle me dit qu’il est temps de passer à la vitesse supérieure. J’ai envie de lui faire un cunni mais elle me répond qu’elle couche régulièrement avec un homme de son âge qui lui en fait de parfaits et qu’elle ne veut pas perdre son temps avec un jeune sans trop d’expérience qui ne la fera pas jouir avec sa langue. De plus, la mi-temps approche et nous devons nous dépêcher.

Elle se redresse et se dirige vers la fenêtre du vestiaire afin de surveiller l’arrivé de l’équipe. Je me place derrière elle pendant qu’elle ouvre sa jupe pour la faire tomber au sol. Elle fait également glisser sa culotte à toute vitesse sans que je n’ai le temps de faire quoique ce soit. Elle a vraiment envie mais elle est pressée. Je pose mes mains sur ses hanches assez larges et j’enfonce ma bite dans sa chatte d’un coup sec qui lui arrache un gémissement de plaisir. Je continu de la sauter à un bon rythme. Mon corps claque contre son gros cul et son plaisir augmente tout comme le mien. Le désir et le plaisir prennent le dessus sur moi. Baiser cette MILF me fait beaucoup d’effet et j’accélère la cadence. Je la bourre à toute vitesse. Mon regard est fixé sur son cul qui ondule en même temps que ma bite s’enfonce dans sa chatte. Soudain je l’entends me dire que c’est la mi-temps et qu’il faut que l’on arrête. Mais je veux absolument me vider en elle. Elle veut se dégager mais je la plaque au mur et je la prends encore plus fort. Je m’agrippe à son cul. Même si elle a très peur de se faire prendre (au sens de se faire surprendre par les autres pas de se faire baiser !) elle se laisse aller tout en me suppliant de faire vite. Etant donné la vitesse de ma pénétration et le fais qu’elle ma sucer de très longues minutes avant, je ne tarde pas à gicler dans sa chatte. Nous entendons la porte du couloir principal s’ouvrir. Je la laisse sur place, la culotte et la jupe sur les pieds avec mon sperme dans la chatte et je cours sous la douche. Elle a à peine le temps de se rhabiller que la porte du vestiaire s’ouvre. J’entends le coach lui dire :
«
- Ah vous êtes encore là.
- Oui je ne trouvais pas la pommade alors je lui ai d’abord apporté la glace puis je suis retourné la chercher pendant qu’il prend sa douche mais il traine !
- Et son genou ?
- J’ai réussi à le soulager mais je ne suis pas magicienne, il n’est pas près pour rejouer tout de suite ! »

Elle a ensuite quitté le vestiaire. Lorsque je suis sorti des douches, il y avait encore mes coéquipiers qui écoutaient les dernières consignes du coach. Je me suis habillé tranquillement alors que le match reprenait. Je suis retourné au bord du terrain où j’ai vu Véronique qui discutait avec d’autres parents comme si de rien n’était alors que ça chatte était remplie de sperme. Elle m’a jeté un regard en me faisant un grand sourire. Je ne l’ai jamais rebaiser. En fait ce n’est pas faute d’avoir essayé mais elle n’a jamais voulu. En revanche, j’ai récemment appris en discutant avec certains de mes anciens coéquipiers, que je ne suis pas le seul de l’équipe à avoir été soigné par Véronique au cours des années qui ont suivies ! N’hésité pas à me contacter par mail : Mcfps@hotmail.fr ou à rejoindre le groupe Facebook : Fans des histoires de Jerinak.

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