Toi...
Récit érotique écrit par Grenouille V [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-06-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Toi...
Au départ, tu m’aimais bien. Plus tu me côtoyais, plus tu appréciais ma compagnie. Tu me trouvais charmante et dynamique, tu en étais même à apprécier mon sens de l’humour cru et dépravé. Tu trouvais que nous nous ressemblions. Même avec notre différence d’âge, tu considérais ma présence comme divertissante et anodine.
Jusqu’au jour où tu as compris. Tu as réalisé que j’étais jeune. Que lorsque j’enlevais l’étau de mon soutien-gorge, la gravité n’avait pas encore atteint mon corps. Tu as d’ailleurs remarqué que j’avais davantage d’attribues que toi. Tu t’es imaginé comme ce devait être magique d’avoir encore ce vagin qu’aucun enfant avait étiré, surtout pas trois de bonnes tailles comme les tiens. Tu t’es attardée sur mon visage. Tu n’as pas encore réussie à trouver de rides, ni même un seul cerne. Toi, tes enfants te causent bien des cernes et des cheveux gris. Et tu as laissé ta pensée divaguer vers le fait que j’étais probablement épilée, chose que tu n’avais jamais eu le temps ni le courage de faire. Tu commençais à ressentir de la jalousie.
Jusqu’au moment où tu as réalisé que ton mari avait déjà remarqué tout ça. Il avait saisi la subtilité de mes formes. Il avait respiré l’odeur de la jeunesse sur ma peau, et s’était imaginé comme mon entre-jambe devait en sentir tout autant. Il se doutait à quel point il serait difficile de pénétrer mon corps, serré et doux. Et toi tu observais, tu comprenais.
Tu t’es imaginée lui sur moi. Sa bouche sur mon sexe. La mienne qui s’occupait de faire grossir la queue de ton mari pour mieux l’insérer. Tu t’es remémorée l’épais livre de kama sutra que tu avais subtilement feuilleté à la librairie, morte de honte. Tu nous as vus, dans toutes ces positions, s’offrant l’un à l’autre sans scrupule, sans aucune honte.
Et c’est à ce moment que tu as commencé à ressentir du plaisir. Ta culotte mouillait, ça coulait le long de tes jambes. Tu avais envie de mettre la main sur ton clitoris en feu. Tu ne comprenais plus ton corps, tout ce que tu voyais, c’était les yeux de ton mari dévorer le miens et boire mes paroles. Ça t’excitait. Tu rêvais maintenant de nous voir baiser, de coller toi aussi ta bouche sur mon sexe, de venir constater à quel point il était serré et doux, pas comme le tiens. Tu voulais lécher la jeunesse sur mon corps en espérant en récupérer qu’un petit peu pour rajeunir toi aussi.
Tu as du partir. Retourner à ta vie. Peut-être te masturberas-tu en t’imaginant tout ce que je pourrais te faire. Mais tu sais bien qu’au fond de toi, tu n’es pas jalouse que ton mari s’intéresse à moi, tu es jalouse parce que je choisirai sa bite au lieu de toi…
Jusqu’au jour où tu as compris. Tu as réalisé que j’étais jeune. Que lorsque j’enlevais l’étau de mon soutien-gorge, la gravité n’avait pas encore atteint mon corps. Tu as d’ailleurs remarqué que j’avais davantage d’attribues que toi. Tu t’es imaginé comme ce devait être magique d’avoir encore ce vagin qu’aucun enfant avait étiré, surtout pas trois de bonnes tailles comme les tiens. Tu t’es attardée sur mon visage. Tu n’as pas encore réussie à trouver de rides, ni même un seul cerne. Toi, tes enfants te causent bien des cernes et des cheveux gris. Et tu as laissé ta pensée divaguer vers le fait que j’étais probablement épilée, chose que tu n’avais jamais eu le temps ni le courage de faire. Tu commençais à ressentir de la jalousie.
Jusqu’au moment où tu as réalisé que ton mari avait déjà remarqué tout ça. Il avait saisi la subtilité de mes formes. Il avait respiré l’odeur de la jeunesse sur ma peau, et s’était imaginé comme mon entre-jambe devait en sentir tout autant. Il se doutait à quel point il serait difficile de pénétrer mon corps, serré et doux. Et toi tu observais, tu comprenais.
Tu t’es imaginée lui sur moi. Sa bouche sur mon sexe. La mienne qui s’occupait de faire grossir la queue de ton mari pour mieux l’insérer. Tu t’es remémorée l’épais livre de kama sutra que tu avais subtilement feuilleté à la librairie, morte de honte. Tu nous as vus, dans toutes ces positions, s’offrant l’un à l’autre sans scrupule, sans aucune honte.
Et c’est à ce moment que tu as commencé à ressentir du plaisir. Ta culotte mouillait, ça coulait le long de tes jambes. Tu avais envie de mettre la main sur ton clitoris en feu. Tu ne comprenais plus ton corps, tout ce que tu voyais, c’était les yeux de ton mari dévorer le miens et boire mes paroles. Ça t’excitait. Tu rêvais maintenant de nous voir baiser, de coller toi aussi ta bouche sur mon sexe, de venir constater à quel point il était serré et doux, pas comme le tiens. Tu voulais lécher la jeunesse sur mon corps en espérant en récupérer qu’un petit peu pour rajeunir toi aussi.
Tu as du partir. Retourner à ta vie. Peut-être te masturberas-tu en t’imaginant tout ce que je pourrais te faire. Mais tu sais bien qu’au fond de toi, tu n’es pas jalouse que ton mari s’intéresse à moi, tu es jalouse parce que je choisirai sa bite au lieu de toi…
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