Toi, Moi et ton amant africain (épisode 2)
Récit érotique écrit par PourMaCherie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-11-2008 dans la catégorie Dominants et dominés
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Toi, Moi et ton amant africain (épisode 2)
Mon amour, que j'aime admirer ta peau laiteuse sous tes sous-vêtements blancs, presque transparents! Tu es belle, tes petits seins pointus dont la pointe dure n'attend qu'une bouche pour la lécher, la mordiller, la pincer des lèvres...
J'ai envie de toi, en te regardant alanguie sur notre lit, quasi-nue. J'aimerais que tu portes tes bas noirs, qui soulignent si joliment l'albâtre du creux de tes cuisses, mais tu refuses, invoquant la chaleur étouffante de l'été. Tu as bien sûr raison, mais j'aime tellement te voir vêtue de bas et porte-jarretelles que j'en viens à attendre l'hiver avec la plus grande impatience! Tu as l'air presque innocente, rêveuse, plongée dans ton roman. Je m'approche tendrement et j'embrasse tes fesses rondes avec légereté, tel un petit papillon. Puis, avec gourmandise, j'accentue mes baisers, remontant sur ta hanche.
Je redescends bientôt dans le creux si sensible de ton bas-ventre, à la lisière de l'élastique tendu de ton tanga, qui s'écarte juste assez de ta peau pour me permettre d'y glisser une langue inquisitrice. Tu frissonnes...
Je remonte vers ton nombril, mais ta main se pose bientôt sur ma nuque, flattant doucement mes cheveux pour me guider où tu veux maintenant ma bouche. Je descends, pinçant la chair du bout des dents, jusqu'à ta petite culotte diaphane, et je pose ma bouche sur le tissu léger. Tu t'allonges sur le dos et tu écartes les cuisses, pour que je me mette à genoux entre les tiens. Ma bouche descend sur le coton si fin, et je sens ta peau qui se tend de désir. J'embrasse ta motte lisse, dont tout poil a été soigneusement supprimé récemment, sous ce tissu protecteur et coquin.
Tu commences à mouiller et j'adore cette odeur de désir féminin, je prends le coeur de ton sexe à pleine bouche et je le masse de ma langue, de mes lèvres, de mes mâchoires, sans te blesser de mes dents...
"Lèches-moi..." murmures-tu, supplies-tu, ordonnes-tu. Tu veux ma langue en toi...
En méchant garçon que je suis, je fais semblant de ne pas comprendre ton envie, pour t'obliger à réclamer, encore...
"Bouffes-moi la chatte" stridules-tu d'une respiration haletante... Je ne peux pas résister quand tu as autant envie de sexe.
Je me redresse pour t'ôter ta petite culotte, mais tu refuses d'un geste. Tu souhaites rester ainsi, légèrement vêtue, prête pour Moussa, ton amant africain. J'ai accepté qu'il te baise, chez nous, dans notre lit. Mais que pouvais-je y faire, une fois ta décision prise? Alors, j'écarte le tissu sur le côté et je lape tendrement ton sexe.
Aimes-tu ma langue en toi, qui entre profond, écartant bien les parois de cette petite chatte que j'aime tant pénétrer de ma langue, de mes doigts, de ma queue? Oui, tu aimes... ton dos s'arque, mais tu résistes... tu ne veux pas jouir, mais simplement te préparer, pour être très excitée tout à l'heure. Tu veux pouvoir accueillir cette grosse queue noire dont tu m'as parlé, avec tant de plaisir dans tes yeux, souvent, comme je te baisais. Ca fait quelques semaines que tu l'as rencontré. Ca fait quelques semaines qu'il t'élargit la chatte régulièrement, à mon grand dam, et, je l'avoue, pour mon plus grand plaisir coupable, quand tu rentres dégoulinante de sperme et que tu exiges que je te nettoie de ma langue avant de jouir sur tes seins de petite salope.
Mais ce soir, c'est la première fois qu'il va te prendre chez nous. Tu le veux, tu l'exiges... et j'accepte avec plaisir.
Dans la chambre d'amis, j'ai branché mon ordinateur, et dans la nôtre plusieurs webcams bien cachées cadrent l'ensemble de la chambre, et tout particulièrement notre lit. Je veux me masturber en regardant de membre massif qui te plait tant, et qui me fascine par conséquent, qui écartèle la chair rose de ta petite chatte de salope. Je veux le voir enfourner sa grosse bite de renoi dans ta bouche et jouir dans ta grotte d'amour. Je veux l'entendre te traiter de petite pute blanche. Et ensuite, quand il sera parti, je viendrais à toi, amoureux, et je lècherais chaque centimètre carré de ta peau souillée.
Puis je te prendrais avec amour... ma chérie.
J'ai envie de toi, en te regardant alanguie sur notre lit, quasi-nue. J'aimerais que tu portes tes bas noirs, qui soulignent si joliment l'albâtre du creux de tes cuisses, mais tu refuses, invoquant la chaleur étouffante de l'été. Tu as bien sûr raison, mais j'aime tellement te voir vêtue de bas et porte-jarretelles que j'en viens à attendre l'hiver avec la plus grande impatience! Tu as l'air presque innocente, rêveuse, plongée dans ton roman. Je m'approche tendrement et j'embrasse tes fesses rondes avec légereté, tel un petit papillon. Puis, avec gourmandise, j'accentue mes baisers, remontant sur ta hanche.
Je redescends bientôt dans le creux si sensible de ton bas-ventre, à la lisière de l'élastique tendu de ton tanga, qui s'écarte juste assez de ta peau pour me permettre d'y glisser une langue inquisitrice. Tu frissonnes...
Je remonte vers ton nombril, mais ta main se pose bientôt sur ma nuque, flattant doucement mes cheveux pour me guider où tu veux maintenant ma bouche. Je descends, pinçant la chair du bout des dents, jusqu'à ta petite culotte diaphane, et je pose ma bouche sur le tissu léger. Tu t'allonges sur le dos et tu écartes les cuisses, pour que je me mette à genoux entre les tiens. Ma bouche descend sur le coton si fin, et je sens ta peau qui se tend de désir. J'embrasse ta motte lisse, dont tout poil a été soigneusement supprimé récemment, sous ce tissu protecteur et coquin.
Tu commences à mouiller et j'adore cette odeur de désir féminin, je prends le coeur de ton sexe à pleine bouche et je le masse de ma langue, de mes lèvres, de mes mâchoires, sans te blesser de mes dents...
"Lèches-moi..." murmures-tu, supplies-tu, ordonnes-tu. Tu veux ma langue en toi...
En méchant garçon que je suis, je fais semblant de ne pas comprendre ton envie, pour t'obliger à réclamer, encore...
"Bouffes-moi la chatte" stridules-tu d'une respiration haletante... Je ne peux pas résister quand tu as autant envie de sexe.
Je me redresse pour t'ôter ta petite culotte, mais tu refuses d'un geste. Tu souhaites rester ainsi, légèrement vêtue, prête pour Moussa, ton amant africain. J'ai accepté qu'il te baise, chez nous, dans notre lit. Mais que pouvais-je y faire, une fois ta décision prise? Alors, j'écarte le tissu sur le côté et je lape tendrement ton sexe.
Aimes-tu ma langue en toi, qui entre profond, écartant bien les parois de cette petite chatte que j'aime tant pénétrer de ma langue, de mes doigts, de ma queue? Oui, tu aimes... ton dos s'arque, mais tu résistes... tu ne veux pas jouir, mais simplement te préparer, pour être très excitée tout à l'heure. Tu veux pouvoir accueillir cette grosse queue noire dont tu m'as parlé, avec tant de plaisir dans tes yeux, souvent, comme je te baisais. Ca fait quelques semaines que tu l'as rencontré. Ca fait quelques semaines qu'il t'élargit la chatte régulièrement, à mon grand dam, et, je l'avoue, pour mon plus grand plaisir coupable, quand tu rentres dégoulinante de sperme et que tu exiges que je te nettoie de ma langue avant de jouir sur tes seins de petite salope.
Mais ce soir, c'est la première fois qu'il va te prendre chez nous. Tu le veux, tu l'exiges... et j'accepte avec plaisir.
Dans la chambre d'amis, j'ai branché mon ordinateur, et dans la nôtre plusieurs webcams bien cachées cadrent l'ensemble de la chambre, et tout particulièrement notre lit. Je veux me masturber en regardant de membre massif qui te plait tant, et qui me fascine par conséquent, qui écartèle la chair rose de ta petite chatte de salope. Je veux le voir enfourner sa grosse bite de renoi dans ta bouche et jouir dans ta grotte d'amour. Je veux l'entendre te traiter de petite pute blanche. Et ensuite, quand il sera parti, je viendrais à toi, amoureux, et je lècherais chaque centimètre carré de ta peau souillée.
Puis je te prendrais avec amour... ma chérie.
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