Toi, tu vas m'appartenir! 1/2
Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Toi, tu vas m'appartenir! 1/2
Plus macho, arrogant, vicieux que Farid tu meurs!
Ce rebeu de 30 ans se croit le maître du Monde, enfin surtout du quartier de la cité.
Eté comme hiver il porte ses lunettes de soleil cachant ses yeux, il adore s'habiller classe, dernier survêt à la mode est son lot, at avec son allure, sa musculature il se croit irrésistible. Lorsqu'il a jeté son dévolu sur quelqu'un il faut que cette personne passe au bout de son zob qui est fort appréciable il est vrai. Et il peut s'agir d'une meuf comme d'un mec, bien que pour niquer et se faire sucer il préfère les mecs, plus endurants selon lui...
Il essaie de s'incruster dans différents groupes et malgré ses menaces il n'est admis dans aucun. En bloc les rebeus le rejettent... alors il a commencé à s'en prendre au reste de la population et des échecs il en a connu car certains mecs ne se laissaient pas dominer et lui mettaient leur poing dans la gueule faisant rire la meute de rebeus qui ne cessaient de l'observer.
Cet après-midi ensoleillé, il est assis sur son banc favori dans le petit square de la cité là où les mamans conduisent les enfants pour jouer la journée, car la nuit tombée il se passent d'autres choses plus hard que les bambins qui jouent.
Farid veut dominer. Depuis une bonne semaine il a repéré un mec la trentaine comme lui qu'il voyait rentrer du boulot, bien saper, costume cravate et quand il a vu le petit cul serré dans le pantalon son zob à fait un bond.
Il lui fallait ce mec!
Il ne le voyait pas partir le matin au boulot, ben oui Farid ne se lève pas aux aurores!
Mais depuis une semaine il l'observait lorsqu'il rentrait. Il l'a vu prendre son courrier dans la boîte aux lettres et vu son nom accolé à celui d'une meuf.
Son sourire vicieux est apparu, un hétéro à mettre au bout de sa queue!
Il repense au petit cul de ce mec châtain, son visage il s'en fout, mais il a vu qu'il avait de belles lèvres qui devraient bien s'entendre avec son zob.
Il reçoit comme un coup au cœur quand il voit le mec arriver dans le square, tenant par les épaules une jeune femme blonde, ils se regardent amoureusement, marchent en parlant. Ils passent devant lui comme s'ils ne l'avaient pas vu.
Et ce comportement horripile Farid! Ils n'ont même pas eu un regard dans sa direction!
Ils vont s'installer sur le banc un peu plus loin et s'embrassent comme des amoureux qu'ils doivent être. Ils rigolent en se regardant dans les yeux, Farid voit bien une main de SON mec passer sous le tee-shirt de la fille et lui caresser la poitrine. Elle glousse en offrant ses lèvres et sa main vient caresser le sexe du garçon.
Ils se regardent, se sourient, s'embrassent... la fille dit quelque chose au garçon qui opine de la tête, se relève en tirant la fille par la main et les voilà repartis vers la tour... Farid ne peut s'empêcher de voir que le mec bande et qu'apparemment il a une belle trique.
Ils repassent devant lui sans lui accorder un regard et filent rapidement dans l'entrée de la tour.
Ils vont baiser pense Farid, et moi j'ai qu'à me branler putain de salope de meuf!
Ce n'est que le lundi soir suivant que Farid prend ses quartiers dans le hall de l'immeuble désert pour une fois et voit arriver SON mec qui le regarde rapidement sans sourire, ouvre sa boîte aux lettres, prend son courrier et part vers l'ascenseur.
Tel un prédateur qu'il est, Farid lui emboîte le pas.
Le beau mec amoureux ne fait pas attention à lui, ce n'est pas la première fois qu'il va prendre l'ascenseur avec un ou plusieurs rebeus. Il n'appréhende pas!
Ils sont côte à côte devant la porte d'ascenseur qui traîne à arriver. Farid s'impatiente. La porte s'ouvre, il laisse entrer le céfran qui lui fait un petit signe de tête comme pour le remercier.
Farid appuie sur le 15, le céfran sur le 17.
L'ascenseur monte lentement. Farid le mate à travers ses lunettes de soleil qu'il n'a pas retiré, appuyé sur la paroi, sa jambe repliée. Il toise le céfran de son air arrogant. Il est juste à côté du panneau où sont les boutons des étages.
Il laisse passer une dizaine d'étages, tend la main et appuie sur le bouton pour bloquer l'ascenseur qui s'arrête entre deux étages, réveillant le céfran de ses pensées. Il regarde le rebeu interloqué par ce qu'il vient de faire, mais n'a pas le temps de réagir plus que le rebeu se redresse, son nez touche presque le sien. Il sourit intérieurement en pensant encore un rebeu qui se prend pour un macho.
Les poings serrent sa veste et le redressent en le collant sur la paroi quand il sent une jambe du rebeu passer entre les siennes lui écrasant le sexe.
Il veut quoi ce mec ? Quand même pas baiser dans l'ascenseur ? pense t-il.
Comme si le rebeu avait lu dans ses pensées, son corps s'appesantit sur le sien, d'abord torse contre torse, collant son tee-shirt à sa chemise légère et il sent la chaleur du rebeu se répandre. Son nez touche le sien, le céfran serre des lèvres et respire difficilement par le nez, quand la voix de mâle rebeu se fait entendre :
-toi! tu vas m'appartenir ma belle salope!
Ses mains tiennent celles du rebeu qui serrent toujours son veston, mais maintenant son bassin vient se coller au sien et là il rougit le céfran, enfin c'est ce qu'il pense en sentant la chaleur envahir sa tête, la sueur coule dans ses cheveux, car le rebeu bande, il en est sûr, il sent bien ce gros barreau se frotter à sa cuisse.
Sans rien dire, toujours en le fixant à travers ses lunettes noires, le rebeu frotte son zob de plus en plus appuyé. C'est la première fois que cela arrive au céfran, bon en étant jeune il a bien joué à touche pipi avec des potes, ils se branlaient mutuellement mais aurait bien voulu aller plus loin.
Là il comprend que le mec bande pour lui, car son sexe ne débande pas et il ne comprend pas ce qui lui arrive, car malgré son appréhension, il sent le sien se réveiller comme s'il était content d'être frotté par un autre sexe.
Il est excité, excité qu'un mec le soit pour lui! Mais qu'est ce qui m'arrive ? pense t-il.
-t'as déjà sucé un rebeu le céfran ? demande Farid.
Il fait non de la tête, il ne peut pas parler tellement sa gorge est sèche.
-t'as meuf te suce ?
-ça arrive balbutie t-il.
-touche mon zob mec!
Le céfran ne sait pas quoi faire exactement mais il sait qu'il a envie en même temps de le toucher, alors sa main part à l'aventure le long du tee-shirt du rebeu, sans quitter des yeux les lunettes noires.
Il sent le corps dur du rebeu à travers le tee-shirt, la chaleur qu'il communique, sa main descend en épousant le flanc, touche le pantalon et timidement vient vers le devant. Le rebeu se tourne légèrement et à travers le tissu le céfran touche cette grosse barre dure qui palpite dans ses doigts.
Il en ouvre la bouche de stupéfaction.
-sors là mec!
Comme s'il avait fait ça toute sa vie, sa main glisse dans le survêt, touchant pour la première fois la peau nu, lisse, brûlante du rebeu, ses doigts rencontrent les poils pubiens et cela commence à l'électriser et quand ses doigts se referment sur le gros zob circoncis c'est le céfran qui gémit en fermant les yeux.
Putain de morceau pense t-il en le serrant. Il fait bouger sa main pour mettre le zob à l'air et pouvoir mieux s'en saisir.
Il constate que ses doigts ne font pas le tour de cette queue brûlante, il caresse le gland, essayant de "voir" avec ses doigts à quoi ressemble un sexe circoncis! Il en a bien vu en photos, en vidéos mais jamais touché et il est excité, il bande le céfran, il aimerait bien que le rebeu touche sa queue.
Mais le rebeu est toujours son nez contre le sien.
-tu veux voir mon zob de plus près le céfran, agenouille toi!
Et en disant cela il appuie sur ses épaules, il se laisse faire, car il comprend qu'il est curieux de le voir et l'envie lui vient tout seul de vouloir le goûter!
Agenouillé il voit le gros zob devant ses yeux, la forêt de poils noirs frisés, l'odeur de sexe, de cul même pense t-il et de sperme...
Le rebeu baisse son boxer, libérant les grosses couilles poilues et le céfran s'empare de la queue, la branle rapidement pour voir la mouille couler du méat qui s'ouvre encore et encore! Lui sait qu'il aime quand il mouille que sa meuf donne des coups de langue, alors il en fait autant, faisant sursauter le rebeu, qui sourit!
J'le savais qu'c'était une pute qui s'ignore ce bouffon!
Il sait qu'il a gagné et qu'il faut qu'il fasse plaisir au céfran pour l'amener dans son lit.
Les lèvres du céfran recouvrent son gland, sa langue s'active et ce que le rebeu ne sait pas, c'est qu'il reproduit ce que sa meuf lui fait!
Il le laisse faire, ne veut pas l'étouffer avec ses 24 cm x 8... s'il veut qu'il revienne volontairement!
Certes la pipe n'est pas en gorge profonde, mais il y met de la volonté le céfran, l'inondant de salive, l'aspirant en tournant autour, et ses doigts passent dans ses poils pubiens... Il sent que la jute arrive et que la gorge de cette belle salope va être baptisée dans pas longtemps!
Il bloque la tête, ne s'enfonce pas, laisse juste son gland sur la langue et le céfran referme bien ses lèvres dessus.
La première giclée arrive et s'il savait ce que le céfran pense, il n'en reviendrait pas! Ma meuf avale tout, alors je dois y arriver!
Si la première giclée coule rapidement en lui, il n'en revient pas du goût, mais il n'a pas le temps de réfléchir que les autres giclées arrivent aussi fournies et aussi onctueuses. Il en avale une bonne partie avant de se mettre à tousser et de recracher sur le sol de l'ascenseur!
Le rebeu ne dit rien, le relève, se colle à lui et sa main vient caresser sa queue.
Son nez s'est recollé au sien :
-t'es doué ma belle salope, mais tu manques d'entraînement, va falloir remédier à ça!
Le céfran n'entend pas vraiment les paroles prononcées, il est concentré sur la main du rebeu qui a ouvert sa braguette, masse sa belle queue à travers son boxer et finit par passer sa main dedans, sortant sa queue à l'air libre.
-t'as une belle queue le céfran, chaude, dure.
Il n'en revient pas de la douceur de la main de ce rebeu arrogant, qui caresse sa queue de haut en bas, la décalottant, passant sa paume sur le gland, lui arrachant un petit cri...
-t'es beau le céfran et tu vas juter de ma main!
Il sent les doigts envelopper ses couilles les serrer, le faisant gémir en ouvrant la bouche, mais il sait qu'il est bien dans les bras de ce mâle viril, rien à voir avec sa meuf qui est toute douceur. Là il aime ses gestes brusques, le décalottant au maximum. Il sent que son sexe coule, il mouille beaucoup le garçon et là il est vraiment excité par le rebeu.
Il n'arrête pas de fixer le rebeu, essayant de voir à travers ses lunettes, la bouche entrouverte, il pense en boucle, "embrasse moi mec, donne moi ta langue!"
La main s'agite sur sa queue, le rebeu se met un peu de côté, cela va de plus en plus vite, sa queue se raidit, durcit encore plus, les souffles se mélangent, le céfran ferme les yeux et le plaisir arrive dans un long râle. Il ne voit pas la première giclée et son râle est stoppé par les lèvres du rebeu qui s'emparent des siennes et la bonne langue rebeu vient jouer avec la sienne.
Les mains du céfran entourent le corps et le serrent contre lui. Il aspire la langue, boit sa salive, donne la sienne qui revient dans bouche, et il n'arrête pas de juter, la main du rebeu a ralenti sur sa belle bite, mais on dirait qu'il veut l'essorer.
Ils reprennent leur souffle en se regardant, la main du rebeu pleine de son sperme s'approche :
-lèche ma belle salope, nos spermes vont se mélanger dans ton estomac!
Il avait des yeux de soumis quand il a sorti sa langue pour bien nettoyer la main, léchant les doigts un par un, ne quittant pas le regard absent du rebeu à travers ses lunettes.
-rhabille toi! dit la voix du rebeu.
Le céfran remet ses vêtements en ordre, pendant que le rebeu remonte juste son survêt cachant son zob aux yeux du céfran qui semble déçu car la main du céfran vient le caresser.
-toi t'en veux encore, j'habite au 15 et toi au 17, je suis à l'appart 1221, je t'attends ce soir à 20 heures, ne soit pas en retard si tu veux que je sois gentil!
-mais ma copine va poser des questions dit il tout bas.
Le rebeu remet en route l'ascenseur qui s'arrête quelques instants après. Le rebeu ouvre la porte...
-démerde toi le céfran et sois à l'heure, pas la peine de t'habiller beaucoup!
Il laisse la porte se refermer et l'ascenseur repartir.
Farid se dirige vers son appartement en souriant.
Je ne pensais pas que cela allait être si facile, encore un céfran qui s'ignore!
Mais le rebeu macho sent comme quelque chose de nouveau avec ce mec, dont il ne connait même pas le prénom!
Il va l'initier à ses vices et en faire SA salope!
Encore deux heures à tenir!
Ce rebeu de 30 ans se croit le maître du Monde, enfin surtout du quartier de la cité.
Eté comme hiver il porte ses lunettes de soleil cachant ses yeux, il adore s'habiller classe, dernier survêt à la mode est son lot, at avec son allure, sa musculature il se croit irrésistible. Lorsqu'il a jeté son dévolu sur quelqu'un il faut que cette personne passe au bout de son zob qui est fort appréciable il est vrai. Et il peut s'agir d'une meuf comme d'un mec, bien que pour niquer et se faire sucer il préfère les mecs, plus endurants selon lui...
Il essaie de s'incruster dans différents groupes et malgré ses menaces il n'est admis dans aucun. En bloc les rebeus le rejettent... alors il a commencé à s'en prendre au reste de la population et des échecs il en a connu car certains mecs ne se laissaient pas dominer et lui mettaient leur poing dans la gueule faisant rire la meute de rebeus qui ne cessaient de l'observer.
Cet après-midi ensoleillé, il est assis sur son banc favori dans le petit square de la cité là où les mamans conduisent les enfants pour jouer la journée, car la nuit tombée il se passent d'autres choses plus hard que les bambins qui jouent.
Farid veut dominer. Depuis une bonne semaine il a repéré un mec la trentaine comme lui qu'il voyait rentrer du boulot, bien saper, costume cravate et quand il a vu le petit cul serré dans le pantalon son zob à fait un bond.
Il lui fallait ce mec!
Il ne le voyait pas partir le matin au boulot, ben oui Farid ne se lève pas aux aurores!
Mais depuis une semaine il l'observait lorsqu'il rentrait. Il l'a vu prendre son courrier dans la boîte aux lettres et vu son nom accolé à celui d'une meuf.
Son sourire vicieux est apparu, un hétéro à mettre au bout de sa queue!
Il repense au petit cul de ce mec châtain, son visage il s'en fout, mais il a vu qu'il avait de belles lèvres qui devraient bien s'entendre avec son zob.
Il reçoit comme un coup au cœur quand il voit le mec arriver dans le square, tenant par les épaules une jeune femme blonde, ils se regardent amoureusement, marchent en parlant. Ils passent devant lui comme s'ils ne l'avaient pas vu.
Et ce comportement horripile Farid! Ils n'ont même pas eu un regard dans sa direction!
Ils vont s'installer sur le banc un peu plus loin et s'embrassent comme des amoureux qu'ils doivent être. Ils rigolent en se regardant dans les yeux, Farid voit bien une main de SON mec passer sous le tee-shirt de la fille et lui caresser la poitrine. Elle glousse en offrant ses lèvres et sa main vient caresser le sexe du garçon.
Ils se regardent, se sourient, s'embrassent... la fille dit quelque chose au garçon qui opine de la tête, se relève en tirant la fille par la main et les voilà repartis vers la tour... Farid ne peut s'empêcher de voir que le mec bande et qu'apparemment il a une belle trique.
Ils repassent devant lui sans lui accorder un regard et filent rapidement dans l'entrée de la tour.
Ils vont baiser pense Farid, et moi j'ai qu'à me branler putain de salope de meuf!
Ce n'est que le lundi soir suivant que Farid prend ses quartiers dans le hall de l'immeuble désert pour une fois et voit arriver SON mec qui le regarde rapidement sans sourire, ouvre sa boîte aux lettres, prend son courrier et part vers l'ascenseur.
Tel un prédateur qu'il est, Farid lui emboîte le pas.
Le beau mec amoureux ne fait pas attention à lui, ce n'est pas la première fois qu'il va prendre l'ascenseur avec un ou plusieurs rebeus. Il n'appréhende pas!
Ils sont côte à côte devant la porte d'ascenseur qui traîne à arriver. Farid s'impatiente. La porte s'ouvre, il laisse entrer le céfran qui lui fait un petit signe de tête comme pour le remercier.
Farid appuie sur le 15, le céfran sur le 17.
L'ascenseur monte lentement. Farid le mate à travers ses lunettes de soleil qu'il n'a pas retiré, appuyé sur la paroi, sa jambe repliée. Il toise le céfran de son air arrogant. Il est juste à côté du panneau où sont les boutons des étages.
Il laisse passer une dizaine d'étages, tend la main et appuie sur le bouton pour bloquer l'ascenseur qui s'arrête entre deux étages, réveillant le céfran de ses pensées. Il regarde le rebeu interloqué par ce qu'il vient de faire, mais n'a pas le temps de réagir plus que le rebeu se redresse, son nez touche presque le sien. Il sourit intérieurement en pensant encore un rebeu qui se prend pour un macho.
Les poings serrent sa veste et le redressent en le collant sur la paroi quand il sent une jambe du rebeu passer entre les siennes lui écrasant le sexe.
Il veut quoi ce mec ? Quand même pas baiser dans l'ascenseur ? pense t-il.
Comme si le rebeu avait lu dans ses pensées, son corps s'appesantit sur le sien, d'abord torse contre torse, collant son tee-shirt à sa chemise légère et il sent la chaleur du rebeu se répandre. Son nez touche le sien, le céfran serre des lèvres et respire difficilement par le nez, quand la voix de mâle rebeu se fait entendre :
-toi! tu vas m'appartenir ma belle salope!
Ses mains tiennent celles du rebeu qui serrent toujours son veston, mais maintenant son bassin vient se coller au sien et là il rougit le céfran, enfin c'est ce qu'il pense en sentant la chaleur envahir sa tête, la sueur coule dans ses cheveux, car le rebeu bande, il en est sûr, il sent bien ce gros barreau se frotter à sa cuisse.
Sans rien dire, toujours en le fixant à travers ses lunettes noires, le rebeu frotte son zob de plus en plus appuyé. C'est la première fois que cela arrive au céfran, bon en étant jeune il a bien joué à touche pipi avec des potes, ils se branlaient mutuellement mais aurait bien voulu aller plus loin.
Là il comprend que le mec bande pour lui, car son sexe ne débande pas et il ne comprend pas ce qui lui arrive, car malgré son appréhension, il sent le sien se réveiller comme s'il était content d'être frotté par un autre sexe.
Il est excité, excité qu'un mec le soit pour lui! Mais qu'est ce qui m'arrive ? pense t-il.
-t'as déjà sucé un rebeu le céfran ? demande Farid.
Il fait non de la tête, il ne peut pas parler tellement sa gorge est sèche.
-t'as meuf te suce ?
-ça arrive balbutie t-il.
-touche mon zob mec!
Le céfran ne sait pas quoi faire exactement mais il sait qu'il a envie en même temps de le toucher, alors sa main part à l'aventure le long du tee-shirt du rebeu, sans quitter des yeux les lunettes noires.
Il sent le corps dur du rebeu à travers le tee-shirt, la chaleur qu'il communique, sa main descend en épousant le flanc, touche le pantalon et timidement vient vers le devant. Le rebeu se tourne légèrement et à travers le tissu le céfran touche cette grosse barre dure qui palpite dans ses doigts.
Il en ouvre la bouche de stupéfaction.
-sors là mec!
Comme s'il avait fait ça toute sa vie, sa main glisse dans le survêt, touchant pour la première fois la peau nu, lisse, brûlante du rebeu, ses doigts rencontrent les poils pubiens et cela commence à l'électriser et quand ses doigts se referment sur le gros zob circoncis c'est le céfran qui gémit en fermant les yeux.
Putain de morceau pense t-il en le serrant. Il fait bouger sa main pour mettre le zob à l'air et pouvoir mieux s'en saisir.
Il constate que ses doigts ne font pas le tour de cette queue brûlante, il caresse le gland, essayant de "voir" avec ses doigts à quoi ressemble un sexe circoncis! Il en a bien vu en photos, en vidéos mais jamais touché et il est excité, il bande le céfran, il aimerait bien que le rebeu touche sa queue.
Mais le rebeu est toujours son nez contre le sien.
-tu veux voir mon zob de plus près le céfran, agenouille toi!
Et en disant cela il appuie sur ses épaules, il se laisse faire, car il comprend qu'il est curieux de le voir et l'envie lui vient tout seul de vouloir le goûter!
Agenouillé il voit le gros zob devant ses yeux, la forêt de poils noirs frisés, l'odeur de sexe, de cul même pense t-il et de sperme...
Le rebeu baisse son boxer, libérant les grosses couilles poilues et le céfran s'empare de la queue, la branle rapidement pour voir la mouille couler du méat qui s'ouvre encore et encore! Lui sait qu'il aime quand il mouille que sa meuf donne des coups de langue, alors il en fait autant, faisant sursauter le rebeu, qui sourit!
J'le savais qu'c'était une pute qui s'ignore ce bouffon!
Il sait qu'il a gagné et qu'il faut qu'il fasse plaisir au céfran pour l'amener dans son lit.
Les lèvres du céfran recouvrent son gland, sa langue s'active et ce que le rebeu ne sait pas, c'est qu'il reproduit ce que sa meuf lui fait!
Il le laisse faire, ne veut pas l'étouffer avec ses 24 cm x 8... s'il veut qu'il revienne volontairement!
Certes la pipe n'est pas en gorge profonde, mais il y met de la volonté le céfran, l'inondant de salive, l'aspirant en tournant autour, et ses doigts passent dans ses poils pubiens... Il sent que la jute arrive et que la gorge de cette belle salope va être baptisée dans pas longtemps!
Il bloque la tête, ne s'enfonce pas, laisse juste son gland sur la langue et le céfran referme bien ses lèvres dessus.
La première giclée arrive et s'il savait ce que le céfran pense, il n'en reviendrait pas! Ma meuf avale tout, alors je dois y arriver!
Si la première giclée coule rapidement en lui, il n'en revient pas du goût, mais il n'a pas le temps de réfléchir que les autres giclées arrivent aussi fournies et aussi onctueuses. Il en avale une bonne partie avant de se mettre à tousser et de recracher sur le sol de l'ascenseur!
Le rebeu ne dit rien, le relève, se colle à lui et sa main vient caresser sa queue.
Son nez s'est recollé au sien :
-t'es doué ma belle salope, mais tu manques d'entraînement, va falloir remédier à ça!
Le céfran n'entend pas vraiment les paroles prononcées, il est concentré sur la main du rebeu qui a ouvert sa braguette, masse sa belle queue à travers son boxer et finit par passer sa main dedans, sortant sa queue à l'air libre.
-t'as une belle queue le céfran, chaude, dure.
Il n'en revient pas de la douceur de la main de ce rebeu arrogant, qui caresse sa queue de haut en bas, la décalottant, passant sa paume sur le gland, lui arrachant un petit cri...
-t'es beau le céfran et tu vas juter de ma main!
Il sent les doigts envelopper ses couilles les serrer, le faisant gémir en ouvrant la bouche, mais il sait qu'il est bien dans les bras de ce mâle viril, rien à voir avec sa meuf qui est toute douceur. Là il aime ses gestes brusques, le décalottant au maximum. Il sent que son sexe coule, il mouille beaucoup le garçon et là il est vraiment excité par le rebeu.
Il n'arrête pas de fixer le rebeu, essayant de voir à travers ses lunettes, la bouche entrouverte, il pense en boucle, "embrasse moi mec, donne moi ta langue!"
La main s'agite sur sa queue, le rebeu se met un peu de côté, cela va de plus en plus vite, sa queue se raidit, durcit encore plus, les souffles se mélangent, le céfran ferme les yeux et le plaisir arrive dans un long râle. Il ne voit pas la première giclée et son râle est stoppé par les lèvres du rebeu qui s'emparent des siennes et la bonne langue rebeu vient jouer avec la sienne.
Les mains du céfran entourent le corps et le serrent contre lui. Il aspire la langue, boit sa salive, donne la sienne qui revient dans bouche, et il n'arrête pas de juter, la main du rebeu a ralenti sur sa belle bite, mais on dirait qu'il veut l'essorer.
Ils reprennent leur souffle en se regardant, la main du rebeu pleine de son sperme s'approche :
-lèche ma belle salope, nos spermes vont se mélanger dans ton estomac!
Il avait des yeux de soumis quand il a sorti sa langue pour bien nettoyer la main, léchant les doigts un par un, ne quittant pas le regard absent du rebeu à travers ses lunettes.
-rhabille toi! dit la voix du rebeu.
Le céfran remet ses vêtements en ordre, pendant que le rebeu remonte juste son survêt cachant son zob aux yeux du céfran qui semble déçu car la main du céfran vient le caresser.
-toi t'en veux encore, j'habite au 15 et toi au 17, je suis à l'appart 1221, je t'attends ce soir à 20 heures, ne soit pas en retard si tu veux que je sois gentil!
-mais ma copine va poser des questions dit il tout bas.
Le rebeu remet en route l'ascenseur qui s'arrête quelques instants après. Le rebeu ouvre la porte...
-démerde toi le céfran et sois à l'heure, pas la peine de t'habiller beaucoup!
Il laisse la porte se refermer et l'ascenseur repartir.
Farid se dirige vers son appartement en souriant.
Je ne pensais pas que cela allait être si facile, encore un céfran qui s'ignore!
Mais le rebeu macho sent comme quelque chose de nouveau avec ce mec, dont il ne connait même pas le prénom!
Il va l'initier à ses vices et en faire SA salope!
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