Toi, tu vas m'appartenir! 2/2 - histoire érotique

En rentrant chez lui retrouver sa copine, Ivan se sent coupable d'avoir fait ce qu'il a fait avec ce rebeu, se laisser faire comme ça... surtout pense t-il comme si j'en avais eu envie!

Mais il se refait le film sous la douche et veut se faire croire qu'il a cédé sous la pression du rebeu, mais une autre idée revient qu'en fait s'il l'a fait c'est bien qu'il en avait envie!
Qu'est ce que je vais inventer pour sortir ce soir ? pense t-il, car cela le taraude et le fait rougir quand il comprend qu'il préfère mentir à sa copine que de refuser d'aller chez ce rebeu!
Il a trouvé quel mensonge dire, sans la regarder dans les yeux... mais il n'a pas tellement fait attention à son regard de femme jalouse qui se demandait si son mec n'allait pas retrouver une autre femme!

Enfin à 20 heures pétantes, il donnait un bref coup de sonnette à la porte 1221 et la porte s'ouvre presqu'immédiatement sur le rebeu, toujours avec ses lunettes noires. Mais Ivan sourit, il sait qu'il est content d'être là, d'être près de ce mec chaud qui l'a si bien fait jouir avec sa main, et lui faire lécher son sperme! Il avait adoré comme il avait adoré le sucer!

Le rebeu ne semble plus être le même que dans l'ascenseur, même s'il est toujours autant arrogant. Il passe sa main dans le cou d'Ivan pour le coller à lui :
-alors il est venu pour la deuxième tournée ma belle salope ? alors t'as aimé goûter au rebeu ?
-oui souffle Ivan en baissant la tête.
-alors il veut faire quoi la petite pute de service ?
-ce que tu veux dit tout bas Ivan.
-t'as pas peur ?
-t'es pas méchant, je le sais! dit Ivan en cherchant encore son regard dans les lunettes noires.

Sa main vient caresser la joue du rebeu, tendrement comme il fait à sa meuf.
-et si le rebeu veut me dire comment il s'appelle, moi c'est Ivan.
-moi c'est Farid dit le rebeu en se redressant fièrement et toi Ivan t'es ma salope!

Machinalement les bras d'Ivan enveloppent le corps de Farid, et il se colle à lui, la tête dans son épaule.
Farid le respire.
-t'as pris une douche ?
-oui dit Ivan, pas toi ?
-non je t'attendais, j'aime bien que mes salopes me lavent!
-eh bien allons y dit Ivan tout sourire.
-d'abord tu te fous à poils et après tu me déshabilles!

Pourquoi il était venu ? Pourquoi il voulait obéir à tout ?

Mais Ivan a déshabillé le rebeu Farid, enlevant son tee-shirt, les effluves du rebeu les enveloppent, odeur de mâle, de sueur, mais surtout l'odeur du rebeu en rut. Il se surprend à observer le corps de Farid légèrement poilu, une peau bronzée, des tétons bien dessinés, proéminents qui pointent, un peu comme ceux de sa meuf pense t-il en souriant. Il passe une main sur le torse, l'effleurant, scrutant la peau douce qui lui transmet sa chaleur, les abdos se devinent sous la peau et les poils. Il caresse des deux mains maintenant et il bande d'avoir ce corps de rebeu sous les mains.

Il s'agenouille, défait les TN, les retire, l'effluve n'est plus la même, il sent un peu, beaucoup des pieds le rebeu! Il retire les chaussettes, les jette au loin. Il descend le pantalon de survêt et observe les cuisses poilues, pleines de petits poils qui frisent, les cuisses sont musclées, bronzées comme le torse, les mollets durs et de grands pieds aux orteils bien dessinés.

Ses yeux reviennent au boxer qui renferme le trésor rebeu...
Il le tire d'un coup sec libérant le gros zob qui lui arrive devant la bouche.
Il ne sait pas ce qu'il lui prend, mais il s'entend dire :
-bonsoir toi! content de te revoir!

Il fait un bisou au gland toujours dur, fait retirer complètement le boxer, se redresse et ils sont nus tous les deux au milieu de la pièce à se fixer par lunettes interposées!
Ivan a fait un pas vers lui, posant une main sur son épaule, pendant que sa queue touchait le zob de Farid. La main est remontée sur sa joue, l'enveloppant, pour prendre les lunettes par une branche, en disant tout bas :
-il FAUT que tu retires tes lunettes pour la douche Farid, tu permets que je les enlève?

Jamais Farid n'a quitté ses lunettes lorsqu'il était avec une salope, alors pourquoi il accepte ce soir là ?

Il se laisse faire, Ivan replie les lunettes, les pose sur le petit meuble, redresse la tête et vient plonger son regard dans celui du rebeu, qui subitement perd tous ses moyens!
Ses mains prennent Ivan aux hanches et le rapprochent de lui pour que leurs sexes s'écrasent amoureusement.
Les mains d'Ivan prennent ses joues doucement, sans quitter les yeux marrons clairs du rebeu, de beaux yeux doux, tendres qui ne vont pas avec l'agressivité dont il a fait acte cet après-midi.

Ses yeux verts plongent dans les yeux marrons, les lèvres se rapprochent, les souffles se mélangent, les mains de Farid caressent son dos, ses fesses qu'il apprécie car il revient sur le sujet mais il est troublé par le baiser du céfran qui s'empare de ses lèvres tendrement, mordille sa lèvre supérieure les faisant gémir tous les deux, pendant que les corps deviennent inséparables tellement ils sont collés.

Et la langue de ce maudit céfran vient chercher celle de Farid et c'est la guerre autant avec les langues qu'avec les mains.
Ils se caressent les corps, Ivan touche les fesses du rebeu qui se laisse faire, quand Farid passe dans la raie d'Ivan, il en fait autant dans la sienne. Quand il tâte l'anus, le doigt fouineur d'Ivan en fait autant. Si Ivan ne tend pas vraiment son cul, Farid se surprend lui à le faire.
Les corps se frottent, les queues roulent l'une sur l'autre mélangeant leurs mouilles qui coulent en abondance.

Ivan arrête de l'embrasser, le regarde en souriant et un sourire se fait sur le visage du rebeu pour la première fois.
-je croyais que tu voulais prendre une douche ? dit Ivan d'un air coquin.
Farid s'est laissé faire dans sa grande douche, laissant Ivan aux doigts magiques passer partout où il voulait. Mais sentir ses caresses sur tout son corps était magique, jamais un céfran ne lui avait fait cela!
Ils bandaient tous les deux et évitaient de se toucher la queue de peur de juter trop rapidement.

Ivan a lavé le devant du rebeu, le savonnant à outrance, faisant rire Farid :
-mais j'suis pas si sale que ça quand même!
Mais il se laissait frotter partout, et quand il a nettoyé son zob il a bien cru qu'il allait juté mais Ivan s'est arrêté à temps.

Un autre moment fort quand Ivan lui a frotté l'arrière, commençant par les épaules qu'il massait en fait, le dos où il s'est attardé longtemps, les fesses, qu'il a aimé frotter, caresser, passer son doigt savonneux dans la raie et voir que Farid tendait son cul. Il en a profité sans vraiment le vouloir mais a été surpris quand Farid l'a laissé faire. Son index a glissé dans l'anus serré qui s'ouvrait facilement.

Il n'avait jamais pu sodomiser sa copine, car elle hurlait que cela lui faisait trop mal.

Quand il s'est redressé pour rincer le corps magnifique de Farid qui lui tournait toujours le dos, il a fallu qu'il se penche pour attraper la pomme de douche et sa queue est venue se positionner comme si elle en avait l'habitude dans la raie du rebeu qui a vraiment reculé dessus bloquant Ivan sur la paroi.

Il arrache la pomme de douche des mains d'Ivan, qu'il met autour de son corps, tourne la tête, fixe Ivan :
-toi t'as jamais niqué un cul ?
-non dit Ivan.
-alors nique moi le céfran, profites en car je ne l'offre pas à tout le monde, mais nique moi comme un mâle, pas comme une tapette, faut qu'ça claque sur mon cul, j'veux la sentir ta belle queue le céfran! Mais avant bouffe le mon cul, ce soir il est à toi, je ne sais pas si je te l'offrirais une autre fois!

Il avait déjà bouffé le cul de sa copine, alors cela ne lui faisait pas peur de bouffer celui de Farid qui s'offrait. Si celui de sa copine ne s'ouvrait pas, celui du rebeu s'est ouvert comme une fleur au printemps sous les coups de langue d'Ivan qui ne lésinait pas sur la salive, son doigt qui allait plus profond et quand il a mis deux doigts, Farid a gémi comme une salope heureuse de se faire trouer par son mâle.

Les rôles sont inversés pense Ivan en se redressant.
S'il connait les gestes qu'il faut faire, la pratique n'est pas vraiment là. Mais Farid aide, ouvre bien ses fesses et Ivan voit son gland rouge, décalotté être absorbé par le cul vorace du rebeu...

Il est mâle Ivan et a toujours aimé dominer sa meuf dans leurs ébats, alors il en fait autant avec Farid, le prend aux hanches, les serrant bien entre ses doigts raides et d'un coup de reins fait entrer sa belle queue au fond du cul du rebeu qui hurle sous la douche mais ne cherche pas à se sauver. Il se penche encore plus et Ivan peut commencer ses va-et-vient, en douceur tout d'abord que Farid s'habitue et sa bestialité ressort. Les coups deviennent plus secs, plus forts et effectivement ça claque sur les fesses du rebeu qui n'arrête pas de pousser de petits cris, des gémissements.

Ivan sent le plaisir arriver. C'est la première fois qu'il va juter dans un cul de garçon et en plus un rebeu! Il sent ses giclées se répandre dans le conduit, revenir envelopper sa queue, la réchauffer comme si elle en avait besoin. Jamais il n'a juté autant dans ce cul qui serre sa queue comme s'il voulait l'étrangler.

Le rebeu se redresse serrant toujours sa queue, se colle à Ivan, prend sa main et la pose sur zon zob.
-branle moi Ivan, tu niques comme un rebeu mec!
Une main sur les couilles, l'autre sur le zob, la sienne au fond du cul, il a branlé le rebeu fortement, oh pas longtemps, les cris sont revenus, ses fesses se sont contractées encore plus sur sa queue et le rebeu a joui, de longues giclées qu'Ivan voyait couler sur la paroi de la douche.

Quand tout s'est calmé, le zob s'amollissait, Ivan a présenté ses doigts à Farid, pleins de son sperme et Farid a léché comme lui l'avait fait dans l'ascenseur.
Se libérant de la queue d'Ivan, Farid se retourne pour le prendre dans ses bras et immédiatement sa bouche cherche la sienne...
Le baiser est plus que passionné, les langues se caressent, les salives coulent, débordent des bouches!
-viens je t'emmène dans mon lit Ivan!

Ils se sont séchés rapidement pour aller s'allonger sur le lit.
Ivan ne se reconnaissait pas d'être si content de s'allonger avec un mec dans un lit, un mec qui s'était remis à bander, bander pour lui. Farid l'a pris dans ses bras s'étonnant lui-même de tant de délicatesse avec cette salope de céfran, non pas cette salope pense t-il, ce beau mec qu'il a envie de...

Mais il ne réfléchit plus, le corps d'Ivan se colle au sien, c'est lui qui passe une jambe entre les siennes, prend son zob qui raidit encore plus et le place juste à côté de sa queue, et Ivan roule sur lui, le dominant lui le rebeu macho!

Il l'embrasse passionnément, lui offre sa langue, va chercher la sienne pour la lécher, le regarde, sourit, caresse son visage, lui fait les yeux doux et tendrement lui dit :
-en fait c'est beau un mec! T'es mon premier mec et j'ai l'impression de tout savoir avec toi!
Farid le fait rouler sur le lit pour reprendre le dessus :
-oui c'est beau un mec surtout quand il bande pour un autre mec, que sa queue est dure et que l'autre mec l'apprécie car tu ne sais pas Ivan mais tu m'as épaté moi Farid le rebeu, j'en reviens pas de la façon dont tu m'as niqué!
-j'ai fait comme tu m'as dit, mais j'ai dû y aller trop durement non ?
-non Ivan tout était bien!

Et c'est au tour de Farid de l'embrasser passionnément, de frotter son corps au sien, de faire bouger leurs queues l'une sur l'autre déversant encore leur mouille!
-mais maintenant tu veux m'enculer Farid ?
-tu l'as déjà fait Ivan ? demande doucement Farid.
-non jamais et j'ai peur tu sais...
-je m'en doute dit Farid en lui faisant de petits bisous, mais on va prendre notre temps, je veux que tu connaisses ce plaisir mais pour qu'il y ait plaisir il faut prendre son temps!
-tu sais que j'ai ma meuf qui m'attend!
-je veux juter encore avec toi et tu vas rentrer je te le promets, mais tu reviendras j'en suis sûr pour me laver sous la douche Ivan, j'ai adoré!

Ivan rigole.
-mais ce soir avant que tu partes je vais te bouffer le cul, te montrer ce plaisir, je te promet pour cette première leçon de ne pas mettre mon doigt ni mon zob, on le fera Ivan quand je verrais que tu es prêt!
C'est Ivan qui a attiré Farid pour encore une salade langues. Il adorait la langue de ce rebeu comme il adorait sa queue, son corps chaud, doux et maintenant son regard de beau mec qui ne le quittait pas comme s'il voulait graver son visage dans sa mémoire.
-tu vas lever tes jambes Ivan et me montrer ce petit cul tout neuf qui m'a fait bander la première fois quand je t'ai aperçu dans le hall.

Ivan a obéi en tout et Farid a tenu sa promesse... mais rien qu'avec une langue au cul qu'est ce qu'il a gémi Ivan.
Quand la langue qu'il connait bien maintenant est passée rapidement dans la raie, ne s'arrêtant pas sur son anus, il a senti des frissons le parcourir. Les mains chaudes du rebeu caressaient ses fesses, les écartant au maximum et Farid s'est amusé à faire des bisous sur les fesses, rapprochant ses lèvres de l'anus plissé, fermé, clos!

Quand les lèvres sont entrées en contact avec la peau fine de l'anus, Farid a aimé le goûter et surtout d'entendre Ivan gémir longuement! Sa langue est entrée en action, déversant sa salive, forçant l'anus récalcitrant, il léchait, remettait de la salive, durcissait le bout de sa langue et à force de persévérance, il voit le petit trou s'ouvrir. C'est le moment de mettre les doigts... mais il se retient, il a promis!

Qu'est ce qui m'arrive pense Farid en replongeant sur l'anus pour le lécher et sentir qu'il s'ouvrait de plus en plus. Il le regardait heureux des progrès de son élève.
-essaie de mettre un doigt dit la voix d'Ivan.
-t'es sûr ? demande Farid en relevant la tête.
-oui Farid, fouille moi!
Consciencieusement Farid a bien humidifié son doigt, gratouillant l'anus devenu souple, il fait tomber de la salive et avec son index force pour la faire entrer. Il voit l'anus s'ouvrir sur son doigt et la première phalange entre suivit d'un petit cri d'Ivan.

Farid fait des bisous à la fesse et son doigt s'enfonce lentement, il caresse cette paroi chaude qui devrait voir son zob bientôt. Il adore ce moment là quand il découvre un nouveau cul, d'habitude il n'est pas si tendre, ni si patient, ses doigts entrent en premier et le zob n'est pas loin pour achever la pute!
Il doigte lentement le cul d'Ivan qui râle en cadence.

Il voit les couilles se rétracter autour de la queue qu'il mate en redressant la tête, cette queue toute décalottée laisse couler la mouille et inonde son ventre.
Il retire son doigt, s'empare rapidement de la queue, se l'enfonce dans la bouche bien à fond, bousculant sa luette, se faisant tousser, cracher et pipe le céfran comme si il n'allait jamais le revoir et Ivan jouit en gueulant que c'est bon.

Ivan a fait jouir le rebeu encore une fois et il l'a mis à la porte en lui demandant de revenir le lendemain.
Quand il est rentré vers 22 heures, la soupe à la grimace l'attendait. Il voyait bien que sa meuf faisait la gueule.
Et elle l'a fait pendant plusieurs jours, semaines car son Ivan disparaissait de plus en plus souvent et de plus en plus longtemps!
Un soir quand il est rentré, elle avait fait ses valises... il ne l'a jamais revue et n'a même pas cherché à l'appeler!

Il était heureux avec son rebeu qui avait changé sa vie, mais il avait changé la vie de Farid, qui ne mettait plus ses lunettes de soleil pour commencer, et était devenu sympa avec ses collègues rebeus qui n'en revenaient pas de le voir si guilleret.

Farid était devenu accro à Ivan, amoureux même car certains soirs il laissait échapper un "je t'aime mon céfran adoré"!
Farid avait tenu ses promesses, il l'avait niqué mais au bout d'une semaine quand tous ses doigts eurent visités son cul, sa langue touchait sa paroi et il gueulait.
Comme il a hurlé la première fois que le zob l'a troué.

Il peinait déjà à sucer ce gros zob, alors quand il est entré en lui, il a bien cru qu'il était déchiré complètement. Mais Farid n'a jamais été aussi doux, patient que ce soir là et lui a prouvé qu'il tenait à lui... énormément.

Par contre il voulait se faire niquer par Ivan le plus souvent possible, il gueulait sa race aussi quand la belle queue d'Ivan voyageait dans son conduit mais il était heureux, surtout quand Ivan, sa queue au fond de son cul, lui glissait à l'oreille d'un ton dur et moqueur :
-toi, tu vas m'appartenir!