Ton retour 1
Récit érotique écrit par Elajamh [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-07-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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Ton retour 1
Je suis allée te chercher à la gare de Villefranche. Ca faisait une petite demi-heure que j’attendais sur un banc, un peu tremblante à cause du froid et aussi par l’excitation. Je suis assise les fesses sur le haut du dossier et je me réfugie dans ma veste.
Dans la précipitation, je ne me suis pas assez habillée et je le regrette. J’étais perdue dans mes pensées à me remémorer tout ce qu’on s’est dit et la façon dont j’ai imaginé nos retrouvailles, j’ai alors souris et je me suis fait aborder par des jeunes qui squattaient. Un grand noir tout sec me demande si j’ai des cigarettes et du feu, je lui réponds que non d’une manière assez sèche mais il continue à me parler de tout et de rien. Par politesse, je lui réponds tout en regardant le tableau des arrivées. Ton train est annoncé, mon cœur se serre, mon souffle s’accélère … Je sais que je dois me calmer sinon mon traitement va me pénaliser et je veux être parfaite quand tu vas sortir du train. Je sais que de toute façon, je vais rougir et je vais sûrement avoir les larmes aux yeux. Je remets mes cheveux, me lève du banc d’un pas décidé et répète les quelques phrases que j’ai préparé depuis longtemps déjà. A peine ai-je posé le 2ème pied à terre que le gars m’attrape par la manche et me dis : « oh ! J’étais en train de te parler ! Tu connais la politesse ?! » Sous la surprise, je retombe lourdement sur le banc et me relève aussitôt en me dégageant de l’emprise. Je m’éloigne et je descends les escaliers rapidement pour rejoindre le quai n°2 ou tu vas arriver. A la fin de l’escalier, je me retrouve dans le couloir souterrain et en me retournant pour vérifier qu’il ne m’ait pas suivie, je rentre violemment dans quelqu’un. Sous la surprise, je tombe sur les fesses et mon sac me retombe sur la main. Je n’ai pas le temps de relever la tête que tu t’es agenouillé pour ramasser mon sac et tu m’as glissé à l’oreille « n’abîme pas ton cul, j’en aurais besoin tout à l’heure ». Tu te recule et ton sourire, ton parfum et l’éclat dans tes yeux m’apaise de suite. Tu me tends la main et me relève très rapidement. Tu me tire en même temps contre toi et me prends dans tes bras. Je passe mes bras autour de ton cou et réfugie ma tête dans ton épaule…. Je souris et je peux enfin articuler quelque chose : « quel romantique !! » Tu pouffe légèrement de rire et nous restons serrés dans les bras l’un de l’autre pendant encore quelques minutes. Quand tu desserre lentement ton étreinte, tu poses tes mains sur mes joues et tu m’embrasse avec douceur et intensité voire violence en même temps. Je gémis car tes mains sont glacées. Tu enlèves tes mains et je grimace : « ah ! Mais tes mains sont gelées !! » - « Tsss ! Ne commence pas à râler ! ». Je commence alors à marcher. « Oui mais tes mains sont gelées, c’est pas de ma faute non plus !! ». Tu m’agrippe par le bras et me ramène au plus près de toi sans pour autant que nous nous touchions. Tu me soulève légèrement le bras pour que je ne puisse pas m’arracher à ton étreinte. Tes lèvres sont à quelque millimètre, la, devant moi … Je sens ton corps si près du mien, mon cœur s’emballe, ma respiration s’accélère … Tu me chuchote en me fixant du regard : « Dès que tu râle, tu te prendras une fessée… » La lueur dans ton regard me dis que tu ne plaisante pas et que tu projette déjà dans mon appartement. « Tu te fous de moi là ?!? » - « Et de trois… ». Tu remontes ta main libre vers mes yeux et présente 3 doigts. Je déplace très légèrement mon regard pour regarder tes doigts que tu agites en souriant. Je sens tes yeux qui ne quittent pas mon visage… « Tu en a déjà trois à ton compteur puce … ». Le simple fait d’entendre ce mot sortir de ta bouche me rend toute chose mais la flamme dans ton regard s’intensifie et me ramène très vite à la réalité. J’ai chaud, très chaud… « Trois ?? D’où j’en ai déjà… ». Je me tais car je sais que j’aggrave mon propre cas. « Quatre maintenant, continue car moi ça me plaît mais toi … ». Ton sourire et ton regard se sont transformés pour que je me sente comme une proie, piégée …. J’ai le souffle coupé de ce que tu viens de me faire comprendre … Tu me fais du chantage ???? Je suis bouche bée et je commence à articuler quelque chose mais je me ravise. Tu me regarde, tu me lâche le bras et tu recule. Avec ce même sourire de dominateur, tu me dis : « je vois que tu as compris, on y va maintenant ? ». Tu me passe devant avec tes sacs et je reste encore surprise, sur place. Tu fais quelques pas ; tu te retournes et me dis : « tu viens ou.. ? ». Je suis tellement interdite que je n’ai pas encore avancé. Tu reviens alors vers moi et ta main droite vient se loger derrière ma nuque et tu penches tes lèvres vers mon oreille. Je me raidis pour te signifier que je ne suis pas à ta merci, bien que mon corps et ma tête pense l’inverse…
Dans la précipitation, je ne me suis pas assez habillée et je le regrette. J’étais perdue dans mes pensées à me remémorer tout ce qu’on s’est dit et la façon dont j’ai imaginé nos retrouvailles, j’ai alors souris et je me suis fait aborder par des jeunes qui squattaient. Un grand noir tout sec me demande si j’ai des cigarettes et du feu, je lui réponds que non d’une manière assez sèche mais il continue à me parler de tout et de rien. Par politesse, je lui réponds tout en regardant le tableau des arrivées. Ton train est annoncé, mon cœur se serre, mon souffle s’accélère … Je sais que je dois me calmer sinon mon traitement va me pénaliser et je veux être parfaite quand tu vas sortir du train. Je sais que de toute façon, je vais rougir et je vais sûrement avoir les larmes aux yeux. Je remets mes cheveux, me lève du banc d’un pas décidé et répète les quelques phrases que j’ai préparé depuis longtemps déjà. A peine ai-je posé le 2ème pied à terre que le gars m’attrape par la manche et me dis : « oh ! J’étais en train de te parler ! Tu connais la politesse ?! » Sous la surprise, je retombe lourdement sur le banc et me relève aussitôt en me dégageant de l’emprise. Je m’éloigne et je descends les escaliers rapidement pour rejoindre le quai n°2 ou tu vas arriver. A la fin de l’escalier, je me retrouve dans le couloir souterrain et en me retournant pour vérifier qu’il ne m’ait pas suivie, je rentre violemment dans quelqu’un. Sous la surprise, je tombe sur les fesses et mon sac me retombe sur la main. Je n’ai pas le temps de relever la tête que tu t’es agenouillé pour ramasser mon sac et tu m’as glissé à l’oreille « n’abîme pas ton cul, j’en aurais besoin tout à l’heure ». Tu te recule et ton sourire, ton parfum et l’éclat dans tes yeux m’apaise de suite. Tu me tends la main et me relève très rapidement. Tu me tire en même temps contre toi et me prends dans tes bras. Je passe mes bras autour de ton cou et réfugie ma tête dans ton épaule…. Je souris et je peux enfin articuler quelque chose : « quel romantique !! » Tu pouffe légèrement de rire et nous restons serrés dans les bras l’un de l’autre pendant encore quelques minutes. Quand tu desserre lentement ton étreinte, tu poses tes mains sur mes joues et tu m’embrasse avec douceur et intensité voire violence en même temps. Je gémis car tes mains sont glacées. Tu enlèves tes mains et je grimace : « ah ! Mais tes mains sont gelées !! » - « Tsss ! Ne commence pas à râler ! ». Je commence alors à marcher. « Oui mais tes mains sont gelées, c’est pas de ma faute non plus !! ». Tu m’agrippe par le bras et me ramène au plus près de toi sans pour autant que nous nous touchions. Tu me soulève légèrement le bras pour que je ne puisse pas m’arracher à ton étreinte. Tes lèvres sont à quelque millimètre, la, devant moi … Je sens ton corps si près du mien, mon cœur s’emballe, ma respiration s’accélère … Tu me chuchote en me fixant du regard : « Dès que tu râle, tu te prendras une fessée… » La lueur dans ton regard me dis que tu ne plaisante pas et que tu projette déjà dans mon appartement. « Tu te fous de moi là ?!? » - « Et de trois… ». Tu remontes ta main libre vers mes yeux et présente 3 doigts. Je déplace très légèrement mon regard pour regarder tes doigts que tu agites en souriant. Je sens tes yeux qui ne quittent pas mon visage… « Tu en a déjà trois à ton compteur puce … ». Le simple fait d’entendre ce mot sortir de ta bouche me rend toute chose mais la flamme dans ton regard s’intensifie et me ramène très vite à la réalité. J’ai chaud, très chaud… « Trois ?? D’où j’en ai déjà… ». Je me tais car je sais que j’aggrave mon propre cas. « Quatre maintenant, continue car moi ça me plaît mais toi … ». Ton sourire et ton regard se sont transformés pour que je me sente comme une proie, piégée …. J’ai le souffle coupé de ce que tu viens de me faire comprendre … Tu me fais du chantage ???? Je suis bouche bée et je commence à articuler quelque chose mais je me ravise. Tu me regarde, tu me lâche le bras et tu recule. Avec ce même sourire de dominateur, tu me dis : « je vois que tu as compris, on y va maintenant ? ». Tu me passe devant avec tes sacs et je reste encore surprise, sur place. Tu fais quelques pas ; tu te retournes et me dis : « tu viens ou.. ? ». Je suis tellement interdite que je n’ai pas encore avancé. Tu reviens alors vers moi et ta main droite vient se loger derrière ma nuque et tu penches tes lèvres vers mon oreille. Je me raidis pour te signifier que je ne suis pas à ta merci, bien que mon corps et ma tête pense l’inverse…
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