Touche mon matos.

Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Touche mon matos.
Georgio petit mec brun de 30 ans est un timide, un grand timide depuis toujours.
Un gros mot le fait rougir, entendre parler de cul en blaguant le fait rougir et quand la discussion vient sur les pédés, l'homophobie il ne sait plus où se mettre.
Personne ne lui connait une relation et cela ne les étonne pas tellement sa timidité est apparente. Certaines filles du boulot ont bien essayé de le dévergonder en l'invitant au restaurant le soir, mais il a toujours décliné en devenant rouge comme une tomate bien mûre.
Alors plus personne ne l'invite, il reste dans son coin et mâte ce qu'il lui fait envie du coin de l'œil en espérant que cela ne se remarque pas.
Et ce qu'il mâte, tant au boulot que dans la rue sont les mecs... en général les mecs blonds, c'est ceux qu'il préfèrent, des cheveux un peu longs, un corps mince, une entrejambe gonflée et le soir c'est la branlette assurée devant les réseaux sociaux.
S'il est puceau de partout, il en connait un rayon sur les réseaux sociaux le soir, seul devant son écran, ouvrant sa cam il sort son sexe et s'exhibe en regardant les mecs en faire autant. Les micros sont branchés et il donne des ordres...
Il est le Maître du virtuel.
Ce soir là en rentrant chez lui, il repense au jeune qui vient d'être embauché, ce jeune qui correspond tout à fait à ses fantasmes. Une beauté qui l'a fait bander instantanément et cette beauté s'appelle Fernand, 25 ans au compteur a t-il lu sur son C.V. auquel il a accès avec son boulot. Il est passé de bureau en bureau pour voir le travail que tout le monde faisait et il a pu le mater à loisirs et il avait l'air d'avoir tout ce qu'il faut là où il faut.
C'est son collègue Gérard qui est venu lui présenter, et il commencé à rougir quand leurs mains se sont rencontrées et serrées fermement. Il n'a pas écouté vraiment ce qui se disait et Fernand est reparti.
Il allait imaginer Fernand nu, le mettre à la place d'un de ces mecs qui s'exhibent et lui donner des ordres... pour se branler et jouir comme il en a envie.
Le soir après le dîner, il se branche direct sur son appli préférée et constate que plusieurs mecs sont déjà présents. Ils regardent les profiles et en trouve un qui semble correspondre à ce qu'il veut. Il le branche, les présentations sont vite faites, on s'en fout du nom, de l'âge, c'est la queue, le cul d'intéressant... le reste c'est du baratin.
Là Georgio n'est plus timide.
-ça te dérange si je t'appelle Fernand ? demande t-il au mec qui est assis à un bureau, un blond toujours habillé.
-si ça peut te faire plaisir.
-et d'obéir à tout ce que je vais te demander et je promets de te faire juter en beauté.
-allons y dit le mec en rigolant.
-d'abord je ne veux pas voir ta tête, mais uniquement ton torse d'abord que tu vas mettre nu.
Et le corps de ce blond apparait, bon il est un peu maigre mais putain les tétons pointent déjà.
-tripote tes tétons, fais les encore durcir plus en les pinçant entre tes doigts, pense que c'est moi qui te fais ça, celui que tu aimes!
Le mec obéit et commence à se tortiller sur son fauteuil en gémissant.
-enlève ton pantalon et montre moi ta misérable queue!
Le mec enlève son pantalon de survêt et apparait nu faisant sursauter Georgio tellement la queue est ravissante, il s'en doutait qu'elle n'était pas grosse, mais elle est magnifique, juste comme il aime...
Lui se dévoile à la caméra, sans montrer sa tête et fait admirer son engin de 22 cm, un énorme boudin dont ses doigts ne font pas le tour.
-la vache dit le pseudo Fernand, celle là j'aimerais bien l'avoir dans mon petit cul de pédé.
-tu te fais baiser ?
-oh putain le plus souvent que je peux dit le mec en rigolant et plus c'est gros et long meilleur c'est! Toi j'aimerais te sucer, avaler ta grosse queue qui commence à couler, boire ton jus avant que tu me la mettes dans le cul d'un seul coup de reins, j'aime quand c'est brutal que le mec me baise bien à fond.
-montre ton cul de salope alors !
Le mec ne se fait pas prier. Il bouge sa caméra vers un lit, fait des réglages et le cul apparait en gros plan, un cul bien ouvert dans une raie imberbe. L'anus est là palpitant.
-doigte toi avec deux doigts de suite dit Georgio en prenant sa queue en main.
Il voit les doigts glisser dans la raie, se poser sur l'anus et entrer comme dans une motte de beurre mou. Et les doigts voyagent de plus en plus vite au rythme de ses va-et-vient sur sa queue...
Il bande, il est excité, le mec se dresse les doigts au fond de son cul et lui montre qu'il se branle en même temps que lui.
C'est le silence des deux côtés de l'écran jusqu'à leurs cris simultanés quand ils déchargent tous les deux de longues giclées de sperme chaud.
Georgio coupe rapidement son écran et va se coucher, pas pour dormir, mais pour refaire le film dans son esprit et se taper une autre branlette.
Et il est heureux de faire ça dans la clandestinité la plus complète.
Il ne sait pas que ce matin là en se levant sa vie va changer du tout au tout.
Il arrive au boulot, poli il dit bonjour à ses collègues mais ne s'éternise pas, il croise le nouveau Fernand qui lui adresse un beau sourire.
Tout le monde bosse dans le silence des touches des PC, ça papote quand même un peu... mais sans plus.
Vers 11 heures juste avant la coupure, l'envie de pisser le prend. Prudent il regarde l'ensemble de ses collègues, ils sont tous là. Alors il se lève discrètement et va aux toilettes au fond du long couloir. Il ne croise personne. Il entre et se renferme dans une cabine pour pisser, sort son monstre qui doit croire que c'est l'heure de la séance... et ce met à durcir, mais l'envie de pisser est là et Georgio regarde sa belle queue gicler sur la faïence. Il fait tomber les dernières gouttes, essuie le méat avec une feuille de papier toilette, tire bien la chasse d'eau et sort de la cabine content de ce qu'il vient de faire.
Mais à peine sorti qu'il a en face de lui, le nouveau Fernand, appuyé le cul sur les lavabos, les jambes croisées ce qui fait ressortir l'entrejambe.
Georgio reste tétanisé et ne bouge plus. Il devient rouge encore comme s'il venait de faire une énorme connerie...
Le mec le fixe et lui adresse un grand sourire, il fait deux pas vers lui, Georgio ne bouge pas, s'il recule c'est comme si il l'invitait à entrer et c'est toujours les yeux dans les yeux que Fernand vient se poster devant lui. Georgio baisse les yeux, son cœur va sortir de sa poitrine tellement il bat fort.
Fernand lui prend la main, doucement en disant d'une vois rauque, vicieuse comme certains mecs de son appli lorsqu'ils se branlent :
-touche mon matos, il va te plaire Georgio dit il.
Il pose sa main sur l'entrejambe, Georgio ferme la main mais son poing sent bien que c'est dur, c'est chaud que c'est vivant et malgré toute sa volonté sa main s'ouvre pour serrer le gros morceau dur et c'est lui qui gémit.
Il soupire comme une délivrance et ose regarder Fernand qui sourit toujours. Il se sent pousser doucement à l'intérieur de la cabine, il se laisse faire, la porte est refermée vite fait et Fernand sans façon s'empare de ses lèvres.
Son premier baiser.
Sa main serre une bite pour la première fois et putain quel morceau il a en main.
Quand la langue entre en guerre avec la sienne, c'est comme si il avait fait ça toute sa vie! Il adore ce baiser, goûter la salive de l'autre, glisser sa langue sur l'autre, faire bouger ses lèvres sur celles de Fernand le fait bander encore plus. Sa queue redemande à sortir.
Mais là ce n'est plus lui qui donne des ordres.
Fernand le tient dans ses bras, et ses mains visitent son dos, passent sur ses fesses et une main vient lui caresser l'entrejambe, s'emparant de sa queue plus que raide qu'il serre, masse.
Sa première main sur sa queue.
Fernand le regarde :
-putain mec t'as une sacré queue on dirait, fais voir!
Et sans attendre la réponse, il s'agenouille devant lui et défait le ceinturon, ouvre le pantalon qui glisse à ses genoux, d'un geste sec il baisse le boxer libérant le monstre sur le visage de Fernand qui siffle d'admiration.
Il finit de décalotter la belle queue, donne un coup de langue sur le méat qui coule faisant sursauter Georgio et d'un seul coup avale la queue serrant bien les lèvres dessus.
Sa première bouche.
Il sent ses jambes trembler, il s'appuie aux parois de la cabine et comme dans un film porno voit Fernand le piper comme un malade en caressant ses couilles. Il a tout plein de sensations qui arrivent de partout dont une principalement qu'il reconnait de suite, il va juter!
Il voudrait le dire, mais aucun son ne sort de sa gorge.
Par contre ses giclées arrivent et il sent bien la langue de Fernand s'en emparer et son jus doit couler dans sa gorge, car il n'ouvre pas la bouche.
Quand il souffle enfin, c'est pour voir Fernand lécher sa queue avec application. Le regarder en souriant.
-il est vachement bon ton jus! Et regarde tu bandes encore... t'as encore du jus à me donner ?
Georgio ne sait plus où il en est, il voit Fernand se relever face à lui et il descend son pantalon et son boxer. Georgio pense qu'il va sucer sa première bite, mais il se retourne, s'appuie contre la porte, ouvre les jambes au maximum et Georgio n'en croit pas ses oreilles quand il entend :
-baise moi d'un seul coup de reins, j'aime quand c'est brutal que le mec me baise bien à fond.
Putain les mecs paroles que le mec d'hier soir à l'écran. Il va passer du virtuel aux travaux pratiques.
C'est comme si il recevait un coup de fouet, qu'il se réveillait de sa timidité, il prend sa queue raide dans une main, passe ses doigts de l'autre dans la raie, touche l'anus humide, et deux doigts s'enfoncent facilement. Il ne cherche pas midi à quatorze heures, pose son gland sur l'anus brûlant et pousse rapidement.
Son premier cul!
Il sent le sphincter recouvrir son gland, l'envelopper de sa chaleur et le cul recule sur sa queue, c'est lui qui pousse un petit cri étouffé par sa main quand le gland entre. La première fois que sa queue est prisonnière d'un cul et putain que c'est bon!
Il lui vient tout plein d'initiatives dans la tête, il SAIT comment il aimerait le baiser Fernand, il donne un coup de reins et la tête de Fernand tape sur la porte. Ils rigolent tous les deux... mais c'est vraiment la libération pour Georgio.
Sa queue voyage comme un TGV dans son tunnel, faisant des allers retours et son pubis claque sur les fesses de Fernand qui gémit doucement.
Comme avec la bouche, il sent le plaisir arriver, déjà pense t-il en continuant ses coups de reins et dans un ultime, il a envie de crier sa joie, sa victoire, il jouit, il sait de longs jets de spermes brûlants qui certes remplissent le conduit mais également enveloppent sa queue et ça c'est une sensation nouvelle pour lui.
Au lieu de sortir rapidement de ce premier cul, il fait redresser Fernand contre lui, lui mord tendrement mais sauvagement la nuque comme pour marquer son appartenance et ses mains partent à l'aventure sur le torse, trouvent les tétons et les martyrisent direct.
Une main vient se saisir de la queue raide de Fernand, passe sur le gland et prend la grosse tige bien en main et se met à le branler d'abord lentement avant d'accélérer rapidement, sentir les fesses de Fernand tenter d'écraser sa queue qui décidément bande encore. Et Fernand jouit en se mordant la main pour ne pas crier trop fort.
C'est Fernand qui fait sortir sa queue et se retourne pour le prendre dans ses bras et l'embrasser tendrement.
-mais tu bandes tout le temps! on ne pas rester tout l'après-midi à baiser dans les chiottes dit Fernand en riant.
Georgio regarde sa montre :
-putain ça va être l'heure de la reprise, ça fait une heure qu'on est là!
-c'est ça la faim dit Fernand en haussant les épaules, mais le soir tu manges aussi je présume ?
Georgio le regarde un peu étonné.
-si tu veux je t'invite ce soir chez moi pour un dîner des plus chaud, j'aimerais bien regoûter à ta queue, à tes coups de reins et qu'on puisse gueuler comme on en a envie!
La timidité s'était envolée, mais il était pris au dépourvu par ce mec.
-ne réfléchit pas autant Georgio, pense à ta queue raide... elle sait qu'elle aime ça!
Il l'embrasse encore une fois, le serrant très fort contre lui et Georgio a l'impression que sa langue touche ses amygdales. Il est bien dans les bras rassurants de ce beau mec.
-d'accord je viens avec toi ce soir dit Georgio en le fixant.
-j'adore quand les grands timides prennent des décisions!
Là il rougit encore Georgio.
-tu verras je suis sûr qu'après plusieurs rencontres quand tu rougiras, c'est uniquement au moment de jouir!
Ils sont sortis l'un après l'autre des toilettes.
Georgio croise une de ses collègues :
-ben tu n'es pas venu déjeuner ?
Pour la première fois il la regarde dans les yeux.
-non j'avais une course urgente à faire pour essayer un nouveau prototype que je veux acheter!
-ah on peut essayer maintenant dit la fille en retournant à sa place.
Durant l'après-midi, personne n'a compris le changement chez Georgio qui parlait avec tout le monde de la même façon, mais son visage s'illuminait quand il croisait Fernand qui s'amusait à lui faire des clins d'œil.
Pourtant ils ne se sont pas cachés quand ils sont partis tous les deux à la fin du boulot, marchant côte à côte, se touchant par les épaules et les mains se frôlaient.
Ils partaient vers une nouvelle aventure où Georgio avait encore plein de choses réelles à découvrir!
Un gros mot le fait rougir, entendre parler de cul en blaguant le fait rougir et quand la discussion vient sur les pédés, l'homophobie il ne sait plus où se mettre.
Personne ne lui connait une relation et cela ne les étonne pas tellement sa timidité est apparente. Certaines filles du boulot ont bien essayé de le dévergonder en l'invitant au restaurant le soir, mais il a toujours décliné en devenant rouge comme une tomate bien mûre.
Alors plus personne ne l'invite, il reste dans son coin et mâte ce qu'il lui fait envie du coin de l'œil en espérant que cela ne se remarque pas.
Et ce qu'il mâte, tant au boulot que dans la rue sont les mecs... en général les mecs blonds, c'est ceux qu'il préfèrent, des cheveux un peu longs, un corps mince, une entrejambe gonflée et le soir c'est la branlette assurée devant les réseaux sociaux.
S'il est puceau de partout, il en connait un rayon sur les réseaux sociaux le soir, seul devant son écran, ouvrant sa cam il sort son sexe et s'exhibe en regardant les mecs en faire autant. Les micros sont branchés et il donne des ordres...
Il est le Maître du virtuel.
Ce soir là en rentrant chez lui, il repense au jeune qui vient d'être embauché, ce jeune qui correspond tout à fait à ses fantasmes. Une beauté qui l'a fait bander instantanément et cette beauté s'appelle Fernand, 25 ans au compteur a t-il lu sur son C.V. auquel il a accès avec son boulot. Il est passé de bureau en bureau pour voir le travail que tout le monde faisait et il a pu le mater à loisirs et il avait l'air d'avoir tout ce qu'il faut là où il faut.
C'est son collègue Gérard qui est venu lui présenter, et il commencé à rougir quand leurs mains se sont rencontrées et serrées fermement. Il n'a pas écouté vraiment ce qui se disait et Fernand est reparti.
Il allait imaginer Fernand nu, le mettre à la place d'un de ces mecs qui s'exhibent et lui donner des ordres... pour se branler et jouir comme il en a envie.
Le soir après le dîner, il se branche direct sur son appli préférée et constate que plusieurs mecs sont déjà présents. Ils regardent les profiles et en trouve un qui semble correspondre à ce qu'il veut. Il le branche, les présentations sont vite faites, on s'en fout du nom, de l'âge, c'est la queue, le cul d'intéressant... le reste c'est du baratin.
Là Georgio n'est plus timide.
-ça te dérange si je t'appelle Fernand ? demande t-il au mec qui est assis à un bureau, un blond toujours habillé.
-si ça peut te faire plaisir.
-et d'obéir à tout ce que je vais te demander et je promets de te faire juter en beauté.
-allons y dit le mec en rigolant.
-d'abord je ne veux pas voir ta tête, mais uniquement ton torse d'abord que tu vas mettre nu.
Et le corps de ce blond apparait, bon il est un peu maigre mais putain les tétons pointent déjà.
-tripote tes tétons, fais les encore durcir plus en les pinçant entre tes doigts, pense que c'est moi qui te fais ça, celui que tu aimes!
Le mec obéit et commence à se tortiller sur son fauteuil en gémissant.
-enlève ton pantalon et montre moi ta misérable queue!
Le mec enlève son pantalon de survêt et apparait nu faisant sursauter Georgio tellement la queue est ravissante, il s'en doutait qu'elle n'était pas grosse, mais elle est magnifique, juste comme il aime...
Lui se dévoile à la caméra, sans montrer sa tête et fait admirer son engin de 22 cm, un énorme boudin dont ses doigts ne font pas le tour.
-la vache dit le pseudo Fernand, celle là j'aimerais bien l'avoir dans mon petit cul de pédé.
-tu te fais baiser ?
-oh putain le plus souvent que je peux dit le mec en rigolant et plus c'est gros et long meilleur c'est! Toi j'aimerais te sucer, avaler ta grosse queue qui commence à couler, boire ton jus avant que tu me la mettes dans le cul d'un seul coup de reins, j'aime quand c'est brutal que le mec me baise bien à fond.
-montre ton cul de salope alors !
Le mec ne se fait pas prier. Il bouge sa caméra vers un lit, fait des réglages et le cul apparait en gros plan, un cul bien ouvert dans une raie imberbe. L'anus est là palpitant.
-doigte toi avec deux doigts de suite dit Georgio en prenant sa queue en main.
Il voit les doigts glisser dans la raie, se poser sur l'anus et entrer comme dans une motte de beurre mou. Et les doigts voyagent de plus en plus vite au rythme de ses va-et-vient sur sa queue...
Il bande, il est excité, le mec se dresse les doigts au fond de son cul et lui montre qu'il se branle en même temps que lui.
C'est le silence des deux côtés de l'écran jusqu'à leurs cris simultanés quand ils déchargent tous les deux de longues giclées de sperme chaud.
Georgio coupe rapidement son écran et va se coucher, pas pour dormir, mais pour refaire le film dans son esprit et se taper une autre branlette.
Et il est heureux de faire ça dans la clandestinité la plus complète.
Il ne sait pas que ce matin là en se levant sa vie va changer du tout au tout.
Il arrive au boulot, poli il dit bonjour à ses collègues mais ne s'éternise pas, il croise le nouveau Fernand qui lui adresse un beau sourire.
Tout le monde bosse dans le silence des touches des PC, ça papote quand même un peu... mais sans plus.
Vers 11 heures juste avant la coupure, l'envie de pisser le prend. Prudent il regarde l'ensemble de ses collègues, ils sont tous là. Alors il se lève discrètement et va aux toilettes au fond du long couloir. Il ne croise personne. Il entre et se renferme dans une cabine pour pisser, sort son monstre qui doit croire que c'est l'heure de la séance... et ce met à durcir, mais l'envie de pisser est là et Georgio regarde sa belle queue gicler sur la faïence. Il fait tomber les dernières gouttes, essuie le méat avec une feuille de papier toilette, tire bien la chasse d'eau et sort de la cabine content de ce qu'il vient de faire.
Mais à peine sorti qu'il a en face de lui, le nouveau Fernand, appuyé le cul sur les lavabos, les jambes croisées ce qui fait ressortir l'entrejambe.
Georgio reste tétanisé et ne bouge plus. Il devient rouge encore comme s'il venait de faire une énorme connerie...
Le mec le fixe et lui adresse un grand sourire, il fait deux pas vers lui, Georgio ne bouge pas, s'il recule c'est comme si il l'invitait à entrer et c'est toujours les yeux dans les yeux que Fernand vient se poster devant lui. Georgio baisse les yeux, son cœur va sortir de sa poitrine tellement il bat fort.
Fernand lui prend la main, doucement en disant d'une vois rauque, vicieuse comme certains mecs de son appli lorsqu'ils se branlent :
-touche mon matos, il va te plaire Georgio dit il.
Il pose sa main sur l'entrejambe, Georgio ferme la main mais son poing sent bien que c'est dur, c'est chaud que c'est vivant et malgré toute sa volonté sa main s'ouvre pour serrer le gros morceau dur et c'est lui qui gémit.
Il soupire comme une délivrance et ose regarder Fernand qui sourit toujours. Il se sent pousser doucement à l'intérieur de la cabine, il se laisse faire, la porte est refermée vite fait et Fernand sans façon s'empare de ses lèvres.
Son premier baiser.
Sa main serre une bite pour la première fois et putain quel morceau il a en main.
Quand la langue entre en guerre avec la sienne, c'est comme si il avait fait ça toute sa vie! Il adore ce baiser, goûter la salive de l'autre, glisser sa langue sur l'autre, faire bouger ses lèvres sur celles de Fernand le fait bander encore plus. Sa queue redemande à sortir.
Mais là ce n'est plus lui qui donne des ordres.
Fernand le tient dans ses bras, et ses mains visitent son dos, passent sur ses fesses et une main vient lui caresser l'entrejambe, s'emparant de sa queue plus que raide qu'il serre, masse.
Sa première main sur sa queue.
Fernand le regarde :
-putain mec t'as une sacré queue on dirait, fais voir!
Et sans attendre la réponse, il s'agenouille devant lui et défait le ceinturon, ouvre le pantalon qui glisse à ses genoux, d'un geste sec il baisse le boxer libérant le monstre sur le visage de Fernand qui siffle d'admiration.
Il finit de décalotter la belle queue, donne un coup de langue sur le méat qui coule faisant sursauter Georgio et d'un seul coup avale la queue serrant bien les lèvres dessus.
Sa première bouche.
Il sent ses jambes trembler, il s'appuie aux parois de la cabine et comme dans un film porno voit Fernand le piper comme un malade en caressant ses couilles. Il a tout plein de sensations qui arrivent de partout dont une principalement qu'il reconnait de suite, il va juter!
Il voudrait le dire, mais aucun son ne sort de sa gorge.
Par contre ses giclées arrivent et il sent bien la langue de Fernand s'en emparer et son jus doit couler dans sa gorge, car il n'ouvre pas la bouche.
Quand il souffle enfin, c'est pour voir Fernand lécher sa queue avec application. Le regarder en souriant.
-il est vachement bon ton jus! Et regarde tu bandes encore... t'as encore du jus à me donner ?
Georgio ne sait plus où il en est, il voit Fernand se relever face à lui et il descend son pantalon et son boxer. Georgio pense qu'il va sucer sa première bite, mais il se retourne, s'appuie contre la porte, ouvre les jambes au maximum et Georgio n'en croit pas ses oreilles quand il entend :
-baise moi d'un seul coup de reins, j'aime quand c'est brutal que le mec me baise bien à fond.
Putain les mecs paroles que le mec d'hier soir à l'écran. Il va passer du virtuel aux travaux pratiques.
C'est comme si il recevait un coup de fouet, qu'il se réveillait de sa timidité, il prend sa queue raide dans une main, passe ses doigts de l'autre dans la raie, touche l'anus humide, et deux doigts s'enfoncent facilement. Il ne cherche pas midi à quatorze heures, pose son gland sur l'anus brûlant et pousse rapidement.
Son premier cul!
Il sent le sphincter recouvrir son gland, l'envelopper de sa chaleur et le cul recule sur sa queue, c'est lui qui pousse un petit cri étouffé par sa main quand le gland entre. La première fois que sa queue est prisonnière d'un cul et putain que c'est bon!
Il lui vient tout plein d'initiatives dans la tête, il SAIT comment il aimerait le baiser Fernand, il donne un coup de reins et la tête de Fernand tape sur la porte. Ils rigolent tous les deux... mais c'est vraiment la libération pour Georgio.
Sa queue voyage comme un TGV dans son tunnel, faisant des allers retours et son pubis claque sur les fesses de Fernand qui gémit doucement.
Comme avec la bouche, il sent le plaisir arriver, déjà pense t-il en continuant ses coups de reins et dans un ultime, il a envie de crier sa joie, sa victoire, il jouit, il sait de longs jets de spermes brûlants qui certes remplissent le conduit mais également enveloppent sa queue et ça c'est une sensation nouvelle pour lui.
Au lieu de sortir rapidement de ce premier cul, il fait redresser Fernand contre lui, lui mord tendrement mais sauvagement la nuque comme pour marquer son appartenance et ses mains partent à l'aventure sur le torse, trouvent les tétons et les martyrisent direct.
Une main vient se saisir de la queue raide de Fernand, passe sur le gland et prend la grosse tige bien en main et se met à le branler d'abord lentement avant d'accélérer rapidement, sentir les fesses de Fernand tenter d'écraser sa queue qui décidément bande encore. Et Fernand jouit en se mordant la main pour ne pas crier trop fort.
C'est Fernand qui fait sortir sa queue et se retourne pour le prendre dans ses bras et l'embrasser tendrement.
-mais tu bandes tout le temps! on ne pas rester tout l'après-midi à baiser dans les chiottes dit Fernand en riant.
Georgio regarde sa montre :
-putain ça va être l'heure de la reprise, ça fait une heure qu'on est là!
-c'est ça la faim dit Fernand en haussant les épaules, mais le soir tu manges aussi je présume ?
Georgio le regarde un peu étonné.
-si tu veux je t'invite ce soir chez moi pour un dîner des plus chaud, j'aimerais bien regoûter à ta queue, à tes coups de reins et qu'on puisse gueuler comme on en a envie!
La timidité s'était envolée, mais il était pris au dépourvu par ce mec.
-ne réfléchit pas autant Georgio, pense à ta queue raide... elle sait qu'elle aime ça!
Il l'embrasse encore une fois, le serrant très fort contre lui et Georgio a l'impression que sa langue touche ses amygdales. Il est bien dans les bras rassurants de ce beau mec.
-d'accord je viens avec toi ce soir dit Georgio en le fixant.
-j'adore quand les grands timides prennent des décisions!
Là il rougit encore Georgio.
-tu verras je suis sûr qu'après plusieurs rencontres quand tu rougiras, c'est uniquement au moment de jouir!
Ils sont sortis l'un après l'autre des toilettes.
Georgio croise une de ses collègues :
-ben tu n'es pas venu déjeuner ?
Pour la première fois il la regarde dans les yeux.
-non j'avais une course urgente à faire pour essayer un nouveau prototype que je veux acheter!
-ah on peut essayer maintenant dit la fille en retournant à sa place.
Durant l'après-midi, personne n'a compris le changement chez Georgio qui parlait avec tout le monde de la même façon, mais son visage s'illuminait quand il croisait Fernand qui s'amusait à lui faire des clins d'œil.
Pourtant ils ne se sont pas cachés quand ils sont partis tous les deux à la fin du boulot, marchant côte à côte, se touchant par les épaules et les mains se frôlaient.
Ils partaient vers une nouvelle aventure où Georgio avait encore plein de choses réelles à découvrir!
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'espère qu'il y aura une suite ^^

