Tout a changé
Récit érotique écrit par Feufolette [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-02-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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Tout a changé
La nuit est passée. J’ai des papillons dans le ventre. Je me sens véritablement amoureuse de mon mec !
Les jours, semaines et mois suivants, mon corps connu des bouleversements assez intenses. Les hormones, le fait de vivre ma féminité chaque jour, les rendez-vous chez la psy encore et encore.
On passait la quasi-totalité de notre temps libre ensemble avec Romain. Avec Gilles, on s’écrivait régulièrement. Les vacances de Noël approchent. Et avec elles, le fait de retourner chez mes parents : angoisse ! Gilles respecta heureusement sa parole et m’accompagna dans cette épreuve. Je décidais de les mettre sur le fait accompli, en direct, ils ne m’ont d’abord pas reconnu, pensant que j’étais la copine de mon cousin. Puis, étrangement, la nouvelle passa plutôt bien. Ils me sentirent bien dans ma peau. J’étais soulagée ! Et pleinement heureuse !!
Le soir même, au téléphone avec mon homme, je lui explique ma journée, il semble soulagé pour moi, il dit avoir eu peur que cette révélation à ma famille ne change tout... mais il se leurre; mon corps se transforme... mes traits s’affinent encore plus, mes poils, déjà discrets, ne m’impose plus qu’une épilation mensuelle...
Gilles dort à la maison. Il est tard alors on se met en tenue pour la nuit. Lui se retrouve en boxer quant à moi je porte un string et ma nuisette. Le coquin ne se gêne pas pour me mater copieusement : « t’es vraiment canon! Ton corps me semble encore plus féminin qu’avant! »
Moi : « merci cousin, oui je suis sous hormone depuis quelques mois »
Lui : « a ok et tu... enfin jveux dire... », il est hésitant
Moi : « vas-y poses ta question »
Lui : « tu bandes encore? »
Moi : « j’étais sûr que tu me poserais cette question. T’aimerais pas un peu trop la bite pour un hétéro toi?! »
Lui : « tu étais et tu resteras toujours mon plus grand fantasme Sarah ! »
Moi : « m’appelles pas Sarah, c’était mon nom de catin, je m’appelles Camille cochon! Et c’est flatteur merci. Et pour répondre à ta question, j’ai de la chance pour le moment, aucun problème d’érection »
Je vois bien que cette info l’excite. On est sous les draps, dans 2 lits séparés. Je lui rappelle que je suis en couple et heureuse. Il tente bien sûr le « ce qui se passe ici reste ici » mais sans succès.
Puis il reprends ses interrogations : « et ta poitrine, elle pousse ? »
Moi : « légèrement oui mais j’aimerais tellement avoir des seins, vraiment... tu m’imagines mieux avec un bonnet B ou C? »
Il me demande pourquoi je ne portes plus mes faux-seins. Je lui explique que Romain me préfère au naturel. Mais à l’uni je suis obligé de les porter. Il a toujours aussi peur qu’on se rende compte qu’il ne sort pas avec une « vraie » femme.
Gilles s’agace. Il ne comprends pas que je reste avec un garçon qui ne m’accepte pas entièrement et n’assume pas sa sexualité. Il me fait un tas de compliments, que je suis forte, que je vaut mieux que ça. On s’engueule puis le silence... je penses : c’est vrai que j’aimerais ne pas devoir jouer un « jeu » devant nos potes. Pourtant il aime tout lorsque nous sommes à deux...
Gilles s’excuse, il me remémore notre week-end, celui où je m’étais offerte à lui, je ne dis pas un mot. Il me raconte sa vision des choses... je dois avouer qu’il m’excite... son récit détaillé dure longtemps... je suis raide et humide, je ne dis rien... mes jambes écartées sous la couette, je caresse ma chatte. Me lèche les doigts pour me doigter en silence. Il continue son récit, au bar, en boite et lorsque nous en sommes sortis... ces orgasmes puissants que nous avions euIl dit que jamais plus il n’a pris un tel plaisir... il me demande brusquement s’il m’arrive d’enculer mon homme. Mon souffle est coupée, mes doigts me parcourent depuis quelques minutes et je suis très chaude... je réponds en balbutiant : « non jamais ». J’ai plus gémis ces mots qu’autre chose.
Il surenchérit : « tu te caresses Camille? » . Je tente de dire d’une voix calme : « non » mais il n’est pas dupe.
Lui : « au contraire, continues si ça t’excite. Pas de ça entre nous. Tu sais depuis notre histoire, je fantasme souvent que tu me prends lentement. J’aurais adoré découvrir ça avec toi »
Moi : « tais-toi, oui tu m’excite et c’est pas bien! »
Lui : « je vais pas te violer. Si il te disait la même chose que moi, tu voudrais l’enculer? »
Moi : « arrête ! Tu oses me faire croire que si là il se passait quelque chose, c’est moi qui t’enculerais? Que tu viendrais t’occuper te mon sex au lieu de mon cul? J’y crois pas une seconde! »
Lui : « ok. T’as qu’un mot à dire et tu le sauras jamais. Un mot. Je te proposes ce jeu, en souvenir du bon vieux temps. Si tu dis STOP, j’arrête tout. Mais si tu dis rien, je vais venir vers toi, je vais te caresser, t’embrasser, te faire bander comme une folle. Je vais te demander de me prendre et te laisser m’enculer aussi longtemps que tu le voudras. Un seul mot, STOP. Pour l’instant tu ne dis rien.. »
Gilles s’approche de mon lit. Il se saisit du bas de la couette des deux mains et la tire vers le bas lentement. Elle arrive au niveau de mes pieds. Je suis saisie, je n’ose pas bouger, je ne dis rien...
Il me répète en venant sur le lit à 4 pattes « tu ne dis rien »... il s’approche, il lève mes jambes, serrées, il embrasse mes pieds et les lèche mmm (mais qu’est-ce que je fais?!) il lèche mes jambes et remonte aux genoux je frémis. Il écarte mes jambes et répète « toujours pas un mot ». Sa langue glisse sur l’intérieur de ma cuisse je tremble... il dépose un baiser sur mon gland gonflé. Mon sex rebondit, je gémis. Il approche sa bouche de mon oreille : « Camille si tu ne dis rien je vais t’offrir mon cul lisse pour de vrai! »
Moi : en chuchotant, excitée « tu as le cul lisse maintenant? »
En guise de réponse, il se met à genoux presque au niveau de ma poitrine, dressé, il prends mes mains et les amène sur son boxer, sur ses fesses. Il baisse l’arrière de son boxer. Je sens sa peau lisse... (il veut vraiment me sentir en lui? J’en reviens pas! Faut que j’arrête tout cela)Au lieu de cela, je caresse ses fesses. L’avant de son boxer moule sa queue tendue que j’ai devant les yeux. Je la sens, il laisse échapper du pré-sperme. Je bande comme une folle, il avait raison « Gilles arrête jvais pas pouvoir me retenir! »
Lui : « Camille, un mot. Dis STOP et j’arrête tout »
Je ne dis rien, je continue à caresser ses fesses. Je les écarte (je veux savoir si il bluffe!) je glisse un doigt vers son anus, il gémit. (Mmm il m’excite!)Il se relève, debout, il retire son boxer. Il se retourne, et vient se positionner en 69 sur moi. Il prend soin de poser ses couilles sur mes seins comme pour m’inviter ailleurs que sur sa queue... il me retire mon string. Je sens sa langue venir caresser mon gland, se promener sur ma tige il me lèche mes couilles, et me prends en bouche... je ne dis toujours pas le mot! Je ne veux pas, il me donne envie! Je veux son cul !
Je n’arrive pas à lécher son cul dans cette position : « Gilles, relève toi stp ». Il se relève, je lui demande de se mettre à 4 pattes. Il se met directement en position : « tu vas me préparer ? » je lui réponds « cambre toi » il se cambre : « mmm lèche moi »
J’écarte ses fesses lisses. J’ai envie de le pénétrer. Je n’avais jamais envisager d’être active, il m’excite! Ma langue caresse son anus. Il est propre, j’aime ! Il gémit de plaisir. Son corps ondule... je regarde son sex, il est tendu, il bande comme jamais. Je décide de me saisir du lubrifiant et du plus petit de mes godes. Je dépose une noisette de lubrifiant sur son anus, et j’enduit le gode : « détend-toi » Je pousse progressivement sur son entrée. Ses mouvements de bassin font le reste. Le gland passe. Il retient un hurlement. Après quelques secondes, son bassin reprend ses gestes, et le gode le pénètre de plus en plus profond. Il semble y prendre du plaisir : « Camille arrête de jouer, encule moi, c’est toi que je veux dans mon cul »
Moi : « Gilles tu fais chier, tu me fais bander grave, j’ai envie de ton cul mmm »
Il gémit en retour et s’avance. Le gode se retire, il se retourne sur le dos et lève ses jambes. Il me regarde, et semble supplier « encule moi Camille, je veux que tu prennes ton pied »Je m’approche et amène ma bouche à la sienne, on se roule une énorme pelle... je lui dit : « j’ai envie de t’enculer, tu me rend folle »
Il saisit mon sex, et l’approche de son anus. Je sens mon gland presser sur son entrée. Je pousse, nos souffles s’arrêtent, nos yeux se fixent. Mon gland passe, je viens au plus profond de lui. Et me fige... « Ooooo Gilles c’est trop bon! J’ai besoin de t’enculer fort! » mes reins sont possédés. Je retire ma bite en ne lui laissant que le gland, puis lui remet profond violemment... il serre ses mains sur mes fesses il semble partagé entre douleur et plaisir et cache des hurlements. Je l’encule à fond, comme possédée. Je me fous qu’il souffre, son cul serre mon sex, c’est chaud, humide, il serre fort.. les sensations me rendent dingue!
Je sens que je ne tiendrai pas longtemps. Je me fige au fond. Il gémit : « t’arrête pas c’est trop bon. J’ai plus de douleur, ta queue est bonne. Encules moi Camille t’arrêtes pas! »
Moi : « ooo jvais jouir! »
Il attrape mon cul et accompagne mes gestes en lui. Je ne peux plus m’arrêter... je sens mes couilles propulser mon jus au fond de ses entrailles! Je gémis fort, lui aussi. Mmm mon corps tombe sur lui. J’embrasse son torse : « merci Gilles, je n’aurais pas imaginer aimé prendre un homme »Il m’enlace et caresse mon dos et mes cheveux. Je suis épuisée et m’endors sur lui... il n’aura rien tenté de plus
Au matin, Gilles est retourné dans son lit. Je suis nue sous ma couette. Je me sens coupable et nulle vis-à-vis de Romain. Mais c’est Gilles... il est si attentionné. Un vrai gentleman ! Je ne peux pas le laisser comme ça.. je décide de le réveiller tendrement. Lorsqu’il ouvre les yeux, il découvre une bouche chaude caresser sa queue. Je le suce amoureusement jusqu’à le faire jouir dans ma bouche. Il semble satisfait et je le remercie pour la veille. Je pars me préparer. Gilles rentre chez lui.
Les vacances de Noël se passent bien. Au matin de Noël, quelques jours plus tard, je découvre que mes parents m’offrent une paire de talons, classes, bleu marine. Et un bon d’achat pour des fringues dans un magasin féminin.
Plus beau que dans mes rêves les plus fous. Quels parents géniaux ! On pleure en se serrant dans les bras.
De retour chez moi, j’appelle Romain. On se retrouve et buvons un verre en discutant de nos vacances, j’omets mon dérapage évidemment... il semble un peu froid... il m’explique qu’il a reçu un message d’un certain Gilles. Je deviens blanche, mon coeur s’arrête (il aurait pris le numéro de Romain pendant mon sommeil ?!)Je demande ce qu’il lui dit - « tu dois le savoir! ». Je n’ose plus rien dire! Je suis blême. Il m’ordonne : « lève-toi! »Je m’exécute (il a clairement le dessus sur moi et me domine depuis le début de notre relation)Il me pousse contre le mur. Je dois poser mes mains au mur pour ne pas me le prendre en pleine tête : « tu fais quoi chéri ?! »
Lui : « chéri? Tu joues la pute avec ce mec et t’espère rester ma femme?! »
O mon dieu! Gilles lui a dit! Quel enfoiré! Il pousse mon visage contre le mur violemment et recul mon cul vers lui pour me cambrer.
Moi : « arrête, je sais pas ce qu’il t’as dit mais stp arrête ce que tu fais »
Je suis perchée sur mes nouveaux talons, avec des bas, soutien-gorge, string et une robe moulante à mi-cuisses. Il relève ma robe sans tendresse et baisse mon string. Je crie : « arrête ! »Il me maintient et m’engueule : « ferme ta gueule sale pute! » je suis meurtrie.. le garçon que j’aime, qui était fier et amoureux de moi me traite comme une moins que rien.
Il a retiré son pantalon et tape son gland sur ma raie. Je me débat : « arrête Romain jten supplie! » Il attrape mes poignets et me plaque sur le lit, mes genoux au sol. Je n’arrive plus à bouger. Nulle excitation, c’est un viol. Il crache sur ma fente et me met sa queue violemment profond d’un coup. Je hurle de douleur! « Arrête jten supplie! »
Il me lime le cul en m’empêchant de bouger de longues minutes. Interminables! Je me dégoûte lorsque la douleur laisse place au plaisir. Mon sex se tend alors que Romain me viole. Il le sent et se retire. Il me retourne et il me crache au visage. Mon maquillage a coulé, je pleure et crie qu’il arrête.
Il m’ordonne d’ouvrir la bouche. Je refuse, il me claque fort. Il prend ma tête et ne me laisse pas le choix. Il l’enfonce dans ma gorge, je n’arrive plus à respirer et le pousse. Il me gifle et me traite de pute. C’est un cauchemar!
Après quelques minutes il jute dans ma gorge, et manque de m’étouffer pour de bon. Je pleure sur le bord du lit. Il remonte son pantalon, me montre une photo de moi nue sur mon lit, chez mes parents, endormie, avec du sperme sur le sex, avec un mot « c’est ma femme »
Il s’en va. Je passe les heures qui suivent sous la douche. Je hais Romain, je hais Gilles! Je me sens sale et profondément triste!
... à suivre ...
Les jours, semaines et mois suivants, mon corps connu des bouleversements assez intenses. Les hormones, le fait de vivre ma féminité chaque jour, les rendez-vous chez la psy encore et encore.
On passait la quasi-totalité de notre temps libre ensemble avec Romain. Avec Gilles, on s’écrivait régulièrement. Les vacances de Noël approchent. Et avec elles, le fait de retourner chez mes parents : angoisse ! Gilles respecta heureusement sa parole et m’accompagna dans cette épreuve. Je décidais de les mettre sur le fait accompli, en direct, ils ne m’ont d’abord pas reconnu, pensant que j’étais la copine de mon cousin. Puis, étrangement, la nouvelle passa plutôt bien. Ils me sentirent bien dans ma peau. J’étais soulagée ! Et pleinement heureuse !!
Le soir même, au téléphone avec mon homme, je lui explique ma journée, il semble soulagé pour moi, il dit avoir eu peur que cette révélation à ma famille ne change tout... mais il se leurre; mon corps se transforme... mes traits s’affinent encore plus, mes poils, déjà discrets, ne m’impose plus qu’une épilation mensuelle...
Gilles dort à la maison. Il est tard alors on se met en tenue pour la nuit. Lui se retrouve en boxer quant à moi je porte un string et ma nuisette. Le coquin ne se gêne pas pour me mater copieusement : « t’es vraiment canon! Ton corps me semble encore plus féminin qu’avant! »
Moi : « merci cousin, oui je suis sous hormone depuis quelques mois »
Lui : « a ok et tu... enfin jveux dire... », il est hésitant
Moi : « vas-y poses ta question »
Lui : « tu bandes encore? »
Moi : « j’étais sûr que tu me poserais cette question. T’aimerais pas un peu trop la bite pour un hétéro toi?! »
Lui : « tu étais et tu resteras toujours mon plus grand fantasme Sarah ! »
Moi : « m’appelles pas Sarah, c’était mon nom de catin, je m’appelles Camille cochon! Et c’est flatteur merci. Et pour répondre à ta question, j’ai de la chance pour le moment, aucun problème d’érection »
Je vois bien que cette info l’excite. On est sous les draps, dans 2 lits séparés. Je lui rappelle que je suis en couple et heureuse. Il tente bien sûr le « ce qui se passe ici reste ici » mais sans succès.
Puis il reprends ses interrogations : « et ta poitrine, elle pousse ? »
Moi : « légèrement oui mais j’aimerais tellement avoir des seins, vraiment... tu m’imagines mieux avec un bonnet B ou C? »
Il me demande pourquoi je ne portes plus mes faux-seins. Je lui explique que Romain me préfère au naturel. Mais à l’uni je suis obligé de les porter. Il a toujours aussi peur qu’on se rende compte qu’il ne sort pas avec une « vraie » femme.
Gilles s’agace. Il ne comprends pas que je reste avec un garçon qui ne m’accepte pas entièrement et n’assume pas sa sexualité. Il me fait un tas de compliments, que je suis forte, que je vaut mieux que ça. On s’engueule puis le silence... je penses : c’est vrai que j’aimerais ne pas devoir jouer un « jeu » devant nos potes. Pourtant il aime tout lorsque nous sommes à deux...
Gilles s’excuse, il me remémore notre week-end, celui où je m’étais offerte à lui, je ne dis pas un mot. Il me raconte sa vision des choses... je dois avouer qu’il m’excite... son récit détaillé dure longtemps... je suis raide et humide, je ne dis rien... mes jambes écartées sous la couette, je caresse ma chatte. Me lèche les doigts pour me doigter en silence. Il continue son récit, au bar, en boite et lorsque nous en sommes sortis... ces orgasmes puissants que nous avions euIl dit que jamais plus il n’a pris un tel plaisir... il me demande brusquement s’il m’arrive d’enculer mon homme. Mon souffle est coupée, mes doigts me parcourent depuis quelques minutes et je suis très chaude... je réponds en balbutiant : « non jamais ». J’ai plus gémis ces mots qu’autre chose.
Il surenchérit : « tu te caresses Camille? » . Je tente de dire d’une voix calme : « non » mais il n’est pas dupe.
Lui : « au contraire, continues si ça t’excite. Pas de ça entre nous. Tu sais depuis notre histoire, je fantasme souvent que tu me prends lentement. J’aurais adoré découvrir ça avec toi »
Moi : « tais-toi, oui tu m’excite et c’est pas bien! »
Lui : « je vais pas te violer. Si il te disait la même chose que moi, tu voudrais l’enculer? »
Moi : « arrête ! Tu oses me faire croire que si là il se passait quelque chose, c’est moi qui t’enculerais? Que tu viendrais t’occuper te mon sex au lieu de mon cul? J’y crois pas une seconde! »
Lui : « ok. T’as qu’un mot à dire et tu le sauras jamais. Un mot. Je te proposes ce jeu, en souvenir du bon vieux temps. Si tu dis STOP, j’arrête tout. Mais si tu dis rien, je vais venir vers toi, je vais te caresser, t’embrasser, te faire bander comme une folle. Je vais te demander de me prendre et te laisser m’enculer aussi longtemps que tu le voudras. Un seul mot, STOP. Pour l’instant tu ne dis rien.. »
Gilles s’approche de mon lit. Il se saisit du bas de la couette des deux mains et la tire vers le bas lentement. Elle arrive au niveau de mes pieds. Je suis saisie, je n’ose pas bouger, je ne dis rien...
Il me répète en venant sur le lit à 4 pattes « tu ne dis rien »... il s’approche, il lève mes jambes, serrées, il embrasse mes pieds et les lèche mmm (mais qu’est-ce que je fais?!) il lèche mes jambes et remonte aux genoux je frémis. Il écarte mes jambes et répète « toujours pas un mot ». Sa langue glisse sur l’intérieur de ma cuisse je tremble... il dépose un baiser sur mon gland gonflé. Mon sex rebondit, je gémis. Il approche sa bouche de mon oreille : « Camille si tu ne dis rien je vais t’offrir mon cul lisse pour de vrai! »
Moi : en chuchotant, excitée « tu as le cul lisse maintenant? »
En guise de réponse, il se met à genoux presque au niveau de ma poitrine, dressé, il prends mes mains et les amène sur son boxer, sur ses fesses. Il baisse l’arrière de son boxer. Je sens sa peau lisse... (il veut vraiment me sentir en lui? J’en reviens pas! Faut que j’arrête tout cela)Au lieu de cela, je caresse ses fesses. L’avant de son boxer moule sa queue tendue que j’ai devant les yeux. Je la sens, il laisse échapper du pré-sperme. Je bande comme une folle, il avait raison « Gilles arrête jvais pas pouvoir me retenir! »
Lui : « Camille, un mot. Dis STOP et j’arrête tout »
Je ne dis rien, je continue à caresser ses fesses. Je les écarte (je veux savoir si il bluffe!) je glisse un doigt vers son anus, il gémit. (Mmm il m’excite!)Il se relève, debout, il retire son boxer. Il se retourne, et vient se positionner en 69 sur moi. Il prend soin de poser ses couilles sur mes seins comme pour m’inviter ailleurs que sur sa queue... il me retire mon string. Je sens sa langue venir caresser mon gland, se promener sur ma tige il me lèche mes couilles, et me prends en bouche... je ne dis toujours pas le mot! Je ne veux pas, il me donne envie! Je veux son cul !
Je n’arrive pas à lécher son cul dans cette position : « Gilles, relève toi stp ». Il se relève, je lui demande de se mettre à 4 pattes. Il se met directement en position : « tu vas me préparer ? » je lui réponds « cambre toi » il se cambre : « mmm lèche moi »
J’écarte ses fesses lisses. J’ai envie de le pénétrer. Je n’avais jamais envisager d’être active, il m’excite! Ma langue caresse son anus. Il est propre, j’aime ! Il gémit de plaisir. Son corps ondule... je regarde son sex, il est tendu, il bande comme jamais. Je décide de me saisir du lubrifiant et du plus petit de mes godes. Je dépose une noisette de lubrifiant sur son anus, et j’enduit le gode : « détend-toi » Je pousse progressivement sur son entrée. Ses mouvements de bassin font le reste. Le gland passe. Il retient un hurlement. Après quelques secondes, son bassin reprend ses gestes, et le gode le pénètre de plus en plus profond. Il semble y prendre du plaisir : « Camille arrête de jouer, encule moi, c’est toi que je veux dans mon cul »
Moi : « Gilles tu fais chier, tu me fais bander grave, j’ai envie de ton cul mmm »
Il gémit en retour et s’avance. Le gode se retire, il se retourne sur le dos et lève ses jambes. Il me regarde, et semble supplier « encule moi Camille, je veux que tu prennes ton pied »Je m’approche et amène ma bouche à la sienne, on se roule une énorme pelle... je lui dit : « j’ai envie de t’enculer, tu me rend folle »
Il saisit mon sex, et l’approche de son anus. Je sens mon gland presser sur son entrée. Je pousse, nos souffles s’arrêtent, nos yeux se fixent. Mon gland passe, je viens au plus profond de lui. Et me fige... « Ooooo Gilles c’est trop bon! J’ai besoin de t’enculer fort! » mes reins sont possédés. Je retire ma bite en ne lui laissant que le gland, puis lui remet profond violemment... il serre ses mains sur mes fesses il semble partagé entre douleur et plaisir et cache des hurlements. Je l’encule à fond, comme possédée. Je me fous qu’il souffre, son cul serre mon sex, c’est chaud, humide, il serre fort.. les sensations me rendent dingue!
Je sens que je ne tiendrai pas longtemps. Je me fige au fond. Il gémit : « t’arrête pas c’est trop bon. J’ai plus de douleur, ta queue est bonne. Encules moi Camille t’arrêtes pas! »
Moi : « ooo jvais jouir! »
Il attrape mon cul et accompagne mes gestes en lui. Je ne peux plus m’arrêter... je sens mes couilles propulser mon jus au fond de ses entrailles! Je gémis fort, lui aussi. Mmm mon corps tombe sur lui. J’embrasse son torse : « merci Gilles, je n’aurais pas imaginer aimé prendre un homme »Il m’enlace et caresse mon dos et mes cheveux. Je suis épuisée et m’endors sur lui... il n’aura rien tenté de plus
Au matin, Gilles est retourné dans son lit. Je suis nue sous ma couette. Je me sens coupable et nulle vis-à-vis de Romain. Mais c’est Gilles... il est si attentionné. Un vrai gentleman ! Je ne peux pas le laisser comme ça.. je décide de le réveiller tendrement. Lorsqu’il ouvre les yeux, il découvre une bouche chaude caresser sa queue. Je le suce amoureusement jusqu’à le faire jouir dans ma bouche. Il semble satisfait et je le remercie pour la veille. Je pars me préparer. Gilles rentre chez lui.
Les vacances de Noël se passent bien. Au matin de Noël, quelques jours plus tard, je découvre que mes parents m’offrent une paire de talons, classes, bleu marine. Et un bon d’achat pour des fringues dans un magasin féminin.
Plus beau que dans mes rêves les plus fous. Quels parents géniaux ! On pleure en se serrant dans les bras.
De retour chez moi, j’appelle Romain. On se retrouve et buvons un verre en discutant de nos vacances, j’omets mon dérapage évidemment... il semble un peu froid... il m’explique qu’il a reçu un message d’un certain Gilles. Je deviens blanche, mon coeur s’arrête (il aurait pris le numéro de Romain pendant mon sommeil ?!)Je demande ce qu’il lui dit - « tu dois le savoir! ». Je n’ose plus rien dire! Je suis blême. Il m’ordonne : « lève-toi! »Je m’exécute (il a clairement le dessus sur moi et me domine depuis le début de notre relation)Il me pousse contre le mur. Je dois poser mes mains au mur pour ne pas me le prendre en pleine tête : « tu fais quoi chéri ?! »
Lui : « chéri? Tu joues la pute avec ce mec et t’espère rester ma femme?! »
O mon dieu! Gilles lui a dit! Quel enfoiré! Il pousse mon visage contre le mur violemment et recul mon cul vers lui pour me cambrer.
Moi : « arrête, je sais pas ce qu’il t’as dit mais stp arrête ce que tu fais »
Je suis perchée sur mes nouveaux talons, avec des bas, soutien-gorge, string et une robe moulante à mi-cuisses. Il relève ma robe sans tendresse et baisse mon string. Je crie : « arrête ! »Il me maintient et m’engueule : « ferme ta gueule sale pute! » je suis meurtrie.. le garçon que j’aime, qui était fier et amoureux de moi me traite comme une moins que rien.
Il a retiré son pantalon et tape son gland sur ma raie. Je me débat : « arrête Romain jten supplie! » Il attrape mes poignets et me plaque sur le lit, mes genoux au sol. Je n’arrive plus à bouger. Nulle excitation, c’est un viol. Il crache sur ma fente et me met sa queue violemment profond d’un coup. Je hurle de douleur! « Arrête jten supplie! »
Il me lime le cul en m’empêchant de bouger de longues minutes. Interminables! Je me dégoûte lorsque la douleur laisse place au plaisir. Mon sex se tend alors que Romain me viole. Il le sent et se retire. Il me retourne et il me crache au visage. Mon maquillage a coulé, je pleure et crie qu’il arrête.
Il m’ordonne d’ouvrir la bouche. Je refuse, il me claque fort. Il prend ma tête et ne me laisse pas le choix. Il l’enfonce dans ma gorge, je n’arrive plus à respirer et le pousse. Il me gifle et me traite de pute. C’est un cauchemar!
Après quelques minutes il jute dans ma gorge, et manque de m’étouffer pour de bon. Je pleure sur le bord du lit. Il remonte son pantalon, me montre une photo de moi nue sur mon lit, chez mes parents, endormie, avec du sperme sur le sex, avec un mot « c’est ma femme »
Il s’en va. Je passe les heures qui suivent sous la douche. Je hais Romain, je hais Gilles! Je me sens sale et profondément triste!
... à suivre ...
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