Tout est perdu - histoire érotique

Avec un peu de retard voici la suite. Je ne le souhaitais pas mais....
Pendant que je regardais le foot A est revenue de son week-end de 4 jours. Elle était radieuse et reposée. Elle s‘approche du canapé m’embrasse et me demande si tout va bien.
Regardant le match, je ne répond pas.
A : j’aimerais aller au resto, tu viens ?
Je me prépare puis nous partons à la pizzeria du coin. Sur le chemin du retour je me décide à lui demander si elle comptait continuer avec moi ou partir avec G...
En entrant chez nous elle part dans la chambre, je la suis et l’embrasse, la déshabille en ne lui laissant que ses bas, son porte jarretelle et son string. A me déshabille, me couche sur le lit retire mon boxer se mets à rire et me lance :A : tu es en forme mon cochon, tu sais que tu es monté comme âne !
Puis commence une fellation terrible, elle suce de mieux en mieux et 5 minutes plus tard je lui lâche tout mon nectar, elle sourit et avale tout en me regardant : A : vas y, à ton tour, prend ton temps, fait moi jouir aussi bien qu’eux pendant ces 4 jours !
Je reste stoïque à sa phrase.
A : oui eux je t’expliquerais, mais vas y.
Je me mets entre ses jambes puis la prend lentement, elle gémit puis me demande un cuni.
je descend et commence, elle me guide, me signale où elle veut être léché, sucé, jamais elle n’avait fait cela. Elle devient une femme très expérimentée qui sait ce qu’elle veux. Elle ondule son corps, jouit comme une folle en m’encourageant de ne pas arrêter .
Je n’en peux plus, ma langue devient douloureuse, elle demande de continuer et pourtant j’arrête puis je lui suce les seins et recommence pour la prendre de plus en plus fort.
Entre deux gémissement elle me sollicite d’éjaculer sur ses seins. Je me retire et je commence une belle branlette espagnole, les jets puissants partent sur son visage et ses cheveux, elle m’embrasse, se lève et va dans la salle de bain.
A reviens quelques minutes plus tard et me dit, tu veux s’avoir voici comment ce sont passé mes 4 jours...
A :- je suis arrivée chez G à 9 heures, R le frere de G venu de Belgique était là avec sa copine S. Nous sommes parti de suite sur la route. R demanda à G le pourquoi de ma présence. Il leur dit que je suis sa maitresse depuis un an et que mon mari le sait depuis un mois.
Bien sur des blagues à deux sous ont fusées dont le fait de savoir si j’étais cochonne ou grosse cochonne là, S le remis en place...
S : clito, fous nous la paix !
Drôle de surnom !!!
Arrivér à giet, nous avons pris possession de l’appartement : la chambre "deux-lits" pour eux, celle "lit double" pour nous. Après une visite d’Annecy et un bon repas nous sommes allé nous coucher. G m’a fait l’amour et nous nous sommes endormis. Dans la nuit je devais aller aux toillettes en passant dans le couloir. La porte de l'autre chambre était mal fermée et je vis S entrain de sucer R mais je ne voyais pas sa queue, il ne bandait peut être pas. En sortant des toilettes je regardais un peu plus longtemps et je te jure que je fus choquée, R bandait mais son sexe est ridiculement petit ! Je réveille G et lui dis, il rit et se recouche. Puis S gémit très fort et ce pendant une heure au moins... Comment trouver t'elle du plaisir avec ce petit truc ?
Le lendemain matin nous sommes resté à la piscine de la résidence, mes yeux restaient sur le slip de R sans bosse dedans.
S le vit, s’approche de moi et me dit naturellement :S : hier soir tu n'as pas rêvée, je t’ai vu nous regarder, R n’a pas grand-chose (5x2 au repos, 10x3 en érection) Un soir, il était déjà au lit, je suis arrivée munie d'un mètre de couturière et je l’ai mesuré. Mais tu as du entendre, au lit c’est un dieux...
Clito, son surnom vu son petit bout au repos, pour lui le cunni n’est pas qu’un préliminaire : c’est une pratique sexuelle complète et il donne du plaisir aux filles. de plus vu sa petite taille la sodomie passe très bien et comme il a demandé hier, là on peut le sucer après la sodomie car son sexe ne rentre pas profond en toi.
A : un sexe normal ne te manque pas ?
S : oui et non, j’ai mes plus grands orgasmes avec R. De plus, de temps en temps, étant libertine, j’en profite de mon coté. Lui un peu moins, beaucoup sont surprise de voir ce qu-il a mais elles ont tord !
A : toute l’après midi j’ai pensé à ce que S m’a dit et le soir pendant que G me faisait l’amour je lui en ai parlé et il a rit.
Le lendemain je passais le reste de la matinée à accomplir quelques tâches domestiques. S n’ayant pas le permis demanda à G de la conduire. il fallait faire les courses, R dormait et moi je ne me sentais pas en forme.
R se lève et demande où sont les autres et bois un café. Il s'approche de moi, me prend par la taille et me dit :R : alors tu es surprise de mon sexe ?
A : je vis qu’il avait parlé de notre conversation avec S, il vient contre moi et je le repousse :R : je suis sur que tu es septique du plaisir qu’un petit sexe peut faire et il reviens à la charge Je le repousse sans beaucoup de conviction, intriguée et curieuse de voir son petit truc de prés, je me laisse faire. Il me fait asseoir dans le clic clac, me câline tendrement, papouille mes bras, mes jambes, mon cou, mes cheveux..... Je suis conquise !
Puis après avoir caressé longuement mon ventre, il remonte vers mes seins en les caressant d'abord sur le soutif et redescend caresser mon ventre, mes jambes..... Il commence à embrasser mes bras, mes aisselles, il enlève mon soutif puis embrasse mes seins. Ma respiration a maintenant accélérée, je me colle à lui après avoir retiré son t-shirt, il me serre contre lui, m'enlace...
Bref c'est le top ! Tout en continuant à me caresser et m'embrasser, il descend sur ma chatte et commence à me lécher. Il joue avec mes lèvres et mon bouton d’amour, cela dure depuis plus de quinze minutes. Il me place un oreiller sous les fesses et recommence son exploration, ensuite il stimule mon petit trou, c’est la premiere fois que quelqu’un le fait.
Il me pénètre avec son doigt dans la chatte de façon tonique en faisant des vas-et-vient ; je sens une boule se gonfler dans mon vagin, une chaleur et un bien être sans savoir ce qu'il m’arrive. Peu après c'est l'explosion, j’évacue une quantité de liquide beaucoup plus important qu'une éjaculation masculine, je te jure que j'étais toute mouillée, c’est hallucinant !! Mais tellement bon... J'avais honte mais il m'a vite avoué qu'il avait adoré se faire arroser de la sorte et que son plaisir c’est mon orgasme.
Je pensais qu’avec toi ou G j’avais des orgasme et bien non, je jouissais simplement.
J'avais tellement envie, je lui ai demandé de me prendre. J’écarte les jambes, il me pénettre, j’ai la sensation que c’est son doigt ! Je me mets en levrette, il s'introduit, ce fut une sensation étrange, j'ai senti la taille de son penis (10cm) je me suis dit que je n'allais rien sentir, que ça allait être catastrophique... Bien au contraire !!! J'ai avec lui des sensations comme jamais, je le sens plus subtilement, il ne me fait pas mal quand il va au plus profond, en bref son pénis ne m'écorche pas !!!

Il commence de longs vas et vient, il le rentre et aussi vite il le sort entièrement, puis il me demande de me masturber en même temps. Avec timidité je le fais, c’est une première pour moi, il va de plus en plus vite, son petit sexe tape sur la paroi de mon vagin directement sur mon point G. Une décharge électrique me traverse le corps, le liquide et ma mouille coule sur mes jambes, je suis trempée. Il décide de me sodomiser, je continue à me masturber. Comme j'aime la sodomie avec ce petit sexe ! Il continua, continua jusqu'à épuisement et il se retire et ejacule sur mes fesses. Je me suis retournée, je l'ai sucé, je voulais voir la sensation de ce crayon dans ma bouche mais très vite il fut trop petit... Je jete un oeil au reveil cela fait 1h20 qu’il s’occupe de moi ! Nous restons là sans rien dire un moment puis je vais prendre ma douche et ensuit lui laisse la salle de bain pour qu'il se lave à son tour, je n’avais qu’un seul regret, je voulais le sucer dur. Je rentre dans la salle de bainR : ne dit pas que tu en redemandes ?
A : non mais j’aimerai te fire une pipe. Je l’approche, avec deux doigts le stimule, il bande de plus en plus dur, je m’agenouille et le prend en bouche. Je peux faire une gorge profonde sans etre écoeurée, je m’applique. Quel plaisir de faire une fellation à un pénis qui rentre enfin dans ma bouche sans la déformer ou m'étouffer...
Mais je dus arreter très vite, G et S reviennant des courses...
Au soir, exténuée de ma matinée et me sentant coupable, je n’ai pas pu faire l'amour avec G, je ne lui ai rien dit, tu es le seul à le savoir...
Depuis A a perdu son job (vous verrez pourquoi plus tard) et nous sommes en instance de divorce...