Tout peut arriver un jour

- Par l'auteur HDS Castor -
Récit érotique écrit par Castor [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Tout peut arriver un jour Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-09-2023 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Tout peut arriver un jour
Mon fantasme de Viol Hypocritement Apprécié et consenti

Salut Joëlle, comment vas-tu ? Tiens il faut que je te raconte ma dernière mésaventure, tu vas rire :
« - L’autre soir j’étais à la maison avec les filles, Boris était absent comme à son habitude, en déplacement pour le boulot. Nous avions diné de bonne heure, les filles étaient montées dans leur chambre faire leurs devoirs, et comme il n’y avait rien à la télé, je m’ennuyais un peu, j’ai pensé aller au super marché pour y faire quelques courses, comme en cette période la fermeture est à 22 heures. C’était plutôt pour me balader que de faire des achats et surtout pour passer le temps. Je m’apprête donc, comme les températures sont encore clémentes en cette saison, je me décide à revêtir une robe légère courte à mi-cuisses et boutonnée entièrement sur le devant. Bien entendu comme à mon habitude, je ne porte rien en dessous, ce qui permet à mon esprit vagabond d’imaginer toutes sortes d’aventures imaginaires qui pourraient m’arriver et me font mouiller ma petite culote. Quelle salope je suis à toujours penser qu’au cul! Malgré tout au super marché, il ne risque rien de m’arriver. J’arrive donc avec mon auto au parking souterrain, le premier niveau est plein, pas une seule place de libre, il y a visiblement beaucoup de monde. Je descends donc au deuxième sous-sol, là il y a quelques places clairsemées, je finis à trouver une place voisine de l’accès à l’escalier, donc un mur à ma gauche et à droite à l’entrée un gros pilier, J’avance et me serre bien à droite le long de ce pilier, ce qui me laissera davantage de place pour ouvrir ma portière et descendre confortablement de la voiture côté mur et de plus cet emplacement protège efficacement mon véhicule car les autres ne peuvent pas se garer trop près.
Je monte donc au magasin et je flâne tranquillement, achetant quelques courses, regardant des articles en me baladant tranquillement. Au bout d’un moment de ma déambulation, je remarque à plusieurs reprises un homme apparemment seul qui déambule lui aussi dans les allées des rayons. C’est un beau black bien Barraqué, il est habillé d’un magnifique survêtement de sport de grande marque. Un beau spécimen et je pense en souriant que vu sa stature de sportif, il doit être bien équipé et mon esprit de salope commence à batifoler. Je continue ma promenade lorsque retentit une annonce informant la clientèle de la fermeture imminente du magasin, priant tous les clients de se rendre aux caisses. Comme il y a beaucoup de monde, des files d’attente se forment pour payer, j’en profite pour prolonger encore un peu ma déambulation et éviter une attente statique prolongée aux caisses. Je ne m’éloigne pas trop surveillant du regard les files d’attente qui s’amenuisent peu à peu. Au bout d’un moment il n’y a presque plus personne alors je me rapproche, mon tour arrive rapidement, je paye mes emplettes et me dirige vers l’escalier qui mène aux parkings.

Arrivée près de ma voiture, le parking est déjà complètement vide, plus personne, plus une voiture, je suis seule sous la lumière blafarde, j’ouvre le coffre de ma voiture et y dépose le sac de mes courses. Je m’avance entre le mur et mon auto pour ouvrir ma portière quand tout à coup je me sens plaquée violemment contre la voiture, une main me maintient fermement plaquée collée, je ne peux voir encore qui m’agresse, il est dans mon dos! Une voix rauque me chuchote doucement à l’oreille : « Ne crie pas, ne fais rien sinon je vais te faire très mal!» Ma bouche s’ouvre pour tenter de lui répondre mais aucun son n’en sort, je suis tétanisée par la surprise et la peur qui vient d’envahir tout mon être, ma chatte a même laissé échapper quelques gouttes d’urine qui coulent à l’intérieur de mes cuisses. Il reprend et me chuchote à l’oreille : « Je vais t’enculer petite salope! Laisses toi faire sans résister et je te promets plaisir et jouissance, mais si tu résistes je te prends de force et là! Tu vas souffrir et peut-être même pour longtemps. A toi de choisir : jouissance où souffrance! » Il me tire contre l’aile de la voiture, m’oblige fermement à me plier en deux sur le capot, appuyée le visage et la poitrine sur la tôle. Il soulève ma robe et la rabat jusque sur ma tête découvrant ainsi mon entière nudité, je suis maintenant soumise à sa merci. La peur qui m’habitait s’est un peu estompée faisant place à un peu d’excitation, car mon esprit vient de comprendre que mon fantasme de viol est entrain de se réaliser, comme je ne veux pas risquer de le compromettre, je décide de me laisser faire tout en laissant paraître un tout petit minimum de résistance afin de faire croire à une soumission contrainte, alors qu’au contraire ce ne sera que la réalisation inespérée et inattendue d’un de mes plus grands fantasmes. La main qui me pousse me maintient fermement plaquée contre la voiture, pendant que l’autre explore mon corps, elle caresse mon ventre, je donne un coup de bassin pour lui faire croire que je veux me dégager, il augmente la pression qui me maintient plaquée, me murmure :"Chut! Tais-toi" l’autre main remonte doucement sous mes seins qui se mettent à durcir, il pince mes bouts l’un après l’autre mais sans forcer, il fait attention à ne pas me faire trop mal, juste assez pour m’exciter, ce à quoi, connaisseur, il parvient parfaitement mais je fais attention de rien ne laisser paraître car bien que j’y prends secrètement déjà bien du plaisir, lui ne doit que penser que c’est lui qui me soumet de force, que je n’ai d’autre choix que de me laisser faire par crainte de souffrir et apparemment cela marche assez bien. La main qui caressait mes seins glisse le long de mon flanc jusqu’à mes fesses et descend sur ma chatte s’insinuant entre mes cuisses, avec son pied il m’oblige à écarter les jambes ce que je fais sans trop résister, il en profite pour glisser un doigt dans ma vulve sûrement déjà toute trempée car tout ce petit manège commence à furieusement m’émoustiller. Son doigt remonte maintenant lentement la raie de mes fesses et s’arrête sur ma rosette, tourne dessus pour l’imbiber de ma cyprine recueillie dans ma vulve et redescend à nouveau vers ma chatte pour se remouiller mais cette fois il y introduit non pas un mais deux doigts et revient vers mon anus. Il pousse doucement avec précaution, d'abord un, et ensuite les deux doigts dans mon sphincter qui s’ouvre sans trop de résistance, le petit coquin, déjà bien habitué à la sodomie que j’apprécie particulièrement. Soudain sa main quitte mon cul pendant que l’autre me maintient toujours plaquée sur le capot de la voiture. Il a baissé son jogging et sorti sa bite, il se branle maintenant avec détermination, je ressens les à-coups de son va et vient retransmis dans la main qui me tient plaquée sur le capot. Il est entrain de se faire durcir, je pense avec un certain plaisir salace qu’il va bien m’enculer. Oui enfin être enculée de force pendant un viol, c’est vraiment plus que je n’avais jamais pu espérer, c’était vraiment la cerise sur mon gâteau. Il m’a bien préparée et je sens maintenant son gland contre moi pousser sur ma rosette qui s’ouvre sans résistance avec facilité pour avaler cet intrus visiteur. Je ne ressens aucune douleur, vraiment il est de bonne taille mais pas aussi gros que je me l'imaginais. J’en suis un peu dépitée, mais tout de même rassurée. Cela annonce tout de même une bonne sodomie et j’adore me faire enculer. Il ressort de mon cul et me remet les doigts dans la chatte et revient lubrifier mon anus. Je suis étonnée par autant d’attentions, de douceur, et bien que me prenant de force, il ne veut pas me faire de mal mais se et me procurer du plaisir, ce a quoi il parvient déjà très bien sans même le savoir car je m’applique à ne rien laisser paraître. Il se réintroduit dans mon cul bien profondément après l’avoir à nouveau lubrifié de ma mouille, il pousse doucement, son chibre envahit doucement mes entrailles, la progression est lente sans à-coups, constante sans aucune douleur mais très excitante, je sens ce corps étranger investir mes tripes, il est vraiment très long, c’est excitant de se sentir pénétrée de la sorte. J’ai hâte qu’il commence à me pistonner, mais contre toute attente il pousse toujours. Mais jusqu’où va-t-il aller ? Je ne sens toujours pas ses couilles contre ma chatte ? Tout à coup je ressens dans mon corps comme une résistance, une butée qui freine la progression, il continue à forcer, il pousse, je crois qu’il va me déchirer, mais quelque chose semble avoir cédé en moi, la pression diminue et la progression continue, je sens maintenant à la hauteur sous mon nombril, dans mon ventre quelque chose qui glisse, s’insinue doucement, c’est son gland, il pousse toujours, le serpent de son chibre explore mes intestins lentement sans douleur mais sûrement. Encore quelques instants et je sens maintenant ses couilles buter contre ma chatte qui mouille comme une salope, il recule un peu et commence doucement à me pistonner, putain que c’est bon de se sentir empalée de la sorte, de sentir ce pieu de chair chaude, ce méga chibre qui occupe sans vergogne mes intestins, me perfore les entrailles, me donne des frissons et me provoque des vagues de chaleur sorties d’on ne sais où dans mon corps, mon sexe et mon esprit. Me donne des pensées salaces dans ma tête, la sensation d’abolir les interdits, tous les tabous de la société bien pensante, mais qui j’en suis sûre, elle aussi dans le fond secrètement, aimerait bien aussi de temps en temps les contourner. Toute cette excitation qui vous amène à des orgasmes pantagruéliques, Le plaisir absolu, la jouissance à l’état pur ! Il me pistonne maintenant avec plus de vigueur, je suis excitée, je me sens salope, une vraie pute addicte au braquemard, je donne maintenant des grands coups de reins en arrière, emportée par mon excitation au paroxysme, pour m’empaler plus fort et plus profond sur son braquemard, nous haletons tous les deux de concert, à bout de souffle, on ne sait plus qui viole qui ? Je ressens une vague de chaleur violente envahir mon bas ventre, l’orgasme arrive, j’empale mon cul à grands coups de reins violents sur ce chibre qui colonise entièrement mon corps et mon esprit et me donne tant de plaisir, je crie : « Ouiiii ! Ouiiiiiiiiii ! Hoouuuuu !!!! Oui! Vas-y Salaud! Bourres-moi bien ! Défonces-moi comme une pute, c’est ça vas-y j’aime ta grosse bite en moi qui me fouille le ventre, j’adore me faire enculer, je suis une grosse salope une pute à blacks. N’aye pas peur déchires moi, viole moi bien mon salop! C’est tout ce que je mérite, je suis ta pute défonces moi, fais moi tout ce que tu veux je suis d’accord vas-y! » L’orgasme qui grondait en moi explose violement, je perds tout contrôle et retenue, je jouis violement, presque à m’évanouir ! Je reste là, pantelante hagarde, submergée de plaisir et d’un peu de honte aussi, d’avoir joui aussi fort sans retenue et d’avoir profité de la sodomie que m’a infligée ce violeur à grosse bite. L’individu qui a joui en même temps que moi en moi se retire en douceur de mon cul et il disparait rapidement me laissant encore toute émue, comblée, envahie des effluves de plaisir que ce viol tant fantasmé et enfin réalisé, m’a procuré. Je ne suis vraiment qu’une petite salope, pas déçue de ce qui vient de lui arriver et déjà prête à recommencer quand on voudra. Je réajuste ma robe, remonte dans l’auto et rentre enjouée à la maison. Après une bonne toilette, au lit! Et à moi les rêves pornographiques et les fantasmes délirants qui peupleront mes rêves de débauche pendant la nuit.

Joëlle ma copine à qui j'ai raconté cette mésaventure : « - Ben dis donc ma salope! je vois que tu t’es bien amusée. Putain ! C’est pas à moi que ça arriverait, quelle chance t’a eue et tu me dis qu’il t’a bien enculée, sans brutalité mais vraiment bien à fond avec vigueur, moi qui rêve de tomber sur un mec comme ça qui me visiterait les boyaux avec une queue aussi longue et toi tu l’as trouvé et, bien sûr que c’était bon! Je suis jalouse!
Moi – Mieux que bon tu rigole! j’avoue au début j’étais un peu crispée, pas l’habitude ! Un peu peur aussi, mais très vite le super pied ! Que du bonheur, si un jour par chance cela t’arrives, un bon conseil surtout n’hésites pas, ne boudes pas ton plaisir, conseil d’amie !

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
J’ai adoré , j’aurais tellement voulu être celui qui prend de force ….



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