Toute première fois... - histoire érotique

Toute première fois…

Pour notre première rencontre, Maîtresse avait exigé que je me rende chez elle. Le Jour J, je ne pense qu’à ça au travail, à ce moment où je me retrouverais enfin devant sa porte et qu’elle m’ouvrirait. En sortant du travail, je me souviens m’être empressé de rejoindre ma voiture et de rentrer chez moi afin de finir les derniers préparatifs avant de prendre la route. Préparation du repas du soir, rasage, douche, inventaire des sextoys, tenues fetish… J’aime ces instants où l’excitation commence déjà à monter en sentant que LE moment approche.
Tout est prêt, il ne me reste plus qu’à me mettre en route. N’habitant pas dans la même ville que ma Maîtresse, il me faut environ une heure de route pour me rendre à Ses pieds. Le trajet se passe tranquillement, nous sommes au mois de Mai, l’air est doux, le trafic fluide… Tout va bien. A mesure que je me rapproche de ma destination, je sens mon coeur battre de plus en plus fort contre ma poitrine, comme un détecteur de métal qui se met à sonner de plus en plus fort lorsqu’il se rapproche de son objectif. Et mon « objectif » à moi est désormais tout proche… A deux pas de la porte d’entrée de l’immeuble, je ressors mon téléphone pour me remémorer le code. Mes mains commencent à trembler légèrement, mon souffle s’accélère… J’ai l’impression d’avoir 14 ans et d’aller à mon premier rendez-vous amoureux. Puis la porte se déverrouille, je la pousse et entre dans le bâtiment. Me voilà dans un couloir étroit au bout duquel se dresse un grand escalier à colimaçon. J’entame alors mon ascension jusqu’au troisième étage, portant tant bien que mal ma lourde valise remplie de jouets. Enfin arrivé sur la palier, et bien que pourtant assez sportif, cette montée vient d’anéantir le peu de souffle qu’il me restait.
Ca y est, le moment tant attendu est là, à un mètre devant moi. Je prends alors une grande inspiration et frappe à la porte. « TOC, TOC, TOC ». Pas de retour en arrière possible, je ne sais plus lequel de mon coeur ou de mon poing bat le plus fort. Je devine alors à travers la porte le bruit de talons claquant sur un sol qui semble être en parquet et devenant de plus en plus défini à mesure qu’il se rapproche de moi. Soudain les pas s’arrêtent, Maîtresse se trouve derrière la porte. Le temps semble s’être arrêté un cours instant, jusqu’à ce que la porte s’ouvre enfin. Je découvre brièvement l’appartement, avant que mon regard ne s’arrête sur Maîtresse qui se trouvait jusque là derrière la porte. C’est la première fois que je la vois, et je suis ravi de trouver devant moi une jeune Femme si élégante et affichant un certain charisme. Assez timidement, je la salue alors d’un « bonsoir » accompagné d’un sourire un peu nerveux je dois l’admettre.
Maîtresse m’invite alors à gagner le salon et à m’installer confortablement. Je me dirige d’abord vers la cuisine pour y déposer notre repas, pose ma valise dans un coin, et m’assoie sur son canapé où Elle me rejoint. Nous voilà assis l’un face à l’autre, prêts à nous livrer au jeu des présentations, qui, n’étant pas un grand bavard, me demande déjà de sortir un peu de ma zone de confort. Finalement mon « malaise » se dissipe assez rapidement lorsque je sens que nous arrivons à bien nous capter et que le courant passe plutôt bien.
Après avoir terminé une première bière et mené à bien ce premier exercice de d’introduction, Maîtresse prend soudain un ton plus sec, et me demande de venir m’agenouiller devant elle pour lui masser les pieds. Sans la moindre hésitation, je descends alors à genoux sur le tapis, et me positionne face à elle. Me voilà tout proche, pour la première fois. Je peux sentir son parfum, et pourrai très bientôt poser mes mains sur sa peau… Je sais que ces premiers moments sont importants, car ils vont définir le ressenti que Maîtresse aura de cette première rencontre.
Alors je mets toute mon application à ôter délicatement ses talons, un par un. Je lève les yeux vers elle pour l’admirer ainsi assise et me surplombant. Maîtresse est magnifique. Elle porte une jupe en cuir noire, tombant sur de beaux collants fins, et un haut noir épousant parfaitement ses sublimes courbes. Son regard est dur, mais à la fois tendre et réconfortant. Il me rappelle à l’ordre immédiatement.
Je reviens alors à ma tâche et entreprends de lui masser les pieds à travers ses collants. Je m’applique pour faire de ce premier contact un moment agréable pour Maîtresse. Je prends soin de masser chaque partie de Ses pieds avec délicatesse et douceur. Et, après quelques minutes, Maîtresse me demande de l’aider à retirer Ses collants. C’est alors que je découvre la douceur de Ses jambes, mes mains les effleurent à plusieurs reprises. Reprenant sa place sur le canapé, Maîtresse m’ordonne maintenant de lui embrasser les pieds. Je ne me fais pas prier et m’exécute sans protester en approchant doucement ma bouche près de Ses pieds. Et, tout en leur déposant un premier baiser, je lève les yeux vers ma Maîtresse qui se délecte du regard soumis que je lui offre et du pouvoir grandissant qu’elle est en train de prendre sur moi. Je peux sentir dans Son regard Sa satisfaction. C’est un sentiment particulièrement gratifiant pour moi, je me sens de plus en plus sous Son emprise, et c’est délicieux… « Lèche les maintenant ». Encore une fois, mon obéissance se fait très naturellement. Je ne suis pourtant pas particulièrement adepte des pieds, mais la façon qu’elle a de me contrôler me fait l’effet d’un vrai cocktail enivrant. Je me sens bien, je me sens moi, et à ma place. Alors, ma langue vient d’abord caresser Ses orteils, un à un, et je me surprends même à les faire rentrer dans ma bouche pour les sucer, sentant que Maîtresse applique une légère pression en avant pour les faire pénétrer dans ma bouche. Maîtresse semble aimer ça. J’aime ça… Je la vois à plusieurs reprises me regarder en levant légèrement le menton avec un air supérieur, comme pour prendre davantage l’ascendant sur moi. J’aime lui donner ce pouvoir en lui obéissant au doigt et à l’oeil.
Ne m’attendant pas pour une première rencontre à ce que nous testions toutes les « kinks » dont nous avions discuté auparavant par message, cette longue séance de léchage de pieds qui a déjà pour moi un goût de récompense n’est en fait que le début d’une soirée qui s’annonce particulièrement intense. Je ne suis alors pas au bout de mes surprises.
Lorsque Maîtresse estime que je lui ai alors bien massé et léché les pieds, elle me montre du doigt un flacon de vernis à ongles posé sur la table. N’ayant jamais verni d’ongles de ma vie, je me dis qu’elle se réserve sûrement cette tâche pour ne pas risquer de se retrouver avec les doigts entiers peints en rouge… Mais non, c’est bien à moi que cette tâche incombe, puisqu’elle me demande de lui refaire les ongles. Me voilà à nouveau hors de ma zone de confort, mettant toute ma concentration dans cet exercice afin de ne pas dépasser des ongles. Sa main repose dans la mienne, tandis que de mon autre main, j’applique timidement les premières couches de vernis avec le pinceau. Elle me regarde faire avec attention. Je crois qu’elle aime voir les efforts et toute l’attention que j’investis dans le seul but de la satisfaire. Finalement, le résultat n’est pas si mal pour un premier essai. Maîtresse semble satisfaite. Nouvelle petite victoire personnelle.

Est venu désormais le moment où Maîtresse souhaite voir ce qui se cache sous mes vêtements, le corps avec lequel elle va pouvoir jouer et sur lequel elle va pouvoir inscrire les premières marques de Sa possession… Maîtresse me demande alors de me déshabiller. Je me recule légèrement et me lève afin d’ôter tous mes vêtements. Maîtresse se lève aussi et se met à tourner autour de moi en me regardant faire. Je me sens petit, mais encore une fois à ma place. Une fois complètement nu, je m’agenouille face à elle avec les mains dans le dos pour qu’elle puisse découvrir son nouveau jouet. Son regard parcoure mon corps, et s’arrête sur mon sexe, agréablement surprise de le voir contenu par un cockring métallique formé de trois anneaux entourant chacun la base de mon sexe, mes testicules et ma queue. C’est semble t-il la première fois qu’elle en voit un porté, et Maîtresse à l’air d’aimer ce qu’elle voit. Dans cette position, l’excitation monte et commence à avoir un effet sur ma queue, qui se met à gonfler. Maîtresse le remarque avec un petit sourire en coin et s’approche de moi pour venir se coller contre mon torse. Je suis aux anges… Je la sens s’appuyer contre moi en passant ses bras derrière mon dos pour me plaquer encore plus contre elle. Ma queue elle réagit immédiatement à ce contact et cette tendresse dont me fait part Maîtresse. La voilà si dure, essayant de briser l’étreinte métallique qui l’entoure… Les érections sont si particulières avec ce genre de cockring, procurant la juste dose de douleur et (donc) d’excitation, et rendant la queue d’autant plus dure. Cela n’échappe évidemment pas à Maîtresse qui approche Sa main de mon sexe pour sentir cette excitation. Le contact de Sa main contre ma bite tendue est une nouvelle récompense inattendue et extrêmement excitante. Elle la caresse d’abord, puis la prends à pleine main en exerçant une légère pression. C’est exquis… « Hmm ça donne envie. On va bien s’amuser… Peut être plus tard ».
Et sans plus attendre, Son autre main vient soulever mon menton pour basculer ma tête en arrière, et Maîtresse approche Ses lèvres des miennes pour m’embrasser longuement. J’ai l’impression de rêver… Tout est si naturel et sensuel. Je me délecte de Ses lèvres et apprécie ce nouveau cadeau qu’elle me fait, comme si c’était la dernière fois.
Après ce long baiser, le temps de revenir à moi, et Maîtresse m’ordonne de me retourner et de resté dans cette position, à genoux et mains dans le dos. « On va jouer un peu maintenant ». Je l’entends fouiller dans une grande malle en bois située sous une des fenêtres du salon. Elle a l’air d’être bien remplie. Maîtresse semble avoir trouvé ce qu’elle cherchait. S’approchant de nouveau de moi dans mon dos, je n’ai même pas le temps d’essayer de deviner ce qu’elle tient dans Ses mains que je sens immédiatement une large bande de cuir se positionner et se refermer autour de mon cou. Alors que Maîtresse l’ajuste et verrouille le collier, je sens quelque taper contre mon dos et qui semble être relié au collier. Effectivement, lorsque celui-ci est bien en place, Maîtresse me prend les bras de façon à les placer dans mon dos, parallèles l’un contre l’autre. C’est alors que je découvre que ce qui tapait dans mon dos est en fait une paire de menottes reliée au collier par une grande lanière de cuir. Me voilà désormais contraint et vulnérable, agenouillé dos à ma Maîtresse. « Hmm je vais pouvoir faire ce que je veux de toi maintenant ».
« Oui Maîtresse, mon corps t’appartient... »Je sens Son excitation alors qu’elle s’accroupit derrière moi en faisant passer Ses jambes de chaque côté de mon dos. Elle me sert dans Ses bras en les passant autour de mon torse. J’ai l’impression que nous ne faisons qu’un, c’est délicieux…Tandis qu’une de Ses mains s’attarde sur mes tétons, l’autre descend doucement vers ma queue, toujours aussi dure d’excitation. Elle la saisit et commence à effectuer de légers va-et-vient de haut en bas. Je veux que ce moment ne s’arrête jamais. Je sens en même temps Sa langue qui joue avec mon lobe d’oreille avant qu’elle ne le mordille avec Ses dents. Je m’abandonne entre Ses bras et profite de chaque instant, quand à mon oreille elle me murmure : « Tu vas me donner du plaisir maintenant ».
Maîtresse se lève et se place debout face à moi. Elle se rapproche de plus en plus, jusqu’à me retrouver avec le visage collé contre Sa jupe au niveau de Son intimité. J’imagine avec beaucoup d’envie ce qui va se passer ensuite… Maîtresse soulève Sa jupe pour me présenter Son vagin. Et sans me dire un mot, elle m’attrape par la tête et la plaque fermement entre Ses jambes. Je me mets alors à l’oeuvre en la léchant. Je la sens déjà très mouillée et Son clitoris bien gonflé. Je savoure… Je la lèche, la goûte avec délectation, car jamais je n’aurais pensé avoir le droit d’accéder ainsi à Son intimité dès notre première rencontre. La scène est extrêmement excitante. Je suis à genoux, ma tête fourrée entre les jambes de ma Maîtresse en train de la lécher passionnément, et je la vois prendre du plaisir en me surplombant et en s’agrippant à ma tête de façon à ce que je ne puisse pas m’échapper. Je n’en ai de toute façon pas envie, car j’adore être ainsi forcé à faire un cunnilingus… Lorsque Maîtresse a pris suffisamment de plaisir avec ma langue, elle recule légèrement ma tête et vient aussitôt m’embrasser, comme pour goûter Sa propre liqueur sur mes lèvres. Mais ce repos pour ma langue n’est que de courte durée, puisqu’elle se positionne à quatre pattes dos à moi sur le canapé, et m’ordonne aussi tôt « Viens, bouffe moi le cul ». J’ai découvert à ce moment là à quel point nous avons tous les deux une très forte attirance pour les jeux autour de l’anus. Et une de mes favorites est l’anulingus. J’adore être forcé à lécher le cul de ma Maîtresse. Je peux faire ça pendant des heures… Maîtresse n’a donc pas eu à me forcer la main. Je me suis empressé d’approcher ma langue de Son anus et de lécher. De Sa main, Maîtresse maintient une certaine pression sur ma tête afin que ma langue puisse pénétrer Son anus. Je jubile, et cette séance de bouffage de cul dure un long moment. Ma queue elle est toujours extrêmement gonflée et emprisonnée dans son anneau.
Mais Maîtresse aime également prendre soin du cul de salope de Son soumis. Alors nous échangeons les places. Toujours les mains liées dans le dos à mon collier, je me positionne à genoux sur le canapé et bascule en avant pour laisser à Maîtresse l’accès à mon cul. Je ne m’attends pas non plus à ce qu’elle me lèche le cul, mais c’est pourtant bien Sa langue qui vient la première fleurter avec mon anus. La sensation est absolument incroyable. Je me détends doucement, me doutant de ce qui m’attends ensuite. La langue de Maîtresse laisse place à un de Ses doigts… Puis deux,… et je le sens peu à peu faire des allers-retours dans mon cul. Je n’ai pas encore avoué à Maîtresse à ce moment-là de notre relation à quel point j’aime me faire prendre le cul. Mais ça, il ne lui a pas fallu longtemps pour le deviner…« J’ai envie de t’enculer maintenant, et tu vas me supplier pour que je te prenne le cul... ».
« Oui Maîtresse, je t’en supplie, défonce moi le cul ! ».
Elle se lève alors et redirige vers sa grande malle en bois pour y prendre Son gode ceinture. Il n’est pas très gros, mais à l’avantage d’avoir également un gode dirigé vers l’intérieur du harnais, destiné à venir se loger dans le vagin de Maîtresse. Toujours attaché, je tourne ma tête pour l’admirer en train d’enfiler le gode qui va bientôt me marteler le cul. Quel magnifique scène… Maîtresse est sublime. Une fois le harnais bien en place, elle se place derrière moi et applique du lubrifiant sur mon anus ainsi que sur le gode. Et rapidement, je sens sa queue en silicone exerçant une pression à l’entrée de mon anus pour s’y engouffrer. Sans trop de difficulté, me voilà entièrement empalé sur la queue de ma Maîtresse. Elle commence par des allers-retours lents, puis accélère tout me demandant si j’aime me faire prendre le cul. « C’est bon, Maîtresse… S’il te plaît, plus fort »… Inutile de lui dire deux fois, Maîtresse s’agrippe fermement à mes hanches en y plantant Ses ongles, et commence à asséner de grands coups de reins. L’excitation est intense, et je lâche prise en gémissant de plaisir, comme une bonne salope… Maîtresse aussi prend Son pieds grâce à l’autre extrémité du gode qui stimule Son vagin. Je sens que je peux exploser et jouir à n’importe quel moment, et Maîtresse le sent également. Mais c’est dans une autre position qu’elle souhaite me finir. Alors elle me détache les poignets et me fait me mettre sur le dos. De nouveau, son bite vient se loger dans mon cul et m’impose un rythme soutenu. Ayant les mains désormais libérées, Maîtresse m’autorise à me branler tout en me faisant prendre le cul. Je suis au bord… « La bite de Maîtresse a t-elle le droit de jouir ? »« Oui, vas-y ! »Aussitôt dit, et alors que Maîtresse continue de me donner de grands coups de reins, j’explose enfin et me gicle dessus, si fort que mon sperme se répand sur mon ventre, mon torse, et même mon visage… L’orgasme est puissant, Maîtresse le sent et se délecte à la vue de son soumis recouvert de son propre sperme et avec sa bite toujours au fond de son cul.
« Merci Maîtresse ».
Maîtresse me regarde, et récupère chaque goutte de sperme avec Ses doigts pour me le mettre dans la bouche et me le faire avaler. Je n’en perds pas une goutte…
Nous nous regardons longuement sans rien nous dire. Pas besoin… Nous nous comprenons. Nous avons tous les deux conscience que cette soirée intense vient de marquer le début d’une relation forte entre Maîtresse et Son soumis.
Nous nous échangeons alors un long baiser.

Après avoir pris le temps de revenir à nos esprits, Maîtresse désire fumer une cigarette avant d’aller se coucher. Mais Maîtresse souhaite que je lui masse le dos en même temps. Alors, se positionnant allongée sur le ventre, complètement nue, je me place à cheval sur elle au niveau de Ses fesses. Maîtresse fume paisiblement pendant que je commence à parcourir Son divin corps avec mes mains. Je prends le temps de m’arrêter sur chaque partie de Son dos, Ses épaules, Sa nuque,… J’admire encore une fois Son corps de Femme si parfait et gracieux… Je me penche sur elle, et me permets de venir l’embrasser, façon pour moi de lui témoigner ma soumission et de lui dire « Ca y est, je suis à toi ». C’est un moment très fort qui me fait vibrer, et qui ne manque pas de réveiller ma queue alors plaquée contre Ses fesses. Maîtresse le remarque, évidemment, et semble beaucoup apprécier la situation. Sans dire un mot, Elle la saisit en faisant légèrement reculer, et je comprends alors que c’est vers Son vagin qu’elle veut la diriger. Je n’en reviens pas… Maîtresse me fait l’honneur de la laisser la pénétrer.
Mon gland s’avance lentement à l’entrée de Son vagin et pousse légèrement pour y pénétrer. Ce moment est exquis… la première pénétration… les premiers allers-retours… Maîtresse alors sur le ventre attrape mes fesses pour me rapprocher d’Elle et me dire : « prends moi fort ! ». Alors je m’exécute, ma queue est de plus en plus grosse en Elle et nous prenons tous les deux beaucoup de plaisir.
Je la pénètre ainsi longtemps, au point de tomber de fatigue à côté d’Elle, tant la soirée était intense. Nous voilà allongés l’un à côté de l’autre. Nous nous regardons, et Maîtresse me tire vers Elle pour que nous nous embrassions longuement encore une fois…