TRAIN DE NUIT(3)
Récit érotique écrit par Juju56 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-01-2011 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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TRAIN DE NUIT(3)
Et là, nous avons pu prendre notre temps. Caroline s’est allongée sur le lit douillet et je me suis blotti contre elle. Nos bouches se sont soudées et nos langues sont entrées en action. Nous sommes restés ainsi pendant de longues minutes en nous regardant les yeux dans les yeux. J’ai ensuite couvert son visage de petits baisers et elle faisait de même.
Petit à petit, je suis descendu jusqu'à sa poitrine que tout doucement j’ai léché pour arriver au sommet de ces deux collines jumelles en haut desquelles j’ai découvert ses petits tétons roses que j’ai à tour de rôle sucés mordillés et pincés délicatement. La belle frissonnait de plaisir et ronronnait. De son côté elle n’était pas en reste et s’occupait de mon torse.
Soudain, elle s’éloigna un peu de moi et m’enjamba à hauteur de mon sexe calmé et reposé. Son sourire angélique était posé sur mon visage.
Alors, avec un sourire amusé et ironique, elle me dit :
- Alors Monsieur Le Directeur, vous êtes satisfait de votre secrétaire ?
... et éclata de rire.
Me prenant au jeu, sur le même ton je lui répondis :
- Mademoiselle ma secrétaire il me semble que ce n’est pas une tenue pour que vous veniez noter le courrier. Mais au fait ingénue adorablement perverse, comment en sommes nous arrivé à nous retrouver dans une telle situation ?
- Très facile, mon beau patron, depuis le temps que tu négociais ce contrat, je savais très bien que tu maitrisais très mal la langue ! Soit dit en passant, tu maitrises très bien la tienne ! il m’a donc suffi que je te prouve mes connaissances en italien pour que dans ta tête l’idée fasse son chemin. Et c’est tout naturellement que tu en es venu à me demander de t’accompagner !!!
- C’était donc un traquenard ?
- Pas du tout Mon Chéri (tiens c’est la première fois qu’elle le disait) mais depuis 3 ans que je travaille avec toi crois-tu que je n’avais pas d’occasion d’admirer ton corps et d’apprécier tous tes gestes qui me faisaient vibrer à chaque fois ?
- Et ensuite comment t’es-tu débrouillé pour que nous nous retrouvions ici mêmes en ce moment ?
- Très simple Mon Amour (Oups, nous avions franchi un cran), il y avait 3 possibilités pour aller à Venise : l’avion, je sais que tu en as peur ; la voiture, trop loin ; il ne restait plus que le train et sachant que tu aimes ton confort, je t’ai gentiment orienté vers celui-ci !
Tout en parlant, elle se penchait sur mon torse pour y déposer de doux baisers. Malgré moi, sous ses fesses qu’elle tortillait, le « petit » gonflait doucement mais surement. Elle s’en rendait tout à fait compte et quitta sa position pour descendre son visage au niveau de mon sexe et la danse très érotique de sa langue recommença. Doucement elle lécha le gland qu’elle avait délicatement décalotté et tournait autour et d’un coup elle ouvrit la bouche et le goba. J’avais l’impression d’une pompe aspirante qui rentrait en action. Cette sensation était prodigieuse mais je dû lui dire d’y aller doucement sinon je ne pourrais résister. Elle passa donc à la phase 2 de son plan d’action ! Elle enfourna la hampe et sous mes yeux écarquillés, je vis cette bouche que je ne sais pourquoi je croyais petite avaler la totalité de mon sexe.
Elle augmenta la cadence et bien évidemment, je ne pus résister à un tel traitement ! Mais la coquine avait tout prévu. Quand elle sentit que j’allais éjaculer elle laissa fuser le premier et vigoureux jet dans sa bouche et se redressa aussitôt pour arroser ses merveilleux seins qu’elle massa afin de reprendre le sperme dessus très langoureusement.
Elle remonta ensuite au niveau de mon visage en me murmurant « Merci ».
A cela je lui répondis :
- Mais belle Chérie, ne serait-ce plutôt pas moi de te le dire ? Je connaissais déjà tes connaissances professionnelles mais maintenant je connais tes performances amoureuses !
- Pour souffler un peu, si tu m’offrais une coupe de champagne ?
Ce que je m’empresse de faire et je reviens m’allonger auprès de la belle. Mais elle avait une petite idée derrière la tête et surtout ailleurs. Sa coupe à la main elle m’enjamba au niveau du torse tant et si bien que son sexe se trouvait à coller ma bouche. Jolie petite fleur à peine épanouie mais déjà brillante de cyprine. Elle versa une partie de sa coupe entre ses seins et ce nectar vint en rejoindre un autre et je m’empressais bien entendu d’avaler le tout. Elle voulait jouer, eh bien nous allions jouer !!! Une fois que j’eus tout avalé, du bout de ma langue, j’ouvris sa délicate fleur. Je ne mis pas longtemps à arriver à la partie fragile et délicate et découvrir déjà en érection son bouton que j’agaçais de la langue. En peu de temps, Caroline se mit à soupirer puis vinrent les halètements rauques de ma compagne. Je fus ensuite obligé de la bâillonner avec ma main sinon toute la voiture aurait pu suivre ses vocalises.
Finalement au bout de son orgasme ravageur, je pris soin de nettoyer ses lèvres de toute la cyprine qui dégoulinait à flot. A la suite de ça, elle bascula à nouveau à mes côtés sur le dos et revint se blottir contre moi. Epuisés mais tous les deux comblés, nous avons sombré dans le sommeil au rythme lancinant du train.
La suite très bientôt
Petit à petit, je suis descendu jusqu'à sa poitrine que tout doucement j’ai léché pour arriver au sommet de ces deux collines jumelles en haut desquelles j’ai découvert ses petits tétons roses que j’ai à tour de rôle sucés mordillés et pincés délicatement. La belle frissonnait de plaisir et ronronnait. De son côté elle n’était pas en reste et s’occupait de mon torse.
Soudain, elle s’éloigna un peu de moi et m’enjamba à hauteur de mon sexe calmé et reposé. Son sourire angélique était posé sur mon visage.
Alors, avec un sourire amusé et ironique, elle me dit :
- Alors Monsieur Le Directeur, vous êtes satisfait de votre secrétaire ?
... et éclata de rire.
Me prenant au jeu, sur le même ton je lui répondis :
- Mademoiselle ma secrétaire il me semble que ce n’est pas une tenue pour que vous veniez noter le courrier. Mais au fait ingénue adorablement perverse, comment en sommes nous arrivé à nous retrouver dans une telle situation ?
- Très facile, mon beau patron, depuis le temps que tu négociais ce contrat, je savais très bien que tu maitrisais très mal la langue ! Soit dit en passant, tu maitrises très bien la tienne ! il m’a donc suffi que je te prouve mes connaissances en italien pour que dans ta tête l’idée fasse son chemin. Et c’est tout naturellement que tu en es venu à me demander de t’accompagner !!!
- C’était donc un traquenard ?
- Pas du tout Mon Chéri (tiens c’est la première fois qu’elle le disait) mais depuis 3 ans que je travaille avec toi crois-tu que je n’avais pas d’occasion d’admirer ton corps et d’apprécier tous tes gestes qui me faisaient vibrer à chaque fois ?
- Et ensuite comment t’es-tu débrouillé pour que nous nous retrouvions ici mêmes en ce moment ?
- Très simple Mon Amour (Oups, nous avions franchi un cran), il y avait 3 possibilités pour aller à Venise : l’avion, je sais que tu en as peur ; la voiture, trop loin ; il ne restait plus que le train et sachant que tu aimes ton confort, je t’ai gentiment orienté vers celui-ci !
Tout en parlant, elle se penchait sur mon torse pour y déposer de doux baisers. Malgré moi, sous ses fesses qu’elle tortillait, le « petit » gonflait doucement mais surement. Elle s’en rendait tout à fait compte et quitta sa position pour descendre son visage au niveau de mon sexe et la danse très érotique de sa langue recommença. Doucement elle lécha le gland qu’elle avait délicatement décalotté et tournait autour et d’un coup elle ouvrit la bouche et le goba. J’avais l’impression d’une pompe aspirante qui rentrait en action. Cette sensation était prodigieuse mais je dû lui dire d’y aller doucement sinon je ne pourrais résister. Elle passa donc à la phase 2 de son plan d’action ! Elle enfourna la hampe et sous mes yeux écarquillés, je vis cette bouche que je ne sais pourquoi je croyais petite avaler la totalité de mon sexe.
Elle augmenta la cadence et bien évidemment, je ne pus résister à un tel traitement ! Mais la coquine avait tout prévu. Quand elle sentit que j’allais éjaculer elle laissa fuser le premier et vigoureux jet dans sa bouche et se redressa aussitôt pour arroser ses merveilleux seins qu’elle massa afin de reprendre le sperme dessus très langoureusement.
Elle remonta ensuite au niveau de mon visage en me murmurant « Merci ».
A cela je lui répondis :
- Mais belle Chérie, ne serait-ce plutôt pas moi de te le dire ? Je connaissais déjà tes connaissances professionnelles mais maintenant je connais tes performances amoureuses !
- Pour souffler un peu, si tu m’offrais une coupe de champagne ?
Ce que je m’empresse de faire et je reviens m’allonger auprès de la belle. Mais elle avait une petite idée derrière la tête et surtout ailleurs. Sa coupe à la main elle m’enjamba au niveau du torse tant et si bien que son sexe se trouvait à coller ma bouche. Jolie petite fleur à peine épanouie mais déjà brillante de cyprine. Elle versa une partie de sa coupe entre ses seins et ce nectar vint en rejoindre un autre et je m’empressais bien entendu d’avaler le tout. Elle voulait jouer, eh bien nous allions jouer !!! Une fois que j’eus tout avalé, du bout de ma langue, j’ouvris sa délicate fleur. Je ne mis pas longtemps à arriver à la partie fragile et délicate et découvrir déjà en érection son bouton que j’agaçais de la langue. En peu de temps, Caroline se mit à soupirer puis vinrent les halètements rauques de ma compagne. Je fus ensuite obligé de la bâillonner avec ma main sinon toute la voiture aurait pu suivre ses vocalises.
Finalement au bout de son orgasme ravageur, je pris soin de nettoyer ses lèvres de toute la cyprine qui dégoulinait à flot. A la suite de ça, elle bascula à nouveau à mes côtés sur le dos et revint se blottir contre moi. Epuisés mais tous les deux comblés, nous avons sombré dans le sommeil au rythme lancinant du train.
La suite très bientôt
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C'est excellent j'adore!