TRAIN DE NUIT (7)

- Par l'auteur HDS Juju56 -
Récit érotique écrit par Juju56 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : TRAIN DE NUIT (7) Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-02-2011 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

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TRAIN DE NUIT (7)
Nous avons dormi quelques heures et le réveil fut pénible. Ma Belle était allongée, alanguie et nue et émergeait tout doucement. Je me penchai vers elle et lui léchais les seins. Très rapidement, ses mamelons pointèrent et elle se mit à ronronner. Je continuais ce jeu-là un bon moment mais elle me fit stopper car nous devions nous préparer en vue l’arrivée. En lui donnant une petite claque sur les fesses, je lui dis qu’elle devrait prendre sa douche, ce qu’elle fit. Elle sortit nue et ruisselante en me regardant de son sourire coquin. Je pris sa suite sous la douche et ressortis bandé au maximum. Elle se baissa et s’empara de mon sexe qu’elle branla vigoureusement et mit en bouche. Elle m’imposa un rythme d’enfer qui mit à mal ma résistance et très rapidement j’éjaculais alors qu’elle maintenait mon pieu dans sa bouche. Elle dit :
- Oh Mon Chéri, c’était divin et j’adore ton foutre. Comme cela ce matin, je pourrai garder ton odeur !
- Petite cochonne, dis plutôt que tu aimes la bite.
- Oui, c’est vrai que ta queue me comble de bonheur et je regrette une seule chose : ne pas avoir osé plus tôt. Bon, au lieu de philosopher, nous ferions mieux de nous préparer. Moi je suis prête dans 30 secondes.
Je ne comprenais pas trop. Elle avait ses bas et ses escarpins. Elle attrapa sa robe et l’enfila. Je comprenais mieux et ma petite cochonne allait se balader toute la journée sans sous-vêtements. Ce n’était d’ailleurs pas pour me déplaire, bien au contraire et on voyait sous le léger tissu ses mamelons pointer orgueilleusement. Amon tour je m’habillais. Nous bouclâmes nos bagages et allons déjeuner. Je me sentais une faim de loup moi qui d’habitude me contente d’un café. Lorsque je le lui dis, elle me précisa que tout cela allait changer et qu’elle me préparerait un vrai petit déjeuner.
Arrivés à Paris, nous avons pris un taxi, je la dépose chez elle et rentre seul à la maison. Ça fait bizarre de se retrouver seul après 48 heures passées avec un ange. Plusieurs fois dans la matinée, je me surpris à rêvasser les yeux dans le vague. Je voyais son corps souple et ferme s’agiter devant moi. Ses seins dardés et sa chute de reins à envoyer en enfer tout un couvent. En fin de matinée, je lui envoyais un texto pour lui rappeler que je serais devant chez elle à 12 h.
A l’heure dite, je pilais devant son immeuble d’où elle sortit vêtue d’une robe blanche vaporeuse à souhait. Je l’aidais à s’installer et nous nous rendîmes au restaurant. Pendant le trajet, je n’ai pas pu m’empêcher de remonter sa robe, de mettre une main sur son genou et de ramper jusqu’à son entrejambe. Sa fente était inondée lorsque j’y insérais un doigt, je la sentis frémir et je portais mon doigt à la bouche et le suçais avidement. Puis je mis ce même doigt sur son bouton qui grossissait non pas à vue d’œil car je regardais quand même ma route, mais « à vue de doigt » si l’on peut dire. Elle avait écarté les jambes pour me faciliter la tâche et son orgasme vint rapidement. Après un excellent déjeuner ou nous avons surtout parlé de nous, l’heure arrivât de se rendre au travail. Elle m’avoua avoir la trouille et je tentais de la détendre.
Arrivés sur le parking de l’entreprise, Je l’aidais à descendre de la voiture et c’est main dans la main que nous entrâmes dans le hall. Je l’entraine alors vers l’hôtesse d’accueil pour récupérer le courrier et le tendre à Caroline. Sur un bien sonore « A tout de suite Mon amour », je lui dis que je dois voir certains points avec un des collaborateurs et que je la rejoindrai rapidement. En face de nous, l’hôtesse est en train de passer par toutes couleurs en nous regardant aussi discrètement que possible. Je rigolais intérieurement en me disant que la commission allait être bien faite d’autant que Caroline n’arrêtait pas d’exhiber sa main gauche. Apres un dernier baiser très appuyé, je partis de mon côté et elle du sien.
Peu de temps après, je retrouvais avec plaisir mon bureau et mes petites habitudes. Je me dis en moi-même qu’il allait falloir que je coupe court à mes manies de « vieux garçon ». La porte donnant sur le bureau d’à côté s’ouvrit (le bureau de Caroline) et elle entra avec le courrier qu’elle avait dépouillé. Très a son aise, elle vint non pas comme d’habitude me faire face devant le bureau mais le contourna, fit pivoter mon fauteuil et s’installa sur mes genoux.
- Voyez-vous cela, petite dévergondée, on essaye de troubler son patron ?
- Pas besoin de ça pour le troubler, Mon gros Cochon, tu bandes déjà.
Il est un fait que mon sexe commençait à bien se développer et mes couilles commençaient à chauffer. Elle se leva, alla fermer la porte de mon bureau a clé et revint vers moi. Elle se mit à genoux, ouvrit mon pantalon, et commença à me branler de sa main droite. Elle posa sa bouche sur le gland qu’elle venait de décalotter et du bout de la langue titilla le gland. Puis elle le prit en bouche et tout en continuant les mouvements de la main, avala tout le reste. Elle me fixait droit dans les yeux en me masturbant et je sentais le plaisir monter. De sa main gauche, je voyais que de son côté elle se touchait l’entre jambe et commençait elle aussi a s’exciter. Malgré sa bouche encombrée, elle poussait des gémissements. Sans me laisser prendre le temps de réagir, elle se releva et se mettant à califourchon sur moi enfila mon sexe en elle en totalité. Sa robe était relevée jusqu’à la taille et j’en profitais pour caresser son bouton d’amour. Elle montait et descendait de plus en plus vite sur mon pieu cherchant d’une part à m’amener à la jouissance et d’autre part à jouir elle aussi. Je continuais d’une main à caresser de plus en plus fort son clito et de l’autre, je malaxais ses seins par-dessus sa robe.
- Oh oui salop, défonce moi bien ! tu vas me faire jouir et je veux qu’on ait notre orgasme ensemble.
Moi j’avais depuis longtemps dépassé le point de non-retour et je sentais mes couilles bouillonner. Elle se tortillait sur moi et ahanait de plus en plus. N’y tenant plus je jouis en elle et tapissait son vagin de mon foutre tandis qu’elle aussi partit dans un bel orgasme. Je sentis ses muscles se contracter sur ma verge comme pour l’essorer. Rapidement, elle quitta sa place et se remettant à genoux s’empressa de nettoyer mon membre.
Elle se réajusta et reprit une attitude plus « normale » et retourna ouvrir la porte du bureau. Le reste de l’après-midi se passa de façon plus conventionnelle tant et si bien qu’ 18 heures nous quittions l’entreprise. Nous sommes passés chez elle pour récupérer sa valise et 2 sacs de voyage qu’elle avait préparés le matin. Nous avons ensuite pris la route de « notre » maison puisque désormais c’était ainsi que je devais la nommer.
Arrivés à destination, je lui fis visiter les lieux et elle fut enchantée. Pendant qu’elle allait ranger ses affaires dans mon dressing, je préparais le diner. Ce fut vite fait et je m’installais dans un fauteuil, après m’être servi un whisky. Peu de temps après, elle arriva et s’était changé. Elle portait un ravissant déshabillé blanc translucide et dessous une nuisette de même couleur. Je lui servis comme moi un whisky et l’enlaçais amoureusement. Nous trinquâmes à notre nouvelle vie qui commençait pour de bon puisqu’elle était désormais la maitresse de maison. Elle regardait autour d’elle détaillant les meubles et les bibelots. Revenant de la cuisine, je m’accroupis auprès d’elle et l’embrassais tout en jouant avec sa langue. A la limite de l’asphyxie, nous arrêtâmes les frais.
Je lui dis que demain matin, elle pourrait rester à la maison, pour pouvoir s’organiser et arranger au mieux ses affaires. Je lui précisais également qu’il allait falloir trouver une employé de maison à temps plein car étant donné que nous étions au bureau toute la journée nous serions ainsi surs que l’entretien de la maison et les repas seraient faits. Elle me promit de s’en occuper dès le lendemain. Après le diner, nous sommes allés nous coucher et lorsque je voulus l’entreprendre, elle demanda grâce pour ce soir car elle était épuisée. Je n’étais pas beaucoup mieux et nous nous endormîmes dans les bras l’un de l’autre après qu’elle eut ôté sa nuisette qui d’ailleurs ne cachait pas grand-chose.
La suite à venir : l’employée de maison

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
J'ai lu avec un grand plaisir vos histoires ... J'aimerai un jour croiser un homme tel
que vous pour m'ouvrir aux plaisirs charnels ...

Histoire Erotique
C'est vraiment réel cette histoire ?? C'est un rêve... Surtout pour l'employée.
Une question : Sait-elle que vous publiez vos ébat ?
Je serais ravis de partager quelques mots avec vous deux :)



Texte coquin : TRAIN DE NUIT (7)
Histoire sexe : Une rose rouge
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