Transgression
Récit érotique écrit par Lau75 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-02-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Couleur du fond :
Transgression
Un soir, nous avions organisé avec des amis une soirée. Nous avions l’habitude de nous retrouver tous les 4, Marion et Jérémy était en couple depuis environ 2 ans et habitait ensemble. Fabien, lui, était plutôt un célibataire endurci.
Quand Marion est arrivée avec Jeremy, je l’ai trouvée encore plus radieuse que d’habitude. Il faut dire qu’elle et moi avions commencé à nous chauffer par message quelques temps au parant et je lui avais intimé l’ordre de se faire belle pour moi.
Nous avons commencé l’apéro comme à notre habitude. Les bouteilles sensont vidées petit et petit et je sentais l’alcool qui faisait son effet sur Marion qui devenait de plus en plus rouge, excitée par mon regard pressant.
Elle s’est absentée quelques instants pour aller se rafraîchir.
Quelques minutes plus tard je suis allé, du moins c’est ce que j’ai prétexté, aux toilettes.
J’ai trouvé Marion, en proie à ses pulsions, face au miroir, dans la salle de bain, appuyée sur le lavabo. On sentait qu’elle essayait de se contenir.
Elle ne m’a pas senti arrivé et j’ai directement glissé ma main dans son legging, cherchant immédiatement sa petite rose.
Mes doigts arrivant à l’objet de leur recherche, y trouvèrent un torrent de mouille. Ce simple mouvement fit complètements défaillir ma proie qui tremblait de tout son corps.
Je lui demandais donc « bah alors tu mouilles déjà autant alors que je ne t’ai rien fait ? »Pour seule réponse, elle m’a embrassé fougueusement.
Ma main était toujours dans son pantalon et caressait toujours son fruit qui aurait dû m’être défendu.
Je suis retourné dans le salon, la laissant là, seule face à son désir. Après plusieurs minutes, je sentais encore mon sexe très dur sous mon jean. Marion n’étant toujours pas revenu, j’ai voulu pousser mon jeu un peu plus loin.
Je l’ai retrouvée à nouveau dans la même position, appuyée sur le lavabo. Elle avait son beau visage couvert d’eau, qu’elle avait mis en abondance pour essayer de reprendre ses esprits. Ses cheveux blonds étaient également mouillés. Elle luttait de tout son être pour rester maître d’elle même.
Mais ma seconde venue l’a achevée. J’ai attrapé ses seins fermement d’une main et dirigé l’autre main vers sa chatte que je savais trempée. Elle a laissé glissé un couinement plus qu’approbateur. C’était même une supplication. Un appel.
J’ai donc joué avec elle, savoir jusqu’où elle serait prête à aller.
Je lui ai demandé « à qui tu appartiens »« A toi » a t elle répondu en tentant de m’embrasser.
J’ai reculé ma bouche pour lui dire « et tu crois que ça te donne le droit de m’embrasser ? » « J’espérais ... » a t elle cherché à répondre mais je l’ai interrompue « Tu as le droit uniquement de m’obéir. »Elle a acquiescé.
J’étais ravi. Elle était prête à se laisser faire. Je ne m’attendais pas à une telle docilité.
« a qui appartiens tu ? »« A toi »« A qui vas tu penser quand Jeremy te fera l’amour chez toi ? »« A toi »« Qui est ton maître ? »« Toi »Et je l’ai laissée à nouveau. Tremblant de tout son être. Seule face à elle même.
Je suis retourné boire des coups avec mes deux autres invités comme si de rien était.
Marion est finalement revenu une bonne quinzaine de minutes plus tard. On était tous posé sur le canapé, trois d’entre nous avions une couverture sur les genoux et Marion en a profité pour me branler avec son mec qui n’était qu’à un mètre de mois ! Au bout d’un moment, Elle a feint d’être complètement bourrée. Je lui ai proposé d’aller se coucher dans mon lit pour qu’elle se repose. Elle a bien évidemment accepter.
Elle est restée à m’attendre une bonne heure, sagement. Jusqu’à ce que mes deux comparses aillent promener les chiens. J’ai prétexté de commencer à ranger pour rester à la maison. Mais des qu\'ils furent sortis, je sortais mon sexe encore dur et fonçait dans la chambre pour le mettre devant le visage de Marion qui était endormi.
Mon gland sous son nez l’a instantanément réveillée. Elle s’est mise à me pomper avec envie comme une déesse. Elle y mettait vraiment un acharnement énorme. A chaque va et vient elle tentait d’avaler une plus grande partie de mon membre.
Malheureusement pour elle, mon sexe est long et elle n’y arrivait pas.
J’ai donc joué de ça pour lui dire « si ça ne rentre pas dans ta bouche, donne moi pourra l’accueillir »Elle a immédiatement réagi, baissé son pantalon et s’est mise à quatre pattes sur mon lit. Quel bonheur de voir ses magnifiques fesses, offertes.
« Où tu la veux ? » « Dans ma chatte » me dit elle immédiatement « Dans ta chatte de quoi ? » lui demandais je A ma grande surprise, elle a compris immédiatement ce que je voulais et m’a répondu « Dans ma chatte de salope »J’ai alors enfoncé sans scrupule d’un coup sec ma verge gonflée dans sa petite chatte qui était dégoulinante de mouille. Je l’ai pénétrée de longues minutes en lui faisant dire des obscénités.
Elle a adoré ça.
Malheureusement, j’ai entendu la porte d’entrée s’ouvrir et j’ai immédiatement retirer mon membre de mon amante pour retourner dans le salon.
Mon t-shirt était couvert de mouille et je ne sais comment mes potes n’ont rien vu.
J’ai n’ai malheureusement jamais revu Marion et je n’ai jamais pu jouer avec elle comme je l’aurais voulu
Quand Marion est arrivée avec Jeremy, je l’ai trouvée encore plus radieuse que d’habitude. Il faut dire qu’elle et moi avions commencé à nous chauffer par message quelques temps au parant et je lui avais intimé l’ordre de se faire belle pour moi.
Nous avons commencé l’apéro comme à notre habitude. Les bouteilles sensont vidées petit et petit et je sentais l’alcool qui faisait son effet sur Marion qui devenait de plus en plus rouge, excitée par mon regard pressant.
Elle s’est absentée quelques instants pour aller se rafraîchir.
Quelques minutes plus tard je suis allé, du moins c’est ce que j’ai prétexté, aux toilettes.
J’ai trouvé Marion, en proie à ses pulsions, face au miroir, dans la salle de bain, appuyée sur le lavabo. On sentait qu’elle essayait de se contenir.
Elle ne m’a pas senti arrivé et j’ai directement glissé ma main dans son legging, cherchant immédiatement sa petite rose.
Mes doigts arrivant à l’objet de leur recherche, y trouvèrent un torrent de mouille. Ce simple mouvement fit complètements défaillir ma proie qui tremblait de tout son corps.
Je lui demandais donc « bah alors tu mouilles déjà autant alors que je ne t’ai rien fait ? »Pour seule réponse, elle m’a embrassé fougueusement.
Ma main était toujours dans son pantalon et caressait toujours son fruit qui aurait dû m’être défendu.
Je suis retourné dans le salon, la laissant là, seule face à son désir. Après plusieurs minutes, je sentais encore mon sexe très dur sous mon jean. Marion n’étant toujours pas revenu, j’ai voulu pousser mon jeu un peu plus loin.
Je l’ai retrouvée à nouveau dans la même position, appuyée sur le lavabo. Elle avait son beau visage couvert d’eau, qu’elle avait mis en abondance pour essayer de reprendre ses esprits. Ses cheveux blonds étaient également mouillés. Elle luttait de tout son être pour rester maître d’elle même.
Mais ma seconde venue l’a achevée. J’ai attrapé ses seins fermement d’une main et dirigé l’autre main vers sa chatte que je savais trempée. Elle a laissé glissé un couinement plus qu’approbateur. C’était même une supplication. Un appel.
J’ai donc joué avec elle, savoir jusqu’où elle serait prête à aller.
Je lui ai demandé « à qui tu appartiens »« A toi » a t elle répondu en tentant de m’embrasser.
J’ai reculé ma bouche pour lui dire « et tu crois que ça te donne le droit de m’embrasser ? » « J’espérais ... » a t elle cherché à répondre mais je l’ai interrompue « Tu as le droit uniquement de m’obéir. »Elle a acquiescé.
J’étais ravi. Elle était prête à se laisser faire. Je ne m’attendais pas à une telle docilité.
« a qui appartiens tu ? »« A toi »« A qui vas tu penser quand Jeremy te fera l’amour chez toi ? »« A toi »« Qui est ton maître ? »« Toi »Et je l’ai laissée à nouveau. Tremblant de tout son être. Seule face à elle même.
Je suis retourné boire des coups avec mes deux autres invités comme si de rien était.
Marion est finalement revenu une bonne quinzaine de minutes plus tard. On était tous posé sur le canapé, trois d’entre nous avions une couverture sur les genoux et Marion en a profité pour me branler avec son mec qui n’était qu’à un mètre de mois ! Au bout d’un moment, Elle a feint d’être complètement bourrée. Je lui ai proposé d’aller se coucher dans mon lit pour qu’elle se repose. Elle a bien évidemment accepter.
Elle est restée à m’attendre une bonne heure, sagement. Jusqu’à ce que mes deux comparses aillent promener les chiens. J’ai prétexté de commencer à ranger pour rester à la maison. Mais des qu\'ils furent sortis, je sortais mon sexe encore dur et fonçait dans la chambre pour le mettre devant le visage de Marion qui était endormi.
Mon gland sous son nez l’a instantanément réveillée. Elle s’est mise à me pomper avec envie comme une déesse. Elle y mettait vraiment un acharnement énorme. A chaque va et vient elle tentait d’avaler une plus grande partie de mon membre.
Malheureusement pour elle, mon sexe est long et elle n’y arrivait pas.
J’ai donc joué de ça pour lui dire « si ça ne rentre pas dans ta bouche, donne moi pourra l’accueillir »Elle a immédiatement réagi, baissé son pantalon et s’est mise à quatre pattes sur mon lit. Quel bonheur de voir ses magnifiques fesses, offertes.
« Où tu la veux ? » « Dans ma chatte » me dit elle immédiatement « Dans ta chatte de quoi ? » lui demandais je A ma grande surprise, elle a compris immédiatement ce que je voulais et m’a répondu « Dans ma chatte de salope »J’ai alors enfoncé sans scrupule d’un coup sec ma verge gonflée dans sa petite chatte qui était dégoulinante de mouille. Je l’ai pénétrée de longues minutes en lui faisant dire des obscénités.
Elle a adoré ça.
Malheureusement, j’ai entendu la porte d’entrée s’ouvrir et j’ai immédiatement retirer mon membre de mon amante pour retourner dans le salon.
Mon t-shirt était couvert de mouille et je ne sais comment mes potes n’ont rien vu.
J’ai n’ai malheureusement jamais revu Marion et je n’ai jamais pu jouer avec elle comme je l’aurais voulu
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