Travail – Stage Suite et pas fin ! - histoire érotique

Dans l’épisode précédent, j’ai commencé mon stage sur Paris. Mon manager ne cachait pas son attirance pour moi, et je jouais un peu de cette situation. Seulement, je perds rapidement le contrôle lorsqu’il m’annonce qu’il est au courant de mon amusement. Le chantage commence.
Je rentrai dans le bureau de mon manager les épaules un peu renfermées et la tête baissée. Je ne sais pas vraiment pourquoi, mais la situation m’angoissait un peu. Pas que je ne sois allée trop loin, je ne pensais pas encore à cela. Mais je savais déjà que je sortirais de ce bureau différente.
« Approche, n’ai pas peur ! »
Nicolas avait très bien capté ma situation et s’en réjouissait par avance ! Homme d’expérience, il savait pertinemment que la soirée tournait en son avantage !
J’avançais et eut le réflexe de m’assoir sur la siège face à lui.
« Il ne me semble pas de t’avoir permis de t’assoir !
Lors traits de sont visages étaient carrés et marqués. On voyait qu’il était décidé à faire paser un message.
On va remettre les choses au carré, lorsque tu as signé le contrat, tu t’engageais à respecter ta mission et dans un sens à exécuter mes ordres »

J’attends une réponse.
« Je ne pensais pas qu’une signature signifiait autant.
Son visage se durci encore un peu
Tous les matins, quand tu traverses les portes de ce bâtiment, tu me prouves que tu es contente de me retrouver et que je t’ai manqué depuis la veille, sinon tu ne reviendrais pas.
Que dis tu de ça ?
« C’est une façon de voir les choses… »
De nouveau, il montait dans son agressivité.
Quand tu arrives sur ce plateau et que tu me regardes avant de t’assoir, tu me montres que je n’ai pas fait un mauvais choix en t’embauchant !
« Merci »
Quand tu te cambres pour t’assoir ou roule du cul pour aller chercher de l’eau, tu me prouves que j’ai fait un bon choix !
« Je fais ç… » « Tsssssst ! Il me coupa la parole. Son visage devenait vraiment marqué, mes réponses le mettaient hors de lui, mais il passait au dessus.
« Quand je lis un sourire sur ton visage parce que tu sais que tu as sorti des vêtements que j’apprécie particulièrement, je me dis que t’es pas trop mal »
Innocemment un sourire apparu sur mon visage.
Cela se traduisait aussi par un léger sourire sur son visage qui devait penser « oui, souris ma belle, je sais que tu aimes ça, continue de répondre ainsi et tu vas voir ce que je vais te mettre »
Il continua de plu en plus sur de lui…
Lorsque tu es assise et que tu laisses dépasser tes string pour moi, tu me prouves que tu aimes les règles que je mets en place et tu m’encourages à aller plus loin. Ca tu en es au courant n’est ce pas ?
« Que j’aime ce jeu ? »
Je vis que cette réponse idiote était la dernière que je pouvais sortir. Il posa à plat les deux main sur son bureau, comme s’il voulait bondir.
« Une nouvelle règle à présent, quand tu franchis cette porte, que ce soit moi qui te le demande ou toi pour un renseignement, tu es sous mon contrôles total. OK ?
« C’est en tout cas ce que j’ai fait tout à l’heure »
Encore une fois, je ne dis pas clairement que je suis en accord avec ce qu’il vient de dire.
Tu sais que me prendre de haut comme tu le fais ne t’aide en rien. Si tu es là aujourd’hui c’est uniquement car tu l’a toujours souhaité !
Je ne répondis rien alors il me relança
Hein ?
« Je ne sais pas si j’ai vraiment eu le choix sur toute…
Il ne me laissa pas terminer ma phrase et gueula :
« Arrête tes conneries !! Assume tes actes !! Rend toi à l’évidence de ce que tu es !! Dans 10 minutes tu vas te retrouver sur le bureau à poil en mouillant comme une trainée !! C’est plus clair la ? »
Sous la surprise de l’intonation de sa voix, je ne bougeai plus.
C’est vrai ou c’est pas vrai ?
Sans réponse de ma part, il se clama et déclencha le chronomètre de sa grosse Rolex, il la retira tout doucement en me fixant dans les yeux, et la plaça sur le bureau de façon à ce que je puisse la voir.
Mes yeux quittèrent les siens pour suivre celui de la montre et de la trotteuse que je voyais tourner lentement et régulièrement tic tac tic tac…
Je ne comprenais rien de ce qu’il se passait et était déconnectée de la réalité. Normalement je contrôle ces situations. J’ai de la répartie, je sais choisir les bon mots. Masi ce soir, j’étais menée en bateau, j’avais perdu tout contrôle, mon esprit était perturbé. Même mon corps était atteint.
Etait ce le fait que tout cela soit arrivé très vite ?
Le fait qu’il s’agisse de mon patron ? Une angoisse pour une autre raison ?
Il me fit revenir à moi alors que d’une voix calme et rassurante il m’annonça.
Va fermer les stores du bureau (ainsi nous étions isolés du plateau). Quand je me suis levée, mon cœur à commencé à battre plus fort, je sentais mon corps différent, comme si mon cerveau était complètement utilisé pour effectuer une tache et une seulement, le fait d’envoyer mon sang vers tous mes organes…
Lorsque les volets étaient fermés, je restais de nouveau debout, la ficelle dans la main, sans bouger.
D’une voix douce il reprit, tu as 8 min 45 avant de te retrouver nue sur ce bureau.
Comment comptes-tu utiliser ton temps ?
Il se leva, alla ouvrir son armoire et sorti deux verres avec une bouteille de whisky.
Il les déposa sur le bureau.
Il nous servit à tous les deux une bonne gorgée, et me dit
« Reviens t’assoir. »
Il prit son verre en main et respira cet alcool comme pour que l’effet agisse plus vite. Il le but sec et me demanda de faire de même.
Je m’exécutai. N’étant pas très whisky, je ne pris pas le temps de renifler les odeurs. Je pris le verre des deux mains et l’accompagna vers ma bouche. J’ai voulu le boire sec pour que ça passe plus vite. Mais la quantité était un peu trop importante, et je n’ai pu avaler en une fois. Une première gorgée passa et me brula la gorge. Pendant que le liquide qui restait dans ma bouche me brulait le palais. Après ces deux gorgée il m’en restait une dernière dans le verre.
Avant que je ne la prenne, mon manager me resservait un peu moins que précédemment et me dit « SEC »
Je prenais le temps de respirer un peu car le gout et la sensation n’était pas très plaisant. Déjà je sentais mon corps se réchauffer. Le deuxième verre passa moins bien que le premier. Je pensais que les effluves que j’avais en bouche auraient facilités ce dernier mais non. Ma gorge ne s’y était toujours pas faite et c’est en grimaçant que je terminai ce verre.
« Alors, que vas-tu faire ? Je te propose de commencer par te caresser lentement. Oublie la montre…Il la déposa dans son tiroir.
Il prit mes mains et en dépose une sur mon ventre, l’autre sur ma nuque. Lui passait derrière moi et commençait à me masser les épaules légèrement.
Je me sentais bien sous ses mais. Je me sentais en sécurité et mes muscles se détendaient.
Je savais pertinemment que le whisky faisait effet. Ses mains avaient déjà quittées mes épaules pour descendre sur le haut de mon buste. Mes mains commençaient à se déplacer seules. Sur les cuisses, mon ventre, je passait légèrement sous mes seins. Je me sentais très bien et mon corps réagissait à cette situation.
Il se pencha un peu vers moi, et me chuchota : « oui comme ça, c’est bien, continue ainsi, exerce plus de pression avec tes mains sur tes seins » il termina ma me mordiller le lobe de l’oreille et son souffle chaud s’engouffra dans mon oreille. Cette sensation m’excita énormément et mes mains commençaient à passer sur mon sexe par-dessus mon pantalon. Il recommença sur l’autre lobe d’oreille et je ne pus m’empêcher de lâcher un petit gémissement et soufflant mon excitation.
Mon corps s’emballa, mes gestes étaient plus précis. Sa bouche s’activait maintenant sur la chaire de ma nuque. Sa main gauche passa sous mon bras et vient se placer sur mon sein. Il le pétrissait avec la force et le mouvement parfait. De ma main libre j’agrippai l’accoudoir de la chaise.
« Retire ton pantalon tu seras plus à l’aise. »
Avant de passer face à moi, il détacha sa cravate et me l’enroula autour des yeux. Un dernier bisou dans le coup, il s’accroupi derrière le siège et tira un peu sur mon string pour voir quelques centimètres. Même s’il l’a déjà regardé ce matin, il ne s’en lasse pas. Et il ne l’a jamais vu d’aussi près. Bref…
Le fait d’avoir les yeux bandés me transportait ailleurs. J’étais folle de désir, je n’en pouvais déjà presque plus, cet homme me rendait dingue !
Il me caressa les fesses. Il jouait rapidement avec mon string et essaya de glisser une main par derrière, mais le pantalon était trop serré. Il se releva et je sentis sa main descendre à partir de mon cou. Il descendit le long du buste, suivait la forme de mon sein droit, le pétri, continua de descendre entre mes seins. Mon t shirt était relevé, lorsque le bout de son doigt arriva sur mon ventre découvert pour descendre le long de ma cuisse, j’eu un frisson redoutable !! J’avais envie qu’il me prenne la tout de suite sur le bureau !!
Il mit plusieurs secondes à parcourir ma jambe pour arriver sur mes pieds. Je portais des escarpins classiques. Il retira mon pied droit et commençai à l’attaquer de bisous. Il me mordait la plante des pieds en remontant sur mon mollet avec une main. C’était bon, j’aurai voulu rester ainsi longtemps.
Il découvra mon deuxième pied, déboutonna mon pantalon, et m’aida à l’enlever tant bien que mal. A peine avait il dépassé mes fesse, que ma main se jeta sur mon sexe sous le string. Je le laissai terminer le travail et j’accélérai le mouvement. Il continua de retirer mon jean.
De mon coté mon souffle s’accélérai, je commençais à ressentir des contractions, c’était trop bon ;
Soudain une main forte prit la mienne et me l’écarta !
« Je ne t’ai pas autorisé à jouir ! »
Je senti qu’il défaisait sa ceinture. Il me retira mn t shirt et mon soutient gorge et m’attacha les deux bras au dos du fauteuil.
Il tire un dernier coup sur mon pantalon et le lança je ne sais où/
Ensuite, un grand silence parcourait la pièce. Il devait me regarder ainsi offerte et 1000 idées devaient parcourir son esprit,
J’entendis son pantalon tomber à ses pieds. Il se replaça derrière le siège et me chuchota
« Dommage que tu ne puisses te voir !! T’es vraiment bonne comme ça !! Tu ferais quoi si t’étais à ma place ?»
Ma seule réponse fut « Baise-moi !!! »
« Non princesse, c’est pas toi qui commande ce soir, dommage… »
Il me prit les deux seins avec ses mains et je senti sa queue qui venait cogner mes mains attachées dans le dos du fauteuil.
« Branle-moi coquine »
Je saisi son membre tout dur du mieux que je pouvais et je commençais mon va et vient.
« Oh putain oui c’est bon !! Comme ça continu »
Il descendit une main sur ma chatte pour reprendre le travail.
Mon souffle s’accéléra. Je l’encourageai en gesticulant sur mon siège. Il était parfaitement bien placé, je me sentais monter à chaque cercle…
Sa main sur mon sein me procurait aussi un réel plaisir.
Au bout de quelques minutes, sentant qu’il allait finir (à mon avis) il se retira et venait retirer mon string.
« putain mais comment elle mouille la salope elle est en train de me noyer mon fauteuil !! »
Je ne fis pas de commentaire, juste un petit sourire.
« Vu que tu ne parles pas beaucoup tu ne diras rien si je t’encombre la bouche.
Il se replaça derrière moi en me disant « occupe toi de mes boules aussi tu as deux mains non ? »
Et avant que je ne prononce une réponse il l’enfila le string dans la bouche.
Je pouvais sentir l’abondance de mouille qu’il contenait. Je portais ce jour là un string en dentelle rouge qui se rapprochait du tanga. Tout le tissu avait absorbé ma mouille. Le string pesait trois fois son poids. J’adorai lécher mes doigts après m’être caressée donc ça ne me dérangeait absolument pas de l’avoir en bouche.
Il retira ma main qui s’occupait de son membre pour prendre le relai. Je ‘occupai juste de ses boules.
Ensuite, il me détache les mains et me regarda me caresser.
« tu ne jouis pas tant que je ne t’y ai pas autorisé !! »
Il replaça correctement la cravate qui me servait de bandeau, mais je fermais les yeux et n’avait pas vu un seul instant si elle s’était déplacée ou pas.
Tout en me caressant, je senti qu’il se rapprochait de moi sur le côté. Il fallait bien que je passe pat là !
Il me tapota l’épaule de ce que je pense sa queue puis m’ordonna d’ouvrir la bouche.
« Tu laisses ta bouche ainsi jusqu'à nouvel ordre ! »
J’avais donc légèrement tournée la tête sur le cote droit et lui se tenait a mes coté.
Sans retirer mon string je senti qu’il rentrait le bout de son sexe dans la bouche,
J4avais terriblement envie de l’emprisonner à l’aide de mes lèvres et de le rouler autour de ma langue, mais l’autorisation n’avait pas été accordée.

Je sentais qu’il s’amusait avec moi. Il connaissait mes envie. Il en profitait pour me tester.
Il avançait de plus en plus loin.
Avec le string en bouche, cela ne facilitait pas la tache !
Il le repoussait de plus en plus vers le fond, et cela m’étouffait. Mais il semblait ne pas en tenir compte. La seule fois où j’ai voulu y mettre ma main, j’ai reçu une vilaine gifle baveuse de sa bite.
Il rentrait tout doucement et restait quelques secondes au fond de ma gorge. Il attendait une manifestation de ma part, attendait encore une petite seconde et se retirait. Je ne saurais expliquer mes actions, mais j’essayais a chaque coup de tenir plus longtemps !!
Quand il s’enlevait je prenais de grandes bouffées d’air mais qui étaient difficiles avec mon string.
Finalement il m’ le retira et me proposa cela :
« On va faire un petit jeu. Je vais te remettre ma bite dans la bouche. Et tu vas essayer de l’avaler en entière. Ensuite tu estimes la taille.
- Si tu tombes juste je t fini dans la bouche
- Sinon sur le visage et les seins

J’acceptai ce jeu (comme si j’en avais le choix).
Il ne désirait même pas m’aider a rentrer sa queue. C’était à moi d’avancer le long de son membre pour gagner des cm.
Le premier coup fut un échec. Je recommençai un petit peu mieux. Sa bite semblait dans la normale. Son diamètre était correct et prenait à peu près la même place que mon homme dans ma bouche.
N’arrivant pas à tout prendre en bouche, je tenta ma chance au hasard.
Ce que je ne lui avais pas dit c’est que je n’’avais pas très envie qu’il me finisse dans la bouche.
Je donnais donc le nombre 10 cm pour voir quelle serait sa réaction.

Je le senti sourire ?
« C’est ton dernier mot ? »
« Oui je valide, 10cm ça me parait réaliste ».
« Pauvre fille dit il tu n’as donc rien compris »

Il retira la cravate et commença à se branler activement.
« Tu as gagné je vais t’en mettre partout sur le visage »
« a moins que tu ne préfères les seins ? »
« Oui sur les seins ce sera parfait ! »

Il me redemanda de le sucer un petit moment jusqu’avant le moment fatidique.
Je le regardais dans les yeux, son regard était ailleurs, son souffle puissant, il grimaçait et réalisaient de tout petits mouvement au bout de son sexe.
Je resserrai mes seins à l’aide de mes mains pour être plus sexy quand il viendrait
Je senti peu après la première salve…J’ai cru que ça en était fini car plus rien ne sorti pendant quelques secondes…mais une deuxième et une troisième salve puissante m’aspergeaient enfin. Une dernière vint recouvrir une partie du sein droit qui n’avait rien eu.
Il continua de se branler un peu. Il étala a l’aide de sa queue le sperme sur mon corps.
Il parti du nombril ou une bonne partie de son sperme avait coulé et l’étala sur mon sein gauche. Le droit ne fut pas oublié non plus. Puis sur le haut du buste et enfin il se régala sur tout mon ventre.
Au final c’est une belle quantité qu’il m’avait offert !!

Il fini par me demander de nettoyer son membre avant de le ranger dans son boxer.
Je m’appliquais donc à la tache. Sa queue avait encore pas mal de sperme sur sa longueur.
JE nettoyais tout et aspirait les quelques gouttes qui n’étaient pas parvenues encre sur mon corps…

Lorsque je sorti des mouchoirs de mon sac, il changea de ton ;
« Que fais tu ? »
« JE me nettoie, je ne vais pas rester comme ça jusque demain » dis je en rigolant ;
« Peut être pas jusque demain mais jusque chez toi c’est sur !!
« Comment ça ? »
« Je vais te raccompagner chez toi, il se fait tard, ce n’est pas prudent de rentrer seule. Et puis je tiens à m’excuser en personne devant ton homme. »
« Quoi ? mais.. euh..il en est hors de question ! »
« JE suis navrée tu es sous mes ordres jusqu'à chez toi »

Sers-toi donc un dernier verre, ça te permettra de retirer au moins l’odeur de ta bouche devant ton mari.
J’aime bien les jeux fair Play.
Je comprenais à présent pourquoi la longueur exacte me revenait dans la bouche !! Ca aurait été beaucoup plus discret…
« Mais je vais devoir me rhabiller comme ça sans me nettoyer ? »
« oui c’est ce que tu vas faire maintenant ».
« Il ramassa le string qui était à ses pieds et le mis dans sa poche. »
« Donne moi aussi le soutient gorge derrière toi stp »
« Je vais rentrer couverte de sperme et sans sous vêtements ? autre chose peut être ? »
« Non ce sera suffisant pour cette fois ci » répondit il en me narguant de son sourire.
Le sperme avait sécher un peu. Je remis premièrement mon t shirt. J’ai eu du mal car il restait pas mal de zone encore humide qui accrochait. On voyait déjà apparaitre les traces d’humidité de l’extérieur. Mon débardeur collait par moment et pas à d’autres endroits, C’était très désagréable.
Mon jean remis, j’enfilai mes chaussures et était fin prête.
Monsieur se rhabilla aussi et on sorti du bureau alors que j’enfilai mon manteau.

Dans la voiture, le silence était pesant. Je n’osais poser aucune question et lui devait penser à comment il allait jouer la scène. Une nouvelle sensation de stress m’envahit…Le GPS indiquait l’arrivée dans 10 minutes. Même ave mon manteau je sentais les odeurs lourdes de son sperme. Même lui se permit des réflexions pour se moquer et cela ne me rassurai en rien
« Tu aurais pu faire un effort pour le parfum tout de même ! »

Bref, le GPS indiquait 500 mètres. Et mon manager se gara sur un place non éclairée et éteigni les phares sans éteindre le moteur.
« Que fait-on ? »
« J’ai besoin que tu me suces de nouveaux, je ne me sens pas propre ni présentable devant ton homme sinon ».
« Sans rien contredire, je penchais ma tète. Il avait déjà défait sa ceinture. J’attrapais son sexe et le sorti délicatement de son boxer.
Il redurcit rapidement.
Il me demanda de mettre ma main dans le dos.
De sa main il imposait le rythme…
« Tu as intérêt à tout avaler car …
Sans qu’il finisse sa phrase j’allais me retirer pour lui faire part de ma colère !!
Mais le salop avait prévu son cou et ne se contenta pas de me bloquer la tête, il me la poussa d’un coup sec au jusqu’à sa garde. Et reprit tranquillement si j’ai une trace sur le pantalon il risque de se douter de quelque chose »
« Je disais…
J’avais la gorge remplie, la sensation était très étrange, je ne sais pas comment la définir.
…tu as intérêt à tout avaler sans faute car…
Je n’en pouvais déjà plus, je manquait d’air, je ne m’étais pas préparer à me retrouver comme ça maintenant
… si une tache se retrouve sur mon pantalon
Il força encore un dernier coup pour me montrer qui avait le dessus et me tira par les cheveux pour me retirer.
En me relevant mon corps qui avait besoin d’air eu le reflexe d’inspirer un maximum. Mais avec toute la bave que j’avais crée, je m’étouffais encore plus.
Lui continua sa phrase normalement…
…il va se douter de quelques choses, tu comprends ? »
Je n’avais pas encore avalé toute la bave qu’il me ressaisi et me mit 5 cm de sa bite dans la bouche en continuant de se branler.
Reste la bouche fermée salle chienne et aspire…
Je sentais ses deux mains sur ma tête au cas ou je serai prête a fuir.
Il était en train de venir.
Heureusement, l’éjaculation précédente n’était pas vieille et je ne reçue que deux jets très liquide.
Je remontais lentement le long de son gland en aspirant pour tout ramener vers ma gorge.
Avant de quitter son gland, une grosse fessée me fouetta les fesses. Il se rhabilla et fit les 500 mètres qu’il restait…
Il me demandait de sonner chez moi…Ding dong