Travail temporaire (suite En route pour les vacances) - histoire érotique

Travail temporaire (suite En route pour les vacances)
Je suis partis de mon petit village en Drôme provençale depuis plusieurs jours maintenant pour venir passer quelques jours de vacances. On arrive à la mi-Septembre et l’argent commence à manquer. Je dois donc essayer de travailler. Je commence donc à consulter les journeaux mais sans grands résultats. Je vais voir dans différents restaurants et là encore pas de postes. Il est 15h30 lorsque j'entre dans un super marché à proximité de la ville. A droite de la porte vitrée coulissante il y a une feuille avec une annonce. Le magasin cherche une personne pour une durée de 2 semaines pour remplacer le magasinier en arrêt maladie. La chance me sourit, je décolle la feuille et me dirige vers le point d'accueil. L'hôtesse d'accueil d'une quarantaine d'année, plutôt charmante m'explique en quoi consiste le poste. Il faut être présent à partir de 4h du matin jusqu'à 9h30 pour remplir les rayons. Elle m'averti aussi que c'est assez physique. Je la rassure et lui dit que je peux toujours essayer. Elle prend le téléphone et demande à parler au responsable du personnel. Une heure plustard nous sommes d'accord et je rentre au camping souriant. Le soir je me couche tôt pour ne pas être en retard.
3h55, je suis devant la porte d'entrée du personnel éclairée par une simple ampoule. Je sonne; personne. Je frappe à la porte; personne. Je me dirige vers la porte d'entrée du magasin, puis retourne sur mes pas. Dans la pénombre, je distingue une silhouette courant dans ma direction. Quelques minutes plus tard, une jeune femme s'arrête devant moi, un peu essoufflée. Elle porte une casquette avec les cheveux attachés en queue de cheval, un débardeur, un pantalon cycliste qui s'arrête sous les genoux, des basquettes et de petites chaussettes, un sac dans le dos.
- " Salut..." dit-elle entre 2 respirations et en me tendant la main. " Je suis Sophie....responsable du magasin....c'est toi le remplaçant ? ".
Sa poignée de main est ferme.
- Euh..oui bonjour, je suis Marc ".
- " Cool...on va rentrer...je vais prendre...une douche...et je t'explique ".
- " Ok pas de soucis " répondis-je.
Une fois à l'intérieur du magasin, je vois enfin son visage sous la lumière. Il est fin, je peux aussi détailler son corps. Elle mesure environ 1m75, blonde, yeux bleus intenses. Elle me fait déjà craquer. Mais le reste est tout aussi charmant. Elle a les épaules larges et musclées, mais pas à la façon d'un culturiste. Sa poitrine est aussi volumineuse et le pantalon cycliste moule ses fesses qui sont un régal pour les yeux. Le tissu glisse entre ses fesses qui appellent à la caresse. Je crois que ce travail va me plaire.
- "Attends-moi là j'en ai pour 5 minutes ".
Je m'assois sur la chaise à côté de la machine à café. 5 minutes plus tard la revoilà. Elle a changé de tenue mais en restant dans le même style. Elle m'explique alors comment se passe la matinée. Une fois dans les rayons du magasin, elle dit bonjour à plusieurs personnes qui rangent les boites sur les rayons. Je commence mon travail sans poser de question. Il y a une jeune femme avec moi dans le même rayon.
- " Je suis Mathilde..."
- " Enchanté, je suis Marc..".
A 6h une sonnerie retentit dans le magasin. Mathilde m'explique que c'est la pause de 30 minutes. Tout le monde va boire un café ou fumer une cigarette. Je ne vois plus Sophie.
Les jours passent, je me lie d'amitié avec Mathilde, et même plus que d'amitié. Jusqu'au jour où pendant la pause à 6h, nous sommes seuls dans un bureau. Elle est assise sur une table les jambes dans le vide, et moi sur une chaise entre ses cuisses écartées. On s'embrasse, je passe mes mains sous son tee-shirt. Elle de petits seins durs, mes doigts descendent sur son ventre, tirent sur l'élastique de son pantalon et se glissent dans son slip. Je sens une douce chaleur mais aussi qu'elle est toute mouillée. Elle rit doucement à se contact, nos regards se croisent, elle m'embrasse avec fougue. Je pose ma bouche sur son cou, sur ses seins à travers le tissu, sur son ventre en m'attardant sur le nombril. Elle s'allonge alors sur la table, remonte ses genoux sur sa poitrine. Elle jette un regard vers la porte puis fais glisser son pantalon et son slip pour me dévoiler ses fesses. Je vois les lèvres de son sexe totalement rasé.
- " Vas-y...." me dit-elle " lèche-moi..".
C'est presque un ordre. Elle tire ma tête vers son sexe, mes lèvres se posent sur son intimité, une forte odeur piquante remplit mes narines, ma langue frôle son sexe avant de s'y enfoncer, mon nez plaqué contre son clitoris qui pointe déjà hors de son capuchon. Je lui attrape les hanches et je la lèche, fais courir ma langue dans sa raie culière avec des caresses sur son anus qui frétille. Elle gémit de plaisirs, je sens ma bite qui durcit. Elle pose sa main sur la bouche pour étouffer ses cris. Je me lève, baisse mon short pour libérer mon sexe. Mathilde me sourit. Un bruit résonne dans le couloir, on s'arrête, on ne bouge plus en espérant ne pas être surpris. C'est encore plus excitant de savoir qu'on pourrait nous découvrir mais aussi très ennuyant car nous serions viré sur le champ. N'entendant plus rien je pose ses jambes sur mes épaules et commence à frotter mon sexe sur sa vulve gorgée et luisante de mouille. Le gland entre doucement en elle, elle gémit mais c'est alors que la porte s'ouvre et se referme aussi rapidement. Sophie est debout dans la pièce et nous regarde avec de la colère dans les yeux, elle a les mains posées sur les hanches, jambes légèrement écartées.
- " Alors voilà....c'est à ça qu'on s'occupe pendant la pause ?" dit-elle presque en criant. " Vous croyez qu'on vous paie pour baiser ? " ajoute-t-elle en s'approchant.
Mathilde descend de la table, je remonte mon short aussi vite que possible.
- " Ne bougez pas...! dit-elle encore.
Je relève la tête dans sa direction avec le short encore sur les genoux, Mathilde reste sans bouger assise sur la table. Sophie passe derrière Mathilde lui prend les épaules et la fait s'allonger sur la table.
- " Vous voulez baiser...? alors on va baiser mais à ma manière ".
Un sourire se dessine sur ses lèvres, sa voix est plus douce.
- " Toi..." dit-elle en me désignant du doigt " continues à lui bouffer la chatte à cette petite ".
Voyant que je ne bouge pas sa voix devient plus directe.
- " Allez…dépêche-toi...je veux l'entendre gémir !".
Je recommence alors à lécher Mathilde. Sophie lui caresse les cheveux, le visage puis elle se déshabille et monte à son tour sur la table.
- " Vous voulez du sexe et bien vous allez en avoir...".
Elle attrape les chevilles de Mathilde et les ramène vers elle, dans cette position le cul et le sexe de Mathilde sont ouverts à ma caresse buccale, j'enfonce ma langue plus loin en elle, glisse sur son petit trou. Sophie s'est assise sur le visage de Mathilde et remue le bassin dans tous les sens pour se frotter. Elle jette la tête en arrière, je vois le visage de Mathilde qui se couvre petit à petit des sécrétions de Sohpie qui commence à mouiller et à gémir. Nous restons dans cette position pendant plusieurs minutes, puis Sophie descend de la table et se place derrière moi. Elle claque mes fesses, me prends la bite déjà raide et tendu. Elle décalotte le gland, me caresse les couilles en passant entre les fesses, sans oublier au passage de titiller un peu mon anus.
- " Maintenant tu vas la baiser cette petite...".
Sophie dirige le bout de mon sexe vers celui de Mathilde recouvert de salive, elle frotte le gland sur le clitoris, le frappe même à plusieurs reprises. Mathilde pousse des cris de plaisirs et de surprise à cet attouchement. Puis vient le moment où le gland la pénètre. Je sens Sophie qui pousse contre mon dos, c'est comme si c'est elle qui pénètre Mathilde. Elle s'arrête lorsque mon sexe est rentré tout entier dans Mathilde. Puis elle marque un temps d'arrêt et me tire en arrière. Je vois alors les lèvres du sexe de Mathilde qui glisse sur mon sexe comme des ventouses.
- " Baise la à fond " chuchote Sophie à mon oreille.
J'attrape Mathilde par les hanches et commence à aller et venir dans son sexe chaud, humide. Mes coups de reins se font plus rapides et presque violents. Sophie s'écarte de moi, monte sur la table. Elle vient s'assoir derrière la tête de Mathilde et se caresse le sexe. Elle s'attarde sur le clitoris que je vois gonfler, elle le pince, elle s'enfonce même deux doigts entre les fesses. Cette vue est très excitante. J'accélère le rythme de mes coups de bite, Mathilde gémit plus fort. Mon regard passe du sexe de Sophie au mien qui glisse dans celui de Mathilde. Je relève les jambes de Mathilde pour les poser sur sa poitrine, je m'enfonce plus loin en elle, je vois son clitoris gonfler qui pointe hors de son capuchon. Sophie tend alors le bras et pose ses doigts sur cet organe sensible. Elle le caresse d'abord avant de la frapper du plat de la main, Mathilde pousse un cri de surprise mais aussi de plaisir. Elle glisse ses mains sur les fesses et les écarte avant de me dire en souriant :
- " Vas-y...encule-la....elle est prête maintenant !".
J'entends Mathilde :
- " Nooon pas par là...."
Mais c'est déjà trop tard. Sophie prends ma bite entre ses doigts, pointe le gland sur la rosette luisante de mouille, je pousse doucement d'abord. Une fois le gland entré je continue de pousser jusqu'au fond de son cul. Mathilde remue le bassin pour échapper à cette pénétration, sa tête bouge de droite à gauche, elle crie mais Sophie s'assoit sur son visage. Je ressors de son cul pour m'y enfoncer à nouveau avec plus de force. Mes couilles cognent contre ses fesses. Après quelques secondes Mathilde ne crie plus mais gémit, souffle fort. Sophie tend son bras vers le sexe de Mathilde, elle lui caresse le clitoris puis enfonce trois dans son sexe dégoulinant. L'excitation est extrême, chacun de nous prend son plaisir à sa façon. Je sens que je ne vais pas tarder à cracher. J'accélère encore le rythme de mes coups de bites, je sens alors l'anus de Mathilde qui se resserre sur mon sexe, elle cambre les reins traversée par un orgasme fulgurant, je sors de son cul, Sophie attrape mon sexe et le branle rapidement, j'explose sur le ventre de Mathilde qui tremble encore. Sophie étale le sperme sur le ventre avant de porter ses doigts à ses lèvres. Elle s'allonge à côté de Mathilde, lui caresse doucement le visage et vient l'embrasser à pleine bouche. Je m'écroule sur une chaise. Le calme et le silence sont retombés dans la pièce. Après plusieurs minutes, on se rhabille, chacun sort de la pièce en silence. Je retourne avec Mathilde au travail.
Trois jours plus tard, je finis le remplacement et quitte Mathilde et Sophie avec regret.