Travaux 1 - histoire érotique

Chapitre 1 : L'architecte.

Avec mon ami, mon amant, mon pacsé Hugo, on a décidé de se faire construire une maison. On avait choisi le terrain et on a commencé à dessiner les plans de ce que l'on désirait.
Ce n'étaient que de bonnes parties de rigolades de dessiner une maison, les pièces, comme des enfants, on voulait ceci ou cela, trois chambres, une pour les amis et deux pour nous car si on se fâchait, il fallait qu'on prenne nos aises. Deux salles de bains car Hugo était très long le matin à se préparer, deux WC également pour la même raison. On avait envisagé, de mettre deux WC dans le même, comme on avait vu une fois en Vendée dans une maison de campagne.
Il y avait donc de la discussion, c'était très animé.

Hugo et moi, 33 ans tous les deux, on se connait depuis 10 ans. La première fois que l'on s'est vu c'était à la boulangerie de la ville, un regard, un sourire et on s'est parlé dans la file d'attente. C'était un 13 mars à 18h50, faut être précis!!!
On s'était trouvé beau! ça arrive… lol mais on était de beaux spécimens en fait.
On s'est rendu compte qu'on avait l'habitude de prendre son pain le soir en sortant du boulot et on s'est retrouvé plusieurs soirs de suite. Lequel a invité l'autre à boire un verre au bistrot d'à côté ? on ne sait plus, en tout cas après on buvait l'apéro chez Hugo, et j'y suis resté la nuit.

On a appris à se connaitre, s'estimer, s'aimer et devenir inséparable. Et, au bout de 7 ans, Hugo m'a demandé de se pacser, j'ai accepté bien sûr et on a toujours vécu heureux tous les deux ou avec des mecs de rencontres, car on est aussi coquin l'un comme l'autre. Autant on aime être tous les deux que, s'il y a un ou deux autres petits mecs, on est preneur.
Donc tout allait bien.

On avait commencé à parler autour de nous de ce que l'on voulait faire et bien sûr, on nous a conseillé de prendre un architecte pour faire les plans et ensuite s'occuper, gérer la construction de la maison.
C'est un bon ami qui nous a conseillé d'aller au Cabinet du Village, gérer par un certain Stéphane, tout ceux qui avaient opéré avec lui étaient contents, en plus il était gay-friendly et cela permettait de parler plus librement.
C'est ainsi que nous avons poussé la porte du cabinet et, rencontrer le prénommé Stéphane.
Putain de beau mec! Comment n'avions nous pas rencontré ce mec avant! comment vous dire, il doit mesurer dans les 1m90, châtain foncé, des cheveux courts, un visage avenant et souriant avec une bouche pulpeuse à souhaits, et sa langue qui passe sans arrêt sur ses lèvres quand il écoute les gens parler et de beaux yeux verts émeraudes. Une belle tête quoi! collée sur un corps que j'ai eu envie de voir à poil de suite, une barraque de muscles. Les manches de sa chemise étaient retroussées sur ses bras, les biceps forçaient la chemise, et les avant bras plein de duvet blond. Ma parole c'est lui qui construit les maisons!
J'ai regardé le plus discrètement possible son entre jambe et mazette, y'avait du monde là-dedans!

On s'est assis autour d'une table et nous avons expliqué ce que l'on aimerait. Hugo avait amené nos dessins, nos désirs, on a vu un sourire sur ses belles lèvres.
-oh la la va y'avoir du boulot, mais une question? pourquoi voulez vous tout en double comme ça?
C'est Hugo qui a été le plus rapide à répondre.
-parce ce que mon Chéri Fabrice, trouve que je ne vais pas assez vite le matin, alors faut lui faire plaisir.
-bah il n'a qu'à se lever plus tôt! dit Stéphane en souriant à Hugo.
-mais c'est que monsieur aime bien faire un câlin le matin et moi après je somnole dit Hugo, car il est très efficace le matin.
Stéphane rigole en me regardant, je crois que j'ai rougi, maudissant Hugo de dire de telles choses.
-et, le soir ? demande Stéphane Il est pareil ?
-m'en parlez pas! dit Hugo.
Comme si c'était une obligation qu'il se fasse baiser comme la salope qui habite en lui tous les jours.
Je n'avais rien à dire, ils parlaient tous les deux et Hugo vantait mes mérites au lit, tant le soir que le matin. Stéphane me regardait du coin de l'œil et souriait, à chaque fois que je voulais dire quelque chose, ils parlaient encore plus.
Puis, enfin, on est revenu aux plans de notre futur maison et Stéphane a dit qu'il allait y travailler et qu'il nous montrerait bientôt ce à quoi il pensait en se basant sur nos désirs.
La poignée de mains de Stéphane fût franche et très appuyée j'ai trouvé et son sourire coquin allait bien avec!

-Dis donc mon chéri, j'ai cru que tu voulais me vendre ce soir à l'architecte.
-je n'ai fait que des compliments pour qu'il comprenne bien qu'on s'aime et qu'on est heureux répond Hugo.
-ouais, moi dans son regard en partant j'ai trouvé qu'il avait envie de venir dans mon lit.
-ah ah alors je serai là également! dit Hugo en rigolant.
On s'est chamaillé dans la soirée se lançant des vannes, Hugo faisait sa salope, m'excitant encore plus si bien que je l'ai coincé dans le canapé lorsqu'il est revenu avec sa robe de chambre où il est nu dessous.
-tu sais que j'ai envie de te baiser hard mon bébé d'amour ?
-j'espère bien avec tout le mal que je me donne ce soir! et ton architecte m'a excité, j'aurais bien aimé le voir à poil, t'as vu la bête que c'est ? il doit avoir une queue magnifique ce mec!
-ah tu vois ça à sa tête ?
Il rigole.
-pas toi ?
-quoi pas moi ?
-t'aurais pas envie de lui ?
-pour l'instant j'ai envie de toi… je vais te violer ce soir !
Il me regarde étonné.
-si t'es d'accord bien sûr, dis je en lui faisant un bisou.
-j'vais serrer des fesses rien que pour t'embêter.
-tu sais que j'ai la potion magique moi! tu sais ce bon liquide qui laisse entrer tout intrus dans ton beau petit cul.
-ouais... mais là! si tu triches!

Je le fais taire en l'embrassant, sentir ses belles lèvres, pincer durement ses tétons comme il aime et l'entendre déjà gémir, sa main tient ma tête sur la sienne et sa langue a envahi ma bouche. Je le déguste, il me déguste, on se regarde, les yeux amoureux et je vois sa belle queue sortir par l'entrebâillement de la robe de chambre, ma main fonce dessus et j'agrippe ses couilles à pleine main en les serrant, le faisant crier et me traiter de sauvage!
-fais attention! c'est fragile ces petites choses là!
Il écarte ses jambes et mon doigt fonce vers son anus déjà prêt. Il est toujours prêt à prendre une bite Hugo! il relève ses jambes et mon doigt s'enfonce, il ferme les yeux et attend la suite.
Je le doigte avec brutalité… il ouvre les yeux et me regarde étonné.
-c'est un viol ! dis je faisant le mec désolé.

Il rigole encore, et je lui mets deux doigts, sa queue bande bien et le gland s'est décalotté tout seul, la mouille coule lentement du méat.
Je le prends dans mes bras, le soulève et l'emmène dans la chambre où je le jette sur le lit, lui enlève la robe de chambre pour l'admirer, il est beau mon Hugo, magnifique, bandant à souhaits!
Je me mets à poil, lui montrant mon monstre qu'il connait bien, il le regarde avec gourmandise, je le tire par les pieds pour le mettre la tête qui penche dans le vide, je fais le tour du lit et je viens passer mon gland sur ses lèvres, qu'il garde fermées.
Il veut vraiment que j'"abuse" de lui.
Mon gland mouille en abondance et je lui passe sur le visage lui en mettant sur le nez, les yeux, les lèvres, j'ai beau forcer la bouche, il pince ses lèvres.
Je serre son nez entre deux doigts, l'empêchant de respirer, si bien que peu de temps après il ouvre la bouche et ma queue glisse sur la langue.
-si tu mords, ma belle salope… c'est la dérouillée immédiate! Suce salope!

Je le vois ouvrir la bouche et ses dent se refermer sur ma queue, la serrer entre ses dents tendrement, je lui donne quelques petites claques sur les joues et ma queue va voir sa copine la luette.
Il avale bien Hugo, j'aime quand il prend ma grosse queue bien au fond de sa gorge, je suis obligé d'enlever mes doigts de son nez pour qu'il respire quand même mon chéri et le voilà qu'il tète ma queue comme un affamé.
Je lui pince les tétons, il offre encore plus sa gorge, ma queue glisse bien dans cette bonne bouche.
Mais c'est son cul que je veux.
Je sors ma queue de sa bouche.
-donne ton cul salope! dis je en lui tapant la joue.

Il se met en boule sur le lit, son cul tourné vers moi… et crie :
-non j'veux pas me faire baiser! non monsieur! pas ça! j'veux bien sucer mais pas me faire enculer!
Les mains lui recouvraient la face, mais son cul était à 10 cm de ma queue raide.
J'ai faillé éclater de rire.
J'ai donné de grosses claques sur ses fesses, le bougeant dans tous les sens, mais il se raidissait le salaud!
-met toi à genoux ! ou je te viole comme ça et t'auras encore plus mal.
Il recommence à geindre et je vois son œil rieur qui me regarde. Il redresse son petit cul déjà ouvert, je lui fais écarter les jambes pour bien dégager la raie, l'anus est là, déjà ouvert, palpitant en attendant ma queue.
-eh bien dis donc tu dois te faire baiser souvent la salope.
-oui j'ai un mec qui me baise le matin et le soir, c'est un vicieux et je dois lui obéir dit Hugo comme s'il pleurnichait.

Je l'ai pris par les hanches, approchant son trou de mon gland, quand il l'a senti se poser dessus, c'est lui qui s'est emmanché lentement, la prenant toute entière en gueulant comme si je l'avais forcé.
-t'aimes ça la bite ma salope! t'aime ça te faire ramoner par ton mec! dis le que c'est ton mec le meilleur..
Il ne répond pas.
Je donne un grand coup de reins.
-dis le ma belle salope!
-oui mon amour c'est toi le meilleur, baise moi!
Alors je l'ai baisé tendrement, sentir ma queue entrer et sortir de cette belle caverne qui l'enserre comme elle aime, sentir la chaleur, la moiteur de ce beau cul est vraiment un plaisir et l'entendre gémir, gueuler, s'offrir.

Il s'est redressé pour coller son dos à mon torse, me donner ses lèvres, me sourire, me dire des "je t'aime", lui faire des compliments, le caresser, saisir sa belle queue et la branler pour sentir son cul, serrer tel un étau ma queue dans son petit cul. Je bougeais ma queue en cadence que je branlais la sienne si bien que nous avons joui tous les deux en criant pour s'écrouler sur le lit, il serrait encore ma queue en lui.
-reste comme ça chéri, je suis à toi mon bébé!
On était redevenu tendre, bisous et caresses. Je suis sorti de lui lentement,. il est venu me lécher la queue pour me donner sa langue ensuite, me prendre dans ses bras en me faisant des bisous.
-on dort bébé ? c'est toi qui fais le café demain matin ? dit il en pouffant de rire.

Trois semaines après, un soir en rentrant à la maison j'avais le beau Stéphane devant l'entrée, toujours aussi beau.
-je passais à tout hasard dit il pour vous montrer ce que j'avais déjà fait et s'il faut que je continue en ce sens.
-mais Hugo va rentrer tard ce soir et je ne voudrais pas prendre de décisions tout seul
-je peux vous montrer, vous laisser ce que j'ai fait et vous me direz dans la semaine.
Je l'ai fait entrer au salon, offert l'apéro et, penchés sur son plan, côté à côte, il m'expliquait tout ce qu'il avait fait, en suivant les demandes que l'on avait émises. J'étais émerveillé de voir les choses prendre tournure, j'étais sûr que cela allait plaire à Hugo.

Il m'a donné tout plein de détails, nos genoux se touchaient par intermittence, je retirais le mien car lui ne le faisait pas.
Puis on a trinqué, il avait un regard magnifique et j'avoue qu'il me faisait bander ce mec. j'avais de plus en plus envie de le mettre au bout de ma queue.
-alors ? dit il, c'est comment de vivre avec un son homme ?
-oh c'est pas mal d'autant qu'on s'entend très bien sur pas mal de points.
-moi j'ai un ami, mais il préfère que l'on vive chacun chez soi dit il en me regardant, mais j'aimerais bien qu'il accepte enfin de vivre avec moi.
Moi tout ce que j'avais retenu c'est qu'il était gay. Il avait de la chance son mec d'avoir un garçon pareil à dispo!
On a parlé garçons, sans être vulgaire, mais une discussion franche, amicale, souvent il posait sa main sur mon genou.

Si bien qu'à un moment ma main a bloqué la sienne sur mon genou, on s'est fixé yeux dans les yeux, sérieux comme des papes, on retenait tous les deux notre respiration.
-tu sais ce que j'aimerais ? demande t-il tout bas.
-non... dis je.
-que tu me baises, là! maintenant. J'ai eu envie de toi dès que je t'ai vu et avec tout ce que Hugo a raconté sur toi, ça n'a pas arrangé les choses.
-justement! t'en fais quoi d'Hugo ?
-tu lui racontes tout ce que tu fais ?
-oui.
-il en dit quoi ?
-rien ça l'excite de savoir qu'un autre mec aime ma queue dans son cul.
-alors j'veux être ta salope, maintenant Fabrice.
-alors fous toi à poil maintenant et montre moi ton cul.

J'en revenais pas que ce beau mec fasse la pute comme ça, fallait voir avec quelle rapidité il s'est retrouvé à poil.
1m90 de viande nue devant moi, un corps de ouf! pas un poil sur le corps, la toison pubienne avait été épilée, et je m'attendais à une grosse queue, mais non! une bite dans la normale, bien raide, recourbée légèrement vers le haut, le gland déjà décalotté et le méat ouvert laissait perler sa mouille. Il s'est tourné, un cul à faire damner tous les saints du Paradis. J'avais rarement vu une si belle paire de fesses, lisses, on les sentait fermes, ses mains sont venues les écarter, il s'est penché en avant, une belle raie également épilée, un anus fermé, lisse, rose. On aurait pu croire qu'il n'avait jamais servi mais, d'un seul coup je l'ai vu palpiter, s'ouvrir lentement.
J'ai avancé ma main, et du doigt j'ai touché l'anus, doux, chaud, souple, humide déjà et mon doigt n'a pas mis longtemps à s'enfoncer sans résistance. J'ai entendu le beau Stéphane soupirer en gémissant, ses jambes s'écartaient encore plus, ses mains ouvraient ce beau petit cul.
-donc t'es venu aussi pour un coup de bite monsieur l'architecte ?
-j'espère qu'il y en aura plus d'un dit il en riant, baise moi vite, j'suis chaud là, j'en ai tellement envie.
J'ai enlevé pantalon et boxer, gardant le haut.

Le monstre bavait devant ce nouveau petit cul en m'approchant, la mouille coulait de plus en plus, j'ai passé le gland dans la raie pour l'entendre gémir encore plus fort.
Quand mon gland s'est positionné, il ne bougeait plus, la mouille coulait sur l'entrée, j'ai forcé, il a reculé et j'ai vu ses lèvres annales avaler mon gland, sentir la chaleur se répandre, je bandais comme un malade, ma queue était dure comme jamais. Le gland est passé, il a crié, moins fort qu'Hugo, ses mains se sont enlevées. J'ai posé les miennes sur ses reins et d'un grand coup de reins, j'ai rentré les centimètres restants dans ce cul si accueillant pour entendre le beau Stéphane hurler cette fois!

Mes poils caressaient son beau petit cul et je me suis mis à le bourriner de plus en plus fort, rien que pour l'entendre gueuler, et il gueulait l'architecte, il avait même une belle voix j'ai trouvé.
Je lui ai fait relever une jambe et ma queue est allée encore plus loin, je l'ai redressé, il était presque assis sur ma queue, vu qu'il est plus grand que moi. J'ai pris sa belle queue en main, une queue dure et chaude, gluante de mouille et, comme je fais souvent à Hugo je l'ai branlé durement. Sa main tenait la mienne pour l'accompagner et dans un nouveau hurlement il a juté en travers de la table du salon retombant sur ma queue qu'il serrait très fort dans son cul. Je l'ai fait se pencher en avant et j'ai repris mes coups de reins pour me vider en lui, bien profond, et j'ai apprécié me vider dans ce beau mec!
Il s'est retiré de moi, s'est retourné, m'a pris dans ses bras. Il fallait que je lève la tête, il m'a embrassé tendrement.
-merci d'avoir assouvi mon fantasme! Hugo était même en dessous dans ce qu'il avait raconté à mon bureau dit il en riant.
-merci à toi également, il sera content de savoir ça! dis je vicieusement.
-tu vas lui dire ?
-bien sûr, je te l'avais dit avant non ?
-oui.
-mais faudrait peut être nettoyer un peu la table du salon, t'en as mis partout ma belle salope dis je en le prenant par une oreille et je le penche vers la table.

Il se met à quatre pattes et lèche avec application tout son sperme, en me le montrant sur sa langue, et il avale tout!
On se rhabille et on boit un autre apéro, en discutant de tout et de rien.
J'entends la clé tourner dans la porte d'entrée et mon bel amour Hugo fait son entrée.
-ah! monsieur l'architecte, vous m'attendiez ?
Il tend la main à Stéphane, sans façon se penche sur moi, me fait un bisou. Je vois ses yeux passer sur la table du salon, il respire fort, nous regarde.
-je dirais que ça sent le sperme ici! dit il en me regardant.
Je fais mon air le plus innocent possible, mais faut voir la tête de l'architecte passer par toutes les couleurs pour se fixer au rouge.

Hugo éclate de rire.
-si vous me racontiez ? dit il en s'asseyant, sers moi un verre mon amour.