Travaux 2

- Par l'auteur HDS Nico T -
Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Travaux 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-02-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Travaux 2
Chapitre 2 : Les maçons.

Stéphane l'architecte avait bien travaillé, il nous rendait compte toutes les semaines et il venait pour recevoir sa récompense.
Quel gourmand ce mec! on a passé des soirées mémorables tous les trois.
Lorsque tous les plans furent exécutés, le géomètre entra en action sur le terrain et on commençait à voir l'importance de la maison qui allait se dresser.
Stéphane s'occupait des entreprises qui travaillaient sur le terrain.

Les piquets délimitant la maison ont vite été remplacés par des tranchées, remplies de béton, les fondations étaient faites!
Avec Hugo, on prenait un malin plaisir de passer d'une pièce à l'autre, virtuellement en se racontant les meubles qu'on allait mettre.
Quand ce fût suffisamment sec, les maçons sont entrés en action et, en une quinzaine de jours les murs principaux et porteurs furent érigés.
Hugo travaillait souvent plus tard que moi, alors j'allais par curiosité, tous les soirs voir l'avancée des travaux.
J'étais fier de penser que tout cela allait être à nous, notre nid à tous les deux et je racontais tous les soirs les avancées à Hugo. Cela se terminait toujours à baiser comme des malades, on aime ça tous les deux!

L'équipe de maçons étaient constituée de jeunes mecs portugais ou arabes. Tous des mecs de 30-35 ans et fallait voir les mecs! tous en marcel, les peaux bronzées par le soleil, des corps musclés aux mains calleuses et rugueuses qui me donnaient la chair de poule quand ils me serraient la main.
Le contre maître un franco portugais de bien 35 ans, n'arrêtait pas de me mater quand je venais et, se plaisait à m'expliquer en détails tout ce qu'ils faisaient. Son regard, son allure de mâle me faisaient devenir salope. S'il m'avait demandé de le sucer, j'aurais obéis!

Un soir, je suis arrivé et il n'y avait plus personne, je regardais en cherchant ce qu'il y avait de nouveau depuis la veille, cela me semblait terminé.
J'ai entendu une voiture arriver dans la future cour, je regarde par une fenêtre pour apercevoir le contremaître qui descend et vient vers la maison. Le beau Manuel était tout seul!
Je me suis montré, il est venu vers moi tout sourire pour me saluer, en me serrant la main. On était face à face, dans la future chambre, il me donne une poignée de mains, garde ma main dans la sienne, s'approche, me fixe dans les yeux.
-voilà monsieur Fabrice, nous les maçons avons fini pour l'instant, on laisse la place au charpentier et au couvreur, ils seront là dans une dizaine de jours, le temps que tout sèche bien.

Il ne quittait pas ma main, et souriait tout le temps. Son visage buriné par le soleil, ses joues pas rasées de plusieurs jours avec des rides autour des lèvres bien dessinées, ses yeux marrons foncés me rendaient fous.
-oh si j'avais su, j'aurais amené une bouteille pour fêter ça!
-vous savez les gars avaient envie de rentrer chez eux, c'est pas souvent qu'on fini avant l'heure, mais je savais que vous alliez passer alors je suis revenu pour vous avertir.
Ma main était toujours dans la sienne et je n'avais pas envie de l'enlever.
-ben on aurait bu un verre tous les deux alors, dis je en lui souriant.
-vous formez un beau couple avec votre ami Hugo dit il en me fixant, moi aussi j'aurais bien envie de trouver un si beau mec pour l'avoir dans mon lit tous les soirs.
-ah ah c'est sûr! en plus on s'ennuie pas avec Hugo !dis je malicieusement.
Il me tire doucement à lui, toujours en me fixant, je vois ses belles lèvres se rapprocher.
-et avec toi ? on s'ennuie ? demande t-il.
-j'ai jamais eu de plaintes et Hugo est toujours là.
-parce que moi j'ai envie de toi beau mec.

Son autre main passe sur ma joue, sa main calleuse me fait frémir des pieds à la tête, sa main se pose sur ma joue, l'enveloppe en la caressant, ses yeux se rapprochent, je me laisse faire quand ses lèvres sèches se posent sur les miennes et que sa langue entre immédiatement en action se projetant dans ma bouche pour jouer avec la mienne. Sa main lâche la mienne, passe dans mon dos et me serre contre lui, me collant à son bassin, à ce torse chaud qui sent le mâle pendant que son autre main tient mon cou, au cas où je me sauverais!

Mais je me laisse faire, je le respire, son odeur de mâle m'excite. Je sens ma queue bander comme jamais et je sens également la sienne se frotter à mon bassin.
Je le tiens serré contre moi et le baiser devient interminable, il a fermé les yeux et me déguste vraiment. Son baiser s'arrête et il me lèche le visage passant partout, revient m'embrasser, ses mains parcourent mon corps, j'ai l'impression qu'il a plein de mains, des caresses viriles, sa main calleuse, rêche, passe sous mon tee-shirt et les frissons reprennent, sa main est chaude, rude mais caressante. Elle me malaxe, pétrie… On sent la force dans cette main, ses doigts, sa main enveloppe mes fesses, les triture, il la passe dans le pantalon mais il peine à aller bien loin.
Il me regarde, ses yeux sont tendres mais en même temps on sent que c'est lui le chef, le contremaitre, qu'il va donner un ordre et qu'il faudra obéir.
-suce moi! j'ai du bon jus pour toi! dit-il dans un souffle.

Comme si je n'attendais que ça, je me suis mis à genoux dans la future chambre. Son bleu de travail ne tenait que par un bouton, quand je l'ai enlevé, le pantalon est tombé à ses pieds et j'avais devant moi un boxer bleu ciel bien rempli d'une belle tige et de deux couilles bien dessinées avec un gland très humide.
Sans ouvrir de suite mon cadeau, j'ai sniffé cette belle queue, léché sur le tissu, mordillé le gros morceau de viande, le faisant rire.
J'ai baissé le boxer d'un coup.

La queue portugaise s'est redressée, une belle tige pas très longue en fait, bien droite, mais épaisse, deux belles couilles poilues pendaient dessous. Une grosse veine bleue remontait jusqu'au gland déjà décalotté au méat béant où la mouille perlait.
J'ai reniflé, humé, senti toute cette belle pièce, j'ai aimé cette odeur de mâle vicieux. Quand j'ai commencé à lécher les couilles, j'ai vu la mouille couler le long de sa queue, j'ai gobé les couilles, avalé, les faisant rouler dans ma bouche.
L'entendre gémir en me caressant les cheveux était ma première récompense.

Ma langue est remontée sous sa queue en direction de la mouille qui coulait, la récupérant pour la remonter au gland bien dessiné, un peu plus gros que la tige, rouge marron, coulant de bonheur. Mes lèvres l'ont enveloppé, il s'est raidi en me tenant la tête, poussant de petits cris.
Il n'a pas cherché à m'enfoncer sa queue dans la bouche, il me laissait faire et semblait ravi.
Je lui ai tété le gland comme un nourrisson tète son biberon, il poussait de petits cris, ma langue n'arrêtait pas de l'agacer.
Mes lèvres sont descendues sur sa tige jusqu'à toucher ses poils pubiens touffus et drus. Ah il était poilu mon portugais!
Je pouvais avaler sa grosse tige toute entière, facilement, elle arrivait juste à l'entrée de ma gorge touchant la luette.
Sa main a maintenu ma tête durant un moment et m'a laissé respirer avant de reprendre mes va-et-vient.

Je sentais qu'il était excité, sa queue durcissait quand elle était au fond de ma gorge. j'allais de plus en plus vite en la serrant bien entre mes lèvres chaudes et douces.
Ses petits cris revenaient de plus en plus souvent, il tendait bien son corps pour me donner sa queue, il a crié en portugais et son gland a sursauté dans le fond de ma gorge, se délivrant de tout le bon jus qui coulait en moi directement.
Je ne sais pas s'il y avait longtemps qu'il n'avait pas juté, en tout cas j'ai eu droit à une belle rasade, en fait plusieurs très abondantes et l'entendre gémir, râler en me caressant la tête, les joues…
Sa queue toujours bandante sort de ma bouche, se faisant lécher en même temps.
Il me relève, m'embrasse rapidement.
-donne moi ta queue!

Je le vois se mettre à genoux devant moi, défaire mon pantalon, je relève le tee-shirt, il touche ma grosse queue à travers le boxer en sifflant, le retire rapidement et siffle encore d'admiration en prenant mes couilles d'une main et la hampe de l'autre.
Moi aussi j'ai le gland tout décalotté qui coule comme un nez enrhumé.
Ses doigts rugueux passent partout, je frissonne, mais se sont ses lèvres et sa langue qui entrent en action rapidement.
Ma queue est au moins aussi grosse que la sienne mais en plus long et mes poils blonds semblent l'électriser.
Ca pour me faire bouffer la bite et les couilles! il les a dégusté! j'ai bien cru qu'il allait avaler mes couilles tellement il les aspirait dans sa bouche. Sa barbe de plusieurs jours m'irritait la peau, mais en fait c'était plaisant et je faisais la correspondance avec Hugo qui était pratiquement imberbe, en tout cas ses poils ne piquaient pas autant que le beau portugais Manuel.

Il a peiné à tout avaler ma queue, je voyais ses yeux pleurer. Il grognait, il râlait comme moi d'ailleurs, mais il y est arrivé.
Je sentais mon gland se faire serrer dans sa bouche, aspiré, tété et sa main est passée entre mes jambes. Un doigt curieux dans la raie trouve mon anus qu'il gratouille, force et le rentre doucement.
Se faire sucer en se faisant doigter, moi ça m'excite énormément, mais fallait que je lui baise la bouche en même temps.

J'ai posé mes mains sur sa tête, écartant encore plus mes jambes, comme pour l'inciter à aller plus loin dans mon cul, ce qu'il a fait d'ailleurs, et j'ai baisé sa bouche lentement lui collant ses lèvres et son nez dans ma toison. Ses yeux pleuraient encore mais il ne faisait pas mine de se retirer.
j'ai accéléré les mouvements quand je sentais son doigt me caresser le conduit, ça me chauffait, ça m'électrisait ce doigt rugueux en moi et quand j'ai gueulé, hurlé en bloquant sa tête, lèvres fermées, je me suis déversé en lui, en de nombreuses giclées bien chaudes et épaisses.
Le beau Manuel n'a rien perdu et à tout avalé comme le chef qu'il est!
Quand ma queue est sortie, elle était comme neuve, il m'a regardé en souriant.
-putain mec, t'as du jus toi au moins!
Ses mains m'ont fait tourner devant lui, toujours à genoux.
-fais voir ton cul mec!

J'ai présenté mes belles fesses, sentir ses joues piquantes se frotter dessus m'ont fait crier de petits "aie" et je l'ai entendu rigoler.
Il a écarté mes fesses, je me suis penché en écartant mes jambes pour lui offrir la meilleure vue possible et il n'a pas fait uniquement que regarder. Après s'est frotté sur mes fesses, sa langue est passée dans ma raie, l'inondant de salive.
Je suis venu l'aider en tenant mes fesses offertes, ses joues rugueuses collées à mes mains, sa langue s'est activée sur mon anus. J'avais déjà aimé sa langue jouant avec la mienne mais là, c'était magique. Je n'étais pas son premier cul au contremaitre, je me demandais s'il baisait les mecs qui travaillaient avec lui!

Et sa langue a ouvert mon cul, m'a pénétré répandant sa salive chaude. Je la sentais couler en moi.
Et son doigt est venu tasser la salive, s'enfonçant lentement, au plus profond qu'il pouvait et faire des va-et-vient de plus en plus rapides, pour en mettre deux et m'entendre râler. j'aimais ses doigts rustres, qui me râpaient et s'enfonçaient en moi, je n'arrêtais pas de geindre, mon cul était bien ouvert quand il a mis trois doigts, j'ai cru que j'allais être écartelé. Il a tourné dans mon cul, m'ouvrant encore plus.
-tu la veux ma queue ? demande t-il.
-oui! baise moi.
-alors cramponne toi au mur! y craint rien, c'est bâti par mes mecs! dit il en riant.

Je l'entends se relever sans sortir ses doigts de moi, lorsqu'il les enlève c'est pour immédiatement les remplacer par sa queue humide de plaisir qui se positionne, ses mains se cramponnent à mes hanches et je sens qu'il force lentement. J'ai l'anus qui se distend doucement, je sens son gland avancer, mes lèvres annales commencer à le recouvrir… ah ça pour m'ouvrir, je suis ouvert!
Et, quand son gros gland entre en glissant en moi, je gueule, je hurle, il s'arrête, en me caressant les fesses et le dos… disant des mots gentils.
-ça va aller maintenant, je vais faire doucement, t'en fais pas.

Moi qui croyais que c'était un dur, en fait c'est un dur doux!
Et sa queue a continué sa progression, oh pas longtemps car ses poils pubiens rêches étaient déjà collés à mes fesses.
Il m'a baisé longtemps le mec! s'enfonçant en moi en de bons coups de reins. J'ai aimé cette queue vivante en moi quand il m'a redressé contre lui, pour m'embrasser, comme je le fais à Hugo pour lui dire que je l'aime, qu'il est mon amour. Lui ne m'a pas dit ces mots là, mais il y avait quand même de la tendresse dans ses gestes.
Quand il s'est vidé en moi, que j'ai senti ses giclées se répandre dans mon conduit, le chauffant vraiment, il m'a touché la queue, comme pour vérifier que je bandais.

Il est sorti de moi doucement, m'a retourné dans ses bras et on s'est embrassé, sa main s'est saisie de ma queue, l'a serrée.
-baise moi maintenant, mais doucement pour la rentrer, j'ai l'anus fragile avec les grosses queues. Mais après tu peux me baiser comme t'as envie… tu veux bien ?
Ma réponse fut un baiser.

Il s'est retourné, s'est penché en avant s'appuyant contre un mur, il a ouvert ses fesses et j'ai vu la forêt vierge, putain de cul et de raie poilue…!
Je riais tout seul devant le boulot qu'il y avait, chercher dans les poils, lécher partout, coller les poils et voir apparaitre le beau petit trou marron foncé qui palpitait entouré de poils noirs. Ses fesses n'étant pas tellement rebondies, ma langue pouvait forer cet anus qui s'offrait et entendre le beau Manuel gémir.
J'ai fait couler la salive, j'ai léché, enfoncé ma langue au plus profond que je pouvais et quand j'ai mis mon index Manuel criait déjà et je sentais son sphincter serrer mon doigt.

Il a fallu tout mon tact avec ce cul récalcitrant. Plus je mettais de doigts plus il restait ouvert et plus Manuel gueulait. Maintenant j'avais un beau "O" qui me laissait voir l'intérieur de ce cul chaud.
J'ai fait comme lui, enlevé mes doigts au dernier moment pour poser mon monstre devant l'entrée.
D'une main il s'appuyait sur le mur et de lui-même reculait sur ma queue que je sentais entrer en lui, il râlait, grognait en poussant de petits cris et a hurlé quand le gland est passé. Je l'entendais haleter et j'ai poursuivi la progression, car j'en avais plus long à faire entrer que lui.

Mais ce fut un plaisir de baiser ce cul portugais, ce cul de mâle qui se donnait, s'offrait sans chichi, je sentais bien qu'il avait mal dans les cris qu'il poussait, mais jamais il n'a cherché à faire sortir ma queue, au contraire il s'est toujours offert.
Je lui ai mis la dose de mon bon jus qu'Hugo aime tant.
Quand je suis sorti de lui, il s'est vite retourné pour me lécher la queue et venir ensuite me donner sa langue à lécher.
On s'est serré dans les bras comme des amoureux heureux.
Ses mains rugueuses étaient devenues douces, ses yeux brillaient comme les miens m'a t-il dit.
-quel dommage que cela se passe le dernier jour! a dit Manuel.
-si tu veux venir à la maison… quand tu veux, tu seras le bienvenu.
-mais ton mec ?
-oh il va être ravi de s'occuper de toi, tu sais c'est un gourmand mon Hugo.
-vous baisez souvent à trois ? dit il d'un air intéressé.
-le plus souvent possible!

Lorsque je suis rentré à la maison, Hugo mon chéri était déjà là.
On s'est fait la bise, il m'a reniflé en me regardant les sourcils froncés.
Avant qu'il ne dise quelque chose.
-je suis passé à notre nouvelle maison, et les maçons ont fini, se sont les charpentiers et les couvreurs qui viendront dans une quinzaine.
-chouette dit Hugo en se frottant contre moi, on arrose ça alors ?
-ouais on peut se prendre un apéro si tu veux.

Il me prend le menton entre ses doigts pour que je le regarde, son nez s'approche.
-mon chéri n'oublierais pas de me dire quelque chose ?
-je ne vois pas dis je de mon air le plus innocent possible.
-pourtant tu sens une odeur bizarre.
-ça sent le maçon dis je.
-monsieur s'est frotté à combien de maçons ce soir pour que l'odeur imprègne tous les vêtements et la peau de mon chéri…?
-un seul! je le jure dis je en levant la main, tu veux que je te raconte maintenant ou après dîner?
-juste dis moi lequel c'était ?
-Manuel le contremaitre, et c'est un sacré coup le mec!
-tu l'as baisé ?
-oui
-c'est tout ce que tu as à dire ?
-non je lui ai dit aussi qu'il pouvait passer quand il voulait à la maison que j'avais un chéri qui serait ravi de faire sa connaissance.
-ah enfin tu penses à moi!

Sa langue se fourre dans ma bouche, joue avec la mienne..
-c'est ça le goût du sperme portugais ? dit Hugo en riant.
-bon ! viens on dînera après.
C'est lui qui me tirait par la main pour aller dans notre chambre.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Et dire qu'il y aura ensuite plâtriers, peintres, couvreurs, électriciens, plombiers, serruriers, etc.

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Texte coquin : Travaux 2
Histoire sexe : Une rose rouge
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