Travesti en soubrette par une matrone pour le banquet du rugby (4)

- Par l'auteur HDS Bgp -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Travesti en soubrette par une matrone pour le banquet du rugby (4) Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-07-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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(7.0 / 10)

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Travesti en soubrette par une matrone pour le banquet du rugby (4)
J’avais l’impression de laver des assiettes et des plats depuis des heures. Mon dos me faisait souffrir et mes mains peu habituées aux travaux physiques était toutes fripées. Les plats en terre cuite me paraissaient de plus en plus lourds. Je prenais cependant grand soin à ne pas les échapper de peur de la sanction qui suivrait. La douleur sur mes fesses commençait à s’atténuer. Le repas était terminé et ceux qui ne cuvaient par leur vin tentaient de danser maladroitement. Soudain, la porte de la cuisine s’ouvrit, et une dizaine d’hommes entrèrent à la queue leu leu. Ils ne s’attendaient pas à revoir dans la cuisine la petite brune sexy qui avait reçu une fessée cul nu en début de repas ! Ils foncèrent sur moi et sans que je ne puisse faire quoi que ce soit, je me retrouvais soulever en l’air sur une forêt de bras, comme si j’étais un ballon baudruche, ou une poupée gonflable. De larges mains ne se gênaient pas pour plotter mes petites fesses, ma poitrine, mon entrejambe et même mon anus. Je me retrouvais porter par ces brutes comme si je ne pesais pas plus lourd qu’un ballon de rugby. Leurs immenses mains étaient assez larges pour entourer totalement mes cuisses. L’alcool les empêchait de contrôler leur force colossale et j’avais peur que mes petits os peu habitués à ce genre de traitement ne se brisent. Je n’avais pas la résistance d’un rugbyman. J’étais plutôt un rat de bibliothèque. Ma robe commençait à ne plus résister au traitement. Elle fut vite arrachée et je me retrouvais vêtu uniquement de ma culotte, de mon soutien gorge dont les bretelles pendaient sur mes épaules, et de mes bas. J’écoutais leur commentaires:“Mais putain qu’elle est bonne, j’ai jamais vu un petit cul aussi appétissant”“Elle est tellement légère qu’elle pourrait tenir empalée sur ma grosse bite sans que je la tienne”

Je me doutais bien de ce qui allait se passer. Il ne s’était pas encore rendu compte que j’étais un homme, tant qu’il ne m’avait pas arraché ma culotte, ce qui n’allait pas tarder. Je ne dûs mon salut qu’à l’intervention de la matrone qui surgit armée d’un balais.
“lâchez là ! Elle a du boulot”

Les hommes obéirent sans broncher. Celui qui m’avait en main à ce moment là me posa brutalement sur la table dans l’un des immenses plateaux de charcuteries encore à moitié plein. Ils fuirent en riant dans la grande salle. Je tentais de reprendre mes esprits, à genoux dans le plateau, au milieu des tranches de saucissons, vêtu de sous-vêtement en dentelle et d’une paire de bas. J’avais l’impression d’être un petit cochon de lait que l’on allait dévorer. Il ne me manquait plus qu’une pomme dans la bouche et une autre dans le fion. La géante me regardait fixement. Je ne l’avais jamais vu avec un teint aussi rouge ! J’étais terrifié par la colère qu’elle dégageait !
“Dans quel état as tu mis ta robe petit salope ! Tu es juste bonne à te faire plotter et à te mettre à poil ! “J’attendais la sanction recroquevillé dans l’immense plat. Je vis cependant une lueur de pitié dans ses yeux.
“C’est vrai que tu es si petit et si faible, tu n’as pas pu faire grand chose face à ces colosses. Et puis j’ai su te rendre tellement désirable que c’est un peu de ma faute”.
Elle passa alors un bras sous mes genoux et un autre sous mon dos pour me soulever délicatement et me serrer contre elle. Tout en me berçant avec facilité :“Tu es si léger, c’est à peine si je sens ton poids”Je calai alors ma tête contre sa lourde poitrine et profitai de ce moment de répit. Elle me porta jusqu’à l’évier et me posa à nouveau sur le marche pied.
“Au boulot, ma puce”J’étais surpris et soulagé, mes fesses aussi ! Je pris un des plats en aluminium que j’avais astiqués pour jeter un coup d’oeil à mon visage : Je faisais vraiment pitié. Les larmes avaient étalé mon mascara sur mes joues. J’étais extrêmement pale et paraissait plus mince que jamais. Je continuais la vaisselle, toujours en petite tenue.


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