Une plantureuse et experte gymnaste - 4
Récit érotique écrit par Bgp [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-08-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Une plantureuse et experte gymnaste - 4
Elle saisit à nouveau mes avants bras dans ses mains et força mes bras à passer au dessus de ma tête pour les plaquer fermement sur le lit. Elle avança sur ses genoux qui se trouvaient de part et d’autre de mon corps jusqu’à ce que son sexe se trouve au dessus de ma bouche. Elle abaissa son bassin jusqu’à ce qu’elle sente mes lèvres sur son sexe humide.
— As tu déjà goûté un clitoris ? Sais tu au moins où il se trouve ?
— Non,... et je n’en suis pas sûr.
— Je vais te guider alors. Glisse doucement ta langue sur la partie supérieure de mon sexe, jusqu’à ce que tu trouves un petit bout de chair.
J’obéissais à la géante qui me tenait fermement sur le lit et j’ inserrai le bout de ma langue dans ce sexe encore parfumé du gel douche. Je sentis le fameux bout de chair et la manières dont Maryline augmenta la pression sur mes bras confirma que j’étais au bon endroit.
— Oui, c’est bien. Caresse le du bout de la langue, n’appuie pas trop.
Je m’exécutai du mieux possible et stimulai avec délicatesse le bouton de plaisir de la géante qui sentait déjà les effets de mes caresses dosées. Prenant un peu d’initiative, je faisais parfois glisser ma langue sur ses lèvres. L’amazone répondait parfaitement à mes sollicitations et m’encourageait en gémissant.
— Oui, c’est bien. Surprends moi, c’est que j’aime par dessus tout.
Encouragé par la plantureuse beauté, je laissai ma langue pénétrer plus profondément dans son sexe qui perlait sur mon visage. Elle serrait un peu plus fort mes bras à chacune de mes audaces, et sa respiration devenait de plus en plus rapide. Je commençai cependant sérieusement à ne plus sentir mes mains et il devenait impératif que la géante jouisse pour qu’elle me libère. Je concentrai les caresses de ma langue uniquement sur son clitoris et augmentai la fréquence de mes coups de langues. Il n’en fallut pas plus pour que Maryline jouisse et mouille abondamment mon visage. Elle hurlait de plaisir comme à son habitude et je continuais à la stimuler tant que sa poigne ne se relâchait pas.
— Arrête c’est trop bon, je vais m’évanouir !
Cet ordre fut le bienvenue tant ma langue peu habituée à administrer un tel traitement commençait à fatiguer. Elle relâcha mes membres endoloris, recula un peu sur ses genoux et se coucha sur moi, étalant sa lourde poitrine sur mon torse. J’en profitai pour caresser son dos et laissai mes mains descendre sur ses fesses rondes. Leur peau était douce mais elles étaient si fermes que mes doigts ne pouvaient s’y enfoncer. J’avais l’impression de toucher une statue de bronze recouverte de velours. Pendant que je profitais de ce contact qu’elle semblait apprécier également, elle décolla sa poitrine de mon corps et laissa ses obus pendre au dessus de mon visage pour venir le frôler, puis elle se baissa doucement et enferma ma tête dans une prison de rêve. Je ne voyais plus rien et n’écoutais que son coeur. Ils étaient si lourds et si chauds. Elle se releva et positionna un de ses tétons sur ma bouche. Je l’ engloutis avec avidité et me mis à le stimuler de ma langue qui avait retrouvé toute sa dextérité, pendant que mes mains continuaient de jouer avec les fesses en béton de la géante. Mes doigts s’aventurèrent sur sa rondelle et Maryline sursauta de plaisir et de surprise. Elle m’encouragea avidement.
— Oui, tu y es ! J’aime sentir mon gros sein dans ta petite bouche et ton doigt sur mon cul. C’est comme si un courant de plaisir transitait entre ces deux points. Continue !
Ma langue se mit à jouer plus fermement avec son téton d’acier et je laissai mon index pénétrer l’anus serré de l’amazone. Au fur et à mesure, son petit trou se détendit et mon doigt pu pénétrer plus en profondeur. Le corps de Maryline tressautait et parfois son sein s’écrasait lourdement sur mon visage. Mon index finit par entièrement pénétrer la géante qui redressa son buste de surprise, ôtant son sein de ma bouche. Alors que mon index faisait des mouvements de va et vient, j’ ajoutais un deuxième doigt, puis un troisième, que j’ agitais doucement mais fermement dans le fondement de la princesse. Son esprit était totalement focalisé sur sa rondelle dont émanait un plaisir auquel elle ne semblait pas être habitué. Elle oubliait cependant que mon visage se trouvait sous ses obus, qui me giflaient lourdement chaque fois qu’une vague de plaisir déferlait dans son bas ventre. Je n’avais jamais fait jouir de femme de cette manière, je ne pensais même pas que c’était possible, mais j’en eus la preuve quand la belle s’effondra sur moi, m’ étouffant presque avec sa poitrine et hurlant encore plus fort qu’auparavant. Je retirai mes doigts de son anus dilaté et souriait fièrement à la belle.
— Je crois que je viens de t’apprendre un truc !
— En effet, on ne m’avait jamais fait jouir comme ça, par contre, je parie que je te fais grimper au plafond de cette manière plus vite que tu ne l’as fait !
— Je n’aime pas trop que l’on touche à cette partie de ma personne. Mais que fais tu ? Laisse mon c…. aaahhhhh !
La géante n’avait que faire de mes protestations. Elle plaça ses mains sous mes cuisses et força mes jambes à se plier pour que mes genoux se trouvent à côté de mes oreilles, rendant ma rondelle accessible pour ces jeux lubriques. Je tentais de résister mais elle était beaucoup trop forte pour moi !
— S’il te plait, je n’en ai pas envie !
— Laisse moi faire et profite de ce moment !
Tout en forçant mes jambes à rester pliées, elle approcha sa bouche de mon anus qu’elle commença à titiller du bout de sa langue. Un frisson de plaisir parcourut mon corps telle une décharge électrique. La géante s’arrêta et regarda ma réaction à sa sollicitation un peu forcée.
— J’ai l’impression que ça t’a bien plu ? Je ne vais pas te violer, même si j’en ai très envie et que tu n’y pourrais pas grand chose. je peux continuer ?
Je n’avais jamais imaginé pouvoir ressentir une tel plaisir par cet orifice et je mourrais d’envie de voir jusqu’où ça pouvait aller.
— Vas y ma grande ! Tu as carte libre !
— As tu déjà goûté un clitoris ? Sais tu au moins où il se trouve ?
— Non,... et je n’en suis pas sûr.
— Je vais te guider alors. Glisse doucement ta langue sur la partie supérieure de mon sexe, jusqu’à ce que tu trouves un petit bout de chair.
J’obéissais à la géante qui me tenait fermement sur le lit et j’ inserrai le bout de ma langue dans ce sexe encore parfumé du gel douche. Je sentis le fameux bout de chair et la manières dont Maryline augmenta la pression sur mes bras confirma que j’étais au bon endroit.
— Oui, c’est bien. Caresse le du bout de la langue, n’appuie pas trop.
Je m’exécutai du mieux possible et stimulai avec délicatesse le bouton de plaisir de la géante qui sentait déjà les effets de mes caresses dosées. Prenant un peu d’initiative, je faisais parfois glisser ma langue sur ses lèvres. L’amazone répondait parfaitement à mes sollicitations et m’encourageait en gémissant.
— Oui, c’est bien. Surprends moi, c’est que j’aime par dessus tout.
Encouragé par la plantureuse beauté, je laissai ma langue pénétrer plus profondément dans son sexe qui perlait sur mon visage. Elle serrait un peu plus fort mes bras à chacune de mes audaces, et sa respiration devenait de plus en plus rapide. Je commençai cependant sérieusement à ne plus sentir mes mains et il devenait impératif que la géante jouisse pour qu’elle me libère. Je concentrai les caresses de ma langue uniquement sur son clitoris et augmentai la fréquence de mes coups de langues. Il n’en fallut pas plus pour que Maryline jouisse et mouille abondamment mon visage. Elle hurlait de plaisir comme à son habitude et je continuais à la stimuler tant que sa poigne ne se relâchait pas.
— Arrête c’est trop bon, je vais m’évanouir !
Cet ordre fut le bienvenue tant ma langue peu habituée à administrer un tel traitement commençait à fatiguer. Elle relâcha mes membres endoloris, recula un peu sur ses genoux et se coucha sur moi, étalant sa lourde poitrine sur mon torse. J’en profitai pour caresser son dos et laissai mes mains descendre sur ses fesses rondes. Leur peau était douce mais elles étaient si fermes que mes doigts ne pouvaient s’y enfoncer. J’avais l’impression de toucher une statue de bronze recouverte de velours. Pendant que je profitais de ce contact qu’elle semblait apprécier également, elle décolla sa poitrine de mon corps et laissa ses obus pendre au dessus de mon visage pour venir le frôler, puis elle se baissa doucement et enferma ma tête dans une prison de rêve. Je ne voyais plus rien et n’écoutais que son coeur. Ils étaient si lourds et si chauds. Elle se releva et positionna un de ses tétons sur ma bouche. Je l’ engloutis avec avidité et me mis à le stimuler de ma langue qui avait retrouvé toute sa dextérité, pendant que mes mains continuaient de jouer avec les fesses en béton de la géante. Mes doigts s’aventurèrent sur sa rondelle et Maryline sursauta de plaisir et de surprise. Elle m’encouragea avidement.
— Oui, tu y es ! J’aime sentir mon gros sein dans ta petite bouche et ton doigt sur mon cul. C’est comme si un courant de plaisir transitait entre ces deux points. Continue !
Ma langue se mit à jouer plus fermement avec son téton d’acier et je laissai mon index pénétrer l’anus serré de l’amazone. Au fur et à mesure, son petit trou se détendit et mon doigt pu pénétrer plus en profondeur. Le corps de Maryline tressautait et parfois son sein s’écrasait lourdement sur mon visage. Mon index finit par entièrement pénétrer la géante qui redressa son buste de surprise, ôtant son sein de ma bouche. Alors que mon index faisait des mouvements de va et vient, j’ ajoutais un deuxième doigt, puis un troisième, que j’ agitais doucement mais fermement dans le fondement de la princesse. Son esprit était totalement focalisé sur sa rondelle dont émanait un plaisir auquel elle ne semblait pas être habitué. Elle oubliait cependant que mon visage se trouvait sous ses obus, qui me giflaient lourdement chaque fois qu’une vague de plaisir déferlait dans son bas ventre. Je n’avais jamais fait jouir de femme de cette manière, je ne pensais même pas que c’était possible, mais j’en eus la preuve quand la belle s’effondra sur moi, m’ étouffant presque avec sa poitrine et hurlant encore plus fort qu’auparavant. Je retirai mes doigts de son anus dilaté et souriait fièrement à la belle.
— Je crois que je viens de t’apprendre un truc !
— En effet, on ne m’avait jamais fait jouir comme ça, par contre, je parie que je te fais grimper au plafond de cette manière plus vite que tu ne l’as fait !
— Je n’aime pas trop que l’on touche à cette partie de ma personne. Mais que fais tu ? Laisse mon c…. aaahhhhh !
La géante n’avait que faire de mes protestations. Elle plaça ses mains sous mes cuisses et força mes jambes à se plier pour que mes genoux se trouvent à côté de mes oreilles, rendant ma rondelle accessible pour ces jeux lubriques. Je tentais de résister mais elle était beaucoup trop forte pour moi !
— S’il te plait, je n’en ai pas envie !
— Laisse moi faire et profite de ce moment !
Tout en forçant mes jambes à rester pliées, elle approcha sa bouche de mon anus qu’elle commença à titiller du bout de sa langue. Un frisson de plaisir parcourut mon corps telle une décharge électrique. La géante s’arrêta et regarda ma réaction à sa sollicitation un peu forcée.
— J’ai l’impression que ça t’a bien plu ? Je ne vais pas te violer, même si j’en ai très envie et que tu n’y pourrais pas grand chose. je peux continuer ?
Je n’avais jamais imaginé pouvoir ressentir une tel plaisir par cet orifice et je mourrais d’envie de voir jusqu’où ça pouvait aller.
— Vas y ma grande ! Tu as carte libre !
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