Travesti en soubrette par une matrone pour le banquet du rugby (5)
Récit érotique écrit par Bgp [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-07-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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Travesti en soubrette par une matrone pour le banquet du rugby (5)
Le bruit avait cessé dans la salle de réception. La plupart des convives dormaient sur la table. Je vis alors une large main pousser doucement la porte, puis une immense silhouette. C’était le géant barbu qui touchait presque le plafond. Il me fixait d’un regard lubrique.
“Je t’ai retrouvée ma petite salope !”Il s’approcha en titubant. Même debout sur le marche pied. mes yeux arrivaient à hauteur de ses pectoraux saillants sous son tee-shirt moulant, taché de vin.
“zuce moi !”Il saisit alors ma tête dans son immense battoir. Elle tenait entièrement dans sa large paume. Il serrait si fortement que j’ai cru que mon crane allait éclater. De son autre main, il ouvrit sa braguette et sortit un pénis comme je n’en avais jamais vu. Il était à moitié en érection et devait déjà mesurer bien 30 cm.
“zuce moi salope”Il ne cessait d’augmenter la pression sur mon crane. Je saisis donc le braquemart et commençai à le masturber de mes petites mains. Cette chose était énorme ! J’en faisais difficilement le tour avec mes deux mains. Il était nettement plus gros que mes bras et dur comme du bois.
“zuce moi bordel”Il saisit alors son sexe dans sa main et força ma bouche contre son énorme gland. Ma petite bouche n’arrivait pas à absorber l’énorme fruit. Il donna donc un coup de bassin et ma bouche fut totalement remplie. Mes mâchoires étaient au bord de la rupture. Il se mit alors à agiter ma tête pour stimuler l’énorme chose, de plus en plus vite, de plus en plus fort. Son dard percutait le fond de ma gorge avec violence et j’avais du mal à respirer. Alors que j’étais à la limite de l’évanouissement, le colosse commença à raller. Des jets de sperme épais giclèrent abondamment dans ma gorges pour tomber directement dans mon estomac. Il restait tellement peu de place dans ma bouche que du sperme sous pression s’échappa même à la commissure de mes lèvres. Mon géant appréciait son orgasme la bouche ouverte. Il dégagea son gland de sa bouche et se masturbant frénétiquement de son autre main, de nouvelles abondantes giclées de foutre vinrent maculer mon doux visage. Je ne pensais pas que c’était possible d’éjaculer autant de liquide ! Moi qui étais habitué à mes quelques gouttes qui jaillissaient de mon petit sexe pas plus loin que ma main. Il lâcha mon crane et je m’écroulais par terre, crachant le sperme qui s’était frayé un chemin jusqu’à mes poumons.
“Tu es une brave petite pute. J’ai encore envide de toi. Donne moi ton cul”
L’idée d’être possédé par ce chibre monstrueux m’excitait énormément, mais vu l’état d’ébriété de mon prétendant, j’avais peur qu’il ne finisse par me déchirer la peau ou me casser un membre. Je me relevai donc et commençai à fuir à reculons. Il commença à me poursuivre en titubant. Son énorme sexe à moitié dur oscillait de gauche à droite. Je finis par me retrouver acculé contre le plan de travail. C’est là qu’il enserra ma gorge d’une seule main et me souleva pour m’asseoir sur le plan. Je ne pouvais plus respirer et seul le contact froid du carrelage sur mes cuisses m'empêcha de m’évanouir. Relâchant ma gorge, sa main se porta sur ma culotte qu’il arracha et jeta par terre. Je me retrouvais cul nu, les jambes écartées face à lui. Il n’eut aucune réaction face à mon petit pénis. Il était trop soûl pour ça !
“J’adore tes cuisses d’araignées. J’aime bien les tout petits gabarits comme toi. Tu es si douce, si fine, en plus tu es épilée de partout, même ton petit trou. J’adore ! Tu es tellement bonne !”Il saisit alors chacune de mes cuisses dans chacune de ses énormes mains et commença à me soulever ainsi. Il s’éloigna du plan de travail et je me retrouvai alors dans le vide, pendu par les cuisses. Il me disposa de manière à ce que son gros gland soit face à mon anus. Il caressa ce dernier pour le dilater et aussi pour donner à nouveau de la vigueur à son membre démesuré, ce qui fut rapide. Il donna alors un violent coup de bassin et son chibre pénétra profondément en moi. C’était la première fois que je ressentais cette sensation d’être pris par un homme. Avec plus de 30 cm de bite en moi, j’avais l’impression d’être totalement à lui. J’avais mal, mon anus devait probablement saigner tellement ce monstre était large, mais je me sentais si comblé ! Jouant de ses gros biceps, il agitait mon corps pour qu’il coulisse le long de sa tige colossale. j’étais secoué violemment et je dûs tenter de me redresser pour ne pas vomir. J’agrippais pour cela ses énormes pouces dans mes petites mains. Je jouis plusieurs fois tant il me comblait, poussant des petits cris aiguës qui stimulaient cette montagne de masculinité. Quand il décida de jouir, il m’agita frénétiquement le long de son vis. Je sentis alors son jus épais couler en moi. Le sperme sortit sous pression de mon anus en quantité impressionnante. Il me dés-empala alors et me posa sur le dos à nouveau sur le plateau de charcuterie. Il remballa son engin et partit sans dire un mot. J’étais à bout de souffle, je transpirais. Je voyais mon reflet dans la vitre d’une commode. J’étais sur le dos les jambes écartées. Mon anus sanguinolent était si dilaté que l’on aurait pu y insérer une bouteille de vin. Du sperme s’en écoulait encore et formait une large flaque dans le plateau. Mon visage était maculé de la semence. J’étais un vide couille et ça me plaisait.
“Je t’ai retrouvée ma petite salope !”Il s’approcha en titubant. Même debout sur le marche pied. mes yeux arrivaient à hauteur de ses pectoraux saillants sous son tee-shirt moulant, taché de vin.
“zuce moi !”Il saisit alors ma tête dans son immense battoir. Elle tenait entièrement dans sa large paume. Il serrait si fortement que j’ai cru que mon crane allait éclater. De son autre main, il ouvrit sa braguette et sortit un pénis comme je n’en avais jamais vu. Il était à moitié en érection et devait déjà mesurer bien 30 cm.
“zuce moi salope”Il ne cessait d’augmenter la pression sur mon crane. Je saisis donc le braquemart et commençai à le masturber de mes petites mains. Cette chose était énorme ! J’en faisais difficilement le tour avec mes deux mains. Il était nettement plus gros que mes bras et dur comme du bois.
“zuce moi bordel”Il saisit alors son sexe dans sa main et força ma bouche contre son énorme gland. Ma petite bouche n’arrivait pas à absorber l’énorme fruit. Il donna donc un coup de bassin et ma bouche fut totalement remplie. Mes mâchoires étaient au bord de la rupture. Il se mit alors à agiter ma tête pour stimuler l’énorme chose, de plus en plus vite, de plus en plus fort. Son dard percutait le fond de ma gorge avec violence et j’avais du mal à respirer. Alors que j’étais à la limite de l’évanouissement, le colosse commença à raller. Des jets de sperme épais giclèrent abondamment dans ma gorges pour tomber directement dans mon estomac. Il restait tellement peu de place dans ma bouche que du sperme sous pression s’échappa même à la commissure de mes lèvres. Mon géant appréciait son orgasme la bouche ouverte. Il dégagea son gland de sa bouche et se masturbant frénétiquement de son autre main, de nouvelles abondantes giclées de foutre vinrent maculer mon doux visage. Je ne pensais pas que c’était possible d’éjaculer autant de liquide ! Moi qui étais habitué à mes quelques gouttes qui jaillissaient de mon petit sexe pas plus loin que ma main. Il lâcha mon crane et je m’écroulais par terre, crachant le sperme qui s’était frayé un chemin jusqu’à mes poumons.
“Tu es une brave petite pute. J’ai encore envide de toi. Donne moi ton cul”
L’idée d’être possédé par ce chibre monstrueux m’excitait énormément, mais vu l’état d’ébriété de mon prétendant, j’avais peur qu’il ne finisse par me déchirer la peau ou me casser un membre. Je me relevai donc et commençai à fuir à reculons. Il commença à me poursuivre en titubant. Son énorme sexe à moitié dur oscillait de gauche à droite. Je finis par me retrouver acculé contre le plan de travail. C’est là qu’il enserra ma gorge d’une seule main et me souleva pour m’asseoir sur le plan. Je ne pouvais plus respirer et seul le contact froid du carrelage sur mes cuisses m'empêcha de m’évanouir. Relâchant ma gorge, sa main se porta sur ma culotte qu’il arracha et jeta par terre. Je me retrouvais cul nu, les jambes écartées face à lui. Il n’eut aucune réaction face à mon petit pénis. Il était trop soûl pour ça !
“J’adore tes cuisses d’araignées. J’aime bien les tout petits gabarits comme toi. Tu es si douce, si fine, en plus tu es épilée de partout, même ton petit trou. J’adore ! Tu es tellement bonne !”Il saisit alors chacune de mes cuisses dans chacune de ses énormes mains et commença à me soulever ainsi. Il s’éloigna du plan de travail et je me retrouvai alors dans le vide, pendu par les cuisses. Il me disposa de manière à ce que son gros gland soit face à mon anus. Il caressa ce dernier pour le dilater et aussi pour donner à nouveau de la vigueur à son membre démesuré, ce qui fut rapide. Il donna alors un violent coup de bassin et son chibre pénétra profondément en moi. C’était la première fois que je ressentais cette sensation d’être pris par un homme. Avec plus de 30 cm de bite en moi, j’avais l’impression d’être totalement à lui. J’avais mal, mon anus devait probablement saigner tellement ce monstre était large, mais je me sentais si comblé ! Jouant de ses gros biceps, il agitait mon corps pour qu’il coulisse le long de sa tige colossale. j’étais secoué violemment et je dûs tenter de me redresser pour ne pas vomir. J’agrippais pour cela ses énormes pouces dans mes petites mains. Je jouis plusieurs fois tant il me comblait, poussant des petits cris aiguës qui stimulaient cette montagne de masculinité. Quand il décida de jouir, il m’agita frénétiquement le long de son vis. Je sentis alors son jus épais couler en moi. Le sperme sortit sous pression de mon anus en quantité impressionnante. Il me dés-empala alors et me posa sur le dos à nouveau sur le plateau de charcuterie. Il remballa son engin et partit sans dire un mot. J’étais à bout de souffle, je transpirais. Je voyais mon reflet dans la vitre d’une commode. J’étais sur le dos les jambes écartées. Mon anus sanguinolent était si dilaté que l’on aurait pu y insérer une bouteille de vin. Du sperme s’en écoulait encore et formait une large flaque dans le plateau. Mon visage était maculé de la semence. J’étais un vide couille et ça me plaisait.
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