Trio
Récit érotique écrit par Huguette34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
- • 290 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.4 • Cote moyenne attribuée par HDS : 7.8
- • L'ensemble des récits érotiques de Huguette34 ont reçu un total de 3 091 559 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-12-2011 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 8 157 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Trio
Leur voiture tombe en rade juste devant chez moi, elles me demandent du secours. Je ne connais rien en mécanique, sinon que le trou du petit Saint Christophe qui peut être bouché. Allez chercher un garage ouvert à 22 heures. Par chez moi c’est impossible. Je ne peux quand même pas les laisser dehors pour la nuit. J’ai de la place dans ma maison, trop grande pour moi seule. Je les invite donc à passer la nuit chez moi. Toutes heureuses elles acceptent, de toute façon c’était ça ou rester dehors toute un nuit.
Quand elles rentrent je peux voir deux filles de mon âge, mignonnes et sexy comme tout. Je veux les faire visiter deux chambres :
- Non ce n’est pas la peine, nous partageons le même lit, par contre si vous soulez nous faire plaisir, nous mangerions bien un morceau.
- Que désirez vous ?
- N’importe quoi pour nous caller un peu.
Je les fais entrer dans la cuisine où devant elle je fait des œufs au plat ce qui leur convient bien. Elles mangent et brusquement l’une d’elle embrasse l’autre sur la bouche. Je suis drôlement surprise de voir deux filles faire une telle chose devant moi. Bien sur j’ai vu une fois un film porno où des lesbiennes le faisaient, mais entre un film et la réalité il y a une marge que j’ai du mal à franchir.
Elles ne s’arrêtent pas là, elles se caressent maintenant, je vois une main passer sur la poitrine de l’autre qui la rend. Je me demande jusqu’à quel point ce n’est pas une provocation. Je ne le pense plus quand la main de la plus grande va sous la jupe de l’autre. Elles semblent perdues dans une autre réalité, elles m’ont oublié.
Je suis surprise de sentir que je suis excitée de les voir, pour peu qu’elle me le propose, je participerais volontiers à leurs jeux. Je passe ma main par dessus le pantalon pour me toucher la chatte. Elles le voient.
- Tu as envie de la même chose que nous, nous voulons te faire du bien à toi aussi.
Ainsi parle celle qui semble mener le couple. Elle se lève pour venir vers moi. Je me demande ce qu’elle veut exactement : ce ne sont que mes lèvres, sa bouche est sur le mienne, sa langue cherche ma langue. Ce baiser m’excite au possible, j’en arrive à souhaiter qu’elle aille bien plus loin, qu’elle me déshabille par exemple.
C’est-ce qu’elle fait rapidement, aidée par son amante. Je suis embrassée de partout quand un endroit de mon corps se trouve dénudé. Ce n’est pas la première fois que je suis déshabillée, c’est pourtant la première fois que je reçois de tels baisers. J’en veux plus, aussi à mon tour je les caresse à travers des vêtements qui disparaissent aussi. Il y a un problème : être nues dans une cuisine n’est pas idéal.
Je propose d’aller dans la chambre que je leur destine.
Je n’ai pas à attendre longtemps les premières privautés.
Outre les baisers sur la bouche je reçois des palpations sur les seins qui bien sur durcissent. Je sens mon bas ventre bouillir de désir. Elles m’abandonnent pour s’aimer devant moi. Nues, et debout, ainsi commence leur première étreinte. Une tient l’autre par la taille, l’autre par les fesses qu’elle caresse. Leur baiser est interminable. Je me doute des mouvements des langues. Par contre je suis un peu surprise par la main qui passe entre les fesses pour aller se fixer sur l’anus de l’autre. Je reste à la regarder, les jambes écartées, ma main dans la chatte à me masturber. Je n’ai même pas honte de faire cela devant d’autres personnes.
Si une a un doigts sur l’anus ou dans, je ne sais pas, l’autre passe un main sur la chatte de son amante. Cette main fouille largement le sexe pour finalement se fixer sur le clitoris. Elles restent debout, les jambes légèrement écartées. Celle qui se fait branler par le cul tremble avant de pousser un long gémissement en jouissant. Elle entraine la mienne. Je n’en peut plus, je veux moi aussi être branlée. La meneuse de jeux doit le comprendre; elle est encore près de moi. Quand je sens sa main sur ma chatte je la tends vers elle. Elle me fouille partout, même sur le cul. Je me retiens pour ne pas partir: je n’y arrive pas, je sens mes crispations d’orgasme envahir tout mon corps.
J’ai l’habitude de jouir ainsi seule ou avec la bite de mon mec, là je ne pense plus qu’à mon plaisir qui pour une fois n’est pas solitaire. J’ai raison d’agir ainsi puisqu’elle recommence à me masturber en changeant un peu: elle enfonce dans le ventre deux puis trois doigts dans la grotte. Elle me baise carrément. Je regarde l’autre qui comme moi tout à l’heure se masturbe.
Enfin je me décide à rendre ce que je subis: main fouille l’autre chatte. C’est la première fois que je caresse un sexe féminin, même si ce n’est pas le premier que je vois. Je suis surprise par la quantité de cyprine. Je cherche un peu le clitoris, elle me félicite :
- Merci de ta caresse, tu sais bien me branler, je voudrais que tu te déplaces un peu vers mon rectum, j’aime me faire mettre par cet endroit.
Je suis obéissante. Je descends ma main et me trouve à l’endroit voulu. Je trouve son cul doux au toucher. Mon doigt en fait le tour, avant de retourner faire le plein de cyprine. Cette fois j’entre directement dans un cul qui s’ouvre. Mon doigt est vite avaler.
C’est à cet instant que je sens un doigt sur mon propre cul, c’est celui de la copine qui s’ennuie seule. Il entre facilement, je me fais régulièrement ramoner par là et j’aime beaucoup. J’ai une autre main libre, j’essaie de m’en servir sur la chatte de l’autre. C’est assez difficile mais tellement excitant.
Moi, je ne tiens plus et je jouis encore, suivie rapidement par la chef et ensuite par la seconde.
Maintenant nous nous couchons. Bien que je n’ai jamais baisé avec d’autre fille, je préfère le lit. Je me trouve encadrée par les deux autres : une est sur mes seins, avec sa bouche qui suce mes pointes et l’autre sur ma chatte avec sa bouche. C’est sa langue qui s’enfonce dans mon ventre le plus profondément: c’est délicieux, c’est même plus que bon. Je sais que je ne vais pas tarder à repartir. Je serre les cuisses en faisant prisonnière la tête qui me suce. Je suis secouée de spasmes sans fin. Il faut que je rende ce plaisir, je pose ma bouche sur la chatte de l’autre fille. Ce goût de cyprine, cette odeur particulière d’une femme en chaleur me pousse aux extrêmes. Je lèche ce sexe comme un chien. Je lape son jus odorant. L’autre ne perd rien, elle est aussi sucée et même branlée à la fois par celle à qui je donne un plaisir mérité.
Les deux filles veulent un moment de repos. J’arrive à m’endormir à coté de mes maitresses. Ce n’est qu’au matin que je me réveille à moitié engourdie, les deux filles se réveillent aussi, elles sont sexy, j’ai encore envie des deux. J’embrasse le premier sein venu, passe ma main sur une chatte, je réveille leur désir. Maintenant c’est moi qui commande. Je leur demande de se mettre l’une à coté de l’autre pour que je les caresse d’un même élan. Elles ont une cuisse sur l’autre, je vois deux chattes déjà humides. Mes deux mains sont juste suffisantes pour les masturber. Ce que je préfère est d’entrer deux doigts dans leur cachette. Je les baise ainsi plusieurs fois, malgré les orgasmes presque continus. Je me régale de leur donner ce plaisir. Je sais que quand j’en aurai fini avec elles, elles se liguerons pour tout me rendre.
C’est bien ce qui se passe : elles me font tout ce qui est extrême: j’ai dans mon ventre à la fois devant et derrière trois doigts qui font des allers et venus synchronisées pendant que j’ai une chatte sur la figure.
Au matin j’appelle le garagiste qui trouve vite fait un panne minime. J’aurai voulu qu’elles restent encore un peu, pour seulement une autre baise mais elles sont trop pressées.
Quand elles rentrent je peux voir deux filles de mon âge, mignonnes et sexy comme tout. Je veux les faire visiter deux chambres :
- Non ce n’est pas la peine, nous partageons le même lit, par contre si vous soulez nous faire plaisir, nous mangerions bien un morceau.
- Que désirez vous ?
- N’importe quoi pour nous caller un peu.
Je les fais entrer dans la cuisine où devant elle je fait des œufs au plat ce qui leur convient bien. Elles mangent et brusquement l’une d’elle embrasse l’autre sur la bouche. Je suis drôlement surprise de voir deux filles faire une telle chose devant moi. Bien sur j’ai vu une fois un film porno où des lesbiennes le faisaient, mais entre un film et la réalité il y a une marge que j’ai du mal à franchir.
Elles ne s’arrêtent pas là, elles se caressent maintenant, je vois une main passer sur la poitrine de l’autre qui la rend. Je me demande jusqu’à quel point ce n’est pas une provocation. Je ne le pense plus quand la main de la plus grande va sous la jupe de l’autre. Elles semblent perdues dans une autre réalité, elles m’ont oublié.
Je suis surprise de sentir que je suis excitée de les voir, pour peu qu’elle me le propose, je participerais volontiers à leurs jeux. Je passe ma main par dessus le pantalon pour me toucher la chatte. Elles le voient.
- Tu as envie de la même chose que nous, nous voulons te faire du bien à toi aussi.
Ainsi parle celle qui semble mener le couple. Elle se lève pour venir vers moi. Je me demande ce qu’elle veut exactement : ce ne sont que mes lèvres, sa bouche est sur le mienne, sa langue cherche ma langue. Ce baiser m’excite au possible, j’en arrive à souhaiter qu’elle aille bien plus loin, qu’elle me déshabille par exemple.
C’est-ce qu’elle fait rapidement, aidée par son amante. Je suis embrassée de partout quand un endroit de mon corps se trouve dénudé. Ce n’est pas la première fois que je suis déshabillée, c’est pourtant la première fois que je reçois de tels baisers. J’en veux plus, aussi à mon tour je les caresse à travers des vêtements qui disparaissent aussi. Il y a un problème : être nues dans une cuisine n’est pas idéal.
Je propose d’aller dans la chambre que je leur destine.
Je n’ai pas à attendre longtemps les premières privautés.
Outre les baisers sur la bouche je reçois des palpations sur les seins qui bien sur durcissent. Je sens mon bas ventre bouillir de désir. Elles m’abandonnent pour s’aimer devant moi. Nues, et debout, ainsi commence leur première étreinte. Une tient l’autre par la taille, l’autre par les fesses qu’elle caresse. Leur baiser est interminable. Je me doute des mouvements des langues. Par contre je suis un peu surprise par la main qui passe entre les fesses pour aller se fixer sur l’anus de l’autre. Je reste à la regarder, les jambes écartées, ma main dans la chatte à me masturber. Je n’ai même pas honte de faire cela devant d’autres personnes.
Si une a un doigts sur l’anus ou dans, je ne sais pas, l’autre passe un main sur la chatte de son amante. Cette main fouille largement le sexe pour finalement se fixer sur le clitoris. Elles restent debout, les jambes légèrement écartées. Celle qui se fait branler par le cul tremble avant de pousser un long gémissement en jouissant. Elle entraine la mienne. Je n’en peut plus, je veux moi aussi être branlée. La meneuse de jeux doit le comprendre; elle est encore près de moi. Quand je sens sa main sur ma chatte je la tends vers elle. Elle me fouille partout, même sur le cul. Je me retiens pour ne pas partir: je n’y arrive pas, je sens mes crispations d’orgasme envahir tout mon corps.
J’ai l’habitude de jouir ainsi seule ou avec la bite de mon mec, là je ne pense plus qu’à mon plaisir qui pour une fois n’est pas solitaire. J’ai raison d’agir ainsi puisqu’elle recommence à me masturber en changeant un peu: elle enfonce dans le ventre deux puis trois doigts dans la grotte. Elle me baise carrément. Je regarde l’autre qui comme moi tout à l’heure se masturbe.
Enfin je me décide à rendre ce que je subis: main fouille l’autre chatte. C’est la première fois que je caresse un sexe féminin, même si ce n’est pas le premier que je vois. Je suis surprise par la quantité de cyprine. Je cherche un peu le clitoris, elle me félicite :
- Merci de ta caresse, tu sais bien me branler, je voudrais que tu te déplaces un peu vers mon rectum, j’aime me faire mettre par cet endroit.
Je suis obéissante. Je descends ma main et me trouve à l’endroit voulu. Je trouve son cul doux au toucher. Mon doigt en fait le tour, avant de retourner faire le plein de cyprine. Cette fois j’entre directement dans un cul qui s’ouvre. Mon doigt est vite avaler.
C’est à cet instant que je sens un doigt sur mon propre cul, c’est celui de la copine qui s’ennuie seule. Il entre facilement, je me fais régulièrement ramoner par là et j’aime beaucoup. J’ai une autre main libre, j’essaie de m’en servir sur la chatte de l’autre. C’est assez difficile mais tellement excitant.
Moi, je ne tiens plus et je jouis encore, suivie rapidement par la chef et ensuite par la seconde.
Maintenant nous nous couchons. Bien que je n’ai jamais baisé avec d’autre fille, je préfère le lit. Je me trouve encadrée par les deux autres : une est sur mes seins, avec sa bouche qui suce mes pointes et l’autre sur ma chatte avec sa bouche. C’est sa langue qui s’enfonce dans mon ventre le plus profondément: c’est délicieux, c’est même plus que bon. Je sais que je ne vais pas tarder à repartir. Je serre les cuisses en faisant prisonnière la tête qui me suce. Je suis secouée de spasmes sans fin. Il faut que je rende ce plaisir, je pose ma bouche sur la chatte de l’autre fille. Ce goût de cyprine, cette odeur particulière d’une femme en chaleur me pousse aux extrêmes. Je lèche ce sexe comme un chien. Je lape son jus odorant. L’autre ne perd rien, elle est aussi sucée et même branlée à la fois par celle à qui je donne un plaisir mérité.
Les deux filles veulent un moment de repos. J’arrive à m’endormir à coté de mes maitresses. Ce n’est qu’au matin que je me réveille à moitié engourdie, les deux filles se réveillent aussi, elles sont sexy, j’ai encore envie des deux. J’embrasse le premier sein venu, passe ma main sur une chatte, je réveille leur désir. Maintenant c’est moi qui commande. Je leur demande de se mettre l’une à coté de l’autre pour que je les caresse d’un même élan. Elles ont une cuisse sur l’autre, je vois deux chattes déjà humides. Mes deux mains sont juste suffisantes pour les masturber. Ce que je préfère est d’entrer deux doigts dans leur cachette. Je les baise ainsi plusieurs fois, malgré les orgasmes presque continus. Je me régale de leur donner ce plaisir. Je sais que quand j’en aurai fini avec elles, elles se liguerons pour tout me rendre.
C’est bien ce qui se passe : elles me font tout ce qui est extrême: j’ai dans mon ventre à la fois devant et derrière trois doigts qui font des allers et venus synchronisées pendant que j’ai une chatte sur la figure.
Au matin j’appelle le garagiste qui trouve vite fait un panne minime. J’aurai voulu qu’elles restent encore un peu, pour seulement une autre baise mais elles sont trop pressées.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Huguette34
1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
mmmmmmmmmm j ai jamais baiser j aimerais avec une fille