Trio à trois filles
Récit érotique écrit par Huguette34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-09-2011 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Trio à trois filles
Il me semble sortir du néant. Je suis couchée dans un lit d’une chambre inconnue. Juste contre moi un énorme gode. J’émerge enfin de la brume: je commence à me souvenir vaguement de ma nuit.
J’étais venue chez Diane la veille vers 23 heures, comme promis. J’ai attendu un bon moment avant qu’elle entrouvre la porte: elle était nue. Elle m’a faite entrer rapidement ne se donnant même pas la peine de se cacher. Je la voyais encore une fois nue en entier, qu’elle est belle ainsi. Elle me plait chaque jour d’avantage.
Oui, c’est vrai j’aime ses caresses comme elle aime les miennes. Si je viens c’est bien pour faire l’amour avec elle.
Mais voilà, Diane n’est pas seule. J’espère simplement qu’elle n’est pas dans les bras d’un autre fille; j ’en serai jalouse, très jalouse même.
Mon instinct ne me trompe pas: elle est avec Mariette, une fille métisse que je connais de vue. Mariette me fait un petit signe de la main, un bonsoir sans doute. Avant que je puisse dire quelque chose, Diane m’explique:
- Tu connais Mariette: nous avons déjà passé de bons moments avec elle.
Mariette ajoute:
- Souviens toi, il doit y avoir deux mois nous avons baisé toutes les deux Je suis venu pour vous inviter à une soirée spéciale: nous ne serons qu’entre filles au lieu d’être avec des hommes.
Elle m’invite à une partouze particulière. Elle me fait avoir des fourmis dans le bas ventre. J’avais aimé ses caresses, je pense aimer les caresses d’autre filles plus dévergondées. Tant mieux.
Diane et Mariette se mettent en tenue: une mini jupe, réellement mini, sur t-shirt pratiquement transparent. Je ne suis guère plus vêtue qu’elle. Nous filons dans un taxi conduit par une femme qui nous voyant aussi peu habillées nous demande si elle peut venir avec nous.
- Si vous voulez et si vous aimez les filles, avec plaisir.
- Non, dommage, j’aime les hommes seulement.
- Nous aimons aussi les hommes. C’est dommage, vous nous plaisiez bien.
Elle fait bien les chose, elle nous fait cadeau de la course.
Enfin nous sommes arrivées: c’est vrai que dans la grande pièce de réception nous ne sommes que des filles, la plus part déjà nues, s’embrassant ou déjà en tenue incorrecte.
Nous nous déshabillons comme les autres, libres maintenant de faire ce que nous voulons.
J’ai envie de Mariette, même si de forts liens m’attachent à Diane. Mariette, outre ses talents me plait à cause de sa peau brune, la partie black s’efface, dommage. Pourtant à la lumière artificielle elle brille d’une façon spéciale. Ce qui pour moi brille le plus c’est sa poitrine. Qu’elle belle paire de nichons. Nous nous embrassons en guise de hors d’œuvre. Nos langues se reconnaissent et se caressent aussitôt. Nos seins s’écrasent contre les autres. Elle pose une main dans ma raie entre les fesses. Elle appuie à peine pour arriver sur mon petit trou plissé. Mariette se contente d’en caresser le bord, me faisant mouiller. Je n’hésite pas à m’écarter un peu pour explorer sa fente, par devant. Elle se laisse faire: après tout ce n’est que la seconde fois que nous nous caressons. Je peux lui faire tout ce que je veux, je ne m’en sert pour toucher l’intérieur de sa chatte. Je passe ma main sur son vagin, j’y met deux doigts. Elle commence un chant de plaisir. Je continue mon doigtage; elle aide en allant et venant, toujours debout. Elle jouit enfin sur mes doigts: je les lèche quand je les sort de son ventre: quel bon gout.
Elle me rend la pareille en se focalisant sur mon cul. Elle a bonne mémoire, elle se souvient que j’aime me faire sodomiser par un gode. Nous n’en possédons pas, alors, elle fait avec ce qu’elle a: ses doigts. Je sens quand elle les rentre tous à la fois: mes chairs s’écartent: c’est bon, je ne tarde pas à jouir.
Prise dans le tourbillon je ne refuse pas les avances de deux filles qui me veulent. J’aime bien baiser en trio. Habituellement c’est avec deux filles et un homme. Cette nuit se sera avec deux filles jolies et sexy. Je pourrai dire ensuite si j’aime ou non.
Pour être tranquille nous trouvons un lit dans un chambre qui nous fermons à clés.
Nous nous embrassons séparément avant de nous embrasser à trois: facile de sortir nos langues pour rencontrer hors des bouches celles des autres. C’est drôlement excitant: nous nous tenons par la taille: avoir deux mains sur sa taille, partager ses mains entre deux filles aussi. Je prend l’initiative, alors que je n’ai jamais fait l’amour à deux autres filles je leur caresse les fesses. J’en suis bien récompensée quand elle me caressent les seins. Toujours debout, nous commençons à nous dorloter les chattes.
C’est drôle de branler une fille qui branle l’autre. C’est encore plus excitant de regarder ce que reçoit celle qui vous caresse.
La plus excitée, celle qui mène la barque n’en est pas à sa première. Elle nous fait coucher, branle ma voisine pour poser sa bouche sur ma chatte. Elle lèche le clitoris, le vagin, le cul pour remonter vers le clitoris qu’elle lèche longuement pour que je jouisse. Elle n’est pas avare des plaisirs qu’elle donne.
Notre autre amante jouit sous les doigts de la première, qui à son tour veux jouir. Nous sommes maintenant deux à la prendre selon nos gouts. Nous lui faisons écarter les jambes pour la sucer: à deux ce n’est pas possible, sauf si on la partage. Nous la mettons en levrette, l’une vient sous elle pour faire un 69, moi, je reste sur elle, j’ouvre ses fesses largement pour que ma langue puisse faire se qu’elle veut sur son anus. Je la lèche largement avant de concentrer le bout de ma langue juste sur le cul. Je peux y mettre à petits coups la moitié de la langue en la faisant aller et venir. Quand je ne peux plus en mettre, je vais et viens. Je l’encule avec la langue: le remède est efficace: elle jouit souvent: j’aime sentir ses spasmes autour de ma langue.
Celle qui la suce, par-dessous peut poser une main sur ma chatte. Elle me lèche comme je lèche le cul.
Nous jouissons sans nous séparer pour reprendre aussitôt ce que nous faisions.
Le résultat est que nous trouvons un gode, énorme. Nous voulons toutes les trois le mettre dans les vagins. Bien sur c’est une autre qui le met dans le vagin de sa voisine. Je me souviens encore du résultat quand j’ai baisé ma voisine avec cet engin; il entrait tout juste, il lui faisait mal en entrant. Je le faisais aller et venir quand elle jouissait.
Quand mon tour est venue, les garces ne m’ont pas laissé le choix, elle m’ont sodomisée. J’ai cru que mon sphincter se déchirait et pourtant le plaisir a effacé la douleur pour faire place à des orgasmes extraordinaires.
C’est ainsi que je me suis réveillée tard dans ce lit inconnu.
J’étais venue chez Diane la veille vers 23 heures, comme promis. J’ai attendu un bon moment avant qu’elle entrouvre la porte: elle était nue. Elle m’a faite entrer rapidement ne se donnant même pas la peine de se cacher. Je la voyais encore une fois nue en entier, qu’elle est belle ainsi. Elle me plait chaque jour d’avantage.
Oui, c’est vrai j’aime ses caresses comme elle aime les miennes. Si je viens c’est bien pour faire l’amour avec elle.
Mais voilà, Diane n’est pas seule. J’espère simplement qu’elle n’est pas dans les bras d’un autre fille; j ’en serai jalouse, très jalouse même.
Mon instinct ne me trompe pas: elle est avec Mariette, une fille métisse que je connais de vue. Mariette me fait un petit signe de la main, un bonsoir sans doute. Avant que je puisse dire quelque chose, Diane m’explique:
- Tu connais Mariette: nous avons déjà passé de bons moments avec elle.
Mariette ajoute:
- Souviens toi, il doit y avoir deux mois nous avons baisé toutes les deux Je suis venu pour vous inviter à une soirée spéciale: nous ne serons qu’entre filles au lieu d’être avec des hommes.
Elle m’invite à une partouze particulière. Elle me fait avoir des fourmis dans le bas ventre. J’avais aimé ses caresses, je pense aimer les caresses d’autre filles plus dévergondées. Tant mieux.
Diane et Mariette se mettent en tenue: une mini jupe, réellement mini, sur t-shirt pratiquement transparent. Je ne suis guère plus vêtue qu’elle. Nous filons dans un taxi conduit par une femme qui nous voyant aussi peu habillées nous demande si elle peut venir avec nous.
- Si vous voulez et si vous aimez les filles, avec plaisir.
- Non, dommage, j’aime les hommes seulement.
- Nous aimons aussi les hommes. C’est dommage, vous nous plaisiez bien.
Elle fait bien les chose, elle nous fait cadeau de la course.
Enfin nous sommes arrivées: c’est vrai que dans la grande pièce de réception nous ne sommes que des filles, la plus part déjà nues, s’embrassant ou déjà en tenue incorrecte.
Nous nous déshabillons comme les autres, libres maintenant de faire ce que nous voulons.
J’ai envie de Mariette, même si de forts liens m’attachent à Diane. Mariette, outre ses talents me plait à cause de sa peau brune, la partie black s’efface, dommage. Pourtant à la lumière artificielle elle brille d’une façon spéciale. Ce qui pour moi brille le plus c’est sa poitrine. Qu’elle belle paire de nichons. Nous nous embrassons en guise de hors d’œuvre. Nos langues se reconnaissent et se caressent aussitôt. Nos seins s’écrasent contre les autres. Elle pose une main dans ma raie entre les fesses. Elle appuie à peine pour arriver sur mon petit trou plissé. Mariette se contente d’en caresser le bord, me faisant mouiller. Je n’hésite pas à m’écarter un peu pour explorer sa fente, par devant. Elle se laisse faire: après tout ce n’est que la seconde fois que nous nous caressons. Je peux lui faire tout ce que je veux, je ne m’en sert pour toucher l’intérieur de sa chatte. Je passe ma main sur son vagin, j’y met deux doigts. Elle commence un chant de plaisir. Je continue mon doigtage; elle aide en allant et venant, toujours debout. Elle jouit enfin sur mes doigts: je les lèche quand je les sort de son ventre: quel bon gout.
Elle me rend la pareille en se focalisant sur mon cul. Elle a bonne mémoire, elle se souvient que j’aime me faire sodomiser par un gode. Nous n’en possédons pas, alors, elle fait avec ce qu’elle a: ses doigts. Je sens quand elle les rentre tous à la fois: mes chairs s’écartent: c’est bon, je ne tarde pas à jouir.
Prise dans le tourbillon je ne refuse pas les avances de deux filles qui me veulent. J’aime bien baiser en trio. Habituellement c’est avec deux filles et un homme. Cette nuit se sera avec deux filles jolies et sexy. Je pourrai dire ensuite si j’aime ou non.
Pour être tranquille nous trouvons un lit dans un chambre qui nous fermons à clés.
Nous nous embrassons séparément avant de nous embrasser à trois: facile de sortir nos langues pour rencontrer hors des bouches celles des autres. C’est drôlement excitant: nous nous tenons par la taille: avoir deux mains sur sa taille, partager ses mains entre deux filles aussi. Je prend l’initiative, alors que je n’ai jamais fait l’amour à deux autres filles je leur caresse les fesses. J’en suis bien récompensée quand elle me caressent les seins. Toujours debout, nous commençons à nous dorloter les chattes.
C’est drôle de branler une fille qui branle l’autre. C’est encore plus excitant de regarder ce que reçoit celle qui vous caresse.
La plus excitée, celle qui mène la barque n’en est pas à sa première. Elle nous fait coucher, branle ma voisine pour poser sa bouche sur ma chatte. Elle lèche le clitoris, le vagin, le cul pour remonter vers le clitoris qu’elle lèche longuement pour que je jouisse. Elle n’est pas avare des plaisirs qu’elle donne.
Notre autre amante jouit sous les doigts de la première, qui à son tour veux jouir. Nous sommes maintenant deux à la prendre selon nos gouts. Nous lui faisons écarter les jambes pour la sucer: à deux ce n’est pas possible, sauf si on la partage. Nous la mettons en levrette, l’une vient sous elle pour faire un 69, moi, je reste sur elle, j’ouvre ses fesses largement pour que ma langue puisse faire se qu’elle veut sur son anus. Je la lèche largement avant de concentrer le bout de ma langue juste sur le cul. Je peux y mettre à petits coups la moitié de la langue en la faisant aller et venir. Quand je ne peux plus en mettre, je vais et viens. Je l’encule avec la langue: le remède est efficace: elle jouit souvent: j’aime sentir ses spasmes autour de ma langue.
Celle qui la suce, par-dessous peut poser une main sur ma chatte. Elle me lèche comme je lèche le cul.
Nous jouissons sans nous séparer pour reprendre aussitôt ce que nous faisions.
Le résultat est que nous trouvons un gode, énorme. Nous voulons toutes les trois le mettre dans les vagins. Bien sur c’est une autre qui le met dans le vagin de sa voisine. Je me souviens encore du résultat quand j’ai baisé ma voisine avec cet engin; il entrait tout juste, il lui faisait mal en entrant. Je le faisais aller et venir quand elle jouissait.
Quand mon tour est venue, les garces ne m’ont pas laissé le choix, elle m’ont sodomisée. J’ai cru que mon sphincter se déchirait et pourtant le plaisir a effacé la douleur pour faire place à des orgasmes extraordinaires.
C’est ainsi que je me suis réveillée tard dans ce lit inconnu.
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