Triolisme dans la crique
Récit érotique écrit par Fabrice Boyer [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-04-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Triolisme dans la crique
Dans la lumière déclinante du crépuscule, un dimanche soir d'élection présidentielle, j'ai rendez-vous avec un couple chez qui je passe régulièrement de courts séjours d'une ou deux nuits. Cette fois, ils viennent sur mon espace de jeu, alors je les invite sur la plage, dans une crique isolée, bordée de falaises abruptes et baignée par une mer toujours agitée. J'ai pris soin d'apporter le tapis de yoga que je transporte dans la voiture. Le sable noir, riche des minéraux volcaniques de la région, contraste avec le ciel orangé, créant une atmosphère mystérieuse et envoûtante.
À cette heure de la journée, les familles ont déjà plié bagage, laissant derrière elles un silence relatif : les vagues qui s'écrasent contre les rochers ou déferlent sur le sable font un vacarme assourdissant. Pas idéal pour un premier rendez-vous, mais parfait pour trouver un peu d'intimité. Le coin est d'ailleurs bien connu des couples illégitimes, et j'y ai parfois retrouvé une copine de baise. Mais ce soir, c'est moi qui passe à la casserole.
Sur les dix minutes du chemin carrossable qui relie la route à la plage, Régis me passe la main au cul, sous les yeux attentifs de son amoureux. Je sais déjà qu'il va fourrer sa langue aussitôt arrivés, car il adore être le premier à forcer mon anus encore serré. Thomas s'arrête en chemin, pour uriner un coup. Même dans cet état, sa queue brune est superbe, un gland très large et de belles veines ; je m'inquiète quand même un peu de devoir affronter une odeur d'urine quand il me la collera dans la bouche. Le ciel se teinte peu à peu de nuances rosées alors que le soleil entame sa descente à l'horizon, créant un spectacle époustouflant. Au loin, les lueurs de la ville concentrent toutes les énergies du jour sur un projet commun, mais ici, dans cette crique isolée, le temps semble suspendu, nous offrant un moment de quiétude, aucune crainte de nous faire enquiquiner.
À peine ai-je descendu mon pantalon à mi-cuisses que Régis m'enfonce une langue vigoureuse par petits coups. J'aime moi aussi le goût poudré et carné d'un anus propre et épilé, alors je l'envie un peu. Je l'entends pousser de profonds soupirs de satisfaction et je sens ses longues expirations dans ma raie ; il doit aussi se remplir les poumons de l'odeur excitante de mon petit cul. D'une main à plat dans mon dos, il me cambre à l'équerre, alors que de l'autre, passée entre mes cuisses par l'extérieur, il soulève mon bassin au ciel.
Thomas est plus lent, mais déballe à nouveau son engin de siège, juste à hauteur de mon visage cette fois. Pas d'autre parfum que celui de la peau mate d'un beau métis, je n'hésite plus et parcours, d'un seul mouvement appuyé de la langue, le long chemin de son scrotum à son magnifique gland que je gobe en entier. Il me remplit la bouche ! Pour garder l'équilibre, je m'appuie des deux mains sur son pubis, où mes pouces peuvent le chatouiller par dessous. Avec lui, pas d'exploit fantaisiste comme une gorge profonde, mais je pompe le sang dans son phallus, tout en comprimant sa base, pour lui faire atteindre les 24 centimètres avec lesquels il me sodomisera ensuite : tout se mérite.
Dans mon dos, c'est exactement 22 centimètres de chaire qui vont et viennent ; c'est ce que dit le profil Grinder de Régis et je n'ai aucune peine à le croire. Il a un sexe très doux, avec une âme toujours dure, même au repos. Un peu grassouillet, je sens son ventre s'écraser sur mes fesses chaque fois qu'il donne un coup de rein bien au fond. Il les adore, mes fesses et les serre dans ses grandes mains quand il m'encule. Il m'a aussi avoué un soir aimer être en moi, car il peut y entrer de toute sa longueur, pas gêné par mes petites fesses fermes. Je le sens qui arrive tout juste au côlon sigmoïde. Va-t-il se vider au fond de moi ? J'avoue avoir du mal à ressentir ce moment, mais à son attitude, je me doute bien quand ça arrive.
Quand c'est au tour de Thomas de m'enculer, je m'agenouille aussitôt sur le tapis, car je sais qu'il peut durer vraiment très longtemps. Je suis déjà bien dilaté et naturellement lubrifié, alors il entre sans forcer. Régis s'est déjà rhabillé, je n'ai pas eu l'occasion de le sucer ; c'est vrai que la nuit tombe et que d'autres niqueurs pourraient survenir. Thomas ne va pas jusqu'au fond, de peur de me cogner douloureusement de sa mailloche : la seule façon de la faire passer mon côlon sigmoïde, c'est en m'allongeant sur le côté gauche, mais même sur le tapis, pas envie de tout ce sable dans mes rouages. Alors il y va par petits coups, que j'essaye de suivre par mes contractions quand il sort et mes poussées quand il s'enfonce. Aidé par les baisers amoureux et les caresses qu'ils échangent avec Régis, il finit par venir en moi : je sens indistinctement un flot, pas spécialement chaud, mais plutôt apaisant sur mes muqueuses. Alors lui, je ne vais pas le laisser partir comme ça : j'aime trop sa semence.
En me remettant debout, le cul en l'air sans la moindre honte, je tombe bouche la première sur son sexe encore gonflé et poisseux. Des années de yoga m'assurent une belle souplesse. Mon amant est encore accroupi et un peu surpris de ma pirouette. Oh comme il bon ! Chocolaté et poivré, j'adore son foutre, sans doute assaisonné par celui de Régis avant lui et par mon mucus rectal, déjà bien abondant au bout d'une demi-heure de sodomie sauvage.
Sur le chemin du retour, nous causons comme de vieux copains, ceux avec qui on partage son pain. Mais sitôt arrivé chez moi sous la douche, ne pouvant plus rien retenir, je me vide littéralement d'une longue coulure chaude à l'intérieur de la cuisse ! Elle sent la mer, les algues, le fer et le plaisir.
À cette heure de la journée, les familles ont déjà plié bagage, laissant derrière elles un silence relatif : les vagues qui s'écrasent contre les rochers ou déferlent sur le sable font un vacarme assourdissant. Pas idéal pour un premier rendez-vous, mais parfait pour trouver un peu d'intimité. Le coin est d'ailleurs bien connu des couples illégitimes, et j'y ai parfois retrouvé une copine de baise. Mais ce soir, c'est moi qui passe à la casserole.
Sur les dix minutes du chemin carrossable qui relie la route à la plage, Régis me passe la main au cul, sous les yeux attentifs de son amoureux. Je sais déjà qu'il va fourrer sa langue aussitôt arrivés, car il adore être le premier à forcer mon anus encore serré. Thomas s'arrête en chemin, pour uriner un coup. Même dans cet état, sa queue brune est superbe, un gland très large et de belles veines ; je m'inquiète quand même un peu de devoir affronter une odeur d'urine quand il me la collera dans la bouche. Le ciel se teinte peu à peu de nuances rosées alors que le soleil entame sa descente à l'horizon, créant un spectacle époustouflant. Au loin, les lueurs de la ville concentrent toutes les énergies du jour sur un projet commun, mais ici, dans cette crique isolée, le temps semble suspendu, nous offrant un moment de quiétude, aucune crainte de nous faire enquiquiner.
À peine ai-je descendu mon pantalon à mi-cuisses que Régis m'enfonce une langue vigoureuse par petits coups. J'aime moi aussi le goût poudré et carné d'un anus propre et épilé, alors je l'envie un peu. Je l'entends pousser de profonds soupirs de satisfaction et je sens ses longues expirations dans ma raie ; il doit aussi se remplir les poumons de l'odeur excitante de mon petit cul. D'une main à plat dans mon dos, il me cambre à l'équerre, alors que de l'autre, passée entre mes cuisses par l'extérieur, il soulève mon bassin au ciel.
Thomas est plus lent, mais déballe à nouveau son engin de siège, juste à hauteur de mon visage cette fois. Pas d'autre parfum que celui de la peau mate d'un beau métis, je n'hésite plus et parcours, d'un seul mouvement appuyé de la langue, le long chemin de son scrotum à son magnifique gland que je gobe en entier. Il me remplit la bouche ! Pour garder l'équilibre, je m'appuie des deux mains sur son pubis, où mes pouces peuvent le chatouiller par dessous. Avec lui, pas d'exploit fantaisiste comme une gorge profonde, mais je pompe le sang dans son phallus, tout en comprimant sa base, pour lui faire atteindre les 24 centimètres avec lesquels il me sodomisera ensuite : tout se mérite.
Dans mon dos, c'est exactement 22 centimètres de chaire qui vont et viennent ; c'est ce que dit le profil Grinder de Régis et je n'ai aucune peine à le croire. Il a un sexe très doux, avec une âme toujours dure, même au repos. Un peu grassouillet, je sens son ventre s'écraser sur mes fesses chaque fois qu'il donne un coup de rein bien au fond. Il les adore, mes fesses et les serre dans ses grandes mains quand il m'encule. Il m'a aussi avoué un soir aimer être en moi, car il peut y entrer de toute sa longueur, pas gêné par mes petites fesses fermes. Je le sens qui arrive tout juste au côlon sigmoïde. Va-t-il se vider au fond de moi ? J'avoue avoir du mal à ressentir ce moment, mais à son attitude, je me doute bien quand ça arrive.
Quand c'est au tour de Thomas de m'enculer, je m'agenouille aussitôt sur le tapis, car je sais qu'il peut durer vraiment très longtemps. Je suis déjà bien dilaté et naturellement lubrifié, alors il entre sans forcer. Régis s'est déjà rhabillé, je n'ai pas eu l'occasion de le sucer ; c'est vrai que la nuit tombe et que d'autres niqueurs pourraient survenir. Thomas ne va pas jusqu'au fond, de peur de me cogner douloureusement de sa mailloche : la seule façon de la faire passer mon côlon sigmoïde, c'est en m'allongeant sur le côté gauche, mais même sur le tapis, pas envie de tout ce sable dans mes rouages. Alors il y va par petits coups, que j'essaye de suivre par mes contractions quand il sort et mes poussées quand il s'enfonce. Aidé par les baisers amoureux et les caresses qu'ils échangent avec Régis, il finit par venir en moi : je sens indistinctement un flot, pas spécialement chaud, mais plutôt apaisant sur mes muqueuses. Alors lui, je ne vais pas le laisser partir comme ça : j'aime trop sa semence.
En me remettant debout, le cul en l'air sans la moindre honte, je tombe bouche la première sur son sexe encore gonflé et poisseux. Des années de yoga m'assurent une belle souplesse. Mon amant est encore accroupi et un peu surpris de ma pirouette. Oh comme il bon ! Chocolaté et poivré, j'adore son foutre, sans doute assaisonné par celui de Régis avant lui et par mon mucus rectal, déjà bien abondant au bout d'une demi-heure de sodomie sauvage.
Sur le chemin du retour, nous causons comme de vieux copains, ceux avec qui on partage son pain. Mais sitôt arrivé chez moi sous la douche, ne pouvant plus rien retenir, je me vide littéralement d'une longue coulure chaude à l'intérieur de la cuisse ! Elle sent la mer, les algues, le fer et le plaisir.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Oh, il doit y en avoir, mais perso, 24 cm (sans s, c'est déjà bien assez long ainsi) me comblent parfaitement. Libre à vous d'en prendre plus, on peut toujours fantasmer.
22 et 24 cms !!!Pourquoi pas 30 ? Etre crédible rendra votre histoire plus excitante .