Triplette à Belleville. - histoire érotique

Vincent 37 ans travaille dans l'immobilier, il vend et achète des appartements dans Paris intra-muros.
Ce jour il a rendez-vous dans le quartier de Belleville côté 19ème.

Belleville ce quartier charmant, animé au croisement de 4 arrondissements de Paris, occupé jadis par la communauté maghrébine qui avait été remplacée par celle des asiatiques. On se croirait à Chinatown, le quartier chinois de New York, grands buildings en moins. Mais le quartier est très coloré avec tous les magasins aux enseignes écrites essentiellement en chinois.

Il sort du métro pour remonter la rue de Belleville et emprunte les nouvelles petites rues sur la gauche... cherchant sa destination qu'il trouve assez facilement.
Il est devant un immeuble assez récent, d'une dizaine d'étages, qui semble en bon état.
C'est l'appartement 321 au 3ème étage qu'il vient visiter, estimer pour son propriétaire chinois qui désire vendre. L'ascenseur semble neuf, tout est propre, accueillant.
Bien sûr que ce soit dans la rue ou dans l'immeuble ce ne sont que des asiatiques qu'il croise. Tous souriants, aimables, lui faisant un petit signe de tête.

Il sonne à la porte portant le numéro 321, attend. Il sait que le propriétaire est un chinois d'une quarantaine d'années. La porte s'ouvre et il reste un peu interdit devant l'apparition d'un jeune chinois... à qui il ne donne pas 20 ans, la bouille légèrement ronde, des yeux noirs en amande, entourés de beaux cils, un petit nez discret, une bouche fine. Ses cheveux raides, noirs, tombent autour de son visage, cachant ses oreilles. Il est habillé de vêtements amples dans lesquels il semble flotter. Il est plus petit que lui d'une bonne tête. Il sourit en disant:
-monsieur Vincent, je suis Tang le neveu de monsieur Vang qui ne pouvait venir aujourd'hui, il m'a demandé de vous recevoir et de vous faire visiter l'appartement, et vous montrer tout ce que vous désirez voir.

Vincent tend la main à Tang et la petite main vient serrer la sienne, une main chaude, douce qui reste un peu trop longtemps dans la sienne. Ses yeux le fixent.

Tout le temps de la visite Tang ne le quitte pas, devançant tous ses gestes, l'aidant à bouger des meubles pour voir le long des murs, si bien que souvent ils se touchent, les mains se frôlent, se caressent... toujours avec un très beau sourire de ce jeune Tang.
Il est intrigué Vincent, ce jeune se comporte comme s'il le draguait.

L'aidant à tenir ses feuilles où il écrivait, ne se gênant plus pour que les épaules se touchent, il disant "pardon" en baissant les yeux... mais quand il redressait la tête, Vincent croyait voir le désir, l'envie du mec!
Il avait presque fini son travail que Tang lui proposait de prendre le thé, que Vincent accepte.
-c'est du thé chinois dit il fièrement.

Et Vincent s'est lancé dans les indiscrétions et a su rapidement que Tang était né à Paris dans ce quartier, qu'il avait grandi ici, et qu'il avait 26 ans.
-oh vous faites plus jeune dit Vincent en le regardant, ses yeux parcouraient son corps qu'il ne pouvait voir sous ses larges vêtements.
-merci dit Tang tout sourire en lui prenant sa main dans la sienne, mais nous les chinois on fait jeune longtemps et on vieillit très rapidement.
Tang ne lâchait plus sa main, son pouce caressait doucement le dessus de sa main et Vincent sentait bien que sa queue commençait à prendre ses aises.

Il n'écoutait plus vraiment ce que Tang disait, il repensait s'il avait eu un amant asiatique et rien ne lui venait à l'esprit... Quand il a regardé Tang qui parlait toujours, il a senti son genou se frotter au sien et sa tête se rapprocher très lentement, comme dans un film au ralenti... Il s'était tu, ses yeux s'étaient plissés encore plus, ne laissant pratiquement que deux traits, dans lesquels il voyait la pupille le fixer, et ses yeux là étaient désireux de quelque chose.

Les fronts se sont touchés, Vincent a écrasé son nez sur le sien en disant :
-Tang serait-il un coquin ?
Il n'a pas répondu et ses lèvres se sont emparées des siennes, venant en plus s'asseoir sur ses genoux, ses bras l'entouraient autour du cou et la langue agile de ce jeune chinois entrait dans sa bouche, touchant la sienne et ce fut immédiatement la guerre.

Vincent serre Tang contre lui, ses mains passent sous le sweet-shirt pour constater qu'il est nu. La peau chaude, douce, lisse l'électrise complètement. Ses mains passent partout, remontent jusqu'au cou et les langues qui n'arrêtent pas, les salives changent de bouche.
Les mains douces de Tang caressent son visage tendrement et les baisers reprennent sauvagement... La main de Tang vient entre leurs corps pour aussitôt constater que Vincent bande, bande pour lui...
Il se relève, le prend par la main en disant :
-viens!

Mais au moment où ils allaient en direction d'une des chambres, un coup de sonnette se fait entendre qui bloque Tang.
-attend je vais voir.

Il laisse Vincent au milieu du salon, son entrejambe fait un sacré gonflement. Lui qui n'a pas baisé depuis une semaine... trouver ce jeune asiatique si aimable le rend fou! Il sait qu'il va passer un bon moment.
Il entend parler en chinois, plusieurs voix, ça rigole... la porte claque et des pas se font entendre pour voir revenir Tang suivi de deux autres chinois qui lui ressemblent comme s'ils étaient des triplés...

Vincent les fixe, la bouche entrouverte, les yeux grands ouverts.
-Vincent je te présente Xi et Yu, nous sommes amis depuis l'enfance, on est allé dans la même école et on ne se quitte guère. Ils savaient que je devais te rencontrer et ont trouvé que ça durait trop longtemps, ils ont eu peur pour moi dit Tang en souriant.

Vincent semble sortir d'un rêve, les deux chinois s'approchent et lui serrent la main en s'inclinant, c'est fou comme ils se ressemblent tous.
Mais où il est encore plus stupéfaits, c'est quand Tang vient près de lui, le prend par la main, colle sa tête sur son épaule en disant :
-et en plus tous les deux ils sont comme nous, ils aiment les garçons et on adore les français blancs tous les trois.

Le cœur de Vincent s'est accéléré d'un seul coup... car les trois l'ont entouré et les mains ont commencé à le déshabiller...
Bien sûr qu'il s'est laissé faire Vincent car fallait voir la tête de ces jeunes chinois découvrant son corps, son torse légèrement poilu. Les 6 mains le caressaient, leurs yeux regardaient partout.
C'est Tang qui s'est attelé à défaire son ceinturon, pantalon qui tombe à terre, ses chaussures sont enlevées, chaussettes et le pantalon viré... Il est en boxer bien rempli au milieu de trois chinois habillés.

Mais ils réparent vite leurs erreurs et en un rien de temps il a trois chinois qui se ressemblent comme trois gouttes d'eau en boxer qui viennent se serrer contre lui.

Il n'a que deux mains qui ne savent plus où toucher, les têtes se rapprochent, la langue de Tang est la plus rapide et elle revient jouer avec sa copine, mais celle de Yu force le passage, et Tang abandonne un instant, car la langue de Xi arrive également.
Les mains de Vincent caressent les corps de Xi et Yu, le dos, les fesses, ces petites fesses dures comme de l'acier, fermes qu'il touche et sent bien qu'elles s'offrent à ses caresses.

Yu et Xi s'embrassent devant lui avant de revenir lui offrir leurs langues, pendant que Tang glisse le long de son corps, il aurait bien voulu toucher les tétons qu'il avait aperçu mais les corps de ses potes les cachaient. Alors sa langue descend sur les poils, jamais un chinois n'est poilu à cet endroit, il caresse, lèche, sa langue fouille le nombril et sa main vient frôler le gros sexe... qu'il sent bouger, frémir sous sa caresse.

Ses lèvres fines suivent la bête à travers le tissu, le prenant entre ses dents comme s'il allait mordre dedans et suit jusqu'à la tâche qui s'agrandit de plus en plus.
Une main vient caresser les couilles, il les sent bouger dans le boxer, et Vincent gémit doucement.

Il baisse le boxer lentement, pour regarder la toison pubienne qu'il sait ne ressemble pas à la sienne. Les poils sont frisés légèrement, châtains tirant sur le blond, alors que les siens sont noirs, raides comme des baguettes de tambour et partent dans tous les sens. Il ne les taille pas et sa pilosité est énorme, mais ses potes aiment ça quand ils viennent le sucer et lécher les poils. Ils aiment ça tous les trois.
Le tissu enveloppe la grosse queue, il la tâte doucement, commence par découvrir le gland complètement décalotté plein de mouille, luisant... La queue sort de sa cachette comme si elle était contente de prendre l'air, de se montrer aux yeux voraces du jeune Tang.

Le boxer arrive à terre et la grosse queue tombe sur le visage de Tang qui respire à pleins poumons cette odeur de bite qu'il adore, la mouille coule et d'un coup de langue il l'enlève, l'avale et son regard devient gourmand. Ses lèvres entourent le gland et il le laisse glisser sur sa langue, emplir sa bouche, touchant le palais et arrive au fond de bouche, mais ça le fait tousser, éternuer, la bite ressort, il pleure, deux larmes coulent sur ses joues, mais il revient à la charge et pipe tout ce qu'il peut sans aller trop loin.
Il entend les gémissements étouffés de Vincent.

Il ne reste pas longtemps seul, Xi le rejoint et ils se partagent cette belle queue. Leurs langues se mélangent sur le gland, se partagent la mouille, bouffe les couilles ensemble et s'embrassent tous les deux.
Xi est comme Tang il admire le corps de ce français, ses poils doux, cette toison magnifique qui les font bander.
-on va dans la chambre ? dit la voix de Yu.
Ils se relèvent et emmène Vincent, nu dans une chambre.

Ils le laissent au pied du lit et en même temps retirent leurs boxers, s'offrant à son regard... Je ne suis pas prêt de débander pense Vincent qui voit triple...

Les corps se ressemblent... même pilosité absente, sauf autour du sexe où tout semble en bataille, il lèvent leurs bras et Vincent sourit de voir que les aisselles sont poilues avec la même pilosité hirsute!
Mais ce qu'il remarque également ce sont ces trois sexes, lui qui pensait que les chinois avaient de petits sexes... bon pas autant que le sien, mais il a trois beaux sexes de 17 cm environ devant les yeux, trois spécimens qui se ressemblent, à moitié décalottés et la mouille commence à couler.

Ils se retournent tous les trois en même temps et Vincent est vraiment comblé de voir ses trois paires de fesses identiques, des petites fesses dures, lisses. Ils grimpent sur le lit côte à côte, à genoux, se penchent et écartent ensemble leurs fesses dévoilant une raie poilue... trois petits trous marrons foncés clignotent.
La voix de Tang se fait entendre :
-on veut ta queue dans nos culs Vincent! Tu peux faire ce que tu veux.
Et ce fut une bataille qui a duré des heures...

Le premier cul qu'il a honoré est celui de Tang. Il a bouffé un cul chinois pour la première fois en pensant, bah un cul c'est un cul. Mais ce cul s'ouvrait très facilement et vite il est resté ouvert. Alors il a touché les deux autres et ses doigts se sont enfoncés comme dans du beurre.
Ces coquins n'en étaient pas à leur coup d'essai!

Que dire du plaisir quand sa grosse queue est entrée, faisant gueuler Tang, criant en chinois, faisant rire ses potes. Xi est venu lui offrir sa queue et Yu est venu embrasser Vincent en lui disant :
-tu peux y aller fort! il adore se faire baiser! c'est notre salope à nous Tang!

Yu riait en voyant l'air effaré de Vincent...
Mais sa queue, sa grosse queue a voyagé comme le métro dans son tunnel et Tang serrait bien son conduit autour de la queue. Il couinait, parlant en chinois, mais la queue de Xi ne quittait pas sa bouche!
Il a joui comme un fou dans ce nouveau cul en sentant le doigt de Yu entrer dans son cul.
-toi aussi t'aimes ça Vincent!
Il s'est écroulé sur le lit, son cœur battait des records.

Xi est venu nettoyer sa queue, Yu lui a relevé les jambes pour venir lui bouffer le cul, les couilles, pendant que Tang lui offrait sa queue.
Il s'est fait enculer par Yu, délicatement, en douceur, faisant glisser sa queue lentement dans son conduit, mais il avait un bon coup de reins le garçon et la baise a été chaude... Baisé par Yu, sucé par Xi et il avait en bouche la queue de Tang.
Yu a juté assez rapidement et a laissé la place à Xi.

Le cul bien graissé a accueilli avec encore plus de facilité la queue de Xi et les va-et-vient ont recommencé.
Vincent a bien cru que Tang allait juter plusieurs fois, mais il devait se retenir...
Ils ne s'occupaient plus de sa queue, mais quand Xi a juté, c'est Yu qui s'est mis à quatre pattes pour recevoir la queue de Vincent, heureux que sa queue retrouve l'antre chaude et humide d'un cul.
Il était plus qu'excité avec ses trois chinois qui le caressaient, l'embrassaient, le touchaient partout, ne se gênant pas pour un lui mettre un ou deux doigts au cul.

Quand il a joui dans le cul de Yu, Tang est venu le baiser, sa queue n'était pas encore sortie du cul de Yu qu'il sentait celle de Tang entrer en lui.
Il l'a baisé tendrement mais fortement. Les autres l'embrassaient, s'embrassaient devant lui en le matant les yeux vicieux.
Mais quand Tang a juté il a bien cru qu'il pissait en lui tellement il avait de jus, il poussait toujours les mêmes couinements et ses potes rigolaient :
-si t'as le feu au cul il éteint tout! dit Yu en riant.

Et Xi s'est offert, en se mettant sur le dos, les jambes tenues par ses potes qui l'ouvraient le plus possible...
-vas-y Vincent encule le! lui aussi aime jouer la salope!
Comment résister!
Pendant que Vincent œuvrait dans le cul de Xi, ses deux compères lui offraient leurs queues et malgré la petite bouche, ils forçaient pour que les queues entrent.
Ils ont juté ensemble dans la bouche de Xi, juste avant Vincent dans son cul.
Il avait sa dose Xi, mais sa queue bandait et ils furent trois à se la partager, honneur au français!

Allongés sur le lit, Xi d'un côté, Yu de l'autre, Vincent avait Tang d'allongé sur son corps, lui faisant des bisous sur le corps, le léchant, touchant sa queue encore raide.
Vincent n'en revenait pas de ce qu'il venait de se passer... déjà il était ravi quand Tang l'avait embrassé en premier...
-on le garde, on le séquestre ? demande Yu en souriant.
-mais on va le mettre où ? dit Xi.
Tang rigole en regardant Vincent.
-si tu veux on pourrait se revoir tous les quatre... mais on ne peut pas recevoir et on adore baiser dans un lit tous les trois!
-mais vous voulez ma mort! dit Vincent faisant mine d'avoir peur.

Ils rigolent...
-toi tu préférerais nous voir un par un! dit Tang.
C'est pas faux pense Vincent.
-mais si pour vous revoir faut que je prenne les trois... alors je me dévoue!

Ils rigolent et les bisous reprennent, les mains se baladent...
-alors tu serais d'accord pour qu'on vienne chez toi ? parce qu'ici c'est mon oncle qui habite là! dit Tang, et on vit chez nos parents.
-mais oui, j'ai tout ce qu'il faut!
-alors faut qu'on voit si tu tiens le choc dit Yu en se redressant, on remet ça les gars ?

Et ce fut encore la mêlée gentille entre tous les corps. Les spermes se sont mélangés entre les cris, les soupirs, les gémissements...

Quand Vincent est sorti pour rentrer chez lui en prenant le métro, il pense en s'asseyant dans la rame :
-j'peux partir en vacances, j'ai ma triplette pour m'occuper!