Trixie chap 24 - Les vacances
Récit érotique écrit par Trixie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-09-2013 dans la catégorie Plus on est
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Trixie chap 24 - Les vacances
« Cela fait deux ans que tu travailles pour moi, me dit Alfred. Je suis plus qu'enchanté de tes services. Et de ta gentillesse. Tu es vraiment parfaite et même plus que cela ! Aussi j'ai décidé maintenant que les beaux jours sont là, de t'offrir des vacances au soleil dans une villa sur la côte d'azur...Nous emmenons Victor avec nous. J'ai loué une superbe maison... »
En effet la résidence était vraiment luxueuse. Il ne manquait rien. Un immense jardin avec une pelouse impeccable en faisait le tour. Une allée bordée de palmiers et de tamaris amenait à une grande piscine, ou plusieurs formes ovoïdales étalaient une eau limpide et chaude sur environ soixante mètres carrés.
Le bassin se trouvait sur une terrasse surplombant la vallée. Il était au soleil presque toute la journée. Les abords décorés de gros rochers, de plantes grasses et des palmiers dispensaient une ombre salvatrice, Alfred nous avait trouvé un petit paradis.
C'était l'après midi, j'étais en train de bouquiner tranquillement dans la fraîcheur du living, tempéré par la climatisation, nue sous ma nuisette. Je repensais à ce qu'Alfred m'avait dit. Je me remémorai notre première entrevue
Robert le producteur qui m'avait engagé pour tourner des vidéos, en homme avisé me fit remarquer que je n'avais plus de couverture sociale, et qu'il fallait quand même que je justifie de mes moyens d'existence. Aussi me proposa-t-il d'entrer comme secrétaire, puisque que c'était mon métier, chez l'un de ses amis, Alfred. Il m'indiqua qu'il était assez âgé, très riche, qu'il passait son temps à étudier et à écrire des bouquins et que je n'aurais presque rien à faire. Qu'il était très généreux si on savait le prendre ou se faire prendre. Je vis de suite le parti que je pourrai en tirer !
Donc, à l'adresse indiquée, je sonnais au portail, il s'ouvrit automatiquement. Le monsieur habitait une jolie maison un peu isolée. Il sortit pour m'accueillir. Il était petit sec, pas de cheveux sur le dessus du crâne, des tempes blanches, et une barbichette blanche bien taillée. Il s'effaça poliment pour me laisser entrer. Je sentais son regard rivé sur mes fesses. Il me montra ma chambre. Après m'être installée, je fis comme il m'avait dit, je le rejoignais à la bibliothèque. Il me dit s'appeler Alfred. Après s'être renseigné sur moi, mes gouts, s'être extasié sur ma beauté, il m'indiqua que pour l'instant mon travail consisterait à classer un grand nombre de documents et de taper les lettres qu'il envoyait. Il fixa le montant de mon salaire, c'était très, très généreux.
Je fis du classement tout l'après midi, c'était un vrai fouillis dans ses documents. Il venait souvent me voir en me regardant d'un regard langoureux, qui en disait long sur ses envies. Le soir venu, je m'installais seule, avec un bouquin dans la même bibliothèque. J'entendis les pas d'Alfred qui arrivait. J'allais lui donner un petit acompte sur mes talents. Je fis semblant de m'être assoupie.
La porte s'ouvrit, je remuais suffisamment pour que dans une posture d'abandon ma jupe remonte sur mes cuisses, ses yeux remarquèrent le léger mouvement. Puis il reporta son regard sur mes seins comme pour les étudier. Il pensait que je dormais et que je pouvais pas le voir, alors que je l'observais avec mes yeux mi-clos. Dans un mouvement naturel je relevais les jambes le tissu remonta dévoilant ma chair nue, les attaches et les lanières du porte-jarretelle noir. Je le vis s'approcher très discrètement pour profiter du spectacle offert, essayer de voir un peu plus haut, puis il tourna les talons et ressortit de la pièce. Le lendemain je lui demandais de m'excuser pour le petit somme que j'avais fait dans la bibliothèque. Il me dit, en souriant, que le voyage et le travail avaient du me fatiguer. Il m'offrit une tasse de café, j'effleurai ses doigts en prenant la tasse, en lui souriant tendrement.
« Je crois que nous allons bien nous entendre, Trixie me dit-il.
Moi aussi ! Alfred»
Il eut l'air surpris, que je l'appelle par son prénom.
« Puis-je vous appeler ainsi...Nous ne sommes pas de la même génération, mais vous êtes encore très séduisant...savez-vous !
Je, je pourrais presque être votre grand-père, Trixie !!
Mon père peut-être, un homme robuste comme vous ! »
Je m'étais assise dans un fauteuil, laissant ma jupe remonter.
« Et puis j'adore les années soixante dix, ses voitures, la mode...d'ailleurs regardez... »
En disant cela d'une main je relevais ma jupe très haut sur mes cuisses et lui demandant s'il aimait la couleur fumée de mes bas. Comme le sir précédent des yeux se rivèrent sur les lanières noires de mon porte-jarretelle. Il s'affala sur le fauteuil qui me faisait face, et son regard se fit plus inquisiteur cherchant deviner, ce qu'il y avait après le haut de mes cuisses nues. Avisant un vieux tourne disque je me levais, en lui indiquant que je raffolais de la musique de ces années là. En me dirigeant vers l'appareil, je fis remuer mes épaules, je ne portais pas de soutien gorge, mes seins tressautèrent. Les bretelles de mon débardeur descendaient de plus en plus bas. Les pointes tendues de mes seins, accrochèrent l'échancrure du vêtement et l'empêcha de tomber plus loin. Un mouvement d'épaule et un un téton brun en jaillit. Les yeux du vieux étaient fixes et prêts à sortir de leurs orbites. Il se leva et comme s'il perdait l'équilibre, tomba sur moi comme pour se rattraper, il était à genoux et m'attira à lui. Il mit ses mains dernière mes genoux et les fit remonter en une caresse sur mes cuisses, le long des lanières tendues.
« Mon Dieu, vous ne vous êtes pas fait mal Alfred ?
- Non, non Trixie... »
Sa respiration c'était accélérée, ses doigts couraient sur ma peau nue, il caressa mon entre jambe sur mon string. Se saisissant de ma jupe il la descendit, elle tomba sur le sol.
« Oohhh, Alfred...que faites vous ! »
Il me répondit pas, enserrant mes chevilles, il remonta le long de mes jambes en une longue et douce caresse. Suite à ces agréables attouchements mon vagin devenait de plus en plus moite. Ses yeux ne se détachaient pas de la transparence du tissu du string que l'humidité faisait maintenant coller à mes lèvres épilées. Sa bouche se posa sur ma chatte en feu, ce contact me fit gémir et me cambrer. Mes jambes commençaient à trembler, décidément me dis-je, les vieux te font vraiment de l'effet !!
Ses lèvres parcouraient mon string trempé de foutre. Sa langue forçait le tissu pour s'insinuer dans ma chatte ruisselante. Il posa ses mains sur mes seins et les malaxa, cela fit redoubler mes gémissements. Puis on frappa a la porte, ce devait être Gaspard, le cuisinier. Il lui demanda de patienter, je remis ma jupe et mon corsage, je le regardais, il bandait, sa queue n'était pas énorme en comparaison de celles que j'avais connues. Il me remercia en me disant que cela faisait plus de trente ans que cela ne lui plus arrivé, et qu'il me remercierait pour cet instant. Je le flattais en lui disant qu'il était doué, ce qui n'était pas tout à fait faux. Lorsque le cuisinier entra il lui tourna le dos pour ne pas lui montrer la bosse déformant son pantalon.
Le lendemain matin, j'entrai dans la bibliothèque, Alfred m'attendait.
« Il faudrait faire un peu de ménage Trixie, c'est poussiéreux ici, non ? ! »
J'acquiesçais et pris le plumeau qu'il me tendait. Je grimpais tout d'abord sur une chaise, m'étirais pour faire remonter ma robe et montrer mes jambes. Les hommes en général raffolent des portes -jarretelles, ma position faisait tendre les lanières sur mes cuisses blanches. Il s'était assis, je lui tournais le dos. Me mettant à quatre pattes, je passais sous le bureau. Ma robe remonta jusqu'à ma taille dévoilant ma croupe et mes fesses dorées, je n'avais pas mis de string ni de soutien gorge. J'écartais les cuisses, il put ainsi apercevoir mon anus et la fente rose de mon sexe. Je l'entendis se lever et s'approcher, je déboutonnais les boutons du haut de ma robe. En reculons je sortis de dessous le bureau. Ses mains relevèrent la robe encore plus haut sur mes reins, glissèrent sous le porte-jarretelle et caressèrent ma taille, il tremblait. Il avait sorti sa vielle bite et essaya de me pénétrer tout en écartant le haut de ma robe et faisant jaillir mes seins.
« Attendez, attendez....pas si vite Alfred ! Nous avons le temps... »
Je me dégageais et en me tournant vers lui, je lui présentais mes seins en lui disant de les embrasser, de le mordre, de les téter. Il promena sa bouche humide et tiède sur les rondeurs offertes, mes tétons se dressèrent sous la caresse de sa langue. Je commençais à gémir et à me tortiller. Sa barbichette me chatouillait et ça m'excitait encore plus. Je sentais son odeur aigrelette et je me disais que j'étais vraiment perverse d'aimer les vieux !!
Il me fit retourner, mettre à genoux. Il s'agenouilla derrière moi, ses lèvres se posèrent sur mes fesses, il les écarta doucement. Sa langue se mit à me les lécher ; elle glissait vers mon anus, le bout s'insinua dans mon orifice anal, la caresse était très douce, j'adorais ce que me faisait le vieillard :
« Laisse toi faire, laisse toi faire...murmura-t-il »
Sa salive coula entre mes fesses jusqu'à mon petit trou qui s'ouvrait et se fermait, attendant autre chose. Avec ses pouces il en ouvrit largement l'accès et enfonça sa langue plus profondément, puis je sentis deux doigts forcer l'entrée de mon orifice anal. Il fit une vingtaine de va et vient et sa vieille bite, ma foi assez dure vint se frotter à ma chatte. Il était pressé maintenant, je le laissais faire cette fois. Il me passa un avant bras sous le ventre, tandis que l'autre main il me malaxait les seins. Il enfila sa queue dans mon sexe qui s'humidifiait plus par l'excitation que me donnait la pensée de me faire baiser par un vieux, que par la grosseur du cylindre qui entrait en moi. Il me pénétrait en donnant de grands coups de reins et haletait comme un soufflet de forge. Je tournais la tête pour l'observer, je crus qu'il allait avoir une crise cardiaque, son visage était rouge pivoine, il transpirait à grosses gouttes. Il me serrait la taille avec force. Je ne sais pas si ce fut de voir l'effet que je lui faisais, mais je sentis monter dans mon ventre une douce chaleur. Je sentis les soubresauts de sa queue et il éjacula en râlant et criant de bonheur, ça déclencha dans mes entrailles une petite jouissance, et je me maudis de ressentir cela avec un vieillard. Il me remercia des larmes de bonheur plein les yeux.
« Je vais te donner beaucoup d'argent, me dit-il !
Mais ce n'est pas pour ça que je l'ai fait....Albert »
Je me penchais et avec ma langue lui nettoyais la bite qui était luisante de mon foutre et de son sperme, il se mit à trembler de bonheur. Au lieu de déglutir les sécrétions que j'avais léché, je lui montrais ma langue, je m'approchais de lui et l'embrassais, transférant dans sa bouche ma salive poisseuse :
« Avale , Albert lui dis-je ! »
Il s'exécuta :
« Tu es merveilleuse, me dit-il »...
Puis il avait embauché Victor...Ces souvenirs et l'évocation de l'énorme vieille bite dressée du majordome et de la façon dont savait s'en servir malgré son âge, déclenchèrent une certaine moiteur dans ma chatte, je me sentais excitée...Alfred avait bien spécifié à son domestique qu'il ne pouvait pas me baiser sans son autorisation. Après l'intermède de la dette de jeu, cette interdiction était de nouveau entrée en vigueur. Mais les autorisations étaient assez fréquentes...
La maison était silencieuse, les vieux devaient faire la sieste. Bravant l'interdiction d'Alfred, je partis à la recherche de Victor et de son phallus de plus de vingt cinq centimètres en érection. Même en vacance, il fallait que je sois habillée comme ces messieurs le désirait. Nuisette transparente, s'arrêtant a hauteur de mon petit triangle de poils ras, laissant ma chatte et mes fesses exposées aux regards. Les globes de mes seins ornés du collier de poitrine offert par Victor, sortant entièrement par les fentes de la nuisette les mamelons tendus par la pression des cordelettes les enserrant. Talons hauts, bas noirs et porte jarretelle complétaient ma tenue vestimentaire.
Je trouvais ce vieux vicieux de Victor dormant tout nu, dans mon lit. Son énorme queue, à moitié décalottée pendait flasque sur le côté, elle était impressionnante ! Mais Alfred avait choisi son domestique en fonction de cette particularité, car le vieux sadique aimait me voir baiser par des queues énormes et surtout si en plus elles étaient noires...!! Victor n'était vraiment pas un apollon, sa peau était assez flasque sur son ventre, ses bras et ses jambes étaient maigres pas musclés, ses mains ridées...mais il avait une bite énorme et super efficace , des bourses assez conséquentes et surtout malgré son âge il savait s'en servir et me faisait fortement jouir et ça compensait le reste.
Je me mis devant le pied du lit et commençait à me trémousser pour le réveiller, me caressant les seins, la chatte en l'appelant doucement. Victor ouvrit les yeux, je lui tournais le dos. En un rien de temps, il fut contre mon dos, ses lèvres se posèrent dans mon cou, mordillant le lobe de mes oreilles. Ses mains glissaient le long des lanières de mon porte jarretelle effleuraient ma chatte et remontaient pour enserrer mes seins et titiller mes mamelons, tirer sur les deux hématites pendant des tétons.
Sa main gauche se mit a me masturber la fente et le clitoris tandis que sa langue se nouait à la mienne.
Je montais devant lui à genoux sur le lit. Il baissa les bretelles de la nuisette, elle tomba sur le lit.
« Salope, tu sais qu'Alfred ne veut pas que je te touche sans sa permission...
Oui, mais ta vieille bite m'excite, et moi aussi je t'excite regarde ta queue... »
Je la caressai, elle c'était tendue rigide en arc de cercle et remontait bien plus haut que son nombril fripé. Je frottais mes mamelons durcis contre sa poitrine parsemée de poils blancs, suçait ses tétons et ma bouche descendit pour se saisir du gland turgescent. Ma main caressait la hampe raide sur sa longueur, ma bouche aspirait le gland, puis descendait le long du phallus.
Je savais que Victor adorait mes mamelons, ils étaient durs gonflés par le nœud les comprimant, je pris la bite de Victor, la frottais sur mes aréoles puis j'essayais de faire entrer les tétons dans la fente de son méat...Il était aux anges.
Il me coucha sur le lit, il n'eut aucune peine à enfiler entièrement son énorme mandrin dans ma chatte qui ruisselait. Il m'embrassait à pleine bouche, puis me mordillait le bout des seins.
Tout cela ne se faisait pas sans gémissements et petits cris de plaisir de notre part...
Au bout de cinq ou six minutes d'intenses pénétration de cette grosse queue, Alfred m'appela, ses pas se dirigèrent vers ma chambre.
« Oh la la...si Alfred me trouve avec toi sans sa permission, il est capable de me renvoyer à la maison...
Je poussais Victor dans le placard servant de penderie, et me recouchait sur le lit.
« Oui Alfred, je suis là...sur mon lit »
Il entra dans la chambre, revêtu seulement d'un slip. Je n'étais pas tranquille, quelle serait sa réaction ? Il s'approcha du lit, je baissais son slip. Il s'allongea à coté de moi, et me caressa la chatte.
« Dis donc tu es trempée, les draps sont aussi mouillés...C'est Victor qui te baisait ? me demanda-t-il d'un air suspicieux
Ben non, je rêvais que je me faisait baiser par un grand noir, ça m'a réveillé et je me suis masturbée...
Salope, tu les aimes les noirs et leurs grosses queues, mais c'est bien ainsi !
Oui, Alfred j'adore me faire baiser par un noir et je crois que je joui deux fois plus si il y a un blanc qui le regarde éjaculer dans ma chatte... »
En disant cela, il me souleva la jambe et enfila sa queue à l'endroit que le majordome venait de quitter, elle était nettement moins grosse.
La porte du placard s'entrebâilla et Victor, la queue bien dressée me montrait qu'il se masturbait vigoureusement. Alfred ne mit pas trop longtemps a jouir. Victor, c'était approché à pas de loup dans le dos d'Alfred, tout en continuant à se branler.
« Je dormais, mais vos ébats m'ont réveillé et cela fait un petit moment que je regarde Mademoiselle et Monsieur. Monsieur me permettrait-il d'éjaculer dans la bouche de Mademoiselle.
Je vous en prie Victor, faites... »
Le majordome fit rapidement le tour du lit, ça urgeait, j'eus juste le temps d'ouvrir la bouche et le vieux sperme gicla sur ma langue. Chaque fois que le domestique atteignait l'orgasme, il expulsait une grande quantité de liquide séminal. J'attendis que ses spasmes cessent, aspirait le bout de son gland, puis me tournant vers Alfred, je lui montrais en ouvrant la bouche le liquide visqueux blanc et tiède de Victor, puis je l'avalais par petites saccades, en regardant langoureusement mon vieux patron.
Le lendemain après midi, Victor arriva avec une robe bleue pâle sur le bras, il me semblait qu'il était un tant soit peu irrité.
« Monsieur demande à ce que vous le rejoignez au bord de la piscine, il voudrait vous présenter les jardiniers qui sont en train de prendre leur pause. Il aimerait que vous passiez cette robe... »
Il s'approcha, fit glisser les bretelles de la nuisette sur mes bras, elle tomba à mes pieds. Le majordome était vraiment ravi du cadeau qu'il m 'avait fait. Je portais en permanence le collier de poitrine qu'il m'avait offert. J'adorai la sensation délicieuse que me procurait le serrement de mes tétons par les petits rubans noirs. Cela les tenait dans une érection quasi permanente. Victor ne put s'empêcher de les faire rouler entre son pouce et son index, avant de resserrer un petit peu les nœuds coulants. Il se mit à genoux devant moi, en profita pour me faire un léger doigté après avoir dégrafé les attaches de mes bas. Il les roula sensuellement le long de mes jambes, et sa langue envahi ma chatte, ses lèvres aspirèrent mon clitoris. Il dégrafa l'attache dorsale de mon porte jarretelle, puis à regret, il m'aida a passer la robe, on aurait dit une seconde peau. Le tissu était très mince, elle n'avait pas de bretelles, s'arrêtait dix centimètres au dessous de mon entre jambe. Victor tira un peu sur le bas pour mieux la faire épouser mon corps, il la lissa sur mon ventre sa main descendit sur mon pubis.
« Parfait, Monsieur sera ravi.... on voit les poils de votre chatte qui sortent à travers, c'est très sexy... »
Je me regardais dans une glace, en effet on aurait dit que mes mamelons emprisonné par les boucles voulaient transpercer le haut de la robe, mes aréoles se dessinaient parfaitement. La petite touffe de poils ras en triangle au dessus de ma chatte faisait une tâche plus sombre, et lorsqu'on y passait la main on sentait bien les poils passant à travers le tissu. La robe entrait dans la raie de mes fesses.
Je me dirigeais vers la piscine rejoindre Alfred. La conversation roulait bon train avec les jardiniers, couchés à l'ombre sur des transats. Il était entre un grand noir avec une barbiche et de longues dredes noires, vêtu d'un short vert qui lui descendait à mi cuisse et un métis beaucoup plus costaud qui ne portait qu'un slip bleu foncé.
« Ah voilà notre beauté...Trixie je te présente Amosa en me désigna le grand et celui la c'est
Badou. Ce sont nos jardiniers... »
Ils ôtèrent leurs lunettes noires, et se redressèrent sur leurs sièges. Je savais maintenant pourquoi Alfred m'avait demandé de le rejoindre...Je passais entre lui et Amosa, me penchais pour lui déposer un baiser sur la joue de mon patron, ce qui permit à son voisin de voir que j'étais nue sous ma robe. Je me tournais vers lui et lui serrais la main. J'allais ensuite saluer son copain faisant saillir ma poitrine pour qu'il puisse bien apercevoir mes tétons qui dardaient sous le mince tissu.
Je me reculais, et me caressais le corps à travers la robe, la relevant au ras de mon pubis. Je déchaussais mes talons hauts.
« Alfred, il fait vraiment chaud, puis-je me baigner ? Mais je n'ai pas de maillot !
Tu es en vacance, tu fais comme bon te semble...!!
J'étais à un mètre du grand noir, lentement je découvris un sein, puis l'autre, on entendait les mouches voler...Je fis semblant d'arranger les clips de mes tétons. J'entrais dans l'eau et sur la première marche de l'escalier, je leur dévoilais langoureusement mon corps bronzé en faisant passer ma robe par dessus ma tête. M'appuyant sur un rocher, je me caressais les fesses en cambrant les reins en direction de Amosa.
Il réagit sur le champ, il entra dans la piscine derrière moi, et m'arrosant les fesses il me caressa les jambes doucement effleurant mon entre jambe. Puis sa bouche se posa dans mon cou, ses mains prirent possession de mes seins, il me titilla les tétons tandis que sa langue envahissait ma bouche.
Ma main partit à la rencontre de sa queue, elle descendit jusqu'au gland qui affleurait le bas du short sur la cuisse.
« Eh bien Trixie, il ne faut pas faire de jaloux, viens faire plus ample connaissance avec Badou, me dit Alfred...Il est curieux de voir ton collier de seins de plus près ! »
Je me dirigeais vers lui, me penchais et plaquais mes lèvres sur les siennes, ma main descendit le long de ses pectoraux glabres, glissa sur son ventre et caressa sa bite à travers son slip. Amosa s'était collé contre mes fesses et frottait son énorme queue à travers son short le long de la raie offerte. Il commençait à bander. Son collègue éternisait son baiser, sa langue entrait et sortait de ma bouche.
« Tu sais Amosa, dis-je si ta bouche est aussi habile que ta queue ça ne devrait pas être mal
Oui dit Alfred, attends Trixie mets ta jambe sur le transat, je me rapproche pour ne rien rater ! »
Le noir laissa Alfred changer de place, et tandis que Badou me suçait le bout des seins, malaxant mes globes bronzés, La bouche de son copain vint se plaquer sur ma chatte déjà moite. Sa langue titilla et lécha mon clitoris, elle s'insinua ensuite dans mon conduit vaginal le pénétrant rapidement ses lèvres aspiraient mon foutre. Il décapuchonna mon clitoris et fit rouler en le pinçant entre ses deux doigts, je gémissais de volupté.
« Putain, Monsieur regardez, vous avez vu son clitoris...c'est la première blanche que je baise qui en a un comme ça ! »
Sa langue s'insinuait de partout, allant de mon petit bouton à mon orifice vaginal ou elle s'enfonçait au plus profond, léchant sous mes lèvres, je me tortillais dans tous les sens...Ce fut son index qui prit la place de la langue rose, rejoint bientôt par trois autres longs doigts noirs qui entamèrent un rapide ballet dans ma vulve poisseuse. Il alternait les succions de sa bouche, la pénétration de ses doigts. Je crois que c'était le meilleur cunnilingus que l'on avait pu me faire.
J'avais sorti de sa prison de tissu la bite de Badou. Elle était, elle aussi assez conséquente, moins longue que celle de son pote environ une vingtaine de centimètres, mais ma main n'en faisait le tour. Elle avait la peau tirée et luisante, sa couleur tirait sur le rose foncé. Ma bouche engloutit le gland et je m'appliquais à le téter sans descendre ma bouche le long de la bite arquée.
Le membre tendu de Amosa effleura mon conduit vaginal.
« Mets toi à genoux sur le transat et tu écartes les jambes, me dit Alfred j'aurais une meilleure vue... »
Le grand noir barbu, s'empara de mes seins, et les triturant, pinçant les pointes, il enfila lentement sa grande queue noire dans ma vulve.
« Vas doucement dit Alfred, a Amosa...j'adore voir ton énorme bite noire pénétrer Trixie, et toi ma chérie tu aimes aussi ?
Putain oui, elle n'est pas assez grosse...mais j'en raffole Alfred...c'est bon...c'est bon... accélère, accélère...»
Alfred c'était mis juste derrière le grand noir, il voyait les bourses noires rebondir à chaque pénétration. La queue de Badou disparaissait maintenant presque toute entière dans ma gorge, il tressautait sur place. Il demanda alors à son copain de bien vouloir changer de place.
Il me mit de dos contre lui, jambes bien écartées de chaque coté du transat.
« Regardez, Monsieur...comme elle aime se faire baiser par des noirs... »
D'un coup m'appuyant sur les hanches il m'empala...je hurlais de contentement...
« Tu aimes, salope...tu aimes les grosses queues noires, dit le au vieux monsieur...
Oui, oui Alfred j'adore leurs bites...encore, encore plus vite, fait la rentrer au fond »
Il accéléra la cadence pendant ce temps Amousa me tripotait les seins, me caressait le ventre, me titillait le clitoris, me présentait son gland décalotté pour que je le suce. La cadence de pénétration de Badou était démentielle, il avoua qu'il n'avait jamais baisé une femme blanche, blonde et aux yeux bleu-vert. Cela dura largement plus de dix minutes, il se cambra d'un seul coup, enfonçant sa bite au fond de moi et éjacula dans un hurlement.
« Tiens Salope, tiens, tiens prends le sperme du gros noir, tiens, putain ce que j'ai joui »
J'étais moi aussi au bord de l'explosion, mais Amousa me fit mettre debout, fit dégager son copain.
Je me retrouvais à genoux sur le transat, jambes largement ouvertes, du sperme gluant dégoulinant de ma chatte.
« Je n'ai pas joui moi, dit le grand barbu. »
Il se tourna vers Alfred, qui avait sorti sa vieille queue et se masturbait.
« Vous permettez que je la sodomise ?
Oui, oui dit Alfred, je crois que je vais jouir...Allez y mon garçon je vais essayer de me retenir...j'adore moi aussi lorsqu'elle joui en recevant le sperme de noirs...
Alors attendez, vous allez être servi »
Il se coucha sur le transat, me fit mettre face à Alfred. Il se masturbait d'une main entretenant son énorme érection. Il frotta son gland le long de la fente de ma chatte, mouillant sa verge avec le sperme de son copain. Puis il la présenta à l'entrée de mon anus. Je la saisi d'une main pour bien la maintenir droite et fléchissait les jambes, pour faire pénétrer le gros gland noir. Le monstrueux rouleau noir s'enfonçant dans mes entrailles. Il disparu entièrement, je commençais des rotations du bassin me levant et m'asseyant sur les cuisses de Amoussa.
« Regarde Alfred, regarde elle est au tréfonds de moi, c'est merveilleux...cette sensation, j'aime, j'aime...les grosses queues noires ! Regarde mon clitoris, regarde ma chatte comme elle mouille »
J'écartais mes lèvres vaginales, pour bien lui permettre de voir, me masturbait le clitoris râlant de bonheur. Je mis mes pieds sur les cuisses du noir genoux grands ouverts. Alfred m'encourageait à descendre plus bas, beaucoup plus bas, il fallait que toute le bite entre en moi.
Le noir me coucha, Il écarta largement mes jambes et appuya derrière mes genoux, Alfred ne pouvait rien rater ! Son phallus, envahit à nouveau mon conduit anal. Il me besognait assez violemment, avec cette position il me semblait que sa queue était plus longue...mes parois annales se resserrèrent autour du boa noir et j'explosais de jouissance.
D'un seul coup il enserra la base de sa bite et éjacula avec un cri que Victor dut entendre de la villa.
Il continua ses pénétrations jusqu'à ce qu'il débande complètement.
Je regardais Alfred, qui essayait de retenir son éjaculation, enfin la place fut libre, il se précipita. Il ne put entrer que son gland dans mon anus et je sentis les jets chauds et visqueux de sa laitance s'écouler en moi.
« Tiens, Salope, tiens prends le sperme du vieux blanc, il se mélangera... »
Il enfila vivement sa bite entièrement pour déverser le reste de sa semence.
Les deux noirs, repus de sexe retournèrent au boulot.
« Tiens, c'est bizarre dit Alfred, on n'a pas vu Victor ! »
A suivre.....
En effet la résidence était vraiment luxueuse. Il ne manquait rien. Un immense jardin avec une pelouse impeccable en faisait le tour. Une allée bordée de palmiers et de tamaris amenait à une grande piscine, ou plusieurs formes ovoïdales étalaient une eau limpide et chaude sur environ soixante mètres carrés.
Le bassin se trouvait sur une terrasse surplombant la vallée. Il était au soleil presque toute la journée. Les abords décorés de gros rochers, de plantes grasses et des palmiers dispensaient une ombre salvatrice, Alfred nous avait trouvé un petit paradis.
C'était l'après midi, j'étais en train de bouquiner tranquillement dans la fraîcheur du living, tempéré par la climatisation, nue sous ma nuisette. Je repensais à ce qu'Alfred m'avait dit. Je me remémorai notre première entrevue
Robert le producteur qui m'avait engagé pour tourner des vidéos, en homme avisé me fit remarquer que je n'avais plus de couverture sociale, et qu'il fallait quand même que je justifie de mes moyens d'existence. Aussi me proposa-t-il d'entrer comme secrétaire, puisque que c'était mon métier, chez l'un de ses amis, Alfred. Il m'indiqua qu'il était assez âgé, très riche, qu'il passait son temps à étudier et à écrire des bouquins et que je n'aurais presque rien à faire. Qu'il était très généreux si on savait le prendre ou se faire prendre. Je vis de suite le parti que je pourrai en tirer !
Donc, à l'adresse indiquée, je sonnais au portail, il s'ouvrit automatiquement. Le monsieur habitait une jolie maison un peu isolée. Il sortit pour m'accueillir. Il était petit sec, pas de cheveux sur le dessus du crâne, des tempes blanches, et une barbichette blanche bien taillée. Il s'effaça poliment pour me laisser entrer. Je sentais son regard rivé sur mes fesses. Il me montra ma chambre. Après m'être installée, je fis comme il m'avait dit, je le rejoignais à la bibliothèque. Il me dit s'appeler Alfred. Après s'être renseigné sur moi, mes gouts, s'être extasié sur ma beauté, il m'indiqua que pour l'instant mon travail consisterait à classer un grand nombre de documents et de taper les lettres qu'il envoyait. Il fixa le montant de mon salaire, c'était très, très généreux.
Je fis du classement tout l'après midi, c'était un vrai fouillis dans ses documents. Il venait souvent me voir en me regardant d'un regard langoureux, qui en disait long sur ses envies. Le soir venu, je m'installais seule, avec un bouquin dans la même bibliothèque. J'entendis les pas d'Alfred qui arrivait. J'allais lui donner un petit acompte sur mes talents. Je fis semblant de m'être assoupie.
La porte s'ouvrit, je remuais suffisamment pour que dans une posture d'abandon ma jupe remonte sur mes cuisses, ses yeux remarquèrent le léger mouvement. Puis il reporta son regard sur mes seins comme pour les étudier. Il pensait que je dormais et que je pouvais pas le voir, alors que je l'observais avec mes yeux mi-clos. Dans un mouvement naturel je relevais les jambes le tissu remonta dévoilant ma chair nue, les attaches et les lanières du porte-jarretelle noir. Je le vis s'approcher très discrètement pour profiter du spectacle offert, essayer de voir un peu plus haut, puis il tourna les talons et ressortit de la pièce. Le lendemain je lui demandais de m'excuser pour le petit somme que j'avais fait dans la bibliothèque. Il me dit, en souriant, que le voyage et le travail avaient du me fatiguer. Il m'offrit une tasse de café, j'effleurai ses doigts en prenant la tasse, en lui souriant tendrement.
« Je crois que nous allons bien nous entendre, Trixie me dit-il.
Moi aussi ! Alfred»
Il eut l'air surpris, que je l'appelle par son prénom.
« Puis-je vous appeler ainsi...Nous ne sommes pas de la même génération, mais vous êtes encore très séduisant...savez-vous !
Je, je pourrais presque être votre grand-père, Trixie !!
Mon père peut-être, un homme robuste comme vous ! »
Je m'étais assise dans un fauteuil, laissant ma jupe remonter.
« Et puis j'adore les années soixante dix, ses voitures, la mode...d'ailleurs regardez... »
En disant cela d'une main je relevais ma jupe très haut sur mes cuisses et lui demandant s'il aimait la couleur fumée de mes bas. Comme le sir précédent des yeux se rivèrent sur les lanières noires de mon porte-jarretelle. Il s'affala sur le fauteuil qui me faisait face, et son regard se fit plus inquisiteur cherchant deviner, ce qu'il y avait après le haut de mes cuisses nues. Avisant un vieux tourne disque je me levais, en lui indiquant que je raffolais de la musique de ces années là. En me dirigeant vers l'appareil, je fis remuer mes épaules, je ne portais pas de soutien gorge, mes seins tressautèrent. Les bretelles de mon débardeur descendaient de plus en plus bas. Les pointes tendues de mes seins, accrochèrent l'échancrure du vêtement et l'empêcha de tomber plus loin. Un mouvement d'épaule et un un téton brun en jaillit. Les yeux du vieux étaient fixes et prêts à sortir de leurs orbites. Il se leva et comme s'il perdait l'équilibre, tomba sur moi comme pour se rattraper, il était à genoux et m'attira à lui. Il mit ses mains dernière mes genoux et les fit remonter en une caresse sur mes cuisses, le long des lanières tendues.
« Mon Dieu, vous ne vous êtes pas fait mal Alfred ?
- Non, non Trixie... »
Sa respiration c'était accélérée, ses doigts couraient sur ma peau nue, il caressa mon entre jambe sur mon string. Se saisissant de ma jupe il la descendit, elle tomba sur le sol.
« Oohhh, Alfred...que faites vous ! »
Il me répondit pas, enserrant mes chevilles, il remonta le long de mes jambes en une longue et douce caresse. Suite à ces agréables attouchements mon vagin devenait de plus en plus moite. Ses yeux ne se détachaient pas de la transparence du tissu du string que l'humidité faisait maintenant coller à mes lèvres épilées. Sa bouche se posa sur ma chatte en feu, ce contact me fit gémir et me cambrer. Mes jambes commençaient à trembler, décidément me dis-je, les vieux te font vraiment de l'effet !!
Ses lèvres parcouraient mon string trempé de foutre. Sa langue forçait le tissu pour s'insinuer dans ma chatte ruisselante. Il posa ses mains sur mes seins et les malaxa, cela fit redoubler mes gémissements. Puis on frappa a la porte, ce devait être Gaspard, le cuisinier. Il lui demanda de patienter, je remis ma jupe et mon corsage, je le regardais, il bandait, sa queue n'était pas énorme en comparaison de celles que j'avais connues. Il me remercia en me disant que cela faisait plus de trente ans que cela ne lui plus arrivé, et qu'il me remercierait pour cet instant. Je le flattais en lui disant qu'il était doué, ce qui n'était pas tout à fait faux. Lorsque le cuisinier entra il lui tourna le dos pour ne pas lui montrer la bosse déformant son pantalon.
Le lendemain matin, j'entrai dans la bibliothèque, Alfred m'attendait.
« Il faudrait faire un peu de ménage Trixie, c'est poussiéreux ici, non ? ! »
J'acquiesçais et pris le plumeau qu'il me tendait. Je grimpais tout d'abord sur une chaise, m'étirais pour faire remonter ma robe et montrer mes jambes. Les hommes en général raffolent des portes -jarretelles, ma position faisait tendre les lanières sur mes cuisses blanches. Il s'était assis, je lui tournais le dos. Me mettant à quatre pattes, je passais sous le bureau. Ma robe remonta jusqu'à ma taille dévoilant ma croupe et mes fesses dorées, je n'avais pas mis de string ni de soutien gorge. J'écartais les cuisses, il put ainsi apercevoir mon anus et la fente rose de mon sexe. Je l'entendis se lever et s'approcher, je déboutonnais les boutons du haut de ma robe. En reculons je sortis de dessous le bureau. Ses mains relevèrent la robe encore plus haut sur mes reins, glissèrent sous le porte-jarretelle et caressèrent ma taille, il tremblait. Il avait sorti sa vielle bite et essaya de me pénétrer tout en écartant le haut de ma robe et faisant jaillir mes seins.
« Attendez, attendez....pas si vite Alfred ! Nous avons le temps... »
Je me dégageais et en me tournant vers lui, je lui présentais mes seins en lui disant de les embrasser, de le mordre, de les téter. Il promena sa bouche humide et tiède sur les rondeurs offertes, mes tétons se dressèrent sous la caresse de sa langue. Je commençais à gémir et à me tortiller. Sa barbichette me chatouillait et ça m'excitait encore plus. Je sentais son odeur aigrelette et je me disais que j'étais vraiment perverse d'aimer les vieux !!
Il me fit retourner, mettre à genoux. Il s'agenouilla derrière moi, ses lèvres se posèrent sur mes fesses, il les écarta doucement. Sa langue se mit à me les lécher ; elle glissait vers mon anus, le bout s'insinua dans mon orifice anal, la caresse était très douce, j'adorais ce que me faisait le vieillard :
« Laisse toi faire, laisse toi faire...murmura-t-il »
Sa salive coula entre mes fesses jusqu'à mon petit trou qui s'ouvrait et se fermait, attendant autre chose. Avec ses pouces il en ouvrit largement l'accès et enfonça sa langue plus profondément, puis je sentis deux doigts forcer l'entrée de mon orifice anal. Il fit une vingtaine de va et vient et sa vieille bite, ma foi assez dure vint se frotter à ma chatte. Il était pressé maintenant, je le laissais faire cette fois. Il me passa un avant bras sous le ventre, tandis que l'autre main il me malaxait les seins. Il enfila sa queue dans mon sexe qui s'humidifiait plus par l'excitation que me donnait la pensée de me faire baiser par un vieux, que par la grosseur du cylindre qui entrait en moi. Il me pénétrait en donnant de grands coups de reins et haletait comme un soufflet de forge. Je tournais la tête pour l'observer, je crus qu'il allait avoir une crise cardiaque, son visage était rouge pivoine, il transpirait à grosses gouttes. Il me serrait la taille avec force. Je ne sais pas si ce fut de voir l'effet que je lui faisais, mais je sentis monter dans mon ventre une douce chaleur. Je sentis les soubresauts de sa queue et il éjacula en râlant et criant de bonheur, ça déclencha dans mes entrailles une petite jouissance, et je me maudis de ressentir cela avec un vieillard. Il me remercia des larmes de bonheur plein les yeux.
« Je vais te donner beaucoup d'argent, me dit-il !
Mais ce n'est pas pour ça que je l'ai fait....Albert »
Je me penchais et avec ma langue lui nettoyais la bite qui était luisante de mon foutre et de son sperme, il se mit à trembler de bonheur. Au lieu de déglutir les sécrétions que j'avais léché, je lui montrais ma langue, je m'approchais de lui et l'embrassais, transférant dans sa bouche ma salive poisseuse :
« Avale , Albert lui dis-je ! »
Il s'exécuta :
« Tu es merveilleuse, me dit-il »...
Puis il avait embauché Victor...Ces souvenirs et l'évocation de l'énorme vieille bite dressée du majordome et de la façon dont savait s'en servir malgré son âge, déclenchèrent une certaine moiteur dans ma chatte, je me sentais excitée...Alfred avait bien spécifié à son domestique qu'il ne pouvait pas me baiser sans son autorisation. Après l'intermède de la dette de jeu, cette interdiction était de nouveau entrée en vigueur. Mais les autorisations étaient assez fréquentes...
La maison était silencieuse, les vieux devaient faire la sieste. Bravant l'interdiction d'Alfred, je partis à la recherche de Victor et de son phallus de plus de vingt cinq centimètres en érection. Même en vacance, il fallait que je sois habillée comme ces messieurs le désirait. Nuisette transparente, s'arrêtant a hauteur de mon petit triangle de poils ras, laissant ma chatte et mes fesses exposées aux regards. Les globes de mes seins ornés du collier de poitrine offert par Victor, sortant entièrement par les fentes de la nuisette les mamelons tendus par la pression des cordelettes les enserrant. Talons hauts, bas noirs et porte jarretelle complétaient ma tenue vestimentaire.
Je trouvais ce vieux vicieux de Victor dormant tout nu, dans mon lit. Son énorme queue, à moitié décalottée pendait flasque sur le côté, elle était impressionnante ! Mais Alfred avait choisi son domestique en fonction de cette particularité, car le vieux sadique aimait me voir baiser par des queues énormes et surtout si en plus elles étaient noires...!! Victor n'était vraiment pas un apollon, sa peau était assez flasque sur son ventre, ses bras et ses jambes étaient maigres pas musclés, ses mains ridées...mais il avait une bite énorme et super efficace , des bourses assez conséquentes et surtout malgré son âge il savait s'en servir et me faisait fortement jouir et ça compensait le reste.
Je me mis devant le pied du lit et commençait à me trémousser pour le réveiller, me caressant les seins, la chatte en l'appelant doucement. Victor ouvrit les yeux, je lui tournais le dos. En un rien de temps, il fut contre mon dos, ses lèvres se posèrent dans mon cou, mordillant le lobe de mes oreilles. Ses mains glissaient le long des lanières de mon porte jarretelle effleuraient ma chatte et remontaient pour enserrer mes seins et titiller mes mamelons, tirer sur les deux hématites pendant des tétons.
Sa main gauche se mit a me masturber la fente et le clitoris tandis que sa langue se nouait à la mienne.
Je montais devant lui à genoux sur le lit. Il baissa les bretelles de la nuisette, elle tomba sur le lit.
« Salope, tu sais qu'Alfred ne veut pas que je te touche sans sa permission...
Oui, mais ta vieille bite m'excite, et moi aussi je t'excite regarde ta queue... »
Je la caressai, elle c'était tendue rigide en arc de cercle et remontait bien plus haut que son nombril fripé. Je frottais mes mamelons durcis contre sa poitrine parsemée de poils blancs, suçait ses tétons et ma bouche descendit pour se saisir du gland turgescent. Ma main caressait la hampe raide sur sa longueur, ma bouche aspirait le gland, puis descendait le long du phallus.
Je savais que Victor adorait mes mamelons, ils étaient durs gonflés par le nœud les comprimant, je pris la bite de Victor, la frottais sur mes aréoles puis j'essayais de faire entrer les tétons dans la fente de son méat...Il était aux anges.
Il me coucha sur le lit, il n'eut aucune peine à enfiler entièrement son énorme mandrin dans ma chatte qui ruisselait. Il m'embrassait à pleine bouche, puis me mordillait le bout des seins.
Tout cela ne se faisait pas sans gémissements et petits cris de plaisir de notre part...
Au bout de cinq ou six minutes d'intenses pénétration de cette grosse queue, Alfred m'appela, ses pas se dirigèrent vers ma chambre.
« Oh la la...si Alfred me trouve avec toi sans sa permission, il est capable de me renvoyer à la maison...
Je poussais Victor dans le placard servant de penderie, et me recouchait sur le lit.
« Oui Alfred, je suis là...sur mon lit »
Il entra dans la chambre, revêtu seulement d'un slip. Je n'étais pas tranquille, quelle serait sa réaction ? Il s'approcha du lit, je baissais son slip. Il s'allongea à coté de moi, et me caressa la chatte.
« Dis donc tu es trempée, les draps sont aussi mouillés...C'est Victor qui te baisait ? me demanda-t-il d'un air suspicieux
Ben non, je rêvais que je me faisait baiser par un grand noir, ça m'a réveillé et je me suis masturbée...
Salope, tu les aimes les noirs et leurs grosses queues, mais c'est bien ainsi !
Oui, Alfred j'adore me faire baiser par un noir et je crois que je joui deux fois plus si il y a un blanc qui le regarde éjaculer dans ma chatte... »
En disant cela, il me souleva la jambe et enfila sa queue à l'endroit que le majordome venait de quitter, elle était nettement moins grosse.
La porte du placard s'entrebâilla et Victor, la queue bien dressée me montrait qu'il se masturbait vigoureusement. Alfred ne mit pas trop longtemps a jouir. Victor, c'était approché à pas de loup dans le dos d'Alfred, tout en continuant à se branler.
« Je dormais, mais vos ébats m'ont réveillé et cela fait un petit moment que je regarde Mademoiselle et Monsieur. Monsieur me permettrait-il d'éjaculer dans la bouche de Mademoiselle.
Je vous en prie Victor, faites... »
Le majordome fit rapidement le tour du lit, ça urgeait, j'eus juste le temps d'ouvrir la bouche et le vieux sperme gicla sur ma langue. Chaque fois que le domestique atteignait l'orgasme, il expulsait une grande quantité de liquide séminal. J'attendis que ses spasmes cessent, aspirait le bout de son gland, puis me tournant vers Alfred, je lui montrais en ouvrant la bouche le liquide visqueux blanc et tiède de Victor, puis je l'avalais par petites saccades, en regardant langoureusement mon vieux patron.
Le lendemain après midi, Victor arriva avec une robe bleue pâle sur le bras, il me semblait qu'il était un tant soit peu irrité.
« Monsieur demande à ce que vous le rejoignez au bord de la piscine, il voudrait vous présenter les jardiniers qui sont en train de prendre leur pause. Il aimerait que vous passiez cette robe... »
Il s'approcha, fit glisser les bretelles de la nuisette sur mes bras, elle tomba à mes pieds. Le majordome était vraiment ravi du cadeau qu'il m 'avait fait. Je portais en permanence le collier de poitrine qu'il m'avait offert. J'adorai la sensation délicieuse que me procurait le serrement de mes tétons par les petits rubans noirs. Cela les tenait dans une érection quasi permanente. Victor ne put s'empêcher de les faire rouler entre son pouce et son index, avant de resserrer un petit peu les nœuds coulants. Il se mit à genoux devant moi, en profita pour me faire un léger doigté après avoir dégrafé les attaches de mes bas. Il les roula sensuellement le long de mes jambes, et sa langue envahi ma chatte, ses lèvres aspirèrent mon clitoris. Il dégrafa l'attache dorsale de mon porte jarretelle, puis à regret, il m'aida a passer la robe, on aurait dit une seconde peau. Le tissu était très mince, elle n'avait pas de bretelles, s'arrêtait dix centimètres au dessous de mon entre jambe. Victor tira un peu sur le bas pour mieux la faire épouser mon corps, il la lissa sur mon ventre sa main descendit sur mon pubis.
« Parfait, Monsieur sera ravi.... on voit les poils de votre chatte qui sortent à travers, c'est très sexy... »
Je me regardais dans une glace, en effet on aurait dit que mes mamelons emprisonné par les boucles voulaient transpercer le haut de la robe, mes aréoles se dessinaient parfaitement. La petite touffe de poils ras en triangle au dessus de ma chatte faisait une tâche plus sombre, et lorsqu'on y passait la main on sentait bien les poils passant à travers le tissu. La robe entrait dans la raie de mes fesses.
Je me dirigeais vers la piscine rejoindre Alfred. La conversation roulait bon train avec les jardiniers, couchés à l'ombre sur des transats. Il était entre un grand noir avec une barbiche et de longues dredes noires, vêtu d'un short vert qui lui descendait à mi cuisse et un métis beaucoup plus costaud qui ne portait qu'un slip bleu foncé.
« Ah voilà notre beauté...Trixie je te présente Amosa en me désigna le grand et celui la c'est
Badou. Ce sont nos jardiniers... »
Ils ôtèrent leurs lunettes noires, et se redressèrent sur leurs sièges. Je savais maintenant pourquoi Alfred m'avait demandé de le rejoindre...Je passais entre lui et Amosa, me penchais pour lui déposer un baiser sur la joue de mon patron, ce qui permit à son voisin de voir que j'étais nue sous ma robe. Je me tournais vers lui et lui serrais la main. J'allais ensuite saluer son copain faisant saillir ma poitrine pour qu'il puisse bien apercevoir mes tétons qui dardaient sous le mince tissu.
Je me reculais, et me caressais le corps à travers la robe, la relevant au ras de mon pubis. Je déchaussais mes talons hauts.
« Alfred, il fait vraiment chaud, puis-je me baigner ? Mais je n'ai pas de maillot !
Tu es en vacance, tu fais comme bon te semble...!!
J'étais à un mètre du grand noir, lentement je découvris un sein, puis l'autre, on entendait les mouches voler...Je fis semblant d'arranger les clips de mes tétons. J'entrais dans l'eau et sur la première marche de l'escalier, je leur dévoilais langoureusement mon corps bronzé en faisant passer ma robe par dessus ma tête. M'appuyant sur un rocher, je me caressais les fesses en cambrant les reins en direction de Amosa.
Il réagit sur le champ, il entra dans la piscine derrière moi, et m'arrosant les fesses il me caressa les jambes doucement effleurant mon entre jambe. Puis sa bouche se posa dans mon cou, ses mains prirent possession de mes seins, il me titilla les tétons tandis que sa langue envahissait ma bouche.
Ma main partit à la rencontre de sa queue, elle descendit jusqu'au gland qui affleurait le bas du short sur la cuisse.
« Eh bien Trixie, il ne faut pas faire de jaloux, viens faire plus ample connaissance avec Badou, me dit Alfred...Il est curieux de voir ton collier de seins de plus près ! »
Je me dirigeais vers lui, me penchais et plaquais mes lèvres sur les siennes, ma main descendit le long de ses pectoraux glabres, glissa sur son ventre et caressa sa bite à travers son slip. Amosa s'était collé contre mes fesses et frottait son énorme queue à travers son short le long de la raie offerte. Il commençait à bander. Son collègue éternisait son baiser, sa langue entrait et sortait de ma bouche.
« Tu sais Amosa, dis-je si ta bouche est aussi habile que ta queue ça ne devrait pas être mal
Oui dit Alfred, attends Trixie mets ta jambe sur le transat, je me rapproche pour ne rien rater ! »
Le noir laissa Alfred changer de place, et tandis que Badou me suçait le bout des seins, malaxant mes globes bronzés, La bouche de son copain vint se plaquer sur ma chatte déjà moite. Sa langue titilla et lécha mon clitoris, elle s'insinua ensuite dans mon conduit vaginal le pénétrant rapidement ses lèvres aspiraient mon foutre. Il décapuchonna mon clitoris et fit rouler en le pinçant entre ses deux doigts, je gémissais de volupté.
« Putain, Monsieur regardez, vous avez vu son clitoris...c'est la première blanche que je baise qui en a un comme ça ! »
Sa langue s'insinuait de partout, allant de mon petit bouton à mon orifice vaginal ou elle s'enfonçait au plus profond, léchant sous mes lèvres, je me tortillais dans tous les sens...Ce fut son index qui prit la place de la langue rose, rejoint bientôt par trois autres longs doigts noirs qui entamèrent un rapide ballet dans ma vulve poisseuse. Il alternait les succions de sa bouche, la pénétration de ses doigts. Je crois que c'était le meilleur cunnilingus que l'on avait pu me faire.
J'avais sorti de sa prison de tissu la bite de Badou. Elle était, elle aussi assez conséquente, moins longue que celle de son pote environ une vingtaine de centimètres, mais ma main n'en faisait le tour. Elle avait la peau tirée et luisante, sa couleur tirait sur le rose foncé. Ma bouche engloutit le gland et je m'appliquais à le téter sans descendre ma bouche le long de la bite arquée.
Le membre tendu de Amosa effleura mon conduit vaginal.
« Mets toi à genoux sur le transat et tu écartes les jambes, me dit Alfred j'aurais une meilleure vue... »
Le grand noir barbu, s'empara de mes seins, et les triturant, pinçant les pointes, il enfila lentement sa grande queue noire dans ma vulve.
« Vas doucement dit Alfred, a Amosa...j'adore voir ton énorme bite noire pénétrer Trixie, et toi ma chérie tu aimes aussi ?
Putain oui, elle n'est pas assez grosse...mais j'en raffole Alfred...c'est bon...c'est bon... accélère, accélère...»
Alfred c'était mis juste derrière le grand noir, il voyait les bourses noires rebondir à chaque pénétration. La queue de Badou disparaissait maintenant presque toute entière dans ma gorge, il tressautait sur place. Il demanda alors à son copain de bien vouloir changer de place.
Il me mit de dos contre lui, jambes bien écartées de chaque coté du transat.
« Regardez, Monsieur...comme elle aime se faire baiser par des noirs... »
D'un coup m'appuyant sur les hanches il m'empala...je hurlais de contentement...
« Tu aimes, salope...tu aimes les grosses queues noires, dit le au vieux monsieur...
Oui, oui Alfred j'adore leurs bites...encore, encore plus vite, fait la rentrer au fond »
Il accéléra la cadence pendant ce temps Amousa me tripotait les seins, me caressait le ventre, me titillait le clitoris, me présentait son gland décalotté pour que je le suce. La cadence de pénétration de Badou était démentielle, il avoua qu'il n'avait jamais baisé une femme blanche, blonde et aux yeux bleu-vert. Cela dura largement plus de dix minutes, il se cambra d'un seul coup, enfonçant sa bite au fond de moi et éjacula dans un hurlement.
« Tiens Salope, tiens, tiens prends le sperme du gros noir, tiens, putain ce que j'ai joui »
J'étais moi aussi au bord de l'explosion, mais Amousa me fit mettre debout, fit dégager son copain.
Je me retrouvais à genoux sur le transat, jambes largement ouvertes, du sperme gluant dégoulinant de ma chatte.
« Je n'ai pas joui moi, dit le grand barbu. »
Il se tourna vers Alfred, qui avait sorti sa vieille queue et se masturbait.
« Vous permettez que je la sodomise ?
Oui, oui dit Alfred, je crois que je vais jouir...Allez y mon garçon je vais essayer de me retenir...j'adore moi aussi lorsqu'elle joui en recevant le sperme de noirs...
Alors attendez, vous allez être servi »
Il se coucha sur le transat, me fit mettre face à Alfred. Il se masturbait d'une main entretenant son énorme érection. Il frotta son gland le long de la fente de ma chatte, mouillant sa verge avec le sperme de son copain. Puis il la présenta à l'entrée de mon anus. Je la saisi d'une main pour bien la maintenir droite et fléchissait les jambes, pour faire pénétrer le gros gland noir. Le monstrueux rouleau noir s'enfonçant dans mes entrailles. Il disparu entièrement, je commençais des rotations du bassin me levant et m'asseyant sur les cuisses de Amoussa.
« Regarde Alfred, regarde elle est au tréfonds de moi, c'est merveilleux...cette sensation, j'aime, j'aime...les grosses queues noires ! Regarde mon clitoris, regarde ma chatte comme elle mouille »
J'écartais mes lèvres vaginales, pour bien lui permettre de voir, me masturbait le clitoris râlant de bonheur. Je mis mes pieds sur les cuisses du noir genoux grands ouverts. Alfred m'encourageait à descendre plus bas, beaucoup plus bas, il fallait que toute le bite entre en moi.
Le noir me coucha, Il écarta largement mes jambes et appuya derrière mes genoux, Alfred ne pouvait rien rater ! Son phallus, envahit à nouveau mon conduit anal. Il me besognait assez violemment, avec cette position il me semblait que sa queue était plus longue...mes parois annales se resserrèrent autour du boa noir et j'explosais de jouissance.
D'un seul coup il enserra la base de sa bite et éjacula avec un cri que Victor dut entendre de la villa.
Il continua ses pénétrations jusqu'à ce qu'il débande complètement.
Je regardais Alfred, qui essayait de retenir son éjaculation, enfin la place fut libre, il se précipita. Il ne put entrer que son gland dans mon anus et je sentis les jets chauds et visqueux de sa laitance s'écouler en moi.
« Tiens, Salope, tiens prends le sperme du vieux blanc, il se mélangera... »
Il enfila vivement sa bite entièrement pour déverser le reste de sa semence.
Les deux noirs, repus de sexe retournèrent au boulot.
« Tiens, c'est bizarre dit Alfred, on n'a pas vu Victor ! »
A suivre.....
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci pour votre récit bien bandant. J'avoue avoir quelque peine à comprendre l'excitation d'une jeune pour des vieux. Je devrais peut-être m'y intéresser d'avantage, l'âge me rattrapant peu à peu. Par contre, je suis propre et j'ai une belle queue et j'aime être attentif au plaisir de ma partenaire. J'avoue qu'une belle jeunette ne me rebuterait pas le moins du monde.
L'imagination j'aime aussi même si je n'ai plus écrit d'histoires érotiques depuis un certain temps.
Merci pour cette histoire. Promis, dès que j'aurai un peu de temps j'irai voir les autres.
Jean-Paul
L'imagination j'aime aussi même si je n'ai plus écrit d'histoires érotiques depuis un certain temps.
Merci pour cette histoire. Promis, dès que j'aurai un peu de temps j'irai voir les autres.
Jean-Paul