Une séance d'acupuncture
Récit érotique écrit par Trixie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
- • 96 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.8 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.4
- • L'ensemble des récits érotiques de Trixie ont reçu un total de 800 598 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-06-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 5 414 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Une séance d'acupuncture
J'étais chez mon acupuncteur, assise en face de lui, je le regardais. C'était un Asiatique, chinois ou coréen. Il avait la soixantaine bien sonnée et n'était vraiment pas ce qu'il est convenu d'appeler beau. Son apparence recelait toutes sortes de bizarreries, qui lui donnaient l'air d'être une sorte de caricature. Il était presque complètement chauve, ne possédant plus qu'une mince frange qui adhérait au sommet de son crâne en une touffe de cheveux qui lui retombait en mèche sur le front. Le nez était trop grand, sa bouche et ses yeux trop petits. Ses pommettes étaient hautes et proéminentes. Son visage se rétrécissait du front au menton ont eut dit un triangle inversé.
Il était très grand et très mince, bien qu'il eut des vêtements apparemment coûteux, il avait l'air d'y flotter dedans. Ses longs bras, émergeant de sa veste, mettaient en relief ses grandes mains noueuses, aux longs doigts effilés.
J'avais entendu dire, mais était ce la vérité ? Qu'il arrivait à faire jouir, une patiente, en la piquant avec les aiguilles. J'aurais bien voulu essayer, mais je n'osais pas le demander ! J'avais lu qu'effectivement, on avait découvert des points anatomiques, qui déclenchaient des réactions physiologiques puissantes et qui allument le cerveau érotique.
— Déshabillez-vous, mademoiselle.
Nous étions à la fin de l'hiver, je m'étais habillée, pour essayer d'attirer son attention. Je quittais ma veste puis mon chemisier, les bonnets de mon soutien-gorge noir affleuraient mes mamelons, un téton surgit au dessus de la dentelle. Je défis la fermeture de ma robe, elle tomba au sol, dévoilant mes jambes affinées par des bas retenus par un porte-jarretelles noir, un string arachnéen cachait mon sexe. Je ne l'avais pas quitté du regard, ses yeux s'allumaient au fur et à mesure de mon effeuillage.
— Étendez-vous sur la table ! Me dit-il avec un large sourire.
J'eus droit à une séance basique d'acupuncture, avec peut-être quelques attouchements un peu plus appuyés, mais rien de ce que j'attendais. La consultation terminée, je me rhabillai.
— Si cela ne vous fait rien, ne pourrions nous pas avance la prochaine séance à après-demain ? Cela m'arrangerait, me dit-il, en me regardant les yeux brillants.
— Pas de problème !
Répondis-je tandis que mon cœur faisait un bond dans ma poitrine, avais-je tiré le pompon ? Mon désir allait prendre forme ? Les ouï-dire entendus faisaient état d'orgasmes super puissants, j'étais partante pour ce genre de sensations.
Le surlendemain, je me présentais à son cabinet vêtue d'une veste sous laquelle je ne portais qu'un soutien-gorge noir demi-bonnet, qui laissait libre les deux tiers de mes seins. Une jupe collante sous laquelle on devinait les attaches de mon porte-jarretelles noir lui aussi. J'avais hésité, mais j'avais mis un string plus que transparent et m'étais rasée consciencieusement la chatte.
La salle d'attente était déserte, le dernier client sortit, il me fit entrer dans son cabinet. Il m'examina des pieds, son visage s'éclaira lorsqu'il vit les bosses faites par les fermoirs de mon porte-jarretelles.
— Bonjour, Mademoiselle Trixie, vous êtes toujours aussi rayonnante ! Aujourd'hui, me permettez-vous de vous déshabiller, je vous offre une séance spéciale !
— Euuhhhhh oui, répondis-je.
— Parfait, je pense que vous aimerez !
Il s'avança vers moi, défit un a un les boutons de veste en écarta les pans.
— Oooooohhhhh, magnifiques vos seins ressemblent à deux poires d'or, offertes dans un écrin.
Lentement, il ôta ma veste.
— Permettez que je quitte votre jupe, pour dévoiler vos jambes magnifiques !
Il baissa la fermeture et le vêtement chu sur la moquette. Mon cœur battait la chamade dans ma poitrine, j'allais connaître le nirvana, enfin, je l’espérais.
— Je n'en reviens toujours pas, vous êtes merveilleuse ainsi vêtue ! Votre lingerie est très érotique ! Nous allons la garder pendant l'opération. Allongez-vous sur la table, je vous prie.
Ce que je fis.
— Il faut que je quitte votre string, dit-il en le faisant rouler le long de mes cuisses. Oooooohhhh, mais vous êtes rasée ! J'adore, vous voulez m'ensorceler ! C'est bien détendez-vous ! Je vais enfoncer les aiguilles, mais ailleurs que d'habitude ! Vous verrez, c'est très agréable ? Mais je crois que vais aussi ôter votre soutien-gorge, vos seins s’épanouiront davantage.
Il passa ses mains dans mon dos, et dégrafa mes demis-bonnets, je frémis d'extase lorsqu'il fit passer les bretelles sur mes bras. Ses doigts voletèrent sur mon anatomie, raidie à l’horizontale sur la table d’auscultation. L’asiatique commença alors à poser ses aiguilles sur mon corps. Ce furent d'abord les chevilles puis les poignets. Je sentis un léger picotement à l’intrusion des aiguilles, mais on ne peut pas parler de douleur. Dans un petit regard pétillant et un petit sourire en coin, il me dit :
— Maintenant, place à votre cadeau séance spéciale !
Il enfonça alors des petits pics autour de mes seins et de mon sexe. Le vieil homme planta enfin ses dernières aiguilles : chevilles, poignets, pourtour du sexe et des seins. En souriant, il plongea son œil malicieux dans le mien.
— Votre pupille s’agrandit déjà. Ça va démarrer dans trois minutes ! Je vais te laisser seule un instant. Tu sais, j'en ai fait jouir plus d'une ! Murmura-t-il.
Il fila à petit pas, dos voûté secoué d’un rire léger. Transformée en pelote d’épingles, je fixai, incrédule et crispée, le plafond laqué. Ma peau commença a me picoter. J’attendis dans le silence. Les picotements s’intensifièrent, la chaleur monta. Mon ventre s’alourdit, se contracta. Presque une douleur. Au début, j’essayai de me détendre et je paniquai un peu à la vision de mon corps ainsi percé ! Puis, je tentai de bouger, en vain ! Je n’arrivai qu’à faire remuer mes yeux, le reste de mon corps est comme endormi. Tout d’un coup, des picotements émanant de mes pieds remontèrent le long de mon corps. Ils passèrent par l’extérieur de mes jambes, mes hanches et arrivèrent à ma poitrine. L’effet s’atténua pour être remplacé par une chaleur douce et agréable. Mes seins se gonflèrent de plaisir devinrent chauds bouillants et cette flambée redescendit dans mon sexe. Mon clitoris se dressa, sortant de son capuchon et mon vagin se gonfla et je chauffai de l’intérieur ; mes grandes lèvres et enfin mes petites s’ouvrirent comme si on me faisait un cunnilingus d’enfer. Là, ne comprenant pas ce phénomène nouveau, je tentai de résister à nouveau, mais l’excitation est trop forte, je me laissai aller, et un orgasme me traversa le corps. J'avais les membres engourdis, mais je pouvais les bouger lentement, je voulus crier mon extase, mais aucun son ne sortit.
Ce fut à ce moment que la porte s'ouvrit, le vieil acupuncteur entra. Il était nu, il me parut encore plus émacié. Son sexe pas très épais, mais vraiment long pendait entre ses cuisses décharnées. Il s'approcha. Et m'examina, un large sourire illumina son visage.
— Tu viens de jouir, mais ce n'est pas fini, je vais t'enlever les aiguilles et tu vas retrouver tes sensations corporelles.
Il commença à ôter les petites piques d'argent, il enleva en dernier celles qui étaient fichées dans mes aréoles et autour de mon vagin. Mais avant, il les faisaient tourner, ce qui me tirait des soupirs d'extase.
— C'est bon, ne trouves-tu pas ? Mais passons a autre chose ! Connais-tu le réflexe crémastérien ?
Ses mains passèrent sous les lanières de mon porte-jarretelles, puis il remonta lentement avec le bout du doigt le long de ma cuisse en direction de l'aine. Mes lèvres vaginales s'ouvrirent malgré moi, cela déclencha immédiatement ma libido, une envie terrible de sa bite m'envahit. Les parois de mon vagin se tendirent, ce dernier libéra de la mouille. J’eus la sensation de sentir le pouls de mon cœur se mettre à battre dans mon clitoris qui à nouveau gonfla, durcit et qui, par cette érection se détacha des lèvres de ma chatte. Mon vagin se dilata et la lubrification fut a son apogée, mes lèvres devinrent rouge et mon foutre coula sur la table.
— Voila qui est parfait jeune fille, sens-tu bien mes doigts ?
Il enfila son index et son majeur dans ma chatte trempée, fit doucement une dizaine d'allers et retours, puis avec son pouce, il se mit à me caresser le clitoris avec de petits ronds, parfois son ongle le titillait, me tirant des gémissements de plaisir.
Il enfila son index et son majeur dans ma chatte trempée, fit doucement une dizaine d'allers et retours, puis avec son pouce, il se mit à me caresser le clitoris avec de petits ronds, parfois son ongle le titillait, me tirant des gémissements de plaisir. Sa main gauche, me triturait les seins, pinçant et tirant mes tétons, il accéléra la cadence, des pénétration de sa main. Mon corps se tendit en arc de cercle, j’étais vaincue par le plaisir, je me laissais porter par un flot de volupté. Je ne voulais pas que cela cesse.
— Je vais masser ton Qì Hǎi comme on dit en chinois, cela peut se traduire par mer de l’énergie ou Océan d’énergie, il se situe à environ 3 centimètres sous le nombril. Avance tes fesses jusqu'au bord de la table.
Il s'installa entre mes cuisses. Il bandait, sa bite se frotta sur ma chatte, il réunit son pouce, son index et son majeur et les plaça sur le point Qì Hǎi, il commença à effectuer des mouvements de rotation dans le sens des aiguilles d'une montre.
De sa main gauche, il dirigea sa bite vers ma vulve palpitante, le gland entra. Sa main droite exerçait une pression continue sur le point Qì Hǎi, il appuyait, mais sans forcer, continuant les rotations. Son sexe glissa plus profondément en moi, lentement, il me sembla que cette pénétration n'en finissait pas, j'eus l'impression qu'il devait mesurer plus de trente centimètres.
Il fit des allers et retours faisant peser le poids de son corps sur son bras gauche, ce qui faisait pression sur ses trois doigts, il maintenait cela pendant trente secondes, puis recommençait à chaque pénétration de sa verge.
— Expire lentement et inspire profondément.
Il accéléra les allers et retours de sa bite tout en continuant les pressions sur mon ventre, d'un seul coup mon ventre s'embrassant, ma chatte devint brûlante, mon vagin se dilata et la lubrification fut à son apogée. Mes lèvres devinrent de couleur rouge foncé. Je hurlai de jouissance. Mon conduit vaginal se contracta plusieurs fois sur la bite qui me défonçait. Il éjacula au même moment, il me sembla que cela décuplait encore mon plaisir. A travers un brouillard érotique, je l'entendis baragouiner.
— Parfait, les contractions vaginales font effet de succions et cela permet au sperme d’atteindre plus aisément l’ovule. Alors cela t'a plu ? Es-tu prête à recommencer ? Tu sais au plus on pratique, au plus on devient accroc !
Je le regardai en souriant, il était vraiment laid, mais il venait de me transporter au septième ciel comme par magie.
Il était très grand et très mince, bien qu'il eut des vêtements apparemment coûteux, il avait l'air d'y flotter dedans. Ses longs bras, émergeant de sa veste, mettaient en relief ses grandes mains noueuses, aux longs doigts effilés.
J'avais entendu dire, mais était ce la vérité ? Qu'il arrivait à faire jouir, une patiente, en la piquant avec les aiguilles. J'aurais bien voulu essayer, mais je n'osais pas le demander ! J'avais lu qu'effectivement, on avait découvert des points anatomiques, qui déclenchaient des réactions physiologiques puissantes et qui allument le cerveau érotique.
— Déshabillez-vous, mademoiselle.
Nous étions à la fin de l'hiver, je m'étais habillée, pour essayer d'attirer son attention. Je quittais ma veste puis mon chemisier, les bonnets de mon soutien-gorge noir affleuraient mes mamelons, un téton surgit au dessus de la dentelle. Je défis la fermeture de ma robe, elle tomba au sol, dévoilant mes jambes affinées par des bas retenus par un porte-jarretelles noir, un string arachnéen cachait mon sexe. Je ne l'avais pas quitté du regard, ses yeux s'allumaient au fur et à mesure de mon effeuillage.
— Étendez-vous sur la table ! Me dit-il avec un large sourire.
J'eus droit à une séance basique d'acupuncture, avec peut-être quelques attouchements un peu plus appuyés, mais rien de ce que j'attendais. La consultation terminée, je me rhabillai.
— Si cela ne vous fait rien, ne pourrions nous pas avance la prochaine séance à après-demain ? Cela m'arrangerait, me dit-il, en me regardant les yeux brillants.
— Pas de problème !
Répondis-je tandis que mon cœur faisait un bond dans ma poitrine, avais-je tiré le pompon ? Mon désir allait prendre forme ? Les ouï-dire entendus faisaient état d'orgasmes super puissants, j'étais partante pour ce genre de sensations.
Le surlendemain, je me présentais à son cabinet vêtue d'une veste sous laquelle je ne portais qu'un soutien-gorge noir demi-bonnet, qui laissait libre les deux tiers de mes seins. Une jupe collante sous laquelle on devinait les attaches de mon porte-jarretelles noir lui aussi. J'avais hésité, mais j'avais mis un string plus que transparent et m'étais rasée consciencieusement la chatte.
La salle d'attente était déserte, le dernier client sortit, il me fit entrer dans son cabinet. Il m'examina des pieds, son visage s'éclaira lorsqu'il vit les bosses faites par les fermoirs de mon porte-jarretelles.
— Bonjour, Mademoiselle Trixie, vous êtes toujours aussi rayonnante ! Aujourd'hui, me permettez-vous de vous déshabiller, je vous offre une séance spéciale !
— Euuhhhhh oui, répondis-je.
— Parfait, je pense que vous aimerez !
Il s'avança vers moi, défit un a un les boutons de veste en écarta les pans.
— Oooooohhhhh, magnifiques vos seins ressemblent à deux poires d'or, offertes dans un écrin.
Lentement, il ôta ma veste.
— Permettez que je quitte votre jupe, pour dévoiler vos jambes magnifiques !
Il baissa la fermeture et le vêtement chu sur la moquette. Mon cœur battait la chamade dans ma poitrine, j'allais connaître le nirvana, enfin, je l’espérais.
— Je n'en reviens toujours pas, vous êtes merveilleuse ainsi vêtue ! Votre lingerie est très érotique ! Nous allons la garder pendant l'opération. Allongez-vous sur la table, je vous prie.
Ce que je fis.
— Il faut que je quitte votre string, dit-il en le faisant rouler le long de mes cuisses. Oooooohhhh, mais vous êtes rasée ! J'adore, vous voulez m'ensorceler ! C'est bien détendez-vous ! Je vais enfoncer les aiguilles, mais ailleurs que d'habitude ! Vous verrez, c'est très agréable ? Mais je crois que vais aussi ôter votre soutien-gorge, vos seins s’épanouiront davantage.
Il passa ses mains dans mon dos, et dégrafa mes demis-bonnets, je frémis d'extase lorsqu'il fit passer les bretelles sur mes bras. Ses doigts voletèrent sur mon anatomie, raidie à l’horizontale sur la table d’auscultation. L’asiatique commença alors à poser ses aiguilles sur mon corps. Ce furent d'abord les chevilles puis les poignets. Je sentis un léger picotement à l’intrusion des aiguilles, mais on ne peut pas parler de douleur. Dans un petit regard pétillant et un petit sourire en coin, il me dit :
— Maintenant, place à votre cadeau séance spéciale !
Il enfonça alors des petits pics autour de mes seins et de mon sexe. Le vieil homme planta enfin ses dernières aiguilles : chevilles, poignets, pourtour du sexe et des seins. En souriant, il plongea son œil malicieux dans le mien.
— Votre pupille s’agrandit déjà. Ça va démarrer dans trois minutes ! Je vais te laisser seule un instant. Tu sais, j'en ai fait jouir plus d'une ! Murmura-t-il.
Il fila à petit pas, dos voûté secoué d’un rire léger. Transformée en pelote d’épingles, je fixai, incrédule et crispée, le plafond laqué. Ma peau commença a me picoter. J’attendis dans le silence. Les picotements s’intensifièrent, la chaleur monta. Mon ventre s’alourdit, se contracta. Presque une douleur. Au début, j’essayai de me détendre et je paniquai un peu à la vision de mon corps ainsi percé ! Puis, je tentai de bouger, en vain ! Je n’arrivai qu’à faire remuer mes yeux, le reste de mon corps est comme endormi. Tout d’un coup, des picotements émanant de mes pieds remontèrent le long de mon corps. Ils passèrent par l’extérieur de mes jambes, mes hanches et arrivèrent à ma poitrine. L’effet s’atténua pour être remplacé par une chaleur douce et agréable. Mes seins se gonflèrent de plaisir devinrent chauds bouillants et cette flambée redescendit dans mon sexe. Mon clitoris se dressa, sortant de son capuchon et mon vagin se gonfla et je chauffai de l’intérieur ; mes grandes lèvres et enfin mes petites s’ouvrirent comme si on me faisait un cunnilingus d’enfer. Là, ne comprenant pas ce phénomène nouveau, je tentai de résister à nouveau, mais l’excitation est trop forte, je me laissai aller, et un orgasme me traversa le corps. J'avais les membres engourdis, mais je pouvais les bouger lentement, je voulus crier mon extase, mais aucun son ne sortit.
Ce fut à ce moment que la porte s'ouvrit, le vieil acupuncteur entra. Il était nu, il me parut encore plus émacié. Son sexe pas très épais, mais vraiment long pendait entre ses cuisses décharnées. Il s'approcha. Et m'examina, un large sourire illumina son visage.
— Tu viens de jouir, mais ce n'est pas fini, je vais t'enlever les aiguilles et tu vas retrouver tes sensations corporelles.
Il commença à ôter les petites piques d'argent, il enleva en dernier celles qui étaient fichées dans mes aréoles et autour de mon vagin. Mais avant, il les faisaient tourner, ce qui me tirait des soupirs d'extase.
— C'est bon, ne trouves-tu pas ? Mais passons a autre chose ! Connais-tu le réflexe crémastérien ?
Ses mains passèrent sous les lanières de mon porte-jarretelles, puis il remonta lentement avec le bout du doigt le long de ma cuisse en direction de l'aine. Mes lèvres vaginales s'ouvrirent malgré moi, cela déclencha immédiatement ma libido, une envie terrible de sa bite m'envahit. Les parois de mon vagin se tendirent, ce dernier libéra de la mouille. J’eus la sensation de sentir le pouls de mon cœur se mettre à battre dans mon clitoris qui à nouveau gonfla, durcit et qui, par cette érection se détacha des lèvres de ma chatte. Mon vagin se dilata et la lubrification fut a son apogée, mes lèvres devinrent rouge et mon foutre coula sur la table.
— Voila qui est parfait jeune fille, sens-tu bien mes doigts ?
Il enfila son index et son majeur dans ma chatte trempée, fit doucement une dizaine d'allers et retours, puis avec son pouce, il se mit à me caresser le clitoris avec de petits ronds, parfois son ongle le titillait, me tirant des gémissements de plaisir.
Il enfila son index et son majeur dans ma chatte trempée, fit doucement une dizaine d'allers et retours, puis avec son pouce, il se mit à me caresser le clitoris avec de petits ronds, parfois son ongle le titillait, me tirant des gémissements de plaisir. Sa main gauche, me triturait les seins, pinçant et tirant mes tétons, il accéléra la cadence, des pénétration de sa main. Mon corps se tendit en arc de cercle, j’étais vaincue par le plaisir, je me laissais porter par un flot de volupté. Je ne voulais pas que cela cesse.
— Je vais masser ton Qì Hǎi comme on dit en chinois, cela peut se traduire par mer de l’énergie ou Océan d’énergie, il se situe à environ 3 centimètres sous le nombril. Avance tes fesses jusqu'au bord de la table.
Il s'installa entre mes cuisses. Il bandait, sa bite se frotta sur ma chatte, il réunit son pouce, son index et son majeur et les plaça sur le point Qì Hǎi, il commença à effectuer des mouvements de rotation dans le sens des aiguilles d'une montre.
De sa main gauche, il dirigea sa bite vers ma vulve palpitante, le gland entra. Sa main droite exerçait une pression continue sur le point Qì Hǎi, il appuyait, mais sans forcer, continuant les rotations. Son sexe glissa plus profondément en moi, lentement, il me sembla que cette pénétration n'en finissait pas, j'eus l'impression qu'il devait mesurer plus de trente centimètres.
Il fit des allers et retours faisant peser le poids de son corps sur son bras gauche, ce qui faisait pression sur ses trois doigts, il maintenait cela pendant trente secondes, puis recommençait à chaque pénétration de sa verge.
— Expire lentement et inspire profondément.
Il accéléra les allers et retours de sa bite tout en continuant les pressions sur mon ventre, d'un seul coup mon ventre s'embrassant, ma chatte devint brûlante, mon vagin se dilata et la lubrification fut à son apogée. Mes lèvres devinrent de couleur rouge foncé. Je hurlai de jouissance. Mon conduit vaginal se contracta plusieurs fois sur la bite qui me défonçait. Il éjacula au même moment, il me sembla que cela décuplait encore mon plaisir. A travers un brouillard érotique, je l'entendis baragouiner.
— Parfait, les contractions vaginales font effet de succions et cela permet au sperme d’atteindre plus aisément l’ovule. Alors cela t'a plu ? Es-tu prête à recommencer ? Tu sais au plus on pratique, au plus on devient accroc !
Je le regardai en souriant, il était vraiment laid, mais il venait de me transporter au septième ciel comme par magie.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Trixie
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...