Trixie chapitre 30 - Le boulot d'un jardinier !
Récit érotique écrit par Trixie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-10-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Trixie chapitre 30 - Le boulot d'un jardinier !
Un matin de printemps, en arrivant dans le living-room pour faire un peu de ménage, j'aperçus à travers la cloison de verre qui donnait sur la terrasse, un homme accroupi en train de s'occuper des parterres de fleurs qui entouraient la piscine.
J'avais la tenue exigée par Alfred, celle que je devais porter à l'intérieur de la maison. Cela se réduisait, si l'on peut dire au strict minimum. Une nuisette noire complètement arachnéenne, qui s'arrêtait au ras du pubis, laissant distinguer en dessous mon sexe soigneusement épilé qu'aucun voile ne cachait. Un porte-jarretelle de dentelle noire, retenait des bas noirs gainant mes longues et fines jambes. Deux rubans fermaient les fentes de la nuisette par lesquelles mes mamelons enserrés par les deux petits nœuds coulant de mon collier de seins ne demandaient qu'à s'échapper. Avec la légère compression exercée, ils étaient toujours en érection, ce dont raffolaient Alfred et surtout Victor, le majordome qui m'avait offert ce bijou. Un déshabillé vaporeux plus que transparent, qui n'avait pas fermeture, baillant largement sur le devant, complétait comme le disait Alfred la panoplie de la parfaite secrétaire.
L'homme était de profil, il n'avait pas encore remarqué ma présence. Il devait être très grand, très musclé, une barbe noire, abondante lui mangeait le bas du visage, ses cheveux étaient assez longs. Il était vêtu d'un jean's et d'une chemise. Je ne savais pas quoi faire. J'allais voir Alfred dans son bureau, il était assis à sa table de travail, Victor à côté de lui en train de lui servir un café.
« Alfred, dehors il y a un jardinier... Je sais bien que c'est le moment de s'occuper des plantations... Mais ne crois-tu pas que je devrais changer de tenue... Car beaucoup de pièces, donnent sur la piscine et le jardin et ce monsieur peut mater dans toute la maison... et il...
- Ben oui Trixie, tu viens de le dire, c'est la saison des plantations... de l'ensemencement... Alors... ce monsieur est là pour ça, me répondit-il avec un grand sourire. Approche... Nous allons arranger ta tenue... Car c'est vrai, elle n'est pas correcte... Victor voulez-vous ôter le déshabillé à Mademoiselle ! Reste surtout bien comme tu es... Approche ! »
Le déshabillé quitté, il dénoua les petits rubans des ouvertures, écarta largement les pans de tissu, pour bien dégager les deux globes de mes seins. Il joua avec les deux gouttes d'hématite qui pendaient sous les tétons, il aspira et mordilla les deux pointes brunes qui réagirent aussitôt. Cela me tira un gémissement... Et bien, j'avais compris le message, Alfred était un grand voyeur. Il adorait me voir entrain de me faire baiser par Victor, et si c'était un noir, de surcroit, il était aux anges, il me prenait ensuite avec un entrain décuplé. Le critère d'embauche de Victor, le vieux majordome, avait été la longueur et la grosseur de sa queue. Et le domestique ne désirait qu'une chose, c'était me sauter le plus souvent possible. Alfred tirait parti de la situation, c'est pour cela qu'il me demandait de me promener ainsi vêtu, aguicher Victor, mater nos ébats et souvent y participer ! Il avait compris que lorsque une ou plusieurs personnes me regardaient en train de me faire baiser, cela m'excitait au maximum.
« Voilà parfait... Dit-il, tu peux y aller... Attends...! Victor, regardez si Mademoiselle Trixie est excitée par ce que nous lui proposons... »
Le Majordome insinua son majeur dans ma chatte...
« Oui Monsieur, elle commence à mouiller... Dois-je augmenter la lubrification ? Il avait déjà ajouté son index...ne demandant qu'a me tripoter.
- Non, c'est très bien ainsi... »
Je retournais donc dans le living-room, descendis les trois marches, me dirigeant vers la table basse qui se trouvait à environ 1 mètre de la baie vitrée, pour faire un peu de rangement.
L'homme était maintenant face à la porte vitrée, il dut sentir ma présence, car il leva la tête et regarda dans ma direction. Il eut l'air tétanisé par mon apparition, son plantoir resta figé à 20 cm du sol. Je le regardais, comme si j'étais étonnée de le voir là. La pièce était inondée de soleil, il devait apercevoir chaque détail de mon anatomie, pour qu'il puise en profiter, les ordres étant ce qu'ils étaient, je m'étirais en levant les bras langoureusement. La nuisette remonta lentement assez haut sur mes hanches presque jusqu'à mon nombril, découvrant mon mont de venus bien épilé, ne comportant qu'un mince triangle de poils bruns ras, mis en valeur par la mince ceinture de tissu noir en dentelle. Aguicher les hommes m'excitait au possible, je sentais ma chatte s'humidifier.
Comme s'il n'existait pas, je vaquais à mes occupations, je sentais son regard collé sur mon corps. Je lui tournais le dos et me penchais pour débarrasser les revues et documents qui trainaient sur la petite table. Les lanières de mon porte-jarretelle bien tendues tranchaient sur la peau blanche de mes fesses. J'écartais un peu les jambes pour dévoiler la fente de mon sexe. Je lui fis face à nouveau, pour se donner de la contenance, il faisait semblant de rempoter, au ras de la porte une plante, mais ses yeux ne me quittaient pas. Arrangeant mon collier de seins, resserrant les nœuds sur mes mamelons, je me dirigeais lentement sur mes hauts talons, vers la baie vitrée. Faisant semblant de m'intéresser à son travail, je plaquais mes seins contre le verre. Le contact froid fit durcir encore un peu plus mes tétons, la chair de poule granula mes aréoles.
Je tournais ensuite les talons, allais arranger les cousins sur le canapé, tout en jetant un coup d'œil par-dessus mon épaule... Le poisson avait l'air ferré, il frétillait... Alfred qui épiait surement devait être satisfait, Victor lui aussi ne devait rien manquer du manège.
En me dirigeant vers la cuisine, j'entendis la porte-fenêtre s'ouvrir... Des pas étouffés, une respiration saccadée. Je passais derrière la banque qui séparait le coin repas de la kitchenette, pris une éponge et nettoyait la surface carrelée.
Il entra, sans un mot passa derrière moi, ses mains se posèrent sur mes hanches, caressèrent le devant de mon porte-jarretelle et remontèrent doucement sous la nuisette pour me saisir les seins qu'il malaxa délicatement. Ses pouces et ses index s'emparèrent de mes mamelons qu'il se mit à faire rouler, mon buste se tendit vers l'avant. Sa bouche se posa dans mon cou et il se mit à me donner de petits coups de langue.
« C'est rare de voir une nana avec un tel bijou pour mettre en valeur ses nichons, c'est vachement excitant Salope ! Tu fais toujours le ménage habillée ainsi ? C'est les deux vieux qui doivent être contents ! Ils te baisent ?
- ....
- Alors tu réponds ! Je sûr que oui ! Putain ce que ton porte-jarretelle te met en valeur, et que tes tétons sont longs et raides. »
Son bas-ventre se pressait contre la peau nue de mon postérieur, il bandait dur. Sa bite, qu'il frottait dans la raie de mes fesses, devait être de la longueur et de la grosseur de celle de Victor, c'était à croire qu'Alfred m'embauchait que des mecs avec des sexes conséquents, je me demandais s'il avait exigé qu'il lui la montre ! En pensant à mon patron, j'entendis la porte du fond de la cuisine s'ouvrir... Il ne devait rien perdre de ce qui se passait. Jetant un regard à la fenêtre, je vis Victor qui me fit un clin d'œil.
Une des mains du jardinier était passée sous mon porte-jarretelle et descendue sur mon sexe, il avait entré son majeur dans ma chatte, il était trop accaparé pour remarquer que nous étions épiés. Je me décalais un peu pour que mes vieux voyeurs puissent profiter au maximum du spectacle. Il me fit pencher en avant, relever la jambe gauche, lui faisant pendre appui sur le plan de travail.
Cette position me dégageait entièrement la chatte. Il se mit à genoux, ses pouces écartèrent mes petites lèvres pour bien ouvrir ma chatte, ses attouchements commençaient vraiment à me faire mouiller abondamment. La pointe de sa langue, s'insinua dans mon orifice vaginal, mais pas profondément, puis elle remonta doucement le long du méat urinaire, pour titiller mon clitoris qu'il avait décapuchonné avec son index. Cette lente caresse me fit gémir de plaisir et me donna la chair de poule. Sa langue s'enroulait autour de mon petit bouton rose, je sentais qu'il gonflait et durcissait. Il me semblait que des traits de feu s'en irradiaient et montaient dans mon ventre. Je lui appuyais sur l'arrière de la tête pour l'empêcher de cesser ce merveilleux frôlement buccal. Je sentais sa barbe frotter doucement mon raphé du périnée. Cela me provoquait de légères contractions anales qui n'étaient pas désagréables du tout.
Il dut s'en apercevoir, car son index, se positionna à l'entrée de mon anus, puis il l'enfonça avec délicatesse et effectua de lents va et vient, tandis que sa bouche s'occupait toujours de mon vagin.
Ses lèvres aspiraient mon clito, parfois je sentais ses dents l'enserrer avec une infinie délicatesse.
Puis sa langue pénétrer l'orifice béant et humide de foutre, qu'elle fouillait avec ardeur.
« Putain, c'est délicieux ce que tu me fais gouter... »
Je me caressais les seins, tirais sur mes tétons, gémissais de plus en plus fort... Je regardais la fenêtre, Victor qui était montait sur une brouette était en train de branler son énorme bite... Je le regardais langoureusement, je savais que Victor était jaloux lorsqu'un homme me baisait. Et j'aimais bien attiser cette jalousie. Alfred devait en faire autant, la masturbation devait battre son plein.
L'horticulteur me fit mettre à plat ventre sur le plan de travail, les seins aplatis sur le froid du carrelage. Il se mit debout devant moi, je lui caressais la verge à travers le pantalon. Ma langue léchait l'étoffe rugueuse du jean's, ma bouche mordait le dur rouleau, tandis qu'il avait planté son majeur dans mon anus et titillait le petit orifice rond. Il déboucla sa ceinture, je descendis le zip de sa fermeture éclair, ma main plongea dans la braguette. J'extirpai non sans mal sa queue, elle était en tout point semblable à celle de Victor, mais vu la jeunesse de son propriétaire, elle me semblait plus ferme et un peu plus grosseJe tirai le prépuce en arrière et enfournais son gland dans ma bouche tout en masturbant la longue hampe. La tête d'Alfred dépassait de la porte, regardant amoureusement mon vieux patron, ma langue titilla le méat urinaire, fit plusieurs fois le tour du gland mauve, puis j'avalais doucement le gros rouleau tendu. Il glissait de plus en plus profondément dans ma gorge. J'écartais au maximum les jambes pour que Victor puisse bien voir ma chatte trempée, une petite flaque de foutre était en train de se former sur les carreaux. J'espérai qu'il la remarque.
Le jardinier me fit mettre sur le dos, les fesses au bord de la table de travail. J'ouvrais largement les cuisses. Il glissa ses mains sous les lanières de mon porte-jarretelle, son gland comme la tête d'un missile téléguidé trouva l'ouverture de mon orifice vaginal. La pénétration fut grandement facilitée par le liquide séminal poisseux qui s'en écoulait. Il commença à me besogner à grands coups de reins, enfonçant sa queue jusqu'à ce que ses poils frottent mon pubis.
« Tiens, dit-il, il y a le vieux domestique qui nous mate par la fenêtre, je crois qu'il se branle, le salaud, il a une sacré queue, le vieux !! Il te la met souvent, non ? C'est pour ça que je n'ai pas forcé pour te pénétrer... Petite salope... Tu aimes te faire baiser par les croulants ?
- Ouuui... Oui, surtout par Victor, sa queue est comme la tienne énorme... »
Cela décupla son ardeur, je sentais ses couilles venir buter plus rapidement mes fesses.
« Attends, lui dis-je, on va prendre une autre position... »
Je voulais qu'Alfred puisse en aussi profiter... Je me remis dans la première position, dos à la porte ou se trouvait le maître de maison, une jambe relevée sur la table. Cela du donner des idées au barbu, écartant d'une main mes globes fessiers, je le sentis positionner son gland à l'entrée de mon cul, il frotta son gland durci sur mon petit trou granuleux. Il cracha dans sa main se badigeonna la bite de salive, et commença à enfoncer son phallus lentement, mais sans s'arrêter, il m'avait empoigné les hanches à hauteur du porte-jarretelle. Je gémissais de plaisir, envoyant les fesses en arrière pour mieux faire pénétrer son gros pénis entre mes parois anales que je contractais pour mieux profiter de la pénétration.
« Tu es une vraie petite salope, toi. Tu as l'air d'aimer ça... La sodomie à l'air de te plaire au vu de ce que tu me fais... Et puis, ce vieux qui nous regarde, ça m'excite... Putain, c'est vrai, pour son âge, il a une bite aussi grosse que la mienne... Il t'encule lui aussi... pas vrai...»
Je levais les yeux, effectivement, Victor regardait toujours à la fenêtre en se branlant. Avec force de gestes, le majordome me fit comprendre que nous devrions continuer nos ébats dans le living-room, à côté la cheminée dans laquelle ronronnait un feu. Les deux vieux pourraient ainsi mieux profiter du spectacle par la grande baie vitrée.
Je fis part à mon compagnon de mon désir de finir notre partie de jambes en l'air, près de la cheminée. Il n'y vit aucun inconvénient. Arrivé à destination, je positionnais la chauffeuse basse en face de la grande porte fenêtre coulissante. J'avais maintenu son érection en le caressant tout le long du chemin, tandis qu'il m'embrassait goulument. Il se déshabilla en un tour de main, il avait un corps d'athlète, des pectoraux saillants, ses abdominaux ressemblaient à une tablette de chocolat.
Je le fis coucher sur le siège bas, je l'enjambais au moment ou Alfred et Victor se plantaient devant la vitre coulissante qu'ils avaient ouverte, leurs sexes étaient tendus au maximum, ils les caressaient doucement, les calottant et décalottant, je leur faisais face. Je leur souriais et pliais les jambes descendais sur la monstrueuse bite turgescente que le jardinier tenait d'une main ferme, elle pénétra dans mon anus, jusqu'à la garde, pour que les deux vieux comprennent bien qu'il me sodomisait, j'écartais ma chatte des deux mains. J'enfilais mon index et mon majeur et ajustait mes va-et-vient aux pénétrations, puis j'y adjoins l'annulaire, l'auriculaire et mon pouce ne tardèrent pas à les rejoindre...
« Ma bite ne te suffit pas, salope... »
Il me soulevait par les hanches et me laissait retomber de tout mon poids sur sa virilité tendue comme un arc. Je poussais des râles d'extase, des hoquets de plaisir, lorsque j'étais empalée jusqu'au tréfonds, des frissons me parcouraient... Je bougeais mon bassin d'avant en arrière...
« Oui, Victor dit Alfred, vous avez entendu ! Mademoiselle Trixie à l'air d'avoir besoin que l'on s'occupe de sa chatte, vu la grosseur que votre queue vient d'atteindre, je pense qu'elle devrait apprécier...
- Bien Monsieur, répondit le majordome... Un sourire satisfait sur les lèvres »
Ils entrèrent tous les deux dans la pièce. Victor quittait son pantalon, je souris en voyant ses jambes grêles, qui contrastaient avec les cuisses bronzées du jardinier. Sa queue par contre soutenait la comparaison.
« Pardon, si monsieur veut bien me permettre de me joindre aux ébats et si mademoiselle veut bien s'étendre sur le ventre de Monsieur... Dit Victor en me poussant doucement aux épaules. »
Il s'installa entre mes cuisses, ses genoux serrant mes hanches. Le jardinier avait cessé ses mouvements pour lui laisser le temps de bien pénétrer ma chatte. Je sentis son gros gland écarter mes lèvres, puis le diamètre conséquent s'enfoncer lentement dans ma féminité brulante, gagnant avec application centimètre par centimètre, le gros phallus dans mon anus gênait un tant soit peu la progression du sexe de Victor.
« Mademoiselle est super dit-il, ma queue est entrée entièrement, dit-il avec une grosse pointe de jalousie »
Les hanches du vieil homme commencèrent à onduler, d'abord doucement, pour permettre à son partenaire d'ajuster ses pénétrations anales aux siennes. Une fois le rythme acquit les deux énormes pistons accélèrent la cadence. On aurait dit qu'ils se faisaient concurrence, c'était à celui me tirerait le plus de soupirs, de gémissements. Je me tordais de plaisir sur la poitrine du jardinier. Je voyais le regard lubrique d'Alfred parcourir mes pointes de seins durcies gorgées de sang, puis regarder avec admiration les deux énormes bites s'enfoncer entièrement dans mes orifices et me tirer des cris de plaisir. Victor avait décapuchonné mon clitoris et augmentait mon plaisir en frottant amoureusement mon petit bouton rose avec son pouce. Les mains rugueuses du jardinier malaxaient mes seins, pinçant les mamelons, jouant avec les deux perles d'hématite, y tirant dessus, à chaque tiraillement une légère douleur irradiait le globe durci, j'adorai cette sensation. Mes cris de plaisir en étaient la preuve... Je m'étais complètement abandonnée, la tête rejetée en arrière, le jardinier me mordillait le lobe de l'oreille.
« Tu es vraiment une sale garce...murmura-t-il ! Tu aimes te faire baiser et en plus par des vieux... Ces deux vieux débris te baisent souvent ensemble ? Tu aimes ma bite dans ton cul ?
- Ouuuiiiii, ouiiiiiii défonce moi, continue je vais jouuuuiiir.... »
Victor me tenait fermement aux hanches, la cadence de ses pénétrations s'accélérait, il ne devait pas être loin d'atteindre la jouissance... Ses halètements devenaient plus rapides, le jardinier me plaqua avec force sur lui, enserrant mes seins, il se crispa et dans un spasme libéra sa semence tiède dans mon trou intime. Ses mains descendaient sur mon ventre, remontaient sur mes seins pour les caresser tandis qu'il vidait son sperme dans mes entrailles.
Victor à son tour éjacula écartant mes genoux au maximum pour pouvoir enfoncer son énorme bite tendue au plus profond de ma chatte, il s'écroula sur moi, malaxant à son tour mes seins, suçant et tétant à tour de rôle mes tétons endoloris avec frénésie...
« Salope...Salope...Dis le que tu aimes ma queue...et mon sperme...éructa Victor comme dans un sanglot »
Ces deux éjaculations presque simultanées eurent raison de moi, mes jambes se raidirent, les muscles de mes cuisses de mon bas-ventre se contractèrent, mes sphincters et mes parois vaginales se refermèrent avec force sur les énormes bites qui me pourfendaient, mon corps se tendit en arc de cercle tandis qu'un cri d'extase jaillit de mes poumons...
Il fut vite étouffé par la queue d'Alfred qui força mes lèvres, je n'eus que le temps d'avaler son gland avant que je ne sente son sperme tiède couler dans ma bouche.
« Tiens, tiens petite salope... Avale... Avale tout... Je t'adore...!! »
Une fois la furia sexuelle éteinte, Alfred emmena le jardinier dans son bureau pour lui régler ses émoluments. Je me retrouvais seule avec Victor.
« Salope, salope... Tu as pris ton pied avec le grand barbu...
- Oui, dis je en riant, tu es jaloux Victor... Sa queue était presque plus grosse que la tienne, plus dure, c'est sûr... Alors comme ça, tu es jaloux...
- .....
- Mais c'est Alfred qui voulait...
- Je m'en fous... Ça m'agace... Demain, Monsieur doit partir... Je me vengerai... Salope...Tu as préféré sa queue à la mienne, je l'ai bien senti...
A suivre...
J'avais la tenue exigée par Alfred, celle que je devais porter à l'intérieur de la maison. Cela se réduisait, si l'on peut dire au strict minimum. Une nuisette noire complètement arachnéenne, qui s'arrêtait au ras du pubis, laissant distinguer en dessous mon sexe soigneusement épilé qu'aucun voile ne cachait. Un porte-jarretelle de dentelle noire, retenait des bas noirs gainant mes longues et fines jambes. Deux rubans fermaient les fentes de la nuisette par lesquelles mes mamelons enserrés par les deux petits nœuds coulant de mon collier de seins ne demandaient qu'à s'échapper. Avec la légère compression exercée, ils étaient toujours en érection, ce dont raffolaient Alfred et surtout Victor, le majordome qui m'avait offert ce bijou. Un déshabillé vaporeux plus que transparent, qui n'avait pas fermeture, baillant largement sur le devant, complétait comme le disait Alfred la panoplie de la parfaite secrétaire.
L'homme était de profil, il n'avait pas encore remarqué ma présence. Il devait être très grand, très musclé, une barbe noire, abondante lui mangeait le bas du visage, ses cheveux étaient assez longs. Il était vêtu d'un jean's et d'une chemise. Je ne savais pas quoi faire. J'allais voir Alfred dans son bureau, il était assis à sa table de travail, Victor à côté de lui en train de lui servir un café.
« Alfred, dehors il y a un jardinier... Je sais bien que c'est le moment de s'occuper des plantations... Mais ne crois-tu pas que je devrais changer de tenue... Car beaucoup de pièces, donnent sur la piscine et le jardin et ce monsieur peut mater dans toute la maison... et il...
- Ben oui Trixie, tu viens de le dire, c'est la saison des plantations... de l'ensemencement... Alors... ce monsieur est là pour ça, me répondit-il avec un grand sourire. Approche... Nous allons arranger ta tenue... Car c'est vrai, elle n'est pas correcte... Victor voulez-vous ôter le déshabillé à Mademoiselle ! Reste surtout bien comme tu es... Approche ! »
Le déshabillé quitté, il dénoua les petits rubans des ouvertures, écarta largement les pans de tissu, pour bien dégager les deux globes de mes seins. Il joua avec les deux gouttes d'hématite qui pendaient sous les tétons, il aspira et mordilla les deux pointes brunes qui réagirent aussitôt. Cela me tira un gémissement... Et bien, j'avais compris le message, Alfred était un grand voyeur. Il adorait me voir entrain de me faire baiser par Victor, et si c'était un noir, de surcroit, il était aux anges, il me prenait ensuite avec un entrain décuplé. Le critère d'embauche de Victor, le vieux majordome, avait été la longueur et la grosseur de sa queue. Et le domestique ne désirait qu'une chose, c'était me sauter le plus souvent possible. Alfred tirait parti de la situation, c'est pour cela qu'il me demandait de me promener ainsi vêtu, aguicher Victor, mater nos ébats et souvent y participer ! Il avait compris que lorsque une ou plusieurs personnes me regardaient en train de me faire baiser, cela m'excitait au maximum.
« Voilà parfait... Dit-il, tu peux y aller... Attends...! Victor, regardez si Mademoiselle Trixie est excitée par ce que nous lui proposons... »
Le Majordome insinua son majeur dans ma chatte...
« Oui Monsieur, elle commence à mouiller... Dois-je augmenter la lubrification ? Il avait déjà ajouté son index...ne demandant qu'a me tripoter.
- Non, c'est très bien ainsi... »
Je retournais donc dans le living-room, descendis les trois marches, me dirigeant vers la table basse qui se trouvait à environ 1 mètre de la baie vitrée, pour faire un peu de rangement.
L'homme était maintenant face à la porte vitrée, il dut sentir ma présence, car il leva la tête et regarda dans ma direction. Il eut l'air tétanisé par mon apparition, son plantoir resta figé à 20 cm du sol. Je le regardais, comme si j'étais étonnée de le voir là. La pièce était inondée de soleil, il devait apercevoir chaque détail de mon anatomie, pour qu'il puise en profiter, les ordres étant ce qu'ils étaient, je m'étirais en levant les bras langoureusement. La nuisette remonta lentement assez haut sur mes hanches presque jusqu'à mon nombril, découvrant mon mont de venus bien épilé, ne comportant qu'un mince triangle de poils bruns ras, mis en valeur par la mince ceinture de tissu noir en dentelle. Aguicher les hommes m'excitait au possible, je sentais ma chatte s'humidifier.
Comme s'il n'existait pas, je vaquais à mes occupations, je sentais son regard collé sur mon corps. Je lui tournais le dos et me penchais pour débarrasser les revues et documents qui trainaient sur la petite table. Les lanières de mon porte-jarretelle bien tendues tranchaient sur la peau blanche de mes fesses. J'écartais un peu les jambes pour dévoiler la fente de mon sexe. Je lui fis face à nouveau, pour se donner de la contenance, il faisait semblant de rempoter, au ras de la porte une plante, mais ses yeux ne me quittaient pas. Arrangeant mon collier de seins, resserrant les nœuds sur mes mamelons, je me dirigeais lentement sur mes hauts talons, vers la baie vitrée. Faisant semblant de m'intéresser à son travail, je plaquais mes seins contre le verre. Le contact froid fit durcir encore un peu plus mes tétons, la chair de poule granula mes aréoles.
Je tournais ensuite les talons, allais arranger les cousins sur le canapé, tout en jetant un coup d'œil par-dessus mon épaule... Le poisson avait l'air ferré, il frétillait... Alfred qui épiait surement devait être satisfait, Victor lui aussi ne devait rien manquer du manège.
En me dirigeant vers la cuisine, j'entendis la porte-fenêtre s'ouvrir... Des pas étouffés, une respiration saccadée. Je passais derrière la banque qui séparait le coin repas de la kitchenette, pris une éponge et nettoyait la surface carrelée.
Il entra, sans un mot passa derrière moi, ses mains se posèrent sur mes hanches, caressèrent le devant de mon porte-jarretelle et remontèrent doucement sous la nuisette pour me saisir les seins qu'il malaxa délicatement. Ses pouces et ses index s'emparèrent de mes mamelons qu'il se mit à faire rouler, mon buste se tendit vers l'avant. Sa bouche se posa dans mon cou et il se mit à me donner de petits coups de langue.
« C'est rare de voir une nana avec un tel bijou pour mettre en valeur ses nichons, c'est vachement excitant Salope ! Tu fais toujours le ménage habillée ainsi ? C'est les deux vieux qui doivent être contents ! Ils te baisent ?
- ....
- Alors tu réponds ! Je sûr que oui ! Putain ce que ton porte-jarretelle te met en valeur, et que tes tétons sont longs et raides. »
Son bas-ventre se pressait contre la peau nue de mon postérieur, il bandait dur. Sa bite, qu'il frottait dans la raie de mes fesses, devait être de la longueur et de la grosseur de celle de Victor, c'était à croire qu'Alfred m'embauchait que des mecs avec des sexes conséquents, je me demandais s'il avait exigé qu'il lui la montre ! En pensant à mon patron, j'entendis la porte du fond de la cuisine s'ouvrir... Il ne devait rien perdre de ce qui se passait. Jetant un regard à la fenêtre, je vis Victor qui me fit un clin d'œil.
Une des mains du jardinier était passée sous mon porte-jarretelle et descendue sur mon sexe, il avait entré son majeur dans ma chatte, il était trop accaparé pour remarquer que nous étions épiés. Je me décalais un peu pour que mes vieux voyeurs puissent profiter au maximum du spectacle. Il me fit pencher en avant, relever la jambe gauche, lui faisant pendre appui sur le plan de travail.
Cette position me dégageait entièrement la chatte. Il se mit à genoux, ses pouces écartèrent mes petites lèvres pour bien ouvrir ma chatte, ses attouchements commençaient vraiment à me faire mouiller abondamment. La pointe de sa langue, s'insinua dans mon orifice vaginal, mais pas profondément, puis elle remonta doucement le long du méat urinaire, pour titiller mon clitoris qu'il avait décapuchonné avec son index. Cette lente caresse me fit gémir de plaisir et me donna la chair de poule. Sa langue s'enroulait autour de mon petit bouton rose, je sentais qu'il gonflait et durcissait. Il me semblait que des traits de feu s'en irradiaient et montaient dans mon ventre. Je lui appuyais sur l'arrière de la tête pour l'empêcher de cesser ce merveilleux frôlement buccal. Je sentais sa barbe frotter doucement mon raphé du périnée. Cela me provoquait de légères contractions anales qui n'étaient pas désagréables du tout.
Il dut s'en apercevoir, car son index, se positionna à l'entrée de mon anus, puis il l'enfonça avec délicatesse et effectua de lents va et vient, tandis que sa bouche s'occupait toujours de mon vagin.
Ses lèvres aspiraient mon clito, parfois je sentais ses dents l'enserrer avec une infinie délicatesse.
Puis sa langue pénétrer l'orifice béant et humide de foutre, qu'elle fouillait avec ardeur.
« Putain, c'est délicieux ce que tu me fais gouter... »
Je me caressais les seins, tirais sur mes tétons, gémissais de plus en plus fort... Je regardais la fenêtre, Victor qui était montait sur une brouette était en train de branler son énorme bite... Je le regardais langoureusement, je savais que Victor était jaloux lorsqu'un homme me baisait. Et j'aimais bien attiser cette jalousie. Alfred devait en faire autant, la masturbation devait battre son plein.
L'horticulteur me fit mettre à plat ventre sur le plan de travail, les seins aplatis sur le froid du carrelage. Il se mit debout devant moi, je lui caressais la verge à travers le pantalon. Ma langue léchait l'étoffe rugueuse du jean's, ma bouche mordait le dur rouleau, tandis qu'il avait planté son majeur dans mon anus et titillait le petit orifice rond. Il déboucla sa ceinture, je descendis le zip de sa fermeture éclair, ma main plongea dans la braguette. J'extirpai non sans mal sa queue, elle était en tout point semblable à celle de Victor, mais vu la jeunesse de son propriétaire, elle me semblait plus ferme et un peu plus grosseJe tirai le prépuce en arrière et enfournais son gland dans ma bouche tout en masturbant la longue hampe. La tête d'Alfred dépassait de la porte, regardant amoureusement mon vieux patron, ma langue titilla le méat urinaire, fit plusieurs fois le tour du gland mauve, puis j'avalais doucement le gros rouleau tendu. Il glissait de plus en plus profondément dans ma gorge. J'écartais au maximum les jambes pour que Victor puisse bien voir ma chatte trempée, une petite flaque de foutre était en train de se former sur les carreaux. J'espérai qu'il la remarque.
Le jardinier me fit mettre sur le dos, les fesses au bord de la table de travail. J'ouvrais largement les cuisses. Il glissa ses mains sous les lanières de mon porte-jarretelle, son gland comme la tête d'un missile téléguidé trouva l'ouverture de mon orifice vaginal. La pénétration fut grandement facilitée par le liquide séminal poisseux qui s'en écoulait. Il commença à me besogner à grands coups de reins, enfonçant sa queue jusqu'à ce que ses poils frottent mon pubis.
« Tiens, dit-il, il y a le vieux domestique qui nous mate par la fenêtre, je crois qu'il se branle, le salaud, il a une sacré queue, le vieux !! Il te la met souvent, non ? C'est pour ça que je n'ai pas forcé pour te pénétrer... Petite salope... Tu aimes te faire baiser par les croulants ?
- Ouuui... Oui, surtout par Victor, sa queue est comme la tienne énorme... »
Cela décupla son ardeur, je sentais ses couilles venir buter plus rapidement mes fesses.
« Attends, lui dis-je, on va prendre une autre position... »
Je voulais qu'Alfred puisse en aussi profiter... Je me remis dans la première position, dos à la porte ou se trouvait le maître de maison, une jambe relevée sur la table. Cela du donner des idées au barbu, écartant d'une main mes globes fessiers, je le sentis positionner son gland à l'entrée de mon cul, il frotta son gland durci sur mon petit trou granuleux. Il cracha dans sa main se badigeonna la bite de salive, et commença à enfoncer son phallus lentement, mais sans s'arrêter, il m'avait empoigné les hanches à hauteur du porte-jarretelle. Je gémissais de plaisir, envoyant les fesses en arrière pour mieux faire pénétrer son gros pénis entre mes parois anales que je contractais pour mieux profiter de la pénétration.
« Tu es une vraie petite salope, toi. Tu as l'air d'aimer ça... La sodomie à l'air de te plaire au vu de ce que tu me fais... Et puis, ce vieux qui nous regarde, ça m'excite... Putain, c'est vrai, pour son âge, il a une bite aussi grosse que la mienne... Il t'encule lui aussi... pas vrai...»
Je levais les yeux, effectivement, Victor regardait toujours à la fenêtre en se branlant. Avec force de gestes, le majordome me fit comprendre que nous devrions continuer nos ébats dans le living-room, à côté la cheminée dans laquelle ronronnait un feu. Les deux vieux pourraient ainsi mieux profiter du spectacle par la grande baie vitrée.
Je fis part à mon compagnon de mon désir de finir notre partie de jambes en l'air, près de la cheminée. Il n'y vit aucun inconvénient. Arrivé à destination, je positionnais la chauffeuse basse en face de la grande porte fenêtre coulissante. J'avais maintenu son érection en le caressant tout le long du chemin, tandis qu'il m'embrassait goulument. Il se déshabilla en un tour de main, il avait un corps d'athlète, des pectoraux saillants, ses abdominaux ressemblaient à une tablette de chocolat.
Je le fis coucher sur le siège bas, je l'enjambais au moment ou Alfred et Victor se plantaient devant la vitre coulissante qu'ils avaient ouverte, leurs sexes étaient tendus au maximum, ils les caressaient doucement, les calottant et décalottant, je leur faisais face. Je leur souriais et pliais les jambes descendais sur la monstrueuse bite turgescente que le jardinier tenait d'une main ferme, elle pénétra dans mon anus, jusqu'à la garde, pour que les deux vieux comprennent bien qu'il me sodomisait, j'écartais ma chatte des deux mains. J'enfilais mon index et mon majeur et ajustait mes va-et-vient aux pénétrations, puis j'y adjoins l'annulaire, l'auriculaire et mon pouce ne tardèrent pas à les rejoindre...
« Ma bite ne te suffit pas, salope... »
Il me soulevait par les hanches et me laissait retomber de tout mon poids sur sa virilité tendue comme un arc. Je poussais des râles d'extase, des hoquets de plaisir, lorsque j'étais empalée jusqu'au tréfonds, des frissons me parcouraient... Je bougeais mon bassin d'avant en arrière...
« Oui, Victor dit Alfred, vous avez entendu ! Mademoiselle Trixie à l'air d'avoir besoin que l'on s'occupe de sa chatte, vu la grosseur que votre queue vient d'atteindre, je pense qu'elle devrait apprécier...
- Bien Monsieur, répondit le majordome... Un sourire satisfait sur les lèvres »
Ils entrèrent tous les deux dans la pièce. Victor quittait son pantalon, je souris en voyant ses jambes grêles, qui contrastaient avec les cuisses bronzées du jardinier. Sa queue par contre soutenait la comparaison.
« Pardon, si monsieur veut bien me permettre de me joindre aux ébats et si mademoiselle veut bien s'étendre sur le ventre de Monsieur... Dit Victor en me poussant doucement aux épaules. »
Il s'installa entre mes cuisses, ses genoux serrant mes hanches. Le jardinier avait cessé ses mouvements pour lui laisser le temps de bien pénétrer ma chatte. Je sentis son gros gland écarter mes lèvres, puis le diamètre conséquent s'enfoncer lentement dans ma féminité brulante, gagnant avec application centimètre par centimètre, le gros phallus dans mon anus gênait un tant soit peu la progression du sexe de Victor.
« Mademoiselle est super dit-il, ma queue est entrée entièrement, dit-il avec une grosse pointe de jalousie »
Les hanches du vieil homme commencèrent à onduler, d'abord doucement, pour permettre à son partenaire d'ajuster ses pénétrations anales aux siennes. Une fois le rythme acquit les deux énormes pistons accélèrent la cadence. On aurait dit qu'ils se faisaient concurrence, c'était à celui me tirerait le plus de soupirs, de gémissements. Je me tordais de plaisir sur la poitrine du jardinier. Je voyais le regard lubrique d'Alfred parcourir mes pointes de seins durcies gorgées de sang, puis regarder avec admiration les deux énormes bites s'enfoncer entièrement dans mes orifices et me tirer des cris de plaisir. Victor avait décapuchonné mon clitoris et augmentait mon plaisir en frottant amoureusement mon petit bouton rose avec son pouce. Les mains rugueuses du jardinier malaxaient mes seins, pinçant les mamelons, jouant avec les deux perles d'hématite, y tirant dessus, à chaque tiraillement une légère douleur irradiait le globe durci, j'adorai cette sensation. Mes cris de plaisir en étaient la preuve... Je m'étais complètement abandonnée, la tête rejetée en arrière, le jardinier me mordillait le lobe de l'oreille.
« Tu es vraiment une sale garce...murmura-t-il ! Tu aimes te faire baiser et en plus par des vieux... Ces deux vieux débris te baisent souvent ensemble ? Tu aimes ma bite dans ton cul ?
- Ouuuiiiii, ouiiiiiii défonce moi, continue je vais jouuuuiiir.... »
Victor me tenait fermement aux hanches, la cadence de ses pénétrations s'accélérait, il ne devait pas être loin d'atteindre la jouissance... Ses halètements devenaient plus rapides, le jardinier me plaqua avec force sur lui, enserrant mes seins, il se crispa et dans un spasme libéra sa semence tiède dans mon trou intime. Ses mains descendaient sur mon ventre, remontaient sur mes seins pour les caresser tandis qu'il vidait son sperme dans mes entrailles.
Victor à son tour éjacula écartant mes genoux au maximum pour pouvoir enfoncer son énorme bite tendue au plus profond de ma chatte, il s'écroula sur moi, malaxant à son tour mes seins, suçant et tétant à tour de rôle mes tétons endoloris avec frénésie...
« Salope...Salope...Dis le que tu aimes ma queue...et mon sperme...éructa Victor comme dans un sanglot »
Ces deux éjaculations presque simultanées eurent raison de moi, mes jambes se raidirent, les muscles de mes cuisses de mon bas-ventre se contractèrent, mes sphincters et mes parois vaginales se refermèrent avec force sur les énormes bites qui me pourfendaient, mon corps se tendit en arc de cercle tandis qu'un cri d'extase jaillit de mes poumons...
Il fut vite étouffé par la queue d'Alfred qui força mes lèvres, je n'eus que le temps d'avaler son gland avant que je ne sente son sperme tiède couler dans ma bouche.
« Tiens, tiens petite salope... Avale... Avale tout... Je t'adore...!! »
Une fois la furia sexuelle éteinte, Alfred emmena le jardinier dans son bureau pour lui régler ses émoluments. Je me retrouvais seule avec Victor.
« Salope, salope... Tu as pris ton pied avec le grand barbu...
- Oui, dis je en riant, tu es jaloux Victor... Sa queue était presque plus grosse que la tienne, plus dure, c'est sûr... Alors comme ça, tu es jaloux...
- .....
- Mais c'est Alfred qui voulait...
- Je m'en fous... Ça m'agace... Demain, Monsieur doit partir... Je me vengerai... Salope...Tu as préféré sa queue à la mienne, je l'ai bien senti...
A suivre...
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