troie folles d'amour lesbien - histoire érotique

J’ai encore mes cuisses presque mortes: j’ai trop fait l’amour avec les jambes en l’air, très hautes liées au plafond. Il me la mise plusieurs fois, m’a faite jouir je ne sais combien de fois quand c’est sa femme qui est venue le remplacer. D’abord elle a exigé que je la lèche. J’aime bien lécher les filles, je trouve que la cyprine est meilleure que le sperme. Elle s’était mise en 69 pour que je puisse atteindre sa chatte, puis après une première jouissance avec moi (elle ne s’étais pas privée de se faire mettre devant et derrière.) Enfin elle me lèche les endroits sensibles, particulièrement mon bouton et en mettant un doigt dans mon cul. Lui vient derrière elle pour la sodomiser. Elle trouve agréable de se faire mettre dans le cul en me suçant et en étant sucée.
Quand je suis rentrée chez moi, au petit matin, J’ai pris une douche que je voulais rapide. De mon point de vue, elle était courte, même si elle était finalement longue.
Ma douche et moi: voilà une mélange détonnant. Je fais chauffer l’eau avant de me glisser sous le jet. Je le laisse couler sur ma tête un bon moment, j’aime sentir l’eau sur mes seins qui je caresse longuement en insistant sur les mamelons et les aréoles que j’ai très sensibles. Ce n’est qu’un peu plus tard quand mon sexe demande une jouissance que je passe le jet sur le clitoris. Je mets le jet assez loin, juste pour être plus réceptive. J’aime faire durer ce moment le plus possible. Quand je n’en peu plus j’approche le jet presque contre ma vulve en ouvrant les lèvres pour atteindre mon bouton: à cet instant je jouis comme une folle.
Donc j’ai été baisée presque toute la nit, je viens de me faire partir avec ma douche. Je me couche nue, comme toujours. Je me réveille vers 14 heures. J’ai une envie de jouir encore: je me retiens, j’ai rendez vous avec mon amie Dany, ma seule véritable amie, celle avec qui nous passons des moment inoubliables. Je m’habille d’un robe ouverte sur ma cuisse gauche. Je la connais elle aimera. Quand j’arrive chez elle, se porte est ouverte: elle m’a entendu.
- Viens dans la salle de bain; je ne suis pas seule: nous essayons le jaccuzi. Je me demande avec qui elle essaie son acquisition. Je me précipite pour la voir dans un premier temps, nue dans une grande vasque pleine d’eau bouillonnante. À coté de Dany, je reconnais notre amie commune, Jacqueline, dite Line. Toutes les deux sont têtes en arrière comme si elle jouissaient.
- Viens avec nous, nous nous amusons bien, nous le ferions mieux à trois.
- Vous baisez ?
- Bien sur, Line me branle et dans cette eau bouillonnante c’est vachement agréable.
J’enlève ma petite robe, et les rejoins. Je me laisse aller. Mes pieds arrivent à ceux de mes deux amies. Je me met sur les genoux pour aller les embrasser l’une et l’autre. Comme touts les fois, nos baisers n’ont d’autre but que nous exciter, à la rigueur on pourrai les faire passer pour de l’amitié.( L’amour même entre filles n’est pas concevable pour des amatrices de femmes.) Drôle d’amitié que trois filles nues s’appétant à se donner du plaisir. Le hasard, sans doute des bulles sorte juste sous ma chatte. Je le leur dit, elle viennent toutes les deux pour me faire jouir. J’ai la langue de Dany dans ma bouche; les lèvres de Line qui suce mes aréoles. Je ne sais comment leur rendre l’orgasme qui suit grâce au doigts de Line. Elle m’a caresser le clito, avant de plonger dans ma vulve où sa main était prête pour me fister, ce que j‘aime beaucoup depuis la première fois.. Pendant que Line s’occupait de moi, Dany était sur le bord du jaccusi, les jambes ouvertes, nous appelant pout que nous puissions admirer et sa chatte et ses doigts plongés dans son vagin. Lassée par cette eau, nous allons nous mettre dans la chambre. Je me place entre les deux filles: je peux les masturber ensemble. Line répond rapidement par un orgasme bruyant
- Oui, branles moi, tu me fait du bien dans le ventre. Je voudrai une bite pour me finir.
- Voila je te met la main dans ton con de chienne. C’est Dany qui la caresse en même temps que moi, qui entre ma main petit à petit dans la vulve de Line qui du coup se sent apaisée d’avoir le sexe plein. Un hurlement retenti quand elle jouis. Nous nous occupons de Dadou qui, nous connaissant bien est sure de ne pas manquer de motifs de jouissance. Je l’embrasse longuement sur la bouche, nous jouons avec nos langues. Line, déjà comblée s’occupe des seins. Et quand Line s’occupe d’une poitrine c’est pour exciter et surtout faire jouir, sans même atteindre le sexe; Je ne sais comment elle fait, toujours est-il qu’elle y arrive: c’est plus long qu’une masturbation mais sur une femme très excitée, elle arrive à faire arriver lentement un orgasme différent. Quand elle m’a fait ça la première fois, je ne le croyais pas. Quand j’ai senti mon bas ventre jouir comme si elle m’avait masturbée je n’en revenais pas.
Nous nous levons pour faire un peu de cuisine, même micro-ondées il faut un certain temps/ Ce n’est pas perdu: je suis les fesses contre la table, elles sont en face de moi. Dany, ma préférée pose sa main sur ma chatte. Je le lui rend en lui caressant toujours au même endroit. J’aime la branler et surtout quand elle jouit! Sa tête toujours en arrière, elle ouvre la bouche comme pour trouver du souffle. Par contre pour une fois Line se touche seule aidée par un torchon qu’elle a entré dans sa moule: elle en a entré plus que la moitié, fait aller venir ce linge qui quand elle se le met à fond caresse et son cul et son clitoris. Elle nous demande d’essayer parce que c’est très, très bon.
Puisqu’elle le dit, nous essayons à notre tour. Je suis la première a avoir entré la presque totalité de torchon. Et quand je le fait coulisser dans ma vulve, je sens en effet que je me caresse à la fois le clitoris et le cul. Dadou essaye à son tour. Elle nous voit toutes les deux ainsi pénétré. Elle aussi jouit de cette nouvelle passion.
Nous « dinons », c’est-à-dire que toujours nues, nous grignotons à notre façon. Nous prenons une bouchée que nous partageons dans la bouche des deux autres. J’ai envie de me masturber; je le fait devant elles, entrainant par là une belle partie de 69.
Nous sommes certainement dévoyées: on s’en moque: nous aimons.