Trois gouines
Récit érotique écrit par Huguette34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-03-2011 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Trois gouines
Nous avons fait l’amour une bonne partie de la nuit. J’entre dans la chambre pour y trouver Odette endormie, à peine couverte par un drap que je soulève. Odette est nue, j’en ai des bouffées de chaleur. J’ai encore envie d’elle. J’enlève totalement de drap pour la voir en entier. J’embrasse ses mollets et monte jusqu’aux cuisses. Odette se réveille:
- Non, s’il te plait tu m’a tuée hier.
- Ne dis pas que ce que je te fais est désagréable.
- Non pas du tout. Rends toi compte que nous avons baisé plus que d’habitude.
- Ce n’est pas une raison: jouir est la meilleure des choses.
Je ne tiens pas compte de sa fatigue: jouir n’est pas fatigant. Pour moi c’est me mettre en pleine forme. Ma bouche monte jusqu’à son sexe: elle est vaincue: elle a ouvert ses jambes et laissé ma langue sur son bouton. Il était sec, il commence à être humide. J’attise son désir ma langue passe partout dans sa fente en lapant et suçant ses secrétions. Je sens l’odeur de la femme: c’est grisant.
Le vagin s’ouvre et s’humidifie à chaque coup de ma langue qui entre en elle. Elle se soulève un peu pour voir et s’effondre à nouveau sur la lit.
Odette me caresse tendrement les cheveux. Elle se tord en tous sens, gémit sans retenue. Je lape son vagin voracement. Odette n’y résiste pas: elle me tire les cheveux. Son ventre est dévoré par les spasmes de la délivrance. Elle pousse un cri avant de s’effondrer de plaisir.
Cette fois je ne crois plus que j’en tirerai quelque chose: je me mets aux pieds du lit, j’écarte les jambes pour y mettre mes deux mains. Je frôle le bourgeon en le touchant légèrement pendant que mon autre main va dans mon vagin. Ma vulve est béante et mouillée. Je pousse un petit cri de bien être. Mes deux mains font des vas et viens et soudain je jouis quand je me caressais le clitoris avec la paume de ma main.
Odette me dit que je suis dévoyée: c’est vrai. J’aime trop jouir.
Je lui ai proposé, il y a quelques jours, pour briser la routine et pimenter notre vie amoureuse de faire participer une autre personne à nos amours: à deux nous avons fait tout ce qui est sexuellement possible.
Elle devient d’accord après les hésitations normales dans un couple.
- D’accord, on peut toujours essayer; il faut trouver une femme qui nous plaise à toutes les deux.
- Qui sait ?
- Hier soir j’ai rencontré une femme délicieuse. Mais je crois qu’elle est marié et mère de deux enfants.
- Je ne pense pas qu’elle aime les femmes.
- Qui ne tente rie n’a rien.
L’après midi même je rencontre cette femme qui dès le premier coup d’œil me plait avec sa poitrine menue, sa taille. Je ne peux rien dire sur ses jambes recouvertes d’un jean. Il se trouve qu’elle écrit des romans à l’eau de rose, loin de ce que je recherche. J’arrive à lui parler, non pas de son œuvre mais d’elle: je la trouve jolie, agréable et sexy.
Elle rougit un peu des compliments. Le mot sexy la trouble venant d’une femme. Quand je lui dit que j’aime les femmes, alors elle comprend mieux. Elle m’avoue sa bisexualité. J’arrive à la faire venir chez moi pour le soir.
Odette est étonnée quand je le lui dit. Reste à savoir si elles se plairont. Si la nouvelle vient c’est de son plein gré, poussée par le désir de baiser une femme. Rien en dehors de montre qu’elle est mariée, sans alliance, ni bien sur qu’elle a deux enfants.
Quand elle a rive Odette est inquiète. En la voyant elle décide qu’elle lui plait aussi. Colette se présente comme si je ne la connaissais pas. Je vais vers elle et l’invite à danser: la chaîne musicale émet un slow des plus romantique. Nous ne nous connaissons pas assez et pourtant dès que nous dansons elle se serre contre moi. Je sens son corps venir tout contre le mien. Nous sommes joue contre joue, sa bouche vient vers la mienne. Elle prend ma main pour que nos doigts se croisent. Nos lèvres échangent un baiser encore chaste, jusqu’au moment où j’ai envie d’y mettre ma langue dans sa bouche. Elle ne résiste pas: nous dansons en nous embrassant. Je me sens toute excitée. Je cède ma place à Odette. A son tour de bénéficier de la bouche de Colette.
Quand elle s’arrête, nous commençons notre cession. C’est difficile d’entrainer une femme que l’on connait à peine à venir se donner. Nous passons un instant difficile. C’est Odette qui ose venir près de Colette pour l’embrasser encore et en profiter pour commencer à lui caresser les seins. Non seulement Colette accepte les caresses, mais elle les rend. Je vais m’assoir juste à coté de Colette, je lui caresse l’autre sein et l’embrasse encore. J’ai senti ses seins durcir, les tétons ressortant de son corsage J’ose poser ma main sur un genou: elle l’accepte aussitôt en écartant les jambes avant que je vienne vers sa vulve. Elle enlève également son chemisier et son soutien gorge Elle va sur Odette, passe ses jambes autour d‘elle. Son pubis cherche celui d’Odette. Elles ne se font pas encore l’amour, Colette indique simplement son désir du corps d’Odette et peut-être du mien.
Odette ne résiste pas longtemps à cet appel du sexe. Elle me fait enlever mes mains d’entre les cuisse de Colette pour prendre ma place. Je vois qu’elle l’a beaucoup montée: je vois les mouvements de vas et viens sur le bas ventre de notre nouvelle amie. Je participe à leur premiers plaisir en faisant tomber toute sa jupe et son string. Etre nue ne la dérange pas du tout. J’ai envie moi aussi de me déshabiller. Une fois nue, je vois que Odette a pris une sacré avance elle lui caresse à la fois la vulve et le clitoris. Je mouille comme une fontaine: je ne peux plus me retenir. Je m’assois à nouveau, écarte les jambes pour y mettre mes deux mains et recommencer à me faire du bien. Odette me vois faire, elle est trop prise pas Colette qui elle aussi a posé sa main sur son sexe. Elles se masturbent jusqu’à la délivrance. Je jouis en même temps qu’elles.
Comme pour s’excuser de m’avoir oubliée, Colette se met à genou devant moi, écarte bien mes cuisses pour y mettre sa tête. Je lui caresse les cheveux pendant qu’elle arrive sur mon sexe. Je ne sais pas du tout où elle veux me prendre. Odette passe derrière Colette pour la masturber encore.
Je reçois la langue à un endroit favori: mon anus. Elle me lèche le tour et me fait jouir comme j’aime. Ses doigts sont sur mes lèvres intimes à la recherche de mes secrets cachés. Elle en trouve une foule avec sa langue curieuse. Je mouille encore plus quand elle s’attaque à mon bouton. Je ne peux pas dire ce qu’elle y fait, en tout cas elle me fait jouir deux ou trois fois. La dernière fois c’est quand Odette la fait également jouir en la masturbant simplement.
Elle est peut être bisexuelle, en tout cas elle connait bien les façons les meilleurs pour jouir. Elle est une adepte des 69. Nous aussi. Faire ça à trois est difficile à faire, qu’elles jouissances inconnues nous arrivent ainsi.
Colette est dans une période d’abstinence sexuelle, ce n’est pas possible autrement. Elle est pire que moi. Elle veut maintenant nous « finir » avec cette délicieuse caresse obtenue quand nos clitoris sont tout proches. Nous sommes ainsi jambes écartées, assises ou couchées les clitoris presque se touchant.
Nous nous voyons souvent sans que nos sentiments avec Odette changent. Nous nous aimons tout simplement.
- Non, s’il te plait tu m’a tuée hier.
- Ne dis pas que ce que je te fais est désagréable.
- Non pas du tout. Rends toi compte que nous avons baisé plus que d’habitude.
- Ce n’est pas une raison: jouir est la meilleure des choses.
Je ne tiens pas compte de sa fatigue: jouir n’est pas fatigant. Pour moi c’est me mettre en pleine forme. Ma bouche monte jusqu’à son sexe: elle est vaincue: elle a ouvert ses jambes et laissé ma langue sur son bouton. Il était sec, il commence à être humide. J’attise son désir ma langue passe partout dans sa fente en lapant et suçant ses secrétions. Je sens l’odeur de la femme: c’est grisant.
Le vagin s’ouvre et s’humidifie à chaque coup de ma langue qui entre en elle. Elle se soulève un peu pour voir et s’effondre à nouveau sur la lit.
Odette me caresse tendrement les cheveux. Elle se tord en tous sens, gémit sans retenue. Je lape son vagin voracement. Odette n’y résiste pas: elle me tire les cheveux. Son ventre est dévoré par les spasmes de la délivrance. Elle pousse un cri avant de s’effondrer de plaisir.
Cette fois je ne crois plus que j’en tirerai quelque chose: je me mets aux pieds du lit, j’écarte les jambes pour y mettre mes deux mains. Je frôle le bourgeon en le touchant légèrement pendant que mon autre main va dans mon vagin. Ma vulve est béante et mouillée. Je pousse un petit cri de bien être. Mes deux mains font des vas et viens et soudain je jouis quand je me caressais le clitoris avec la paume de ma main.
Odette me dit que je suis dévoyée: c’est vrai. J’aime trop jouir.
Je lui ai proposé, il y a quelques jours, pour briser la routine et pimenter notre vie amoureuse de faire participer une autre personne à nos amours: à deux nous avons fait tout ce qui est sexuellement possible.
Elle devient d’accord après les hésitations normales dans un couple.
- D’accord, on peut toujours essayer; il faut trouver une femme qui nous plaise à toutes les deux.
- Qui sait ?
- Hier soir j’ai rencontré une femme délicieuse. Mais je crois qu’elle est marié et mère de deux enfants.
- Je ne pense pas qu’elle aime les femmes.
- Qui ne tente rie n’a rien.
L’après midi même je rencontre cette femme qui dès le premier coup d’œil me plait avec sa poitrine menue, sa taille. Je ne peux rien dire sur ses jambes recouvertes d’un jean. Il se trouve qu’elle écrit des romans à l’eau de rose, loin de ce que je recherche. J’arrive à lui parler, non pas de son œuvre mais d’elle: je la trouve jolie, agréable et sexy.
Elle rougit un peu des compliments. Le mot sexy la trouble venant d’une femme. Quand je lui dit que j’aime les femmes, alors elle comprend mieux. Elle m’avoue sa bisexualité. J’arrive à la faire venir chez moi pour le soir.
Odette est étonnée quand je le lui dit. Reste à savoir si elles se plairont. Si la nouvelle vient c’est de son plein gré, poussée par le désir de baiser une femme. Rien en dehors de montre qu’elle est mariée, sans alliance, ni bien sur qu’elle a deux enfants.
Quand elle a rive Odette est inquiète. En la voyant elle décide qu’elle lui plait aussi. Colette se présente comme si je ne la connaissais pas. Je vais vers elle et l’invite à danser: la chaîne musicale émet un slow des plus romantique. Nous ne nous connaissons pas assez et pourtant dès que nous dansons elle se serre contre moi. Je sens son corps venir tout contre le mien. Nous sommes joue contre joue, sa bouche vient vers la mienne. Elle prend ma main pour que nos doigts se croisent. Nos lèvres échangent un baiser encore chaste, jusqu’au moment où j’ai envie d’y mettre ma langue dans sa bouche. Elle ne résiste pas: nous dansons en nous embrassant. Je me sens toute excitée. Je cède ma place à Odette. A son tour de bénéficier de la bouche de Colette.
Quand elle s’arrête, nous commençons notre cession. C’est difficile d’entrainer une femme que l’on connait à peine à venir se donner. Nous passons un instant difficile. C’est Odette qui ose venir près de Colette pour l’embrasser encore et en profiter pour commencer à lui caresser les seins. Non seulement Colette accepte les caresses, mais elle les rend. Je vais m’assoir juste à coté de Colette, je lui caresse l’autre sein et l’embrasse encore. J’ai senti ses seins durcir, les tétons ressortant de son corsage J’ose poser ma main sur un genou: elle l’accepte aussitôt en écartant les jambes avant que je vienne vers sa vulve. Elle enlève également son chemisier et son soutien gorge Elle va sur Odette, passe ses jambes autour d‘elle. Son pubis cherche celui d’Odette. Elles ne se font pas encore l’amour, Colette indique simplement son désir du corps d’Odette et peut-être du mien.
Odette ne résiste pas longtemps à cet appel du sexe. Elle me fait enlever mes mains d’entre les cuisse de Colette pour prendre ma place. Je vois qu’elle l’a beaucoup montée: je vois les mouvements de vas et viens sur le bas ventre de notre nouvelle amie. Je participe à leur premiers plaisir en faisant tomber toute sa jupe et son string. Etre nue ne la dérange pas du tout. J’ai envie moi aussi de me déshabiller. Une fois nue, je vois que Odette a pris une sacré avance elle lui caresse à la fois la vulve et le clitoris. Je mouille comme une fontaine: je ne peux plus me retenir. Je m’assois à nouveau, écarte les jambes pour y mettre mes deux mains et recommencer à me faire du bien. Odette me vois faire, elle est trop prise pas Colette qui elle aussi a posé sa main sur son sexe. Elles se masturbent jusqu’à la délivrance. Je jouis en même temps qu’elles.
Comme pour s’excuser de m’avoir oubliée, Colette se met à genou devant moi, écarte bien mes cuisses pour y mettre sa tête. Je lui caresse les cheveux pendant qu’elle arrive sur mon sexe. Je ne sais pas du tout où elle veux me prendre. Odette passe derrière Colette pour la masturber encore.
Je reçois la langue à un endroit favori: mon anus. Elle me lèche le tour et me fait jouir comme j’aime. Ses doigts sont sur mes lèvres intimes à la recherche de mes secrets cachés. Elle en trouve une foule avec sa langue curieuse. Je mouille encore plus quand elle s’attaque à mon bouton. Je ne peux pas dire ce qu’elle y fait, en tout cas elle me fait jouir deux ou trois fois. La dernière fois c’est quand Odette la fait également jouir en la masturbant simplement.
Elle est peut être bisexuelle, en tout cas elle connait bien les façons les meilleurs pour jouir. Elle est une adepte des 69. Nous aussi. Faire ça à trois est difficile à faire, qu’elles jouissances inconnues nous arrivent ainsi.
Colette est dans une période d’abstinence sexuelle, ce n’est pas possible autrement. Elle est pire que moi. Elle veut maintenant nous « finir » avec cette délicieuse caresse obtenue quand nos clitoris sont tout proches. Nous sommes ainsi jambes écartées, assises ou couchées les clitoris presque se touchant.
Nous nous voyons souvent sans que nos sentiments avec Odette changent. Nous nous aimons tout simplement.
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