Trois histoires lesbiennes
Récit érotique écrit par Merluzzo666 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-04-2010 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Trois histoires lesbiennes
- C'est toi l'esclave !
Tu n'aimes pas ça ? Tu nous mates depuis des heures, regardant nos seins se frôler, nos doigts fouiller nos chattes humides, tu nous entends gémir, nous murmurer des mots tendres avant que ne pleuvent les insultes et les violents coups de reins, comme si nos clitoris voulaient être des queues. Maintenant tu dois participer, oublier ta virilité de macho pour te laisser menotter, bander les yeux, dénuder. Tu bandes ? Elle et moi échangeons un regard complice, le goût de l'une sur les lèvres de l'autre, nous t'attachons solidement et retournons nous lécher, lesbiennes cruelles peu soucieuses de ton plaisir de mâle. Tu bandes encore plus en nous entendant râler de plaisir, le bruit de succion que font nos vulves s'écrasant l'une contre l'autre t'excite, nos orgasmes se succèdent, et sans que tu le saches, alors que ton excitation diminue, nous nous approchons. Tu dois trouver le temps long, mais n'aie crainte amour, nos mains viennent caresser ton corps, ce soir tu as deux femmes affamées pour toi, mais seulement si tu es sage...
- Sucrerie
Le colis est arrivé, nous nous précipitons toutes deux pour l'ouvrir. Ma main effleure ta croupe, à peine dissimulée par une robe légère et très courte, tu me souries avant de déballer nos achats en ligne. String et soutiens-gorges en bonbons, pour une journée sucrée et sans pudeur. Nos regards sont fiévreux, chacune connaît par cœur le corps de l'autre, pour l'avoir exploré du bout de la langue, des yeux et des doigts, mais cette lingerie éphémère provoque le désir.
Nous nous déshabillons ensemble, riant lorsque nous nous empêtrons, tant nous sommes pressées. Nos sexes sont rasés, nos tétons pointent de désirs, nous enfilons les strings tout d'abord, ils ne cachent rien que nos fentes, mais s'enfoncent dans nos vulves, le sucre se mêlant à notre cyprine, le résultat est encore plus incroyable avec nos seins, lourds et volumineux, que les soutiens-gorges en bonbon ne peuvent contenir. Le tient casse le premier, des bonbons sont répandu sur le sol tandis que nous rions et que je m'approche pour lécher le sucre sur tes mamelons. Ce sera notre journée de dégustation de sucreries, aromatisées à l'amour.
- Chipie
Toute cette humidité, cette moiteur, le savon qui atténue mon odeur de femelle avide de toi, autre femelle avide de moi... Tu tardes à venir me rejoindre, l'invitation était pourtant clair, la serviette de bain qui glisse à mes pieds, le regard par dessus l'épaule, l'eau brûlante qui se met à couler... Qu'attends-tu donc ma fleur? Aimes-tu tellement tourmenter une femme qui n'est que désir pour toi? Oui tu es cela, tu es ainsi, cruelle chipie de mon cœur... Mais te voici, je me plaque à la porte vitrée pour te mettre en appétit, toi tu m'observes en silence, j'aime te sentir faussement inaccessible, j'aime me sentir affamée de toi. Tu veux une autre invitation? Oui, tu es la reine des chipies... Je me plaque contre le mur face à la porte vitrée, mes mains glissent le long de mon corps, pour s'emparer de mes gros seins pâles, je les soupèsent, ils sont énormes ainsi relevés, j'incline la tête et me lèche les tétons, tu aimes ta Francesca lorsqu'elle est vulgaire, je te vois te déshabiller derrière la paroi de verre légèrement opaque et embuée, je m'accroupis, pour te recevoir comme tu le mérites, je passerai ma vie à tes pieds, pour t'admirer et te lécher les pieds, cruelle maîtresse, cruelle chipie. Tu entres dans la cabine de douche, nue, parfaite, excitée aussi, la mouille luit entre tes cuisses, et je me mets à quatre pattes pour te montrer comme j'aime être amoureuse, chiennement amoureuse de ta perfection salée. Tes mains me saisissent les cheveux, tu guides mon visage vers ton mont de Vénus, ma langue remonte le long de ta fente juteuse, tes mains se font dominatrices, je dois lécher maintenant, te boire ou mourir noyée... Je vais lécher, exigeante chipie de mon cœur.
Tu n'aimes pas ça ? Tu nous mates depuis des heures, regardant nos seins se frôler, nos doigts fouiller nos chattes humides, tu nous entends gémir, nous murmurer des mots tendres avant que ne pleuvent les insultes et les violents coups de reins, comme si nos clitoris voulaient être des queues. Maintenant tu dois participer, oublier ta virilité de macho pour te laisser menotter, bander les yeux, dénuder. Tu bandes ? Elle et moi échangeons un regard complice, le goût de l'une sur les lèvres de l'autre, nous t'attachons solidement et retournons nous lécher, lesbiennes cruelles peu soucieuses de ton plaisir de mâle. Tu bandes encore plus en nous entendant râler de plaisir, le bruit de succion que font nos vulves s'écrasant l'une contre l'autre t'excite, nos orgasmes se succèdent, et sans que tu le saches, alors que ton excitation diminue, nous nous approchons. Tu dois trouver le temps long, mais n'aie crainte amour, nos mains viennent caresser ton corps, ce soir tu as deux femmes affamées pour toi, mais seulement si tu es sage...
- Sucrerie
Le colis est arrivé, nous nous précipitons toutes deux pour l'ouvrir. Ma main effleure ta croupe, à peine dissimulée par une robe légère et très courte, tu me souries avant de déballer nos achats en ligne. String et soutiens-gorges en bonbons, pour une journée sucrée et sans pudeur. Nos regards sont fiévreux, chacune connaît par cœur le corps de l'autre, pour l'avoir exploré du bout de la langue, des yeux et des doigts, mais cette lingerie éphémère provoque le désir.
Nous nous déshabillons ensemble, riant lorsque nous nous empêtrons, tant nous sommes pressées. Nos sexes sont rasés, nos tétons pointent de désirs, nous enfilons les strings tout d'abord, ils ne cachent rien que nos fentes, mais s'enfoncent dans nos vulves, le sucre se mêlant à notre cyprine, le résultat est encore plus incroyable avec nos seins, lourds et volumineux, que les soutiens-gorges en bonbon ne peuvent contenir. Le tient casse le premier, des bonbons sont répandu sur le sol tandis que nous rions et que je m'approche pour lécher le sucre sur tes mamelons. Ce sera notre journée de dégustation de sucreries, aromatisées à l'amour.
- Chipie
Toute cette humidité, cette moiteur, le savon qui atténue mon odeur de femelle avide de toi, autre femelle avide de moi... Tu tardes à venir me rejoindre, l'invitation était pourtant clair, la serviette de bain qui glisse à mes pieds, le regard par dessus l'épaule, l'eau brûlante qui se met à couler... Qu'attends-tu donc ma fleur? Aimes-tu tellement tourmenter une femme qui n'est que désir pour toi? Oui tu es cela, tu es ainsi, cruelle chipie de mon cœur... Mais te voici, je me plaque à la porte vitrée pour te mettre en appétit, toi tu m'observes en silence, j'aime te sentir faussement inaccessible, j'aime me sentir affamée de toi. Tu veux une autre invitation? Oui, tu es la reine des chipies... Je me plaque contre le mur face à la porte vitrée, mes mains glissent le long de mon corps, pour s'emparer de mes gros seins pâles, je les soupèsent, ils sont énormes ainsi relevés, j'incline la tête et me lèche les tétons, tu aimes ta Francesca lorsqu'elle est vulgaire, je te vois te déshabiller derrière la paroi de verre légèrement opaque et embuée, je m'accroupis, pour te recevoir comme tu le mérites, je passerai ma vie à tes pieds, pour t'admirer et te lécher les pieds, cruelle maîtresse, cruelle chipie. Tu entres dans la cabine de douche, nue, parfaite, excitée aussi, la mouille luit entre tes cuisses, et je me mets à quatre pattes pour te montrer comme j'aime être amoureuse, chiennement amoureuse de ta perfection salée. Tes mains me saisissent les cheveux, tu guides mon visage vers ton mont de Vénus, ma langue remonte le long de ta fente juteuse, tes mains se font dominatrices, je dois lécher maintenant, te boire ou mourir noyée... Je vais lécher, exigeante chipie de mon cœur.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Pas si vulgaire que ça, bien au contraire.Tout en retenue. L'art de
dire son désir, de provoquer celui de l'autre, sans étalage de paroles
crues, ce n'est pas si facile. C'est plutôt de l'érotisme raffiné, en douceur,très
agréable. N'ai pas lu les autres épisodes;redonnerais mon
appréciation à la fin de cette petite série. Pour l'instant,j'aime
beaucoup,très prometteur, probablement une montée en intensité. D
dire son désir, de provoquer celui de l'autre, sans étalage de paroles
crues, ce n'est pas si facile. C'est plutôt de l'érotisme raffiné, en douceur,très
agréable. N'ai pas lu les autres épisodes;redonnerais mon
appréciation à la fin de cette petite série. Pour l'instant,j'aime
beaucoup,très prometteur, probablement une montée en intensité. D
vulgaire