Troisième fantasme
Récit érotique écrit par Andrew24 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 3 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Andrew24 ont reçu un total de 52 030 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-09-2010 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 12 505 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Troisième fantasme
Salut les gars, me revoilà pret à vous raconter mes confessions les plus lubriques. Ce soir j'ai une petite idée qui m'est venue pendant que je relisais ma dernière histoire. Je ne vais pas vous parler de ce que j'avais dit la dernière fois, ça ne m'inspire pas trop pour le moment. A la place, j'ai envie d'explorer un fantasme que j'ai depuis bien longtemps : la soumission. S'il y a un truc à savoir sur moi c'est bien ça : autant je déteste le manque de respect dans la vie de tous les jours, autant concernant la baise c'est un truc qui me fait triquer à fond rien que d'y penser. Remarquez ça doit pas trop vous surprendre, ça se sentait un peu dans mes deux autres histoires. Les insultes, les fessées, raaaaah ça m'excite un max! Alors je vais me lancer là-dedans ce soir, et on verra bien où ça me mène...
Ca fait un petit moment que je n'ai plus revu Karl. Enfin, "revu" c'est pas le mot, puisqu'il passait son temps avec moi à m'enculer et que j'adoooooore être à quatre pattes, je ne le voyais pas tellement avant non plus... Mais bon, j'aurais dû m'en douter, un baiseur comme lui rencontré dans un sauna où tout le monde le connaissait, c'est pas le genre d'homme dont on peut attendre une relation très suivie. Ce qui devait arriver arriva, il s'est lassé de moi et de la monogamie surtout et est retourné semer son sperme aux quatre vents dans tous les lieux les plus glauques de Paris.
Je pourrais le suivre, probablement, et me faire baiser dans tous les coins de rue. C'est pas les hommes en rut qui manquent par ici après tout! Mais c'est pas de ça que j'ai envie en ce moment. Vous allez penser que c'est con, mais si la baise, les pipes crémeuses et les orgasmes quotidiens (ou plus) sont capitaux pour moi, bah je pense que j'essaierais bien d'avoir une vraie relation sur le long terme.
Bon ok, disons sur le moyen terme... Au moins quelques semaines quoi...
Bref, tout ça, ça ne se trouve pas dans les bars à baise de Paris ni dans les clubs de strip, alors j'ai décidé d'essayer les sites de petites annonces. J'en ai choisi un au hasard, j'ai lu tout ce qui était disponible... puis suis passé à un autre site. J'ai beau avoir la bave aux lèvres en voyant toutes ces photos de queues (c'est fou ce que les gens sont peu pudiques ^^), je cherche un truc bien précis. Au bout d'un bon moment à fouiller par-ci par-là, j'ai fini par décrocher la perle rare. Il s'appelle Francis, la 40aine (un peu vieux, mais bon...), cheveux poivre et sel déjà, une simple photo de son visage. Pas de photo de sa queue, ça me laisse penser qu'il cherche autre chose que de la simple enculade d'un soir. La photo est un peu floue, mais il a l'air pas trop mal, et surtout il inspire confiance. Son annonce parle d'une relation spéciale, il cherche (je cite) "un jeune homme motivé pour être MON passif". Bizarre, il insiste sur le "mon", écrit en majuscules. Bon, pourquoi pas, ça mérite un essai.
Je lui envoie un mail, avec une photo de moi (classique la photo, c'est pas le moment de passer pour un trou sur pattes...) et quelques mots à mon sujet. Il me répond dans la demi heure, me dit que je lui plait bien mais que le physique ne compte pas pour lui, seule compte ma motivation, et que si je suis décidé à en savoir plus sur sa proposition il me donne RDV chez lui ce samedi à 15h. J'accepte, c'est vrai que c'est un peu bizarre mais après tout il a l'air d'un type sympa sur photo et au pire quoi, il va me baiser? Comme si ça me gênait!
La fin de la semaine semble durer une éternité. J'attends avec de plus en plus de curiosité le moment décidé. Je tourne en rond dans mon appartement tout le samedi, me change 3 fois de tenue et finit par prendre ma voiture pour aller le rejoindre au lieu du RDV. Je me perds un peu en route, il faut dire que c'est une adresse un peu paumée en banlieue et que je ne conduis pas souvent. Merde je vais finir par arriver en retard! Pour la première bonne impression je repasserai! Je finis par arriver face à une petite maison dans un village du fin fond du 78, plutôt jolie, classique en fait. Je sonne à l'interphone, une voix me dit d'entrer et le portail s'ouvre automatiquement. Il se referme sur mon passage, je gare ma voiture et toque à la porte d'entrée.
Francis ouvre la porte. Je le regarde de bas en haut. Je dois avouer que je suis un peu déçu... Il est assez banal, visage quelconque, genre Mr Toutlemonde, il devait pas être trop laid dans sa jeunesse mais depuis les excès en tous genre ont fait de lui un homme un peu mou et un peu dodu. Je vois son ventre rondouillet qui dépasse de son pantalon! On est loin d'une star de porno américaine, mais ceci dit sa bonhommie et son physique quelconque le rende sympathique! Il voit ma réaction et esquisse un sourire, tout en prenant ma veste et il me pousse à passer au salon.
Dès que je m'avance, je l'entends derrière-moi fermer à clef la porte.
"Bon, maintenant on va pouvoir commencer ! Retire tes fringues, que je te vois !"
"QUoi ? Comme ça tout de..."
"SILENCE ! Ici c'est moi qui parle, toi tu ne réponds que quand je te le demande, tu me vouvoies et tu m'appelles "Mr Francis" et rien d'autre !"
"Et puis quoi enco..."
Sa main hurte violemment ma joue, fendant l'air et faisant un bruit sec. Il m'a giflé le salop ! Je suis un peu sonné et abasourdi par la surprise.
"Voilà le tarif quand on me désobéit ! J'ai dit à poil, et tout de suite !"
Je m'entends balbutier un petit oui timide. Il m'inflige une nouvelle claque sur le champ !
"Oui QUI ?"
"Oui, Mr Francis..."
Je m'éxécute et enlève mes vêtements un à un. Me voilà nu devant lui. Je tente de me cacher avec mes mains, qu'il repousse.
"Tu n'as rien à me cacher! Tourne-toi que je vois l'ensemble... Hmmm c'est pas mal, même mieux que le dernier passif que j'ai eu! Jolie cambrure, joli petit cul. Penche-toi en avant, oui voilà. Ton petit trou m'a bien l'air d'avoir déjà bien servi, t'as du t'en enfiler des kilomètres de bite petite salope, hein? HEIN?"
"Oui, Mr Francis..."
"C'est bien ce que je pensais. Bon, va prendre une douche dans la salle de bain là bas, et ne reviens pas me voir avant d'être impeccable! Je t'attend ici."
J'obéis. La peur me pousse un peu c'est vrai, mais je dois bien admettre que la situation ne me déplait pas totalement... Je me dépèche donc de me laver, j'insiste sur ma raie et n'hésite pas à me laver aussi à l'intérieur, on ne sait jamais, un peu de zèle lui plaira sans doute. Puis je me sèche en vitesse et repasse dans le salon.
Je le trouve là, affalé sur le canapé, en caleçon et en débardeur. Son ventre bedonnant dépasse de son T shirt, des auréoles de transpiration bien nettes sont visibles sous ses bras et son caleçon me semble être plus vieux que moi! En d'autres circonstances je ne l'aurais même pas regardé, mais là je dois avouer que son côté repoussant et un peu sale m'excite...
"Approche, et allume-moi la télé, c'est l'heure de mon émission!"
Dieu qu'il est beauf et abruti! Il m'a là, à poil et à sa merci et il veut regarder la télé! Je m'approche et appuie sur le bouton. Il me siffle, surpris je me retourne vers lui, et là il tapotte sur sa cuisse droite pour m'inviter à m'y assoir! Je m'approche, et m'assieds à califourchon sur sa cuisse grassouillette et poilue, tourné face vers lui. Sans me laisser le temps de m'installer plus que ça, il me met la main sur le paquet. Il me tripote en gardant le regard fixé sur son écran, comme certains jouent avec un stylo machinalement, comme un genre de tic qu'on fait sans y préter attention. Il me soupèse les bourses, fait rouler mes couilles entre ses doigts, me décalote et s'amuse avec mon gland, sans même un regard. J'ai l'impression d'être un simple objet pour lui, une bite montée sur pate, mise à sa disposition pour s'occuper les doigts! Plus aucune trace de considération ou de respect, il n'en a simplement rien à foutre de moi! Puis, il semble se lasser, et passe sa main dans mon dos. Il cherche machinalement mon petit trou, mais ma cambrure n'est pas assez marquée pour qu'il l'atteigne aussi facilement qu'il le souhaite. Il daigne détourner le regard vers moi et grogne, agacé. Je comprends le message, et tend mon petit cul. Il pousse alors sans aucun ménagement sur l'entrée. Je laisse échapper un petit cri, mon fion n'est pas assez lubrifié. Ca n'avance pas assez facilement pour lui, alors il sort son doigt et me le fourre dans la bouche!
"Mouille moi ça!"
Je retient un mouvement de dégoût. Ce doigt que je lubrifie de ma langue, il était dans mon cul un instant auparavant! Ok je me suis lavé comme il faut, menfin bon, il était pas censé le savoir! Je suis répugné par la sensation, mais inutile de recracher, maintenant que c'est en bouche autant bien le mouiller pour ne plus avoir à le refaire...
"C'est bien... J'aurais pu utiliser du lubrifiant, mais admets que ça aurait été nettement moins drôle!"
L'enfoiré ricane de son rire gras et vulgaire. Puis, il m'enfonce son gros doigt boudinné dans le cul, et commence à me caresser le fondement. Son membre inquisiteur me fouille l'intimité comme s'il espérait y trouver de l'or en barre! Il entame des mouvements circulaires, et moi j'entame mon décollage... Je me vautre sur mon homme alors qu'il me doigte grassement. Je pose mon visage sur son épaule et passe mes bras autour de son cou, comme pour garder une attache avec la réalité. Sous ses caresses, je commence à perdre pied. Sa deuxième main rejoint la première, et tout en continuant à me faire du bien, il m'inflige une claque bien fouettante sur la fesse!
"Tient, c'est une avance sur ta prochaine désobéissance! Et tient encore une, pour être arrivé en retard!"
Je pousse des petits cris, mais c'est plus pour la forme que par nécessité. Qui je veux tromper? La fessée c'est mon truc, je le sais bien! Je me cambre encore plus et m'expose de mon plein gré à toutes les frappes que mon nouveau maître voudra bien m'infliger.
"Ah, je savais bien que tu aimerais ça! Inutile de nier, je sens ta queue qui durcit de plus en plus contre mon ventre. Si c'est ce que tu veux, je vais t'en donner!"
Il continue alors son merveilleux sévice. Les fessées pleuvent sur mon cul en feu, sa main large et épaisse me frappe de plein fouet de tous les côtés, et moi je laisse échapper des râles de satisfaction dans l'oreille de mon maître. Je suis dans un autre monde, tout mon être semble s'effacer et il ne reste plus pour moi que mon cul qu'une main étrangère et conquérante pénètre de plus en plus et mes fesses qui subissent les assauts répétés et désirés d'un déluge de gifles. La douleur est divine, et le plaisir d'égale intensité. Je l'implore de me fesser de plus en plus fort, de plus en plus vite, toujours au même endroit, là où la peau est déjà bien rougie. Il conscend à m'éxaucer, non sans accentuer la pénétration que ses doigts m'imposent. Il semble avoir de l'entrainement le salop, je jurerais qu'il y a bien plus de 10 doigts qui me travaillent!
Puis, sans prévenir, les fessées cessent.
"Tu as eu ton compte, maintenant place aux choses sérieuses!"
Il me repousse, me faisant tomber sur le sol. Il me toise du regard et d'une main abaisse son caleçon pour libérer une petite bite noyée dans une touffe de poils.
L'ordre est on ne peut plus clair. Je m'approche à quatre pattes et prend le sexe de mon maître à pleine bouche, en le regardant droit dans les yeux. Il sourit d'un air vicieux, montrant ses dents jaunies. Je comprends trop tard pourquoi : sa bite a comme un arrière goût d'urine! Ce salop me fait nettoyer sa queue souillée de pisse avec ma propre bouche!
"Et ben, pas de réaction ma petite chienne? Elle te plait pas ma surprise? J'ai pensé qu'avec le défilé de bite que tu as dû sucer avant la mienne, tu aimerais que je brise la monotonie..."
Je ne lui fais la satisfaction de répondre. Je me sens à présent encore pire qu'une pute à deux sous, j'avale une bite sale sans rechigner, et cette situation m'excite à mort! Moi qui suit si propre sur moi dans la vie quotidienne, me retrouver souillé de cette façon me plait au plus haut point! C'est comme si tous mes vices et mes perversions me revenaient en pleine face! Je me sens comme une chienne affamée de bite, et surtout je sens que mon maître me voit tel que je suis au plus profond de moi. Pas de faux semblant avec lui, juste moi et mes réels désirs que je peux ENFIN exposer au grand jour.
Je fait sauter les derniers cadenas de mon esprit et me laisse aller totalement. Sa bite a durcit sous mes caresses bucales, elle a à présent une taille bien plus imposante que je ne l'avais cru au premier regard! J'ai beau essayer, impossible pour moi de l'avaler en entier! Je me promets d'y travailler jusqu'à y parvenir totalement. Je bave comme un chien qui a la rage, et je vais de bas en haut en caressant le gland avec l'intérieur de mes joues. Mon maître laisse tomber sa tête en arrière et commence à gêmir sa satisfaction. Je ralentis le rythme, et m'attarde sur son gland rougeatre et gonlé. Je le pétrit de ma langue, savoure les gouttes de semence que le méat laisse déjà échapper.
"Raaaaah c'est bon ma salope, tête-moi la queue maintenant! Goûte mon jus, tu vas l'aimer!"
Il n'aura pas à me le redire! Je suce et j'aspire en même temps en enserrant ce gros gland entre mes lèvres humides. Ma langue titille le frein et je déguste le petit goût salé en recherchant encore les traces de l'urine qui me manquerait presque à présent...
"Voilà le meilleur usage que tu peux faire de ta bouche! C'est ça qu'il te faut, hein? Une bonne bite et ta dose de sperme, comme la chienne que tu es! Rah ce que c'est boooon, je sens que toi et moi on va bien s'entendre! Maintenant lève-toi et viens t'empaller sur ma queue!"
"Tout ce que vous voulez, Maître!!!"
Je me redresse et enjambe mon homme. Je dépose un genoux de chaque côté de son bassin sur le vieux canapé. Je remarque qu'il est plein de tâches suspectes, est-ce que mon maître l'a souvent souillé en baisant? J'imagine le défilé de passifs avant moi qui ont sali les coussins de leurs sécressions anales, et l'idée m'excite... J'attrape d'une main le manche qui est gonflé à bloc et le guide vers l'entrée de mon anus. Puis, je pèse de tout mon poids sur cette hampe en laissant échapper un cri de plaisir alors qu'elle s'insère sans difficulté aucune.
"Aaaaah oui, comme dans du beurre! Allez, c'est parti pour la chevauchée fantastique maintenant! Fait ton taf, ma petite suceuse!"
Je pose une main sur chaque épaule de mon maître, me lèche les lèvres en le fixant droit dans les yeux et commence mes mouvements d'aller-retour. Je me déhanche à chaque passage, me cambrant à la descente pour accentuer la pénétration. Qu'elle est bonne cette queue! Mon cul fait un merveilleux bruit de sucion tant je mouille abondamment. Je contrôle l'angle et la puissance de la pénétration, et je suis bien décidé à montrer à mon maître tout ce que je sais faire! J'altèrne les rythmes et les amplitudes, je passe d'un long mouvement chaloupé à des petits coups rapides et saccadés avec délice et bonheur. Mon maître m'inflige à nouveau ses insultes et je le contemple, cet homme presque laid qui fait de moi son jouet sexuel par simple envie de lubricité! Je savoure son regard concupiscent qui dégouline sur mon corps comme le plus érotique des sirops sucrés. De temps en temps il me claque les fesses, je n'y prète même plus attention. La douleur n'est rien à côté de l'extase que mon cul fait irradier dans tout mon organisme. J'aimerais m'empaler sur ce merveilleux manche encore pendant des heures!
Soudain, mon maître saisit mes fesses à pleines mains et me soulève pour me repousser en arrière. Je tombe à la renverse sur le sol et manque de heurter la table basse. Il bondit de son canapé, pose un pied sur mon torse pour me maintenir au sol et éjacule en poussant un râle digne d'un ours. Il contemple son "oeuvre", et se régale de me voir là, étendu sur le sol, souillé de son sperme, à sa merci, le regard flou tant la jouissance m'a dévasté. Je porte quelques gouttes de sa semence à ma bouche, et les lèche avec envie.
Propulsé dans un autre monde de plaisir et de vice où le sperme est mon seul besoin et ma seule envie, je ne réalise même pas qu'un autre homme vient d'entrer dans la pièce.
"C'est le nouveaut jouet? Il a l'air prometteur!"
"Oui pour le moment il me plait bien, je pense que tu vas l'aimer aussi!"
"On va voir ça."
Mon maître rit en s'éloignant, tandis que l'inconnu s'agenouille et enfourne sa queue entre mes lèvres sans défenses, qui entament une nouvelle fellation d'instinct, à le recherche de ma nouvelle dose ...
VOilà, fin de mon nouveau chapitre. Celui-ci a été un peu spécial à écrire, je voulais bien faire ressortir le vice de mon personnage... J'ai bien aimé vous raconter tout ça, la tâche sur mon boxer peut en témoigner ! Aller, je vais me tirer un peu sur la queue et aller me coucher, pour entamer une nouvelle nuit remplie de rêves plus lubriques les uns que les autres.
Ca fait un petit moment que je n'ai plus revu Karl. Enfin, "revu" c'est pas le mot, puisqu'il passait son temps avec moi à m'enculer et que j'adoooooore être à quatre pattes, je ne le voyais pas tellement avant non plus... Mais bon, j'aurais dû m'en douter, un baiseur comme lui rencontré dans un sauna où tout le monde le connaissait, c'est pas le genre d'homme dont on peut attendre une relation très suivie. Ce qui devait arriver arriva, il s'est lassé de moi et de la monogamie surtout et est retourné semer son sperme aux quatre vents dans tous les lieux les plus glauques de Paris.
Je pourrais le suivre, probablement, et me faire baiser dans tous les coins de rue. C'est pas les hommes en rut qui manquent par ici après tout! Mais c'est pas de ça que j'ai envie en ce moment. Vous allez penser que c'est con, mais si la baise, les pipes crémeuses et les orgasmes quotidiens (ou plus) sont capitaux pour moi, bah je pense que j'essaierais bien d'avoir une vraie relation sur le long terme.
Bon ok, disons sur le moyen terme... Au moins quelques semaines quoi...
Bref, tout ça, ça ne se trouve pas dans les bars à baise de Paris ni dans les clubs de strip, alors j'ai décidé d'essayer les sites de petites annonces. J'en ai choisi un au hasard, j'ai lu tout ce qui était disponible... puis suis passé à un autre site. J'ai beau avoir la bave aux lèvres en voyant toutes ces photos de queues (c'est fou ce que les gens sont peu pudiques ^^), je cherche un truc bien précis. Au bout d'un bon moment à fouiller par-ci par-là, j'ai fini par décrocher la perle rare. Il s'appelle Francis, la 40aine (un peu vieux, mais bon...), cheveux poivre et sel déjà, une simple photo de son visage. Pas de photo de sa queue, ça me laisse penser qu'il cherche autre chose que de la simple enculade d'un soir. La photo est un peu floue, mais il a l'air pas trop mal, et surtout il inspire confiance. Son annonce parle d'une relation spéciale, il cherche (je cite) "un jeune homme motivé pour être MON passif". Bizarre, il insiste sur le "mon", écrit en majuscules. Bon, pourquoi pas, ça mérite un essai.
Je lui envoie un mail, avec une photo de moi (classique la photo, c'est pas le moment de passer pour un trou sur pattes...) et quelques mots à mon sujet. Il me répond dans la demi heure, me dit que je lui plait bien mais que le physique ne compte pas pour lui, seule compte ma motivation, et que si je suis décidé à en savoir plus sur sa proposition il me donne RDV chez lui ce samedi à 15h. J'accepte, c'est vrai que c'est un peu bizarre mais après tout il a l'air d'un type sympa sur photo et au pire quoi, il va me baiser? Comme si ça me gênait!
La fin de la semaine semble durer une éternité. J'attends avec de plus en plus de curiosité le moment décidé. Je tourne en rond dans mon appartement tout le samedi, me change 3 fois de tenue et finit par prendre ma voiture pour aller le rejoindre au lieu du RDV. Je me perds un peu en route, il faut dire que c'est une adresse un peu paumée en banlieue et que je ne conduis pas souvent. Merde je vais finir par arriver en retard! Pour la première bonne impression je repasserai! Je finis par arriver face à une petite maison dans un village du fin fond du 78, plutôt jolie, classique en fait. Je sonne à l'interphone, une voix me dit d'entrer et le portail s'ouvre automatiquement. Il se referme sur mon passage, je gare ma voiture et toque à la porte d'entrée.
Francis ouvre la porte. Je le regarde de bas en haut. Je dois avouer que je suis un peu déçu... Il est assez banal, visage quelconque, genre Mr Toutlemonde, il devait pas être trop laid dans sa jeunesse mais depuis les excès en tous genre ont fait de lui un homme un peu mou et un peu dodu. Je vois son ventre rondouillet qui dépasse de son pantalon! On est loin d'une star de porno américaine, mais ceci dit sa bonhommie et son physique quelconque le rende sympathique! Il voit ma réaction et esquisse un sourire, tout en prenant ma veste et il me pousse à passer au salon.
Dès que je m'avance, je l'entends derrière-moi fermer à clef la porte.
"Bon, maintenant on va pouvoir commencer ! Retire tes fringues, que je te vois !"
"QUoi ? Comme ça tout de..."
"SILENCE ! Ici c'est moi qui parle, toi tu ne réponds que quand je te le demande, tu me vouvoies et tu m'appelles "Mr Francis" et rien d'autre !"
"Et puis quoi enco..."
Sa main hurte violemment ma joue, fendant l'air et faisant un bruit sec. Il m'a giflé le salop ! Je suis un peu sonné et abasourdi par la surprise.
"Voilà le tarif quand on me désobéit ! J'ai dit à poil, et tout de suite !"
Je m'entends balbutier un petit oui timide. Il m'inflige une nouvelle claque sur le champ !
"Oui QUI ?"
"Oui, Mr Francis..."
Je m'éxécute et enlève mes vêtements un à un. Me voilà nu devant lui. Je tente de me cacher avec mes mains, qu'il repousse.
"Tu n'as rien à me cacher! Tourne-toi que je vois l'ensemble... Hmmm c'est pas mal, même mieux que le dernier passif que j'ai eu! Jolie cambrure, joli petit cul. Penche-toi en avant, oui voilà. Ton petit trou m'a bien l'air d'avoir déjà bien servi, t'as du t'en enfiler des kilomètres de bite petite salope, hein? HEIN?"
"Oui, Mr Francis..."
"C'est bien ce que je pensais. Bon, va prendre une douche dans la salle de bain là bas, et ne reviens pas me voir avant d'être impeccable! Je t'attend ici."
J'obéis. La peur me pousse un peu c'est vrai, mais je dois bien admettre que la situation ne me déplait pas totalement... Je me dépèche donc de me laver, j'insiste sur ma raie et n'hésite pas à me laver aussi à l'intérieur, on ne sait jamais, un peu de zèle lui plaira sans doute. Puis je me sèche en vitesse et repasse dans le salon.
Je le trouve là, affalé sur le canapé, en caleçon et en débardeur. Son ventre bedonnant dépasse de son T shirt, des auréoles de transpiration bien nettes sont visibles sous ses bras et son caleçon me semble être plus vieux que moi! En d'autres circonstances je ne l'aurais même pas regardé, mais là je dois avouer que son côté repoussant et un peu sale m'excite...
"Approche, et allume-moi la télé, c'est l'heure de mon émission!"
Dieu qu'il est beauf et abruti! Il m'a là, à poil et à sa merci et il veut regarder la télé! Je m'approche et appuie sur le bouton. Il me siffle, surpris je me retourne vers lui, et là il tapotte sur sa cuisse droite pour m'inviter à m'y assoir! Je m'approche, et m'assieds à califourchon sur sa cuisse grassouillette et poilue, tourné face vers lui. Sans me laisser le temps de m'installer plus que ça, il me met la main sur le paquet. Il me tripote en gardant le regard fixé sur son écran, comme certains jouent avec un stylo machinalement, comme un genre de tic qu'on fait sans y préter attention. Il me soupèse les bourses, fait rouler mes couilles entre ses doigts, me décalote et s'amuse avec mon gland, sans même un regard. J'ai l'impression d'être un simple objet pour lui, une bite montée sur pate, mise à sa disposition pour s'occuper les doigts! Plus aucune trace de considération ou de respect, il n'en a simplement rien à foutre de moi! Puis, il semble se lasser, et passe sa main dans mon dos. Il cherche machinalement mon petit trou, mais ma cambrure n'est pas assez marquée pour qu'il l'atteigne aussi facilement qu'il le souhaite. Il daigne détourner le regard vers moi et grogne, agacé. Je comprends le message, et tend mon petit cul. Il pousse alors sans aucun ménagement sur l'entrée. Je laisse échapper un petit cri, mon fion n'est pas assez lubrifié. Ca n'avance pas assez facilement pour lui, alors il sort son doigt et me le fourre dans la bouche!
"Mouille moi ça!"
Je retient un mouvement de dégoût. Ce doigt que je lubrifie de ma langue, il était dans mon cul un instant auparavant! Ok je me suis lavé comme il faut, menfin bon, il était pas censé le savoir! Je suis répugné par la sensation, mais inutile de recracher, maintenant que c'est en bouche autant bien le mouiller pour ne plus avoir à le refaire...
"C'est bien... J'aurais pu utiliser du lubrifiant, mais admets que ça aurait été nettement moins drôle!"
L'enfoiré ricane de son rire gras et vulgaire. Puis, il m'enfonce son gros doigt boudinné dans le cul, et commence à me caresser le fondement. Son membre inquisiteur me fouille l'intimité comme s'il espérait y trouver de l'or en barre! Il entame des mouvements circulaires, et moi j'entame mon décollage... Je me vautre sur mon homme alors qu'il me doigte grassement. Je pose mon visage sur son épaule et passe mes bras autour de son cou, comme pour garder une attache avec la réalité. Sous ses caresses, je commence à perdre pied. Sa deuxième main rejoint la première, et tout en continuant à me faire du bien, il m'inflige une claque bien fouettante sur la fesse!
"Tient, c'est une avance sur ta prochaine désobéissance! Et tient encore une, pour être arrivé en retard!"
Je pousse des petits cris, mais c'est plus pour la forme que par nécessité. Qui je veux tromper? La fessée c'est mon truc, je le sais bien! Je me cambre encore plus et m'expose de mon plein gré à toutes les frappes que mon nouveau maître voudra bien m'infliger.
"Ah, je savais bien que tu aimerais ça! Inutile de nier, je sens ta queue qui durcit de plus en plus contre mon ventre. Si c'est ce que tu veux, je vais t'en donner!"
Il continue alors son merveilleux sévice. Les fessées pleuvent sur mon cul en feu, sa main large et épaisse me frappe de plein fouet de tous les côtés, et moi je laisse échapper des râles de satisfaction dans l'oreille de mon maître. Je suis dans un autre monde, tout mon être semble s'effacer et il ne reste plus pour moi que mon cul qu'une main étrangère et conquérante pénètre de plus en plus et mes fesses qui subissent les assauts répétés et désirés d'un déluge de gifles. La douleur est divine, et le plaisir d'égale intensité. Je l'implore de me fesser de plus en plus fort, de plus en plus vite, toujours au même endroit, là où la peau est déjà bien rougie. Il conscend à m'éxaucer, non sans accentuer la pénétration que ses doigts m'imposent. Il semble avoir de l'entrainement le salop, je jurerais qu'il y a bien plus de 10 doigts qui me travaillent!
Puis, sans prévenir, les fessées cessent.
"Tu as eu ton compte, maintenant place aux choses sérieuses!"
Il me repousse, me faisant tomber sur le sol. Il me toise du regard et d'une main abaisse son caleçon pour libérer une petite bite noyée dans une touffe de poils.
L'ordre est on ne peut plus clair. Je m'approche à quatre pattes et prend le sexe de mon maître à pleine bouche, en le regardant droit dans les yeux. Il sourit d'un air vicieux, montrant ses dents jaunies. Je comprends trop tard pourquoi : sa bite a comme un arrière goût d'urine! Ce salop me fait nettoyer sa queue souillée de pisse avec ma propre bouche!
"Et ben, pas de réaction ma petite chienne? Elle te plait pas ma surprise? J'ai pensé qu'avec le défilé de bite que tu as dû sucer avant la mienne, tu aimerais que je brise la monotonie..."
Je ne lui fais la satisfaction de répondre. Je me sens à présent encore pire qu'une pute à deux sous, j'avale une bite sale sans rechigner, et cette situation m'excite à mort! Moi qui suit si propre sur moi dans la vie quotidienne, me retrouver souillé de cette façon me plait au plus haut point! C'est comme si tous mes vices et mes perversions me revenaient en pleine face! Je me sens comme une chienne affamée de bite, et surtout je sens que mon maître me voit tel que je suis au plus profond de moi. Pas de faux semblant avec lui, juste moi et mes réels désirs que je peux ENFIN exposer au grand jour.
Je fait sauter les derniers cadenas de mon esprit et me laisse aller totalement. Sa bite a durcit sous mes caresses bucales, elle a à présent une taille bien plus imposante que je ne l'avais cru au premier regard! J'ai beau essayer, impossible pour moi de l'avaler en entier! Je me promets d'y travailler jusqu'à y parvenir totalement. Je bave comme un chien qui a la rage, et je vais de bas en haut en caressant le gland avec l'intérieur de mes joues. Mon maître laisse tomber sa tête en arrière et commence à gêmir sa satisfaction. Je ralentis le rythme, et m'attarde sur son gland rougeatre et gonlé. Je le pétrit de ma langue, savoure les gouttes de semence que le méat laisse déjà échapper.
"Raaaaah c'est bon ma salope, tête-moi la queue maintenant! Goûte mon jus, tu vas l'aimer!"
Il n'aura pas à me le redire! Je suce et j'aspire en même temps en enserrant ce gros gland entre mes lèvres humides. Ma langue titille le frein et je déguste le petit goût salé en recherchant encore les traces de l'urine qui me manquerait presque à présent...
"Voilà le meilleur usage que tu peux faire de ta bouche! C'est ça qu'il te faut, hein? Une bonne bite et ta dose de sperme, comme la chienne que tu es! Rah ce que c'est boooon, je sens que toi et moi on va bien s'entendre! Maintenant lève-toi et viens t'empaller sur ma queue!"
"Tout ce que vous voulez, Maître!!!"
Je me redresse et enjambe mon homme. Je dépose un genoux de chaque côté de son bassin sur le vieux canapé. Je remarque qu'il est plein de tâches suspectes, est-ce que mon maître l'a souvent souillé en baisant? J'imagine le défilé de passifs avant moi qui ont sali les coussins de leurs sécressions anales, et l'idée m'excite... J'attrape d'une main le manche qui est gonflé à bloc et le guide vers l'entrée de mon anus. Puis, je pèse de tout mon poids sur cette hampe en laissant échapper un cri de plaisir alors qu'elle s'insère sans difficulté aucune.
"Aaaaah oui, comme dans du beurre! Allez, c'est parti pour la chevauchée fantastique maintenant! Fait ton taf, ma petite suceuse!"
Je pose une main sur chaque épaule de mon maître, me lèche les lèvres en le fixant droit dans les yeux et commence mes mouvements d'aller-retour. Je me déhanche à chaque passage, me cambrant à la descente pour accentuer la pénétration. Qu'elle est bonne cette queue! Mon cul fait un merveilleux bruit de sucion tant je mouille abondamment. Je contrôle l'angle et la puissance de la pénétration, et je suis bien décidé à montrer à mon maître tout ce que je sais faire! J'altèrne les rythmes et les amplitudes, je passe d'un long mouvement chaloupé à des petits coups rapides et saccadés avec délice et bonheur. Mon maître m'inflige à nouveau ses insultes et je le contemple, cet homme presque laid qui fait de moi son jouet sexuel par simple envie de lubricité! Je savoure son regard concupiscent qui dégouline sur mon corps comme le plus érotique des sirops sucrés. De temps en temps il me claque les fesses, je n'y prète même plus attention. La douleur n'est rien à côté de l'extase que mon cul fait irradier dans tout mon organisme. J'aimerais m'empaler sur ce merveilleux manche encore pendant des heures!
Soudain, mon maître saisit mes fesses à pleines mains et me soulève pour me repousser en arrière. Je tombe à la renverse sur le sol et manque de heurter la table basse. Il bondit de son canapé, pose un pied sur mon torse pour me maintenir au sol et éjacule en poussant un râle digne d'un ours. Il contemple son "oeuvre", et se régale de me voir là, étendu sur le sol, souillé de son sperme, à sa merci, le regard flou tant la jouissance m'a dévasté. Je porte quelques gouttes de sa semence à ma bouche, et les lèche avec envie.
Propulsé dans un autre monde de plaisir et de vice où le sperme est mon seul besoin et ma seule envie, je ne réalise même pas qu'un autre homme vient d'entrer dans la pièce.
"C'est le nouveaut jouet? Il a l'air prometteur!"
"Oui pour le moment il me plait bien, je pense que tu vas l'aimer aussi!"
"On va voir ça."
Mon maître rit en s'éloignant, tandis que l'inconnu s'agenouille et enfourne sa queue entre mes lèvres sans défenses, qui entament une nouvelle fellation d'instinct, à le recherche de ma nouvelle dose ...
VOilà, fin de mon nouveau chapitre. Celui-ci a été un peu spécial à écrire, je voulais bien faire ressortir le vice de mon personnage... J'ai bien aimé vous raconter tout ça, la tâche sur mon boxer peut en témoigner ! Aller, je vais me tirer un peu sur la queue et aller me coucher, pour entamer une nouvelle nuit remplie de rêves plus lubriques les uns que les autres.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Andrew24
2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
bien!! j'aime à fond et aussi bonne prose.
Wow, tu n'es pas le seul qui termine cette histoire avec une tâche sur ton boxer. Je ne
suis pas du type à aimer ce genre de récit, mais toi tu as réussi à me tenir en
haleine... continue... j'ai hâte de connaître la suite.
suis pas du type à aimer ce genre de récit, mais toi tu as réussi à me tenir en
haleine... continue... j'ai hâte de connaître la suite.