Tromperie avec le vieux propriétaire - histoire érotique

Ce matin-là, Paul, mon compagnon, partit tôt à la fac comme à son habitude. Pour ma part, je n’avais pas cours aujourd’hui et je comptais bien en profiter.

À 21 ans, Paul et moi avions emménagé ensemble pour cette rentrée dans un appartement situé dans une grande maison, à deux pas du centre-ville et des transports. Nous nous étions rencontrés deux ans auparavant, sur les bancs de l’université.

Une fois Paul parti, je partis chercher le colis récupéré la veille pour le déballer. C’était une surprise pour lui : un déguisement d’infirmière pour nos prochains ébats… Il faut dire que j’adore les costumes. J’en ai de toutes sortes : policière, héroïne de dessin animé, chat… Je commençais donc à le déballer et je posai le costume sur le canapé du salon pour l’admirer.

C’est alors que quelqu’un frappa à la porte. C’était Georges, notre propriétaire. Georges était un adorable retraité de 76 ans, veuf depuis quelques années. J’ouvris la porte en me demandant ce qu’il venait faire de si bon matin.

— Bonjour Valentine ! J’espère que je ne vous dérange pas, Paul et toi ?
— Non, du tout. Paul est à la fac. Un problème ?
— Oui, le chauffe-eau montre des signes d’usure, et je voulais vous prévenir que le plombier passe demain pour le changer.
— Oh merci pour l’info. Vous voulez entrer boire un café ?

Georges acquiesça et je le fis entrer. C’était un petit appartement avec une entrée qui donnait sur le salon, une cuisine ouverte et une chambre.
Je me rendis alors compte que le costume était toujours sur le canapé, et que j’avais oublié de m’habiller. Je ne portais qu’une nuisette blanche et fine qui me remontait jusqu’au milieu des fesses, laissant apparaître un tanga rouge en dentelle. On pouvait facilement voir par transparence mes tétons et je me retrouvais alors très gênée et je commençais à rougir.

— Toutes mes excuses, je n’avais pas fait attention à ma tenue un peu légère, je vais m’habiller !
— Ça ne fait rien. Je vois aussi que vous êtes amateurs de costumes tous les deux ?
— Oh oui, répondis-je, confuse. Je viens de le recevoir.
— Nous aussi, avec ma femme, on aimait ça. Mais à l’époque c’était plus difficile à trouver, et cher. Alors c’est elle qui les cousait. Elle avait du talent. Tu veux voir ? J’ai des photos.
— Avec joie !

J’avoue que ma curiosité m’emportait. Et Georges partit chercher un vieil album photo comme on n’en fait plus.
Il me montra des photos de sa femme et lui, jeunes, avec des costumes et dans des positions plus qu’explicites. Il me raconta à quel point ils étaient raccord sur le sexe et se mit à parler des relations avec autrui. J’appris qu’il était veuf depuis cinq ans et qu’il n’avait pas eu de rapports sexuels depuis. Il lui arrivait de se masturber en repensant à sa femme mais il n’était pas prêt à rencontrer quelqu’un. Et pour les coups d’un soir, il était un peu vieux.

Ses photos et ses histoires commençaient à m’exciter, pour une raison inconnue car je n’étais jusqu’alors pas attirée par les personnes plus âgées.
Comme son histoire m’avait touchée, et dans une pulsion d’excitation, je lui proposai de toucher mes seins. Il hésita au début, puis se mit à timidement effleurer un sein. Petit à petit, ses caresses devenaient plus appuyées et il se mit à malaxer mes seins. Je pouvais lire le plaisir dans ses yeux et je commençais à mouiller mon tanga. Il faisait rouler mes tétons sous ses doigts, et ma respiration commençait à s’accélérer.

Je lui proposai alors de me caresser la chatte. Il commença par la caresser à travers mon tanga et je pouvais sentir le tissu trempé, ainsi que la mouille s’étaler sur mes lèvres. Elle commençait à couler et je partis m’asseoir sur le canapé. Georges commença à enlever mon tanga et je me retrouvais la chatte à l’air devant ce vieux monsieur.

— Ta chatte est magnifique ! Bien lisse mais avec quelques poils courts sur le pubis. De mon temps on ne s’épilait pas, mais je dois reconnaître que j’aime beaucoup comme ça.

Il s’assit à côté de moi et commença à glisser un doigt entre mes lèvres. Il faisait glisser son doigt comme une fée et passait sur mon clitoris, ce qui m’arrachait à chaque fois un râle de plaisir. Il se mit ensuite à entrer un doigt, puis deux, et à me doigter en appuyant pile sur le point G. Je jouis une première fois et sentis ma cyprine couler jusqu’à mes fesses.

J’entrepris de lui déboutonner son pantalon et le retirai. Sa bite était énorme et dressée comme un pieu. J’étais ébahie par son sexe que je n’aurais jamais imaginé aussi gros. Je le masturbai doucement, puis de plus en plus vite. Après quelques minutes, je me levai et j’ôtai ma nuisette avant de m’agenouiller devant lui pour le sucer. J’aspirais son membre et je dégoulinais de salive. J’étais au summum de l’excitation et je voulais qu’il me baise.
Je me levai alors pour me mettre à califourchon sur lui. J’attrapai sa bite et je l’amenai jusqu’à ma chatte. Je mouillais tellement qu’elle rentra sans difficulté. C’était trop bon. Je le chevauchai un moment puis il me poussa sur le côté. Il se mit sur moi et commença à me prendre en missionnaire.

— Oh vas-y Georges, prends-moi. Vas-y plus fort. Aaaaaaah

C’était incroyable. Je me retournai pour qu’il me prenne en levrette. Pendant qu’il faisait des va-et-vient, il me mit un doigt dans le cul, ce qui me provoqua une excitation jamais atteinte. Je jouis comme je n’avais jamais joui auparavant et j’aspergeai sa bite. Ce qui dut l’exciter car il se mit à râler et je sentis un liquide chaud couler sur mes fesses.

C’était incroyable.

Après ça, je passais le voir de temps en temps en costume, jusqu’à la fin de l’année où nous sommes partis, Paul et moi, car la suite de nos études nous a menés dans une autre ville…