Troublant(e) (épisode 5)
Récit érotique écrit par Arnaud Desens [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-09-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Troublant(e) (épisode 5)
Juliette pleure sous la douche. Elle pleure de joie, de tristesse, de colère, de regret. Ses sentiments se melent. Comme ses larmes se melent au jet de la douche.
Elle s'est levée bien avant que le jour ne le fasse. Vincent dormait d'un sommeil profond. Elle a regardé dans la pénombre de leur chambre, ce corps qu'elle ne verrait plus. elle a pleuré sur cette séparation prochaine. ce point final à cette escapade, cette parenthèse. Elle ne peut dire si elle aime Vincent. elle ne sait pas quels sentiments elle aura envers lui s'ils décidaient de continuer cette histoire avec lui. Tout ce qu'elle sait c'est qu'elle a aimé ce week-end. Leur ballade main dans la main dans les rues de cette station balnéaire au sortir de l'hiver, s'éveillant après une longue hibernation. Les rues s'animaient à peine, et la plage parcourue par des familles ou des couples d'amoureux ne se couvraient pas encore de serviettes et de baigneurs.
Elle a aimé qu'il l'invite dans un grand restaurant, qu'ils soient presque seuls dans la salle, dînant aux chandelles, qu'il lui tienne la main au dessus de la table, qu'ils soient, un moment, quelques heures, un vrai couple. Elle pelure de joie sur ces moment de tendresse, de douceur. après leur déchainement sexuel, la bestialité des premières heures, elle a aimé que leur week-end ne soit que sexuel. Même si elle a adoré leurs étreintes, même si c'est pour cela qu'elle l'a invitée, qu'elle l'a rejoint. Elle voulait, après avoir être excitée par ses mots, être prise par Vincent. Même si avec Frederic elle a baisé follement, violemment, jamais elle ne s'était abandonnée comme elle l'a fait ce week-end. Y compris quand, samedi soir, en rentrant du restaurant, ils ont fait l'amour tendrement, les mains de Vincent se glissant sous son pull, sa bouche l'embrassant, leurs corps tombant sur le lit, leurs vêtements glissants sur le sol, leur nudité presque nouvelle, leurs peaux se touchant, leurs sexes s'unissant, leurs jouissances conjointe. Le sommeil les gagnant alors qu'ils étaint enlacés.
Elle pleure ces instants passés, perdus. elle pleure parce que le jour se lève. qu'il ne leur reste que quelques heures. qu'elle va le quitter. elle ne veut pas le voir en cachette , en mentant à Frederic. elle pleure de ne pas savoir quoi faire.
Elle coupe l'eau, s'enveloppe dans un de ces larges et moelleux peignoir. Assise par terre elle attend. Elle ne pleure plus.
Vincent se réveille. Seul dans le lit. Il soupire, regarde l'heure. Il est encore tôt mais si elle est partie, il comprend. Il avait sans doute fait la même chose il regrette de ne pas avoir pu, une dernière fois, sentir son corps contre le sien, sa peau douce sous ses doigts. Mais il comprend qu'elle ai voulu éviter la grande scène de la séparation.
Il cherche son parfum dans les draps. Il cherche une trace d'elle. Un mot qu'elle aurait laissé pour lui dire adieu. Rien. Il est déçu. se lève. du bruit lui arrive aux oreilles. Il remarque de la lumière dans la salle de bain. Elle st assise par terre. Dans un peignoir blanc.Les yeux rouges d'avoir pleuré. elle se redresse et lui tombe dans les bras. Des larmes coulent à nouveau sur ses joues. dans le cou de Vincent. Il la serre fort. Enfoui son visage dans ses cheveux humides. ses cheveux roux qui l'ont rendu fou. Le peignoir s'écarte. Il sent sa peau contre la sienne. ses seins contre sa poitrine. Ils s'embrassent. S'enlacent. Glissent sur le sol sans se séparer. Ils se fondent l'un dans l'autre. dans une ultime étreinte, une ultime jouissance. D'autant plus ofrte qu'ils savent que ce sera la dernière. Elle pousse un cri de joie mêlé de larmes. Il s'effondre sur elle après un dernier coup de rein. Ils s'enroulent dans le peignoir moelleux et s'assoupissent sur le carrelage froid de la salle de bain.
Après il se douchera. Elle regardera son corps nu, ce corps qui l'a fait vibrer de plaisir et qu'elle ne verra plus, ne touchera plus. Nue devant le miroir, elle se maquillera, se coiffera. Il profitera de ce spectacle en repensant à la première fois où il l'avait vue nue, par hasard, par accident. Ils s'habilleront, feront leurs bagages, quitteront cette chambre, écrin de leurs ébats. Ils descendront dans le hall. Il réglera la note. Ils sortiront, hésiteront sur le parking avant de s'embrasser. elle montera dans sa voiture. Il la regardera s'éloigner. puis à son tour partira.
Sur leur chemins respectifs, vers leur vie ordinaire, ils penseront à ces heures à part, volée, en se demandant si un jour....
Elle s'est levée bien avant que le jour ne le fasse. Vincent dormait d'un sommeil profond. Elle a regardé dans la pénombre de leur chambre, ce corps qu'elle ne verrait plus. elle a pleuré sur cette séparation prochaine. ce point final à cette escapade, cette parenthèse. Elle ne peut dire si elle aime Vincent. elle ne sait pas quels sentiments elle aura envers lui s'ils décidaient de continuer cette histoire avec lui. Tout ce qu'elle sait c'est qu'elle a aimé ce week-end. Leur ballade main dans la main dans les rues de cette station balnéaire au sortir de l'hiver, s'éveillant après une longue hibernation. Les rues s'animaient à peine, et la plage parcourue par des familles ou des couples d'amoureux ne se couvraient pas encore de serviettes et de baigneurs.
Elle a aimé qu'il l'invite dans un grand restaurant, qu'ils soient presque seuls dans la salle, dînant aux chandelles, qu'il lui tienne la main au dessus de la table, qu'ils soient, un moment, quelques heures, un vrai couple. Elle pelure de joie sur ces moment de tendresse, de douceur. après leur déchainement sexuel, la bestialité des premières heures, elle a aimé que leur week-end ne soit que sexuel. Même si elle a adoré leurs étreintes, même si c'est pour cela qu'elle l'a invitée, qu'elle l'a rejoint. Elle voulait, après avoir être excitée par ses mots, être prise par Vincent. Même si avec Frederic elle a baisé follement, violemment, jamais elle ne s'était abandonnée comme elle l'a fait ce week-end. Y compris quand, samedi soir, en rentrant du restaurant, ils ont fait l'amour tendrement, les mains de Vincent se glissant sous son pull, sa bouche l'embrassant, leurs corps tombant sur le lit, leurs vêtements glissants sur le sol, leur nudité presque nouvelle, leurs peaux se touchant, leurs sexes s'unissant, leurs jouissances conjointe. Le sommeil les gagnant alors qu'ils étaint enlacés.
Elle pleure ces instants passés, perdus. elle pleure parce que le jour se lève. qu'il ne leur reste que quelques heures. qu'elle va le quitter. elle ne veut pas le voir en cachette , en mentant à Frederic. elle pleure de ne pas savoir quoi faire.
Elle coupe l'eau, s'enveloppe dans un de ces larges et moelleux peignoir. Assise par terre elle attend. Elle ne pleure plus.
Vincent se réveille. Seul dans le lit. Il soupire, regarde l'heure. Il est encore tôt mais si elle est partie, il comprend. Il avait sans doute fait la même chose il regrette de ne pas avoir pu, une dernière fois, sentir son corps contre le sien, sa peau douce sous ses doigts. Mais il comprend qu'elle ai voulu éviter la grande scène de la séparation.
Il cherche son parfum dans les draps. Il cherche une trace d'elle. Un mot qu'elle aurait laissé pour lui dire adieu. Rien. Il est déçu. se lève. du bruit lui arrive aux oreilles. Il remarque de la lumière dans la salle de bain. Elle st assise par terre. Dans un peignoir blanc.Les yeux rouges d'avoir pleuré. elle se redresse et lui tombe dans les bras. Des larmes coulent à nouveau sur ses joues. dans le cou de Vincent. Il la serre fort. Enfoui son visage dans ses cheveux humides. ses cheveux roux qui l'ont rendu fou. Le peignoir s'écarte. Il sent sa peau contre la sienne. ses seins contre sa poitrine. Ils s'embrassent. S'enlacent. Glissent sur le sol sans se séparer. Ils se fondent l'un dans l'autre. dans une ultime étreinte, une ultime jouissance. D'autant plus ofrte qu'ils savent que ce sera la dernière. Elle pousse un cri de joie mêlé de larmes. Il s'effondre sur elle après un dernier coup de rein. Ils s'enroulent dans le peignoir moelleux et s'assoupissent sur le carrelage froid de la salle de bain.
Après il se douchera. Elle regardera son corps nu, ce corps qui l'a fait vibrer de plaisir et qu'elle ne verra plus, ne touchera plus. Nue devant le miroir, elle se maquillera, se coiffera. Il profitera de ce spectacle en repensant à la première fois où il l'avait vue nue, par hasard, par accident. Ils s'habilleront, feront leurs bagages, quitteront cette chambre, écrin de leurs ébats. Ils descendront dans le hall. Il réglera la note. Ils sortiront, hésiteront sur le parking avant de s'embrasser. elle montera dans sa voiture. Il la regardera s'éloigner. puis à son tour partira.
Sur leur chemins respectifs, vers leur vie ordinaire, ils penseront à ces heures à part, volée, en se demandant si un jour....
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
BRAVO !
c'est magique, c'est magnifique, chacun a envie de sentir les choses comme ça...
MaîtreChat
c'est magique, c'est magnifique, chacun a envie de sentir les choses comme ça...
MaîtreChat