Tu deviens mon esclave !
Récit érotique écrit par Format C [→ Accès à sa fiche auteur]
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Tu deviens mon esclave !
- Tu penses être un vrai masochiste ?
- Oui, Maîtresse !
Elle me regarde avec un petit sourire en coin et dit :
- Non, pas maîtresse ! Je ne suis que ta tortionnaire. Cependant, pour la raison de ma sécurité, tu dois être menotté dans le dos et enchaîné aux pieds. Donc tu seras complètement sous mon contrôle, et je te torturerai jusqu'à ce que tu deviennes mon esclave !
- Je rêve d'être supplicié par une femme si élégante !
- Merci ! Pour rappel, les règles du jeu sont rédigées : si tu joues pendant la torture ou si tu prononces le mot d'arrêt, tu seras mon esclave, et ça signifie que tu me donneras le mot de passe sur ton compte bancaire qui sera en ma possession. De plus, tu devras travailler comme un cheval là où je te le dirai, douze heures par jour, d'accord ?
Sa question me fait frissonner. Je baisse la tête et réponds docilement :
- D'accord.
La fragilité de femme est trompeuse, parce que les instruments de torture compensent bien le manque de force musculaire.
Mais quelle stupide situation ! Je n'ai pas prévu que le jeu favori de ma partenaire est la torture par un écraseur de balles.
Donc elle place mes bourses au milieu de cet accessoire et commence à les serrer ; le supplice me fait rapidement trembler et grimacer de douleur.
- Ne bouge pas, mon chéri ! Tu peux supporter ça, je respecte les limites du masochiste ! elle dit avec calme, en me regardant dans les yeux.
J'essaie de ne pas gémir, mais la douleur intense me fait tordre le corps comme un serpent. Elle accroît la pression, notre jeu devient compétitif.
Je devrais haïr cette femme qui me torture si profondément, mais elle est trop séduisante ! Son habitude de fermer le poing avec le pouce à l'intérieur me tente beaucoup. Et voilà, merde... J'ai un coup de foudre pour ma tortionnaire ?
- Mon chéri, t'es tombé dans le piège !
La voix de ma partenaire est douce, mélodieuse et dure à la fois.
- Samson a perdu sa force grâce à Dalida, comme quoi la rusée féminine est très efficace contre la brutalité des hommes.
Tu voulais paraître fort aux yeux des filles que te trouvait attirant, sensible et fragile physiquement. De coup, tu me parlais avec passion de ton endurance, quand on discutait les règles de notre jeu. Et voilà, je t'ai eu ! T'as accepté toutes les pratiques sado-maso au choix de l'exécutrice inclus enchaînement, torture des balles, torture des tétons, bastinado ... T'aimes le bastinado ? Je te le donne avec grand plaisir ! Trentes coups avec un bâton te feront ressembler au bœuf déchiqueté !
Je me casse les dents de la douleur qui est capable de me casser en deux, ou en trois, ou de me plier comme un bretzel.
- Le vrai masochiste est musclé comme un gorille, mais il peut être torturé jusqu'à mort par n'importe quelle jolie femme, même par fille de neuve ans, n'est-ce pas ?
Sa question rhétorique est banale comme la pluie, mais elle ne me laisse rien d'autre qu'être d'accord.
- Regarde ma main ! elle dit, en serrant les vis papillons de l'écraseur.
Je vois comme c'est facile for elle, mais il est évident que ce jeu lui donne une forte sensation d'emprise la submergea !
Ma partenaire aime jouer le rôle d'une petite fille écolière : sa main est bien soignée, attirante, même sans vernis sur ses ongles. Toute mon attention est maintenant sur ses petits doigts.
Pourtant, le serrage devient si brutal que je mordre les lèvres jusqu'au sang, en essayant de briser les menottes. Ma tortionnaire fait son travail avec finesse et précision, comme une écolière assidue. Et moi ? Je l'adore et la déteste au même temps, mon cerveau explose !
Trente coups avec le bâton sous la plante des pieds me font gémir - oui, elle frappe sans aucune pitié ! Cinquante autres coups... Et je commence à me tortiller comme un ver coupé. Soixante autres coups... Je me sens comme la brème vivante sur un brasier.
Soudain, elle s'arrête et commencé à chatouiller mes pieds frappés, c'est trop agréable ! Elle me fait éjaculer de force avec ses mains !
- Ce qu'il fallait démontrer, dit-elle, tu es complètement sous mon contrôle ! L'une des règles de notre jeu, c'est que tu ne dois pas jouir de ma main pendant la session. Donc, à partir d'aujourd'hui, tu deviens mon esclave !
- Oui, Maîtresse !
Elle me regarde avec un petit sourire en coin et dit :
- Non, pas maîtresse ! Je ne suis que ta tortionnaire. Cependant, pour la raison de ma sécurité, tu dois être menotté dans le dos et enchaîné aux pieds. Donc tu seras complètement sous mon contrôle, et je te torturerai jusqu'à ce que tu deviennes mon esclave !
- Je rêve d'être supplicié par une femme si élégante !
- Merci ! Pour rappel, les règles du jeu sont rédigées : si tu joues pendant la torture ou si tu prononces le mot d'arrêt, tu seras mon esclave, et ça signifie que tu me donneras le mot de passe sur ton compte bancaire qui sera en ma possession. De plus, tu devras travailler comme un cheval là où je te le dirai, douze heures par jour, d'accord ?
Sa question me fait frissonner. Je baisse la tête et réponds docilement :
- D'accord.
La fragilité de femme est trompeuse, parce que les instruments de torture compensent bien le manque de force musculaire.
Mais quelle stupide situation ! Je n'ai pas prévu que le jeu favori de ma partenaire est la torture par un écraseur de balles.
Donc elle place mes bourses au milieu de cet accessoire et commence à les serrer ; le supplice me fait rapidement trembler et grimacer de douleur.
- Ne bouge pas, mon chéri ! Tu peux supporter ça, je respecte les limites du masochiste ! elle dit avec calme, en me regardant dans les yeux.
J'essaie de ne pas gémir, mais la douleur intense me fait tordre le corps comme un serpent. Elle accroît la pression, notre jeu devient compétitif.
Je devrais haïr cette femme qui me torture si profondément, mais elle est trop séduisante ! Son habitude de fermer le poing avec le pouce à l'intérieur me tente beaucoup. Et voilà, merde... J'ai un coup de foudre pour ma tortionnaire ?
- Mon chéri, t'es tombé dans le piège !
La voix de ma partenaire est douce, mélodieuse et dure à la fois.
- Samson a perdu sa force grâce à Dalida, comme quoi la rusée féminine est très efficace contre la brutalité des hommes.
Tu voulais paraître fort aux yeux des filles que te trouvait attirant, sensible et fragile physiquement. De coup, tu me parlais avec passion de ton endurance, quand on discutait les règles de notre jeu. Et voilà, je t'ai eu ! T'as accepté toutes les pratiques sado-maso au choix de l'exécutrice inclus enchaînement, torture des balles, torture des tétons, bastinado ... T'aimes le bastinado ? Je te le donne avec grand plaisir ! Trentes coups avec un bâton te feront ressembler au bœuf déchiqueté !
Je me casse les dents de la douleur qui est capable de me casser en deux, ou en trois, ou de me plier comme un bretzel.
- Le vrai masochiste est musclé comme un gorille, mais il peut être torturé jusqu'à mort par n'importe quelle jolie femme, même par fille de neuve ans, n'est-ce pas ?
Sa question rhétorique est banale comme la pluie, mais elle ne me laisse rien d'autre qu'être d'accord.
- Regarde ma main ! elle dit, en serrant les vis papillons de l'écraseur.
Je vois comme c'est facile for elle, mais il est évident que ce jeu lui donne une forte sensation d'emprise la submergea !
Ma partenaire aime jouer le rôle d'une petite fille écolière : sa main est bien soignée, attirante, même sans vernis sur ses ongles. Toute mon attention est maintenant sur ses petits doigts.
Pourtant, le serrage devient si brutal que je mordre les lèvres jusqu'au sang, en essayant de briser les menottes. Ma tortionnaire fait son travail avec finesse et précision, comme une écolière assidue. Et moi ? Je l'adore et la déteste au même temps, mon cerveau explose !
Trente coups avec le bâton sous la plante des pieds me font gémir - oui, elle frappe sans aucune pitié ! Cinquante autres coups... Et je commence à me tortiller comme un ver coupé. Soixante autres coups... Je me sens comme la brème vivante sur un brasier.
Soudain, elle s'arrête et commencé à chatouiller mes pieds frappés, c'est trop agréable ! Elle me fait éjaculer de force avec ses mains !
- Ce qu'il fallait démontrer, dit-elle, tu es complètement sous mon contrôle ! L'une des règles de notre jeu, c'est que tu ne dois pas jouir de ma main pendant la session. Donc, à partir d'aujourd'hui, tu deviens mon esclave !
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