Tunisien et légionnaires.
Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Tunisien et légionnaires.
Marius et Swan sont deux légionnaires en permission à Paris.
Deux beaux mecs blonds, d'une trentaine d'années aux couilles pleines se baladent dans les rues de Paris sur les Champs Elysées ils ont bien attiré quelques nanas, mais quand elle voyait qu'ils étaient deux, elles sont toutes parties.
Ils ne voulaient pas aller aux putes comme dit Marius, mais se trouver une nana pour passer du bon temps.
Ils sont vraiment potes depuis leur entrée à la Légion dans le même régiment, ils prennent leur perm ensemble et cela leur est souvent arrivé de faire des partouzes. Ils se connaissent par cœur, se sont vus nus, baiser, et même il leur est arrivé de baiser ensemble. Oh pas de pénétrations! non on est pas des pédés disait Swan, mais ils devenaient doux ensemble et quand ils baisaient ils étaient de redoutables mâles aimant se faire obéir, prendre leur victime comme larbin et certaines filles ne sont jamais revenues, mais ça ils s'en foutent!
-on va être obligé de retourner dans le coin des trav! dit Swan qui sent sa queue raide comme la Justice.
-bah dit Marius, y'a deux trous également chez le trav et on pourra s'amuser plus hard.
Ils rigolent.
-tu te souviens de Sonia le dernier trav, tu te souviens comment il était monté ?
-moins que toi quand même! j'ai jamais vu un mec si bien monté que toi Swan.
-tu me cherches mec ? tu la veux ma queue dans ton petit cul… ?
-déconne pas j'ai encore envie de marcher demain et sur le boulevard dans le XVIIIème on va bien trouvé ce qu'on cherche. J'me ferais bien lécher le cul ce soir! pas toi ?
Ils parlaient en allant chercher le bus pour se rendre sur les lieux convoités.
Comme d'habitude dans Paris, embouteillages et le bus archi comble. Ils se retrouvent serrés l'un contre l'autre. Les deux beaux mecs blonds se sourient, et Swan s'amuse à agacer son pote en lui tripotant la queue en lui faisant un clin d'œil! Marius rigole et se laisse faire.
A un arrêt, le bus se vide presque, mais il monte autant de personne, si bien qu'ils se retrouvent encore les uns contre les autres, sauf que là… un jeune rebeu d'une vingtaine d'années, sac à dos noir, se tenant à la barre les sépare.
Ils se regardent en faisant leur air méchant et commencent à détailler l'intrus qui a osé s'immiscer entre eux. Ils le voient tous les deux de profile, un bon mètre quatre vingt, cheveux longs noirs corbeaux qui bouclent en désordre. On dirait qu'il y a du vent dans le bus, les cheveux légèrement sur les épaules, des mèches lui tombent sur le front, un nez épais, des yeux noirs aux larges sourcils et quand les yeux de Marius tombent sur la bouche, les lèvres pulpeuses le font bander. Ils voient ses lèvres passer sur sa queue. Il s'excite tout seul Marius sans voir Swan qui, de son côté, est dans le même état à mater ce beau rebeu. Il doit pas être bien vieux pense Swan, il a encore un peu d'acné sur les joues, mais putain que de belles lèvres, ses cils.
Le rebeu ne fait pas attention à eux, il est plongé dans ses pensées.
A la faveur de la montée de nouveaux voyageurs ils sont obligés de se resserrer encore plus et le sac à dos les gêne alors Marius, tape sur l'épaule du rebeu et de sa voix de mâle blond, de militaire.
-tu pourrais enlever ton sac, il nous rentre dans la figure mec!
Il voit le rebeu blêmir et obéir sans un mot, le sac passe devant lui, il le met à terre entre ses jambes, qu'il écarte ce qui fait que les légionnaires aperçoivent le beau petit cul bombé. Le rebeu regarde devant lui.
Marius, sans plus de façon bouge et vient se coller derrière le rebeu, son sexe bandé direct sur le cul bombé.
Swan a vu le manège et se colle sur le côté du rebeu qui tourne la tête, pour voir la tête souriante de Swan. Les mouvements du bus accentuent les pesées sur son cul et il sent bien que le mec derrière lui bande comme un ouf!
Il change de main qui tenait la barre, pour la plonger entre le corps de Swan et le sien et touche, frôle l'entrejambe, pas de doute il bande aussi le blond aux cheveux courts.
Le rebeu sent la salope qui sommeille en lui se réveiller c'est pas souvent qu'il a deux blonds à portée de mains. Il appuie son beau cul sur la queue de derrière et, sans façon caresse le sexe de l'autre sans le regarder, mais il entend le mec dire à son pote.
-je crois qu'on a trouvé la salope qu'on cherchait Marius, et il rigole.
Le rebeu est tétanisé quand il sent une main lui tâter le cul, passer dans son survêt, les doigts dans la raie. Il tend son cul à la caresse, se mord la lèvre pour ne pas gémir au milieu du monde.
Quand le doigt touche son anus souple le mec qu'il caresse se penche à son oreille.
-on va sortir et tu nous suis pour faire notre salope le rebeu!
Il ne répond pas, mais s'ils savaient comme il bande, comme il a envie de ces deux beaux mecs, des blonds en plus, deux pour lui, bien sûr qu'il va les suivre.
Encore quelques arrêts avant de descendre. Le rebeu ne se gêne pas pour caresser, tripoter cette belle queue, hâte de la voir, de la sentir, de la sucer et de se la prendre dans son petit cul chaud et l'autre derrière, il doit avoir un beau morceau également.
Ils descendent le long du boulevard. Marius sait où se trouve un squat où justement ils avaient baisé Sonia, sans être dérangés.
Ils encadrent le rebeu et filent sur le boulevard. Marius reconnait les lieux et ils entraînent le rebeu au fond de la cour dans justement une ancienne chambre. C'est sale, c'est délabré, mais ils s'en foutent, le cul du rebeu d'abord!
-mais t'es une belle salope le rebeu! tu suis les premiers venus comme ça dit Swan en lui tapotant la joue et t'es un beau rebeu, tu dois faire la pute ?
-non m'sieur dit le rebeu mais j'aime les mecs.
-alors tu te fais niquer ?
Le rebeu ne répond pas, baisse la tête, les cheveux lui tombent devant la figure. Marius lui redresse la tête.
-ben répond ma salope, tu te fais niquer comme tous les arabes, t'es pédé, tu fais croire que tu niques les meufs et tu te prends des zobs dans ton petit cul en chaleur, dis le que t'aimes le zob ?
-oui c'est vrai dit le rebeu tout bas en rebaissant la tête.
Marius lui tire les cheveux en arrière, le redressant.
-tu nous regardes la pute quand tu nous parles. T'as des lèvres qui veulent ma queue, tu veux sucer ma queue ?
-oui m'sieur dit le rebeu.
-c'est bien t'es une bonne pute dit Marius en lui tapotant la joue, alors fous toi à poil complètement qu'on voit ton cul d'arabe.
Voilà le rebeu qui se déshabille assez lentement, les laissant admirer son corps, son long corps quand même musclé et quand il se tourne pour enlever son boxer que les légionnaires voient son beau cul bombé, les yeux leurs sortent de la tête. Ils se regardent en se pourléchant les lèvres.
Ils se déshabillent rapidement montrant leurs corps musclés de légionnaires, les abdos qui ressortent, bien dessinés, des cuisses magnifiques recouvertes d'un duvet blond et, quand les yeux du rebeu regardent les deux queues dressées il n'en revient pas d'avoir tout ça pour lui tout seul.
Il tombe à genoux devant les deux mecs, passe ses doigts dans les toisons blondes, c'est doux, c'est chaud et putain quelles paires de couilles.
Il prend une bite dans chaque main, les décalotte complètement, une est vraiment plus grosse que l'autre mais les glands sont bien dessinés et les méats laissent couler la mouille. Sans attendre un ordre quelconque il se passe les glands sur le visage, son menton, ses joues, remontent sur le front, les fait descendre sur son nez et se frotte les lèvres avec, déposant la mouille. D'un coup de langue il humidifie ses lèvres, embrasse les deux glands, donne des coups de langue et récupère la mouille. Les deux mecs commencent déjà à gémir.
C'est qu'il aime ça le rebeu sucer des bites de céfran, de beaux céfrans comme ça et il se donne à fond.
Il arrive à enfourner les deux glands ensemble dans sa bouche mais pas longtemps tellement cela le distend et se met à les sucer rapidement, passant d'une queue à l'autre aussi vite qu'il le peut. La même chaleur, mais pas la même texture, pas le même goût. Il prend son pied le rebeu.
Mais les deux légionnaires tellement excités de leur virée de l'après-midi qu'en gueulant ils abreuvent de bon jus céfran la gueule du rebeu qui essaie d'en récupérer un maximum et lèche, tète jusqu'à ce que les bites s'arrêtent de couler.
Il se sent soulever entre les légionnaires, un devant un derrière.
-t'es vraiment une belle salope dit Marius, mais ne croit pas que c'est fini là tu viens de prendre l'apéro ma pute!
-ton cul s'ouvre tout seul la pute ? demande Swan en lui soulevant une jambe, ouvrant son cul, car j'ai pas envie de le préparer mais de t'enculer à sec, comme ça! j'aime quand ça force, j'aime enculer un arabe, une salope, une pute comme toi.
Le cœur du rebeu bat de plus en plus fort. Marius tient sa jambe en la collant contre sa hanche si bien que son cul est bien ouvert. Il sent les doigts de Swan passer dans sa raie, toucher son anus, le titiller et s'enfoncer d'un doigt, le faisant crier.
-bah c'est vraiment un cul de salope ça! ça devrait entrer facilement, sinon tu gueules, on s'en fout!
Il sent le gland de Swan passer dans sa raie, s'arrêter sur son petit trou pas encore prêt. Il pousse, force, attendant l'arrivée de la grosse queue.
Marius devant, le tient bien serré contre lui, leurs queues sont l'une contre l'autre. Il bande comme un âne le rebeu, il sent qu'il mouille en abondance et il peut détailler le beau mec devant lui, ce beau blond musclé comme Terminator. Il doit bien avoir 35 ans quand on le voit de près, son souffle vient sur son visage, son nez touche presque le sien. Il a de belles lèvres ce légionnaires, j'ai envie de l'embrasser pense le rebeu, mais il n'ose pas.
Mais la grosse queue force son petit trou, il ferme les yeux et pousse, le gros gland commence à entrer, ça lui coupe le souffle au rebeu. Swan donne un coup de reins et le gland entre en force. Le rebeu commence à hurler quand les lèvres de Marius se posent sur les siennes, étouffant le cri. La queue continue son chemin et les langues se mélangent. Le rebeu frissonne de partout. Marius tient toujours sa jambe contre lui, l'autre main le caresse partout, comme les mains de Swan qui l'ont envahi.
Alors le rebeu s'abandonne, poussant toujours sur la queue il la sent remonter en lui, l'ouvrir, il sent le gland racler sa paroi, c'est chaud, c'est dur. Il adore!
Marius vient lui caresser la joue, écartant ses longs cheveux bouclés.
-t'es une belle salope de rebeu mec! mon pote a l'air d'apprécier ton petit cul. Tu vois je te le disais que tous les arabes sont pédés et qu'ils aiment se faire niquer.
-pas tous souffle le rebeu.
-mais toi oui et ça nous suffit, dit Marius en riant.
La queue est arrivée au fond de son cul, il sent les couilles de Swan caresser les siennes. Ils soufflent tous les trois mais ça ne dure pas et le rebeu sent la queue bouger en lui, se retirer lentement, les frissons reviennent et elle rentre d'un coup sec, lui arrachant un cri. Sa jambe est lâchée, elle retombe emprisonnant ainsi la queue plus fortement, les mains de Swan se posent sur le haut de son cul. Marius appuie sur ses épaules en se reculant et le rebeu se retrouve devant les tétons du blond.
-prend la tétée ma salope.. mais ne mord pas!
Mais la cadence derrière augmente. Les petits coups de reins sont remplacés par de longs coups de reins. La grosse queue sort pratiquement totalement de son cul avant de revenir avec force, faire claquer le pubis sur ses fesses. Le rebeu se sent ouvert complètement. Il ne sait plus s'il a mal, ou s'il aime ça, mais il s'offre, donne son cul, elle est bonne cette queue, cette grosse queue qui l'ouvre comme il aime.
Il a collé sa tête , sa joue sur le ventre musclé de Marius oubliant qu'il devait lécher les tétons et sa main douce lui caresse les cheveux. Les coups de reins lui font donner des coups de têtes sur les abdos de Marius, qui tient le choc.
Le rebeu ne gueule plus, il grogne, râle et son cri revient quand Swan se bloque au fond de son cul et qu'il sent les longues giclées chaudes se répandre en lui, lui refaire la caverne, l'inonder, le karcheriser. Il croit qu'il n'a jamais reçu tant de jus d'un mec!
Lui pousse de petits cris, mais Swan gueule son plaisir, criant que c'est bon un bâtard de rebeu, un enculé de première, une pute… tous les noms y passent.
Le rebeu est content!
La queue sort rapidement de son cul, le laissant grand ouvert. Il sent le jus chaud couler de son anus, et descendre sur sa jambe.
-je t'ai préparé le trou mon pote dit Swan en riant, t'as plus qu'à déposer ton obole.
Ils changent rapidement de place et de suite la queue de Marius force son petit trou, pendant que Swan soulève un bras, lui colle la tête dessus en le tenant par les cheveux.
-respire bien fort, et lèche la pute!
Le rebeu obéit et ne peut s'empêcher de gémir, en se bloquant quand la queue de Marius entre en lui et s'enfonce sans ménagement, plus fine que celle de son pote. Le rebeu a l'impression qu'elle glisse mieux, qu'elle va encore plus profond. Il gémit de plus en plus fort. Swan le tire par les cheveux, mettant sa tête à sa hauteur, le scrute de ses beaux yeux bleu.
-putain! t'es vraiment une belle salope avec tes longs cheveux, tu devrais faire le trav et te faire trouer par tous les vieux qui passent dans le coin, ça t'irait bien une petit jupe qui bomberait bien plus ton petit cul.
Et Swan lui roule une pelle, ses lèvres enveloppent les siennes, sa langue fore et vient jouer avec la sienne.
La queue de Marius n'est pas inactive, ça claque sur son petit cul, les couilles se télescopent. Le rebeu se cramponne au corps dur de Swan, le touchant, le palpant, l'enregistrant et la deuxième tournée arrive dans son petit cul. Toujours bien profond, ça coule, ça se projette partout, il se sent le cul plein et Marius se penche sur son dos. Il sent ses lèvres l'embrasser dans le cou, lui mordiller la nuque lui procurant une onde de frissons et les lèvres descendent sur son dos, la queue se retire, le jus s'échappe. Il reçoit de petites claques sur les fesses et se retrouvent encore une fois coincé entre les deux légionnaires.
-tu crois que ça jouit une pute arabe ? demande Swan à Marius.
-avec la paire de couilles qu'il a et le zob, il devrait y avoir du jus.
-on va voir ça dit Swan.
Ils se retirent du rebeu.
-à genoux, jambes écartées, tu nous regardes tous les deux la salope, tu vas te branler en te caressant les couilles et nous dire que tu nous remercies de t'avoir niqué.
Le rebeu obéi. Son beau zob bien raide pointe, circoncis, le gland rouge violet qui coule, une grosse hampe qu'il prend en main, l'autre enveloppe ses couilles, les caresse. Il ferme les yeux.
-ouvre les yeux salope et regarde nous!
Il commence à se branler en fixant alternativement les légionnaires. Il prend son temps, sa langue sort de ses lèvres, les caresse.
-je vous remercie de m'avoir baiser les mecs j'ai vachement aimé vos queues.
La branle s'accélère, il halète, mais il fixe toujours les légionnaires.
-merci dit le rebeu en évacuant la première giclée, qui passe entre les légionnaires et il répète merci à chaque éjaculation et cela ne semble pas s'arrêter sous les regards admirateurs de Marius et Swan.
Le rebeu tombe assis, baisse la tête, et respire difficilement, reprend son souffle et ils sont estomaqués de voir qu'il sourit quand il relève la tête.
Ils le font relever, le coincent entre eux et l'embrassent ensemble.
-mais t'en veux encore ? dit Swan.
-faites vous plaisir dit le rebeu.
-si tu veux, tu peux venir avec nous à l'hôtel, on repart dans deux jours, tu feras la pute de service au service de l'armée française. On va te niquer jusqu'à avoir les couilles vides.
Le rebeu sourit.
-alors toi t'es Marius et toi Swan ?
Ils hochent la tête.
-et toi ?
-moi c'est Walid, tunisien à votre service messieurs, je viens avec vous!
Quand ils sont sortis du squat, ils avaient tous les trois le sourire aux lèvres…
C'est un gros clin d'œil à mon grand ami Walid.
Deux beaux mecs blonds, d'une trentaine d'années aux couilles pleines se baladent dans les rues de Paris sur les Champs Elysées ils ont bien attiré quelques nanas, mais quand elle voyait qu'ils étaient deux, elles sont toutes parties.
Ils ne voulaient pas aller aux putes comme dit Marius, mais se trouver une nana pour passer du bon temps.
Ils sont vraiment potes depuis leur entrée à la Légion dans le même régiment, ils prennent leur perm ensemble et cela leur est souvent arrivé de faire des partouzes. Ils se connaissent par cœur, se sont vus nus, baiser, et même il leur est arrivé de baiser ensemble. Oh pas de pénétrations! non on est pas des pédés disait Swan, mais ils devenaient doux ensemble et quand ils baisaient ils étaient de redoutables mâles aimant se faire obéir, prendre leur victime comme larbin et certaines filles ne sont jamais revenues, mais ça ils s'en foutent!
-on va être obligé de retourner dans le coin des trav! dit Swan qui sent sa queue raide comme la Justice.
-bah dit Marius, y'a deux trous également chez le trav et on pourra s'amuser plus hard.
Ils rigolent.
-tu te souviens de Sonia le dernier trav, tu te souviens comment il était monté ?
-moins que toi quand même! j'ai jamais vu un mec si bien monté que toi Swan.
-tu me cherches mec ? tu la veux ma queue dans ton petit cul… ?
-déconne pas j'ai encore envie de marcher demain et sur le boulevard dans le XVIIIème on va bien trouvé ce qu'on cherche. J'me ferais bien lécher le cul ce soir! pas toi ?
Ils parlaient en allant chercher le bus pour se rendre sur les lieux convoités.
Comme d'habitude dans Paris, embouteillages et le bus archi comble. Ils se retrouvent serrés l'un contre l'autre. Les deux beaux mecs blonds se sourient, et Swan s'amuse à agacer son pote en lui tripotant la queue en lui faisant un clin d'œil! Marius rigole et se laisse faire.
A un arrêt, le bus se vide presque, mais il monte autant de personne, si bien qu'ils se retrouvent encore les uns contre les autres, sauf que là… un jeune rebeu d'une vingtaine d'années, sac à dos noir, se tenant à la barre les sépare.
Ils se regardent en faisant leur air méchant et commencent à détailler l'intrus qui a osé s'immiscer entre eux. Ils le voient tous les deux de profile, un bon mètre quatre vingt, cheveux longs noirs corbeaux qui bouclent en désordre. On dirait qu'il y a du vent dans le bus, les cheveux légèrement sur les épaules, des mèches lui tombent sur le front, un nez épais, des yeux noirs aux larges sourcils et quand les yeux de Marius tombent sur la bouche, les lèvres pulpeuses le font bander. Ils voient ses lèvres passer sur sa queue. Il s'excite tout seul Marius sans voir Swan qui, de son côté, est dans le même état à mater ce beau rebeu. Il doit pas être bien vieux pense Swan, il a encore un peu d'acné sur les joues, mais putain que de belles lèvres, ses cils.
Le rebeu ne fait pas attention à eux, il est plongé dans ses pensées.
A la faveur de la montée de nouveaux voyageurs ils sont obligés de se resserrer encore plus et le sac à dos les gêne alors Marius, tape sur l'épaule du rebeu et de sa voix de mâle blond, de militaire.
-tu pourrais enlever ton sac, il nous rentre dans la figure mec!
Il voit le rebeu blêmir et obéir sans un mot, le sac passe devant lui, il le met à terre entre ses jambes, qu'il écarte ce qui fait que les légionnaires aperçoivent le beau petit cul bombé. Le rebeu regarde devant lui.
Marius, sans plus de façon bouge et vient se coller derrière le rebeu, son sexe bandé direct sur le cul bombé.
Swan a vu le manège et se colle sur le côté du rebeu qui tourne la tête, pour voir la tête souriante de Swan. Les mouvements du bus accentuent les pesées sur son cul et il sent bien que le mec derrière lui bande comme un ouf!
Il change de main qui tenait la barre, pour la plonger entre le corps de Swan et le sien et touche, frôle l'entrejambe, pas de doute il bande aussi le blond aux cheveux courts.
Le rebeu sent la salope qui sommeille en lui se réveiller c'est pas souvent qu'il a deux blonds à portée de mains. Il appuie son beau cul sur la queue de derrière et, sans façon caresse le sexe de l'autre sans le regarder, mais il entend le mec dire à son pote.
-je crois qu'on a trouvé la salope qu'on cherchait Marius, et il rigole.
Le rebeu est tétanisé quand il sent une main lui tâter le cul, passer dans son survêt, les doigts dans la raie. Il tend son cul à la caresse, se mord la lèvre pour ne pas gémir au milieu du monde.
Quand le doigt touche son anus souple le mec qu'il caresse se penche à son oreille.
-on va sortir et tu nous suis pour faire notre salope le rebeu!
Il ne répond pas, mais s'ils savaient comme il bande, comme il a envie de ces deux beaux mecs, des blonds en plus, deux pour lui, bien sûr qu'il va les suivre.
Encore quelques arrêts avant de descendre. Le rebeu ne se gêne pas pour caresser, tripoter cette belle queue, hâte de la voir, de la sentir, de la sucer et de se la prendre dans son petit cul chaud et l'autre derrière, il doit avoir un beau morceau également.
Ils descendent le long du boulevard. Marius sait où se trouve un squat où justement ils avaient baisé Sonia, sans être dérangés.
Ils encadrent le rebeu et filent sur le boulevard. Marius reconnait les lieux et ils entraînent le rebeu au fond de la cour dans justement une ancienne chambre. C'est sale, c'est délabré, mais ils s'en foutent, le cul du rebeu d'abord!
-mais t'es une belle salope le rebeu! tu suis les premiers venus comme ça dit Swan en lui tapotant la joue et t'es un beau rebeu, tu dois faire la pute ?
-non m'sieur dit le rebeu mais j'aime les mecs.
-alors tu te fais niquer ?
Le rebeu ne répond pas, baisse la tête, les cheveux lui tombent devant la figure. Marius lui redresse la tête.
-ben répond ma salope, tu te fais niquer comme tous les arabes, t'es pédé, tu fais croire que tu niques les meufs et tu te prends des zobs dans ton petit cul en chaleur, dis le que t'aimes le zob ?
-oui c'est vrai dit le rebeu tout bas en rebaissant la tête.
Marius lui tire les cheveux en arrière, le redressant.
-tu nous regardes la pute quand tu nous parles. T'as des lèvres qui veulent ma queue, tu veux sucer ma queue ?
-oui m'sieur dit le rebeu.
-c'est bien t'es une bonne pute dit Marius en lui tapotant la joue, alors fous toi à poil complètement qu'on voit ton cul d'arabe.
Voilà le rebeu qui se déshabille assez lentement, les laissant admirer son corps, son long corps quand même musclé et quand il se tourne pour enlever son boxer que les légionnaires voient son beau cul bombé, les yeux leurs sortent de la tête. Ils se regardent en se pourléchant les lèvres.
Ils se déshabillent rapidement montrant leurs corps musclés de légionnaires, les abdos qui ressortent, bien dessinés, des cuisses magnifiques recouvertes d'un duvet blond et, quand les yeux du rebeu regardent les deux queues dressées il n'en revient pas d'avoir tout ça pour lui tout seul.
Il tombe à genoux devant les deux mecs, passe ses doigts dans les toisons blondes, c'est doux, c'est chaud et putain quelles paires de couilles.
Il prend une bite dans chaque main, les décalotte complètement, une est vraiment plus grosse que l'autre mais les glands sont bien dessinés et les méats laissent couler la mouille. Sans attendre un ordre quelconque il se passe les glands sur le visage, son menton, ses joues, remontent sur le front, les fait descendre sur son nez et se frotte les lèvres avec, déposant la mouille. D'un coup de langue il humidifie ses lèvres, embrasse les deux glands, donne des coups de langue et récupère la mouille. Les deux mecs commencent déjà à gémir.
C'est qu'il aime ça le rebeu sucer des bites de céfran, de beaux céfrans comme ça et il se donne à fond.
Il arrive à enfourner les deux glands ensemble dans sa bouche mais pas longtemps tellement cela le distend et se met à les sucer rapidement, passant d'une queue à l'autre aussi vite qu'il le peut. La même chaleur, mais pas la même texture, pas le même goût. Il prend son pied le rebeu.
Mais les deux légionnaires tellement excités de leur virée de l'après-midi qu'en gueulant ils abreuvent de bon jus céfran la gueule du rebeu qui essaie d'en récupérer un maximum et lèche, tète jusqu'à ce que les bites s'arrêtent de couler.
Il se sent soulever entre les légionnaires, un devant un derrière.
-t'es vraiment une belle salope dit Marius, mais ne croit pas que c'est fini là tu viens de prendre l'apéro ma pute!
-ton cul s'ouvre tout seul la pute ? demande Swan en lui soulevant une jambe, ouvrant son cul, car j'ai pas envie de le préparer mais de t'enculer à sec, comme ça! j'aime quand ça force, j'aime enculer un arabe, une salope, une pute comme toi.
Le cœur du rebeu bat de plus en plus fort. Marius tient sa jambe en la collant contre sa hanche si bien que son cul est bien ouvert. Il sent les doigts de Swan passer dans sa raie, toucher son anus, le titiller et s'enfoncer d'un doigt, le faisant crier.
-bah c'est vraiment un cul de salope ça! ça devrait entrer facilement, sinon tu gueules, on s'en fout!
Il sent le gland de Swan passer dans sa raie, s'arrêter sur son petit trou pas encore prêt. Il pousse, force, attendant l'arrivée de la grosse queue.
Marius devant, le tient bien serré contre lui, leurs queues sont l'une contre l'autre. Il bande comme un âne le rebeu, il sent qu'il mouille en abondance et il peut détailler le beau mec devant lui, ce beau blond musclé comme Terminator. Il doit bien avoir 35 ans quand on le voit de près, son souffle vient sur son visage, son nez touche presque le sien. Il a de belles lèvres ce légionnaires, j'ai envie de l'embrasser pense le rebeu, mais il n'ose pas.
Mais la grosse queue force son petit trou, il ferme les yeux et pousse, le gros gland commence à entrer, ça lui coupe le souffle au rebeu. Swan donne un coup de reins et le gland entre en force. Le rebeu commence à hurler quand les lèvres de Marius se posent sur les siennes, étouffant le cri. La queue continue son chemin et les langues se mélangent. Le rebeu frissonne de partout. Marius tient toujours sa jambe contre lui, l'autre main le caresse partout, comme les mains de Swan qui l'ont envahi.
Alors le rebeu s'abandonne, poussant toujours sur la queue il la sent remonter en lui, l'ouvrir, il sent le gland racler sa paroi, c'est chaud, c'est dur. Il adore!
Marius vient lui caresser la joue, écartant ses longs cheveux bouclés.
-t'es une belle salope de rebeu mec! mon pote a l'air d'apprécier ton petit cul. Tu vois je te le disais que tous les arabes sont pédés et qu'ils aiment se faire niquer.
-pas tous souffle le rebeu.
-mais toi oui et ça nous suffit, dit Marius en riant.
La queue est arrivée au fond de son cul, il sent les couilles de Swan caresser les siennes. Ils soufflent tous les trois mais ça ne dure pas et le rebeu sent la queue bouger en lui, se retirer lentement, les frissons reviennent et elle rentre d'un coup sec, lui arrachant un cri. Sa jambe est lâchée, elle retombe emprisonnant ainsi la queue plus fortement, les mains de Swan se posent sur le haut de son cul. Marius appuie sur ses épaules en se reculant et le rebeu se retrouve devant les tétons du blond.
-prend la tétée ma salope.. mais ne mord pas!
Mais la cadence derrière augmente. Les petits coups de reins sont remplacés par de longs coups de reins. La grosse queue sort pratiquement totalement de son cul avant de revenir avec force, faire claquer le pubis sur ses fesses. Le rebeu se sent ouvert complètement. Il ne sait plus s'il a mal, ou s'il aime ça, mais il s'offre, donne son cul, elle est bonne cette queue, cette grosse queue qui l'ouvre comme il aime.
Il a collé sa tête , sa joue sur le ventre musclé de Marius oubliant qu'il devait lécher les tétons et sa main douce lui caresse les cheveux. Les coups de reins lui font donner des coups de têtes sur les abdos de Marius, qui tient le choc.
Le rebeu ne gueule plus, il grogne, râle et son cri revient quand Swan se bloque au fond de son cul et qu'il sent les longues giclées chaudes se répandre en lui, lui refaire la caverne, l'inonder, le karcheriser. Il croit qu'il n'a jamais reçu tant de jus d'un mec!
Lui pousse de petits cris, mais Swan gueule son plaisir, criant que c'est bon un bâtard de rebeu, un enculé de première, une pute… tous les noms y passent.
Le rebeu est content!
La queue sort rapidement de son cul, le laissant grand ouvert. Il sent le jus chaud couler de son anus, et descendre sur sa jambe.
-je t'ai préparé le trou mon pote dit Swan en riant, t'as plus qu'à déposer ton obole.
Ils changent rapidement de place et de suite la queue de Marius force son petit trou, pendant que Swan soulève un bras, lui colle la tête dessus en le tenant par les cheveux.
-respire bien fort, et lèche la pute!
Le rebeu obéit et ne peut s'empêcher de gémir, en se bloquant quand la queue de Marius entre en lui et s'enfonce sans ménagement, plus fine que celle de son pote. Le rebeu a l'impression qu'elle glisse mieux, qu'elle va encore plus profond. Il gémit de plus en plus fort. Swan le tire par les cheveux, mettant sa tête à sa hauteur, le scrute de ses beaux yeux bleu.
-putain! t'es vraiment une belle salope avec tes longs cheveux, tu devrais faire le trav et te faire trouer par tous les vieux qui passent dans le coin, ça t'irait bien une petit jupe qui bomberait bien plus ton petit cul.
Et Swan lui roule une pelle, ses lèvres enveloppent les siennes, sa langue fore et vient jouer avec la sienne.
La queue de Marius n'est pas inactive, ça claque sur son petit cul, les couilles se télescopent. Le rebeu se cramponne au corps dur de Swan, le touchant, le palpant, l'enregistrant et la deuxième tournée arrive dans son petit cul. Toujours bien profond, ça coule, ça se projette partout, il se sent le cul plein et Marius se penche sur son dos. Il sent ses lèvres l'embrasser dans le cou, lui mordiller la nuque lui procurant une onde de frissons et les lèvres descendent sur son dos, la queue se retire, le jus s'échappe. Il reçoit de petites claques sur les fesses et se retrouvent encore une fois coincé entre les deux légionnaires.
-tu crois que ça jouit une pute arabe ? demande Swan à Marius.
-avec la paire de couilles qu'il a et le zob, il devrait y avoir du jus.
-on va voir ça dit Swan.
Ils se retirent du rebeu.
-à genoux, jambes écartées, tu nous regardes tous les deux la salope, tu vas te branler en te caressant les couilles et nous dire que tu nous remercies de t'avoir niqué.
Le rebeu obéi. Son beau zob bien raide pointe, circoncis, le gland rouge violet qui coule, une grosse hampe qu'il prend en main, l'autre enveloppe ses couilles, les caresse. Il ferme les yeux.
-ouvre les yeux salope et regarde nous!
Il commence à se branler en fixant alternativement les légionnaires. Il prend son temps, sa langue sort de ses lèvres, les caresse.
-je vous remercie de m'avoir baiser les mecs j'ai vachement aimé vos queues.
La branle s'accélère, il halète, mais il fixe toujours les légionnaires.
-merci dit le rebeu en évacuant la première giclée, qui passe entre les légionnaires et il répète merci à chaque éjaculation et cela ne semble pas s'arrêter sous les regards admirateurs de Marius et Swan.
Le rebeu tombe assis, baisse la tête, et respire difficilement, reprend son souffle et ils sont estomaqués de voir qu'il sourit quand il relève la tête.
Ils le font relever, le coincent entre eux et l'embrassent ensemble.
-mais t'en veux encore ? dit Swan.
-faites vous plaisir dit le rebeu.
-si tu veux, tu peux venir avec nous à l'hôtel, on repart dans deux jours, tu feras la pute de service au service de l'armée française. On va te niquer jusqu'à avoir les couilles vides.
Le rebeu sourit.
-alors toi t'es Marius et toi Swan ?
Ils hochent la tête.
-et toi ?
-moi c'est Walid, tunisien à votre service messieurs, je viens avec vous!
Quand ils sont sortis du squat, ils avaient tous les trois le sourire aux lèvres…
C'est un gros clin d'œil à mon grand ami Walid.
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