Un acte constructeur
Récit érotique écrit par Maitre A [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-12-2011 dans la catégorie Dominants et dominés
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Un acte constructeur
Un acte constructeur
Cette histoire se déroule il y a plus de 25 ans. Jeune cadre bancaire à l’époque, j’ai un collègue et ami, Vincent ; qui était récemment marié à une superbe anglaise, Mandy, qui vivait, comme nous, à Paris et travaillait en tant que secrétaire tri lingue, pour une société américaine implantée sur l’ensemble de la planète. Mandy était une grande et mince fille (1,78 m pour 62 kg), très sportive, elle avait une belle poitrine ferme et un fessier musclé à souhait. Toujours très sexy et pleine de vie.
Au bout de trois mois, j’avais remarqué que le couple, bien qu’à l’évidence très amoureux, semblait « tendu ». Quelque chose paraissait poser problème. Les côtoyant très souvent et Mandy étant très à l’aise avec moi, je me promettais d’en savoir plus.
Un vendredi, Vincent reçu un appel au boulot. Il devait descendre chez ses parents de toutes urgences, sa grand-mère étant hospitalisée dans un état grave. Il était bouleversé, d’autant plus que Mandy était en Angleterre, jusqu’au soir, ce qui l’empêchait de suivre son mari. Après l’avoir contactée, il parti prendre son train et me demanda d’allez accueillir Mandy à l’aéroport et de la conduire chez eux. L’occasion rêvée !!!
A 18h30, je récupérais une Mandy plutôt souriante et en pleine forme. Une fois dans la voiture, je lui demandais si elle allait bien.
« Ben oui, pourquoi ? »
« Depuis quelques temps, je te trouve un peu tendue. On dirait que vous avez des problèmes de couple ! »
« On est très amoureux, tu sais. Mais c’est vrai que nous avons un petit souci… »
« Vraiment ? De quel genre ??? »
« J’ai passé 6 ans dans un pensionnat. De l’âge de 13 ans à celui de 19. Un établissement privé, très vieille école. Chez nous, tu le sais peut-être, ces pensionnats pratiques les châtiments corporels. Cela a probablement affecté ma sexualité. Vincent est un ange de douceur. Mais j’ai besoin d’un amant plus dominateur ! Il ne peut pas s’y résoudre et ça nuit gravement à mon plaisir sexuel. C’est con, hein ? Que crois tu qu’on puisse y faire ??? »
« En gros, il faudrait qu’il te fouette et te fasse mal pour te faire jouir ? Ben, là, vous n’y arriverez jamais ! Il en est incapable. Tu es infidèle ? »
Elle parut choquée de cette question. Après un petit moment, elle dit :
« Tu rigoles ? J’ai pas mal profité de mon célibat. Je suis sexuellement active depuis mes 14 ans ! Mais Vincent, je le respecte trop pour le tromper. Je ne suis pas une pute ou une salope !!! »
« Ca reste à voir. Tu es toujours habillée très sexe. Ton corps est superbe et tu transpire la baise. Désolé, mais y a un paquet de mecs qui doivent bander rien qu’à te voir !!! »
Nous arrivions au pied de l’immeuble ou ils vivaient. Elle me regarda en rougissant étonnamment.
« C’est pas faux ! Parfois, je suis tentée… Mais je ne veux pas le blesser. »
« Il n’est pas obligé de le savoir ! Et tu pourrais assouvir tes besoins. Cela ne me choquerait pas mais il faudrait que tu choisisses un mec à la hauteur. »
« Tu montes prendre un verre ??? »
« Pourquoi pas. Vincent veut que je m’occupe de toi. Il est si désolé de t’avoir laissée seule !!! »
Nous montâmes à l’appartement. Je posai son sac de voyage dans la chambre et elle déclara qu’elle voulait prendre une douche avant toutes choses.
« Tu connais la maison. Sers-toi un verre en m’attendant. »
Ne buvant pratiquement jamais d’alcool, je me servis un jus d’orange frais. Une dizaine de minutes plus tard, Mandy sortit de la salle de bain. Elle portait un petit peignoir, très court qui ne cachait pas grand-chose de son corps sublime. Je l’avais déjà vue un bikini mini ou même en sous vêtements. La pudeur n’était pas de son monde et cela ne gênait personne. Elle s’assit près de moi, sur le canapé, prit un verre de gin feeze que je lui avais préparé et elle but une gorgée.
« Tu aimes quoi, toi, sexuellement ? »
« Les femmes qui s’assument ! Je suis assez macho et même un poil dominateur ! »
« Vraiment ? Tu as déjà fessé une fille ? »
« Oui, enfin plutôt une femme. Mariée, 35 ans. Une voisine de mes parents. J’avais 17 ans et elle me demandait souvent de venir faire de menus travaux chez elle. Son mari était en déplacements toute la semaine. Souvent, elle ne portait pas grand-chose quand j’étais là. Un jour, je lui ai dis qu’elle se comportait comme une vilaine fille et elle m’a demandé si je voulais la punir. J’ai souri, elle à ôté sa robe, elle était nue dessous. Puis elle s’est agenouillée sur un fauteuil et m’a demandé de la fesser. Je n’ai pas hésité une seconde. Elle a reçu une grosse fessée et après elle m’a sucé avant de me demander de la baiser et de l’enculer. Je me suis régalé !!! On a remis ça une dizaines de fois et, brusquement, elle n’a plus voulu. 6 mois plus tard, ils déménageaient. »
Mandy semblait fascinée. Son peignoir semblait s’être un peu plus ouvert. Je cru apercevoir un téton.
« Dis-moi, Alain, que penses tu de moi ? »
« Comment ça ? De tes envies, de ton attitude ? »
« De mon physique et de mon vice sexuel ! »
« Tu sais que tu es superbe et que j’aurais aimé te connaître avant Vincent. Quand à ton vice, je n’y vois rien de vicieux, seulement un choix, une orientation tout comme l’homosexualité. Ton passage en pensionnat t’a beaucoup influencé. »
« A ce propos, j’aime presque autant les filles que les garçons. Ca, aussi, est du à ma vie de pensionnaire. Nous nous soulagions mutuellement. J’avoue que j’en ai un peu honte. »
« C’est idiot ! Vincent a énormément de chance d’avoir une femme comme toi. Mais tu n’y peux rien s’il n’exploite pas cette aubaine. Tu l’aimes tellement que tu risque de te perdre en refusant d’avoir ta dose de plaisirs. »
Elle paru prendre conscience de l’exactitude de mon analyse. Je la vis se lever, lentement, elle ôta son peignoir et me dévoila son corps de rêves. Je fus étonné de voir qu’elle avait la chatte lisse. A cette époque là, c’était très rare et cela me plut immédiatement. Plus tard, elle m’expliqua qu’elle s’épilait depuis toujours et que c’était très courant chez les femmes soumises.
« Accepterais-tu d’être mon maître ? Bien sur, il ne faut pas que Vincent le sache. Et, évidement, je ne serais jamais toute à toi. Juste ton esclave sexuelle chaque fois que ce sera possible… »
« J’en serais fier. Mais je crains qu’il ne soit impossible de te châtier sans laisser de traces sur ton magnifique corps. Et, dans ce cas, Vincent les verra. Ca risque de poser problème. »
« J’ai la peau dure et je connais des pommades réparatrices très efficaces. Et puis, Vincent s’absente assez souvent ce qui me laisse le temps de faire disparaître les traces. Veux-tu de moi ? »
« Met-toi à quatre pattes et désormais, tu ne m’appelleras plus que Maître dans notre relation secrète ! »
Docile, elle prit position.
« Je suis à vous Maître. »
Je m’approchais d’elle et, sans attendre, je lui donnais une grosse claque sur son cul ferme et musclé. Neuf autres suivirent. Elle ne broncha pas le moins du monde. Aucun doute, Mandy était une vraie maso.
« Tu as des accessoires du type cravache, fouet ou autre ? »
« Juste une petite cravache dans un tiroir de la chambre. »
« Ok. Tu vas aller la chercher. As-tu des menottes ? »
« Non Maître, pas de menottes. J’aimerais mais Vincent serais consterné§ »
« Bien, tu me ramène la cravache et deux paire de bas. Tu y va et tu reviens à quatre pattes. Va ! »
Mandy s’exécuta sans hésitation. Elle revint vite. La cravache entre les dents et les bas noués autour du cou.
« Parfait. Allonge-toi sur la table. A plat ventre. Nous allons éprouver ta résistance ! »
Elle se dirigeât vers la petite table de salle à manger. Docile, elle pris place dessus et attendit mon bon vouloir. Je lui liais les mains et les poignets aux pied de la table. Ses bas étaient parfaits pour cet usage. Tranquillement, je pris la cravache et le premier coup cingla son cul. Elle tressaillit, mais n’émit aucun son. Je décidais de frapper plus fort. A chacun des 9 autres coups, elle poussa des cris très distincts et je vis les larmes couler. Les traces me semblaient très importantes, mais je m’étais pris au jeu. Le sang suintait des marques. Vicieux, je lui donnais deux coups entre les cuisses. Sa chatte rougie et ses hurlements me confirmèrent qu’elle était cruellement touchée.
« Est-ce que tu as mal ? »
« Oui Maître ! Mais cela n’a aucune importance. Seul votre désir compte. »
« Alors, je vais pas me gêner. J’ai une grosse envie de te baiser. Tu vas prendre ma bite dans ta chatte de salope ! »
Je la détachais et lui ordonnais de se mettre en levrette. Ma bite rentra facilement dans son con détrempé. Je crois n’avoir jamais (jusqu’alors) été aussi violent dans mon bourrage de chatte. Elle réagit avec le plus grand des enthousiasmes. Mandy jouit en moins de 5 minutes et elle me dit que ma bite était la plus grosse de sa vie de soumise. J’en profitais pour l’enculer et elle me reçu dans sa rondelle, avec une facilité qui révélait qu’elle pratiquait régulièrement.
« Tu as la rondelle bien dilatée ma salope ! Ce n’est pas Vincent qui t’encule ! Alors explique-moi !!! »
« Kareen s’en occupe ! Elle adore me défoncer le cul avec un gros god à ceinture… Cela fait longtemps qu’elle est ma partenaire dominante. »
Kareen était son amie d’enfance et la fille de son patron. Comme Mandy elle travaillait à Paris, pour son père, je la connaissais et cela ne m’étonnais pas d’elle. Cette fille était la plus grande garce que j’ai rencontrée. Elle multipliait les partenaires et je savais qu’elle était bi et très « dominante ».
« Vincent sait il que tu t’envoie en l’air avec cette salope ? »
« Il sait que nous sommes très proches depuis longtemps. Il nous a déjà vues nous rouler des pelles, comme par jeux, mais je ne crois pas que dans son esprit cela puisse signifier qu’elle est ma partenaire sexuelle. »
« Il a bien dû se rendre compte que tu as le cul super dilaté. »
« Il ne s’y intéresse pas ! Pour lui s’est tabou !!! »
Je continuais à l’enculer en accélérant et bientôt, elle hurla de plaisir, contractant sa rondelle, ce qui me fît juter.
Nous prîmes une douche et je décidais de passer la nuit avec elle. Une nuit de folie, où j’ai commencé un long apprentissage de mon rôle de maître. Ce fût Mandy qui me permit d’atteindre le niveau qui est le mien. Mandy, mais aussi Karen ! Car, très vite, cette dernière demanda à participer à nos « jeux ». Et, la garce se montra très douée et Mandy découvrit que sa copine se soumettait facilement à un homme comme moi. Mais, ceci est une autre histoire que je conterais peut être une autre fois….
Cette histoire se déroule il y a plus de 25 ans. Jeune cadre bancaire à l’époque, j’ai un collègue et ami, Vincent ; qui était récemment marié à une superbe anglaise, Mandy, qui vivait, comme nous, à Paris et travaillait en tant que secrétaire tri lingue, pour une société américaine implantée sur l’ensemble de la planète. Mandy était une grande et mince fille (1,78 m pour 62 kg), très sportive, elle avait une belle poitrine ferme et un fessier musclé à souhait. Toujours très sexy et pleine de vie.
Au bout de trois mois, j’avais remarqué que le couple, bien qu’à l’évidence très amoureux, semblait « tendu ». Quelque chose paraissait poser problème. Les côtoyant très souvent et Mandy étant très à l’aise avec moi, je me promettais d’en savoir plus.
Un vendredi, Vincent reçu un appel au boulot. Il devait descendre chez ses parents de toutes urgences, sa grand-mère étant hospitalisée dans un état grave. Il était bouleversé, d’autant plus que Mandy était en Angleterre, jusqu’au soir, ce qui l’empêchait de suivre son mari. Après l’avoir contactée, il parti prendre son train et me demanda d’allez accueillir Mandy à l’aéroport et de la conduire chez eux. L’occasion rêvée !!!
A 18h30, je récupérais une Mandy plutôt souriante et en pleine forme. Une fois dans la voiture, je lui demandais si elle allait bien.
« Ben oui, pourquoi ? »
« Depuis quelques temps, je te trouve un peu tendue. On dirait que vous avez des problèmes de couple ! »
« On est très amoureux, tu sais. Mais c’est vrai que nous avons un petit souci… »
« Vraiment ? De quel genre ??? »
« J’ai passé 6 ans dans un pensionnat. De l’âge de 13 ans à celui de 19. Un établissement privé, très vieille école. Chez nous, tu le sais peut-être, ces pensionnats pratiques les châtiments corporels. Cela a probablement affecté ma sexualité. Vincent est un ange de douceur. Mais j’ai besoin d’un amant plus dominateur ! Il ne peut pas s’y résoudre et ça nuit gravement à mon plaisir sexuel. C’est con, hein ? Que crois tu qu’on puisse y faire ??? »
« En gros, il faudrait qu’il te fouette et te fasse mal pour te faire jouir ? Ben, là, vous n’y arriverez jamais ! Il en est incapable. Tu es infidèle ? »
Elle parut choquée de cette question. Après un petit moment, elle dit :
« Tu rigoles ? J’ai pas mal profité de mon célibat. Je suis sexuellement active depuis mes 14 ans ! Mais Vincent, je le respecte trop pour le tromper. Je ne suis pas une pute ou une salope !!! »
« Ca reste à voir. Tu es toujours habillée très sexe. Ton corps est superbe et tu transpire la baise. Désolé, mais y a un paquet de mecs qui doivent bander rien qu’à te voir !!! »
Nous arrivions au pied de l’immeuble ou ils vivaient. Elle me regarda en rougissant étonnamment.
« C’est pas faux ! Parfois, je suis tentée… Mais je ne veux pas le blesser. »
« Il n’est pas obligé de le savoir ! Et tu pourrais assouvir tes besoins. Cela ne me choquerait pas mais il faudrait que tu choisisses un mec à la hauteur. »
« Tu montes prendre un verre ??? »
« Pourquoi pas. Vincent veut que je m’occupe de toi. Il est si désolé de t’avoir laissée seule !!! »
Nous montâmes à l’appartement. Je posai son sac de voyage dans la chambre et elle déclara qu’elle voulait prendre une douche avant toutes choses.
« Tu connais la maison. Sers-toi un verre en m’attendant. »
Ne buvant pratiquement jamais d’alcool, je me servis un jus d’orange frais. Une dizaine de minutes plus tard, Mandy sortit de la salle de bain. Elle portait un petit peignoir, très court qui ne cachait pas grand-chose de son corps sublime. Je l’avais déjà vue un bikini mini ou même en sous vêtements. La pudeur n’était pas de son monde et cela ne gênait personne. Elle s’assit près de moi, sur le canapé, prit un verre de gin feeze que je lui avais préparé et elle but une gorgée.
« Tu aimes quoi, toi, sexuellement ? »
« Les femmes qui s’assument ! Je suis assez macho et même un poil dominateur ! »
« Vraiment ? Tu as déjà fessé une fille ? »
« Oui, enfin plutôt une femme. Mariée, 35 ans. Une voisine de mes parents. J’avais 17 ans et elle me demandait souvent de venir faire de menus travaux chez elle. Son mari était en déplacements toute la semaine. Souvent, elle ne portait pas grand-chose quand j’étais là. Un jour, je lui ai dis qu’elle se comportait comme une vilaine fille et elle m’a demandé si je voulais la punir. J’ai souri, elle à ôté sa robe, elle était nue dessous. Puis elle s’est agenouillée sur un fauteuil et m’a demandé de la fesser. Je n’ai pas hésité une seconde. Elle a reçu une grosse fessée et après elle m’a sucé avant de me demander de la baiser et de l’enculer. Je me suis régalé !!! On a remis ça une dizaines de fois et, brusquement, elle n’a plus voulu. 6 mois plus tard, ils déménageaient. »
Mandy semblait fascinée. Son peignoir semblait s’être un peu plus ouvert. Je cru apercevoir un téton.
« Dis-moi, Alain, que penses tu de moi ? »
« Comment ça ? De tes envies, de ton attitude ? »
« De mon physique et de mon vice sexuel ! »
« Tu sais que tu es superbe et que j’aurais aimé te connaître avant Vincent. Quand à ton vice, je n’y vois rien de vicieux, seulement un choix, une orientation tout comme l’homosexualité. Ton passage en pensionnat t’a beaucoup influencé. »
« A ce propos, j’aime presque autant les filles que les garçons. Ca, aussi, est du à ma vie de pensionnaire. Nous nous soulagions mutuellement. J’avoue que j’en ai un peu honte. »
« C’est idiot ! Vincent a énormément de chance d’avoir une femme comme toi. Mais tu n’y peux rien s’il n’exploite pas cette aubaine. Tu l’aimes tellement que tu risque de te perdre en refusant d’avoir ta dose de plaisirs. »
Elle paru prendre conscience de l’exactitude de mon analyse. Je la vis se lever, lentement, elle ôta son peignoir et me dévoila son corps de rêves. Je fus étonné de voir qu’elle avait la chatte lisse. A cette époque là, c’était très rare et cela me plut immédiatement. Plus tard, elle m’expliqua qu’elle s’épilait depuis toujours et que c’était très courant chez les femmes soumises.
« Accepterais-tu d’être mon maître ? Bien sur, il ne faut pas que Vincent le sache. Et, évidement, je ne serais jamais toute à toi. Juste ton esclave sexuelle chaque fois que ce sera possible… »
« J’en serais fier. Mais je crains qu’il ne soit impossible de te châtier sans laisser de traces sur ton magnifique corps. Et, dans ce cas, Vincent les verra. Ca risque de poser problème. »
« J’ai la peau dure et je connais des pommades réparatrices très efficaces. Et puis, Vincent s’absente assez souvent ce qui me laisse le temps de faire disparaître les traces. Veux-tu de moi ? »
« Met-toi à quatre pattes et désormais, tu ne m’appelleras plus que Maître dans notre relation secrète ! »
Docile, elle prit position.
« Je suis à vous Maître. »
Je m’approchais d’elle et, sans attendre, je lui donnais une grosse claque sur son cul ferme et musclé. Neuf autres suivirent. Elle ne broncha pas le moins du monde. Aucun doute, Mandy était une vraie maso.
« Tu as des accessoires du type cravache, fouet ou autre ? »
« Juste une petite cravache dans un tiroir de la chambre. »
« Ok. Tu vas aller la chercher. As-tu des menottes ? »
« Non Maître, pas de menottes. J’aimerais mais Vincent serais consterné§ »
« Bien, tu me ramène la cravache et deux paire de bas. Tu y va et tu reviens à quatre pattes. Va ! »
Mandy s’exécuta sans hésitation. Elle revint vite. La cravache entre les dents et les bas noués autour du cou.
« Parfait. Allonge-toi sur la table. A plat ventre. Nous allons éprouver ta résistance ! »
Elle se dirigeât vers la petite table de salle à manger. Docile, elle pris place dessus et attendit mon bon vouloir. Je lui liais les mains et les poignets aux pied de la table. Ses bas étaient parfaits pour cet usage. Tranquillement, je pris la cravache et le premier coup cingla son cul. Elle tressaillit, mais n’émit aucun son. Je décidais de frapper plus fort. A chacun des 9 autres coups, elle poussa des cris très distincts et je vis les larmes couler. Les traces me semblaient très importantes, mais je m’étais pris au jeu. Le sang suintait des marques. Vicieux, je lui donnais deux coups entre les cuisses. Sa chatte rougie et ses hurlements me confirmèrent qu’elle était cruellement touchée.
« Est-ce que tu as mal ? »
« Oui Maître ! Mais cela n’a aucune importance. Seul votre désir compte. »
« Alors, je vais pas me gêner. J’ai une grosse envie de te baiser. Tu vas prendre ma bite dans ta chatte de salope ! »
Je la détachais et lui ordonnais de se mettre en levrette. Ma bite rentra facilement dans son con détrempé. Je crois n’avoir jamais (jusqu’alors) été aussi violent dans mon bourrage de chatte. Elle réagit avec le plus grand des enthousiasmes. Mandy jouit en moins de 5 minutes et elle me dit que ma bite était la plus grosse de sa vie de soumise. J’en profitais pour l’enculer et elle me reçu dans sa rondelle, avec une facilité qui révélait qu’elle pratiquait régulièrement.
« Tu as la rondelle bien dilatée ma salope ! Ce n’est pas Vincent qui t’encule ! Alors explique-moi !!! »
« Kareen s’en occupe ! Elle adore me défoncer le cul avec un gros god à ceinture… Cela fait longtemps qu’elle est ma partenaire dominante. »
Kareen était son amie d’enfance et la fille de son patron. Comme Mandy elle travaillait à Paris, pour son père, je la connaissais et cela ne m’étonnais pas d’elle. Cette fille était la plus grande garce que j’ai rencontrée. Elle multipliait les partenaires et je savais qu’elle était bi et très « dominante ».
« Vincent sait il que tu t’envoie en l’air avec cette salope ? »
« Il sait que nous sommes très proches depuis longtemps. Il nous a déjà vues nous rouler des pelles, comme par jeux, mais je ne crois pas que dans son esprit cela puisse signifier qu’elle est ma partenaire sexuelle. »
« Il a bien dû se rendre compte que tu as le cul super dilaté. »
« Il ne s’y intéresse pas ! Pour lui s’est tabou !!! »
Je continuais à l’enculer en accélérant et bientôt, elle hurla de plaisir, contractant sa rondelle, ce qui me fît juter.
Nous prîmes une douche et je décidais de passer la nuit avec elle. Une nuit de folie, où j’ai commencé un long apprentissage de mon rôle de maître. Ce fût Mandy qui me permit d’atteindre le niveau qui est le mien. Mandy, mais aussi Karen ! Car, très vite, cette dernière demanda à participer à nos « jeux ». Et, la garce se montra très douée et Mandy découvrit que sa copine se soumettait facilement à un homme comme moi. Mais, ceci est une autre histoire que je conterais peut être une autre fois….
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6 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'aimerais être une soumise un jour ces histoires m'excite bcp.
tres belle histoire . qunad on a une belle soumise on devient vite un bon maitre
la suite de cette aventure
un pur délice
Pour l'instant,déception! Mise en situation un peu loufoque, tout à fait irréaliste,
un peu comme un prémiliminaire baclé plutôt que soigné. Ressemble à une 'p'tite
vite'pour soulager la pression, sauf
que là, la pression n'a pas eu le temps de s'installer.Les raccourcis
ne sont pas toujours le meilleur chemin! Ai déjà lu de vous beaucoup
mieux. Espère que la suite sera plus satisfaisante. Appréciation
sincère, sans préjugé. -D-
un peu comme un prémiliminaire baclé plutôt que soigné. Ressemble à une 'p'tite
vite'pour soulager la pression, sauf
que là, la pression n'a pas eu le temps de s'installer.Les raccourcis
ne sont pas toujours le meilleur chemin! Ai déjà lu de vous beaucoup
mieux. Espère que la suite sera plus satisfaisante. Appréciation
sincère, sans préjugé. -D-
hmmm... très interessant...
A qd la suite ...
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