Un amant à la maison (suite)
Récit érotique écrit par Pute-bourgoise [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-03-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Un amant à la maison (suite)
Mon nouvel amant, s'appelle Adil. Ce prénom manquait encore à mon palmarès, il était si beau et si charmant que j'aurais bien joué la sainte-ni-touche s'il ne m'avait pas vue dans les bras de mon mari. Mais tant pis, je serai la malheureuse à consoler, une femme en manque d'amour et de sexe... Bref, un piment quelconque, pour qu'il y mette un peu du sien...
J'aurais pu, ou peut-être du, passer cette semaine tranquillement à la maison, dans les bras de Raouf, mais tromper un amant que j'héberge chez mon mari était une aventure que je ne pouvais manquer... Et y penser en baisant ne devait pas manquer de piquant.
Et parmi mes vices de toujours, et c'est aussi celui de maman, c'est le mensonge. Elle disait que les hommes n'ont pas besoin de la vérité.
Au bureau, j'ai appelé maman et belle maman, par simple courtoisie, mais surtout pour être sûre qu'aucune ne pense à me faire quelque "bonne" surprise, en voulant me tenir compagnie.
Je choisi de voir Adil dans un restaurant un peu banal pour ne pas faire de rencontre, mais je l'invite aussi à m'écouter parler le soir sans attacher d'importance à ce qu'il entendra...
...
Le soir, Raouf entend la partie du dialogue que je compose pour lui:
- allo lalla, tu vas bien?
...
Une série de "labas rebiffe ykhellik", comme il se doit...
Non, lalla, le soir c'est plus difficile
...
Et mardi à midi lalla, surtout ne te fâche pas... "Rebbi ykhellik, tu es chère..." Puis c'est une série de bisous auxquels Adil se prête bien.
Je m'étais ainsi fait un alibi pour ne pas inquiéter mon amant, quand je ne déjeunerai pas avec lui Mardi. (J'aimais bien l'idée de tromper mon amant qui habite chez moi…)
Raouf bande déjà, je raccroche et lui dis en éclatant de rire:
- la vieille en mourrait, tu sais
- toi aussi, d'envie
- mais puisque je vais le recevoir de suite après le café...
Après le café et la cigarette fumée coquettement devant lui, il demanda:
- pourquoi la nuit c'est difficile
- tu ne vois pas les deux urgences? Dis-je en prenant son sexe...
- ce n'était même pas une question, répond-il, en mouillant son majeur à ma source pour le mener à mon anus...
Il me baisa sur le canapé, m'encula sur la table, me prit en levrette dans l'escalier, et nous terminons la course avec un 69 dans son lit.
Et puisqu'il avait réservé mon petit trou pour cette nuit et les suivantes, nous avons passé la nuit dans sa chambre…
Tant que j'étais traitée avec amour, tant que nous vivions une aventure amoureuse, ou un amour érotique… bref, une belle semaine de naturisme entre deux… Entre caresses, câlins et jouissances, il n'y avait pas d'interdit… mais je n'ai jamais voulu coucher avec un autre sur le lit conjugal...
(mes copines trouvent cela stupide, mais je garde un semblant de morale, pour un minimum de respect de moi-même)
Au petit matin, je suis réveillée par une caresse un peu dure sur ma fesse qui fut même pincée doucement; puis senti la langue de Raouf mouiller mes lèvres que j'eues le réflexe d'entrouvrir... une main prit un sein pour le comprimer alors que l'autre serra ma fesse pour que le majeur se glissa encore une fois dans mon anus… Quand je gémis, j'entends un
-"bonjour chérie" un peu tronqué
-ohhh, mon amour…
-éveillée?
-ivre de toi, mon amour, tu es bien?
-très bien ma puce…
-Alors défonce-moi mon amour...
-Tu vas voir ce que je vais te faire...
Alors que je m'attendais à une pénétration au niveau de ma taille, il décida un 69 que je trouvai idéal de bon matin… alors que je le suce doucement, il suce un peu mon clitoris avant de plier mes jambes remontant mon anus vers le haut; ses lèvres se collèrent à mon anus, et sa langue à l'entrée de mon orifice déclenchèrent une fontaine de cyprine dont il se délecta avant d'en imbiber mon anus…
-on n'a jamais aimé ton petit trou comme moi, hein?
-non, mon amour, merci mon doux chéri…
-serais-je le premier? non…
-le premier homme, oui… entre femme, c'est toujours un passage… mais tu gardes l'avantage de m'enculer après… hi hi…
Il me mit à quatre pattes et me pénétra en me retenant par les seins…
Quand son gland pénètre mon anus, il stoppe sa pénétration et prend tout son temps pour tripoter mes tétons… je tente un mouvement de recul pour l'inviter à une pénétration plus profonde mais il sembla n'en faire qu'à sa tête et poursuivit ses caresses tout en suçant ma nuque, mais je ne voulais pas de marques sur mon cou, je me suis vite échappée…
-un problème, ma chérie?
-non, pourquoi?
-tu ne veux pas mes traces?
-entre-nous, j'ai tes traces au fond de moi, dans tous mes fonds, et c'est ce que j'aime… comme je t'aime…
Mais j'aimerais voir ma signature amoureuse sur ta peau…
-je croyais que tu m'aimais, mais si tu veux qu'on me traite d'enculée, pour ta petite fierté, j'accepte, vas-y…je ne sais pas ce qui nous arrivera, mais vas-y…
Il me pénétra alors si profondément que je criai mon plaisir comme une folle:
-marque bien le fond du cul de ta salope, mon amour… ça me fera tenir à ce soir…
Puis il m'aide à faire une toilette, m'embrasse et me laisse me maquiller…
J'aurais pu, ou peut-être du, passer cette semaine tranquillement à la maison, dans les bras de Raouf, mais tromper un amant que j'héberge chez mon mari était une aventure que je ne pouvais manquer... Et y penser en baisant ne devait pas manquer de piquant.
Et parmi mes vices de toujours, et c'est aussi celui de maman, c'est le mensonge. Elle disait que les hommes n'ont pas besoin de la vérité.
Au bureau, j'ai appelé maman et belle maman, par simple courtoisie, mais surtout pour être sûre qu'aucune ne pense à me faire quelque "bonne" surprise, en voulant me tenir compagnie.
Je choisi de voir Adil dans un restaurant un peu banal pour ne pas faire de rencontre, mais je l'invite aussi à m'écouter parler le soir sans attacher d'importance à ce qu'il entendra...
...
Le soir, Raouf entend la partie du dialogue que je compose pour lui:
- allo lalla, tu vas bien?
...
Une série de "labas rebiffe ykhellik", comme il se doit...
Non, lalla, le soir c'est plus difficile
...
Et mardi à midi lalla, surtout ne te fâche pas... "Rebbi ykhellik, tu es chère..." Puis c'est une série de bisous auxquels Adil se prête bien.
Je m'étais ainsi fait un alibi pour ne pas inquiéter mon amant, quand je ne déjeunerai pas avec lui Mardi. (J'aimais bien l'idée de tromper mon amant qui habite chez moi…)
Raouf bande déjà, je raccroche et lui dis en éclatant de rire:
- la vieille en mourrait, tu sais
- toi aussi, d'envie
- mais puisque je vais le recevoir de suite après le café...
Après le café et la cigarette fumée coquettement devant lui, il demanda:
- pourquoi la nuit c'est difficile
- tu ne vois pas les deux urgences? Dis-je en prenant son sexe...
- ce n'était même pas une question, répond-il, en mouillant son majeur à ma source pour le mener à mon anus...
Il me baisa sur le canapé, m'encula sur la table, me prit en levrette dans l'escalier, et nous terminons la course avec un 69 dans son lit.
Et puisqu'il avait réservé mon petit trou pour cette nuit et les suivantes, nous avons passé la nuit dans sa chambre…
Tant que j'étais traitée avec amour, tant que nous vivions une aventure amoureuse, ou un amour érotique… bref, une belle semaine de naturisme entre deux… Entre caresses, câlins et jouissances, il n'y avait pas d'interdit… mais je n'ai jamais voulu coucher avec un autre sur le lit conjugal...
(mes copines trouvent cela stupide, mais je garde un semblant de morale, pour un minimum de respect de moi-même)
Au petit matin, je suis réveillée par une caresse un peu dure sur ma fesse qui fut même pincée doucement; puis senti la langue de Raouf mouiller mes lèvres que j'eues le réflexe d'entrouvrir... une main prit un sein pour le comprimer alors que l'autre serra ma fesse pour que le majeur se glissa encore une fois dans mon anus… Quand je gémis, j'entends un
-"bonjour chérie" un peu tronqué
-ohhh, mon amour…
-éveillée?
-ivre de toi, mon amour, tu es bien?
-très bien ma puce…
-Alors défonce-moi mon amour...
-Tu vas voir ce que je vais te faire...
Alors que je m'attendais à une pénétration au niveau de ma taille, il décida un 69 que je trouvai idéal de bon matin… alors que je le suce doucement, il suce un peu mon clitoris avant de plier mes jambes remontant mon anus vers le haut; ses lèvres se collèrent à mon anus, et sa langue à l'entrée de mon orifice déclenchèrent une fontaine de cyprine dont il se délecta avant d'en imbiber mon anus…
-on n'a jamais aimé ton petit trou comme moi, hein?
-non, mon amour, merci mon doux chéri…
-serais-je le premier? non…
-le premier homme, oui… entre femme, c'est toujours un passage… mais tu gardes l'avantage de m'enculer après… hi hi…
Il me mit à quatre pattes et me pénétra en me retenant par les seins…
Quand son gland pénètre mon anus, il stoppe sa pénétration et prend tout son temps pour tripoter mes tétons… je tente un mouvement de recul pour l'inviter à une pénétration plus profonde mais il sembla n'en faire qu'à sa tête et poursuivit ses caresses tout en suçant ma nuque, mais je ne voulais pas de marques sur mon cou, je me suis vite échappée…
-un problème, ma chérie?
-non, pourquoi?
-tu ne veux pas mes traces?
-entre-nous, j'ai tes traces au fond de moi, dans tous mes fonds, et c'est ce que j'aime… comme je t'aime…
Mais j'aimerais voir ma signature amoureuse sur ta peau…
-je croyais que tu m'aimais, mais si tu veux qu'on me traite d'enculée, pour ta petite fierté, j'accepte, vas-y…je ne sais pas ce qui nous arrivera, mais vas-y…
Il me pénétra alors si profondément que je criai mon plaisir comme une folle:
-marque bien le fond du cul de ta salope, mon amour… ça me fera tenir à ce soir…
Puis il m'aide à faire une toilette, m'embrasse et me laisse me maquiller…
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Faire l'amour ce n'est pas aimer,mais faire comme si, on ne m'a plus demandé d'aimer depuis l'adolescence... On ne demande pas de "faire comme si...",mis c'est toujours sous-entendu quand ce n'est pas violent...
Et dans un lit, les "je t'aime" pleuvent, mais ce n'est pas ce qui mouille les draps...
Et dans un lit, les "je t'aime" pleuvent, mais ce n'est pas ce qui mouille les draps...
Quelle salope ca me fait pensser a mon amante elle aussi fai passer ca pour de lamour alors que ce nest que de la soif de sexe bravo ms ce nest pas bien de parler de sentiments alors que ce nest que l.envie de bites madamne en tous cas quel appetit!