Un anniversaire un peu spécial...(5) - histoire érotique

J’ai juste le temps de faire une rapide toilette, de me rajuster au niveau vestimentaire, sans oublier le foulard qui masque mon collier…je l’ai mérité de le porter ce foulard, après tout… et nous voilà repartis, mon homme me tenant par la main, vers d’autres fantasmes qu’il veut assouvir ! Et je le suis, cul nu sous ma jupe, les seins libres et ballotant sous mon petit haut, un collier de chienne caché tant bien que mal sous un petit foulard…
Nous déambulons dans les ruelles de cette petite ville charmante, flânant devant les devantures des magasins, comme un couple ordinaire d’amoureux. Nous nous promenons, prenant notre temps… Après avoir lâché ma main, mon compagnon pose la sienne sur ma taille, puis profitant d’un arrêt devant une vitrine, me pelote fugacement le cul avant de venir appuyer son entrejambe sur mes fesses, ses mains remontant vers mes seins pour les emprisonner. Sa main droite reste juste sous mon sein gauche, son pouce le caressant doucement, tandis que l’autre main me plaque contre lui. Je sens parfaitement l’effet que cela lui fait, vu le renflement dur que je sens contre moi ! Je retiens mon souffle, sûre que tout le monde nous vois et comprends ce que nous faisons…Mais les badauds nous dépassent sans nous accorder un regard. Après quelques instants de cet échange de caresses furtives, et alors que je sens ma chatte s’humidifier franchement, il me lâche, me reprends par la main et m’entraîne un peu plus loin. Il me pousse dans le recoin d’une ruelle, un peu à l’abri des regards (mais juste un peu !), me plaque dos au mur et repart à la recherche de mes seins, cette fois directement sous le tee-shirt. Il m’embrasse à pleine bouche. Une de ses mains abandonne mes seins et viens s’aventurer sous ma jupe. Il me pelote les fesses sans douceur, ses doigts cherchent et trouvent ma fente, ils s’aventurent dans mon intimité tandis que sa bouche est toujours sur le mienne, dure et exigeante. « Tu mouilles comme une salope dis moi ! Goûte-toi ! » Et il me fait lécher et sucer avec application chacun des doigts qui m’ont visitée. Ils sont trempés de mon fluide, mélangé au reste de son sperme de tout à l’heure… Il continu de se frotter contre moi et reprends possession de ma bouche, alors que ses mains alternent leur pelotage entre mes fesses et mes seins ! Ses doigts sont à la fois durs et exigeants, malaxant, triturant, mais se font aussi doux et caressants…Je suis en transe… Alors que la fièvre monte de façon inexorable, nous sommes interrompus par un employé sortant les poubelles par la porte de service ! Nous nous enfuyons à toutes jambes en pouffant de rire comme des lycéens… Je crois que quelques minutes de plus et on baisait à même le sol de cette ruelle sombre et étroite, entre deux containers à poubelles !
Nous reprenons notre promenade, encore essoufflés et excités de cette incartade, la main dans la main, mais je dois avouer un peu frustrés… Mon homme me guide vers un parc et me dit : « viens ! Nous allons faire des photos. » En effet, je me rends compte qu’il a pris son appareil…Il s’agit d’un très beau parc, bien fleuri et verdoyant, avec des espaces verts arborés et une roseraie. De nombreux couples viennent certainement y faire leurs photos souvenirs de mariage ! Nous dépassons les parcs de jeux pour enfants et arrivons vers de superbes pelouses entourant un petit lac sur lequel glissent canards et cygnes. Il y a peu de monde à cette heure, mais j’imagine très bien les petits vieux et les enfants venant donner du pain dur les après midi. Pour l’heure, nous sommes pratiquement seuls. Des bancs sont espacés de ci, de là, autour de l’étendue d’eau. Il me demande de m’asseoir sur un des bancs et commence à me photographier. Bien entendu, je ne croise pas les jambes, comme il me l’a défendu. Les premiers clichés sont innocents, il me tourne autour, fait des plans larges, des gros plans, il s’amuse comme un enfant. Puis il devient plus directif : « écarte les jambes ! Un peu plus ! » J’imagine que rien n’échappe à l’objectif de mon intimité, d’autant qu’il change l’objectif au profit de celui pour les portraits…mais ce n’est pas mon visage qui est visé ! « Penche-toi en avant ! Oui, comme ça ! Garde tes jambes bien écartées et montre-moi ton décolleté ! » Il continue ses prises de vue, me fait relever la tête, la pencher sur le côté, me demande de regarder l’objectif en passant le bout de ma langue sur ma lèvre inférieure, de faire une moue provocante… Il me fait ensuite me lever et me demande de me positionner derrière le banc et de m’y accouder. Bien entendu, avec ma jupe si courte, mes fesses sont à peine couvertes dans cette position ! Il reprend ses prises de vue, me tournant autour, me dirigeant pour trouver des poses toujours plus lascives et sensuelles. Avec les contre plongées, j’imagine que ma fente, luisante d’excitation suite à notre escapade de tout à l’heure dans la ruelle et à ce petit jeu maintenant, est la star de son objectif ! Il m’ordonne de mettre un pied sur le banc, dévoilant ainsi encore un peu plus ma chatte, et de me caresser d’une main le clitoris et de l’autre les seins ! J’ai le souffle coupé, mais après un rapide coup d’œil aux alentours pour m’assurer que les badauds sont assez loin (oui, je suis une petite joueuse !) je m’exécute… Je suis trempée et très troublée, je me mords la lèvre pour retenir mes gémissements, tandis qu’il continu à mitrailler. J’ai un orgasme, que je contiens difficilement (je suis d’habitude très bruyante et expressive !), il n’en perd pas une miette, je l’entends qui me félicite tout en prenant ses clichés. Je m’écroule sur le banc, à bout de souffle, et il m’y rejoint, me prends le visage entre ses mains, tout en me caressant la joue et la lèvre avec son pouce, se penche et m’embrasse longuement. « Je pense que les photos vont être sympa ! J’ai hâte de les voir sur l’écran ! Viens on va en faire encore quelques unes dans la roseraie. » Les poses reprennent, entre les massifs de fleurs : là, il me demande de montrer mes seins et de me pincer les tétons, plus loin je dois lever ma jupe de face, puis de dos en montrant mes fesses et me retournant à moitié…Nous sommes relativement cachés du reste du parc, mais n’importe qui peut déboucher au détour d’un chemin et nous surprendre…au début, ce risque me gène un peu, mais finalement j’y prends goût et je me lâche et obéis sans plus réfléchir ! Lorsque nous quittons la roseraie, nous croisons un couple en tenue de mariés accompagnés de leur cortège et de leur photographe…Pas sûr qu’ils fassent d’aussi beaux clichés que les nôtres ! Nous nous éloignons en riant.
Avec tout ça, j’ai une faim de loup ! Nous trouvons un petit restaurant avec une terrasse un peu à l’écart de la rue. Nous nous asseyons côte à côte, moi toujours jambes décroisées, bien sûr ! Alors que nous passons commande, je remarque un homme qui s’assoit face à nous, deux tables plus loin. Il ne me semble pas inconnu, plutôt bien fait de sa personne, environ 35 ans, blond aux yeux clairs…mais oui, nous l’avons croisé dans le parc ! Nous a-t-il vus ? Suivis ? Je me penche vers mon conjoint pour lui en parler, et comme il regarde dans sa direction, l’inconnu lève son verre vers nous, en clignant de l’œil ! La serveuse nous amène à ce moment là des consommations que nous n’avons pas commandées, en précisant que c’est le monsieur de la table du fond qui nous les offre. Elle nous tend en même temps un papier plié. Dès qu’elle s’est éloignée, nous lisons en même temps : « merci pour ces moments charmants que vous m’avez offerts, souffrez que je partage votre repas à distance… » Nous nous regardons, interloqués ! On a eu un mateur ! D’un même geste, sans même nous consulter, nous levons nos verres vers lui et trinquons de loin. Nous nous embrassons longuement, la main de mon maître viens sur mon genou et m’écarte les cuisses un peu plus…je sais que notre voyeur n’en perds pas une goutte ! Comme il est encore relativement tôt, nous sommes les seules tables occupées. Le repas se déroule comme si de rien n’était, nous nous donnons la béquée mutuellement en goûtant nos plats respectifs, les mains de mon amoureux venant régulièrement me caresser tantôt la cuisse, tantôt un sein, dès que la serveuse s’éloigne. Nous ne regardons pas notre complice imprévu, mais je sais qu’il profite de chacun de nos gestes, et nous faisons d’ailleurs en sorte qu’il n’en perde pas une miette ! Au moment de régler l’addition, mon conjoint griffonne quelques mots sur un bout de papier, refusant de me laisser lire, et demande à la serveuse de le remettre à l’homme. Après l’avoir lu, ce dernier fait un petit signe de la main et acquiesce…Mon maître me prends par la main et nous quittons le restaurant, je suis rongée par la curiosité mais il refuse de m’en dire plus !
« On rentre à l’hôtel, il faut que tu te reposes, j’ai des projets pour ce soir, il faut que tu sois en forme ! » Hou là ! Je ne sais pas ce qui m’attend, mais je sens que la journée va être longue ! J’ai beau le presser de questions, je n’obtiens aucunes réponses, pas même une indication…comme j’ai un peu bu, arrivés dans notre chambre, je ne me fais pas prier pour me coucher et malgré les questions sans réponses et l’appréhension de mon avenir proche, je m’endors comme un loir, dans les bras de mon amant…