Un appétit à satisfaire

- Par l'auteur HDS Janea -
Récit érotique écrit par Janea [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Un appétit à satisfaire Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-08-2023 dans la catégorie En solitaire
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Un appétit à satisfaire
Cela faisait 7 mois que j'étais seule, de nouveau célibataire. Je ne cherchais plus l'amour, ayant toujours des sentiments pour mon ex, ce beau grand mec aux cheveux noirs, pas musclé, ni maigre. Pendant longtemps je n'ai pas réussi à faire quoique ce soit, j'avais une telle haine envers mon corps que celui-ci me dégoutait rien qu'en le voyant dans le miroir. Petit à petit, j'ai repris du poil de la bête, et j'ai appris à l'aimer, ce corps. J'ai appris à aimer mes seins que je trouvais auparavant trop gros, je les aimais même si mon dos lui les aimait moins, c'est lourd à porter un 110H. Je me regardais souvent dans ce grand miroir appuyé sur le mur de ma salle de bain. Je regardais mon ventre un peu proéminent, mes hanches bien dessinées malgré quelles étaient assez larges. Mes fesses plutôt rebondis malgré les kilos en trop qui avaient pris le dessus, mes cuisses qui se touchaient. Je remontais le regard vers mon visage et je remarquais seulement ce regard, les yeux noisette, un regard qui disait en avoir marre d'attendre et qui petit à petit redescendait sur mon corps.

Je pris une habitude, certains diront mauvaise, mais moi je m'amuse plutôt à dire que c'est une habitude plaisante et vivante. Tous les matins, me prenait de pousser la couverture sur le côté, laissant mon corps prendre la température du matin. Un rayon de lumière passait à travers ma fenêtre et s'allongeait sur mon corps. Une rectangle lumineux se dessinait alors sur mon ventre. J'avais pris cette habitude de dormir en tenue légère, une simple culotte, souvent ornée de dentelle, noire, et un petit débardeur qui s'arrêtait sous mes tétons, trop petit pour ma poitrine volumineuse. Le dessous de mes seins dépassaient légèrement, et je trouvais cela incroyablement sexy. Au fur et à mesure que mon corps et mon esprit se réveillait et se détendait, la chaleur du soleil sur ma peau faisait qu'une envie montait.

Tous les matins, je commençais à me remettre sur le dos, laissant glisser mes mains sur mes cuisses, caressant ma peau délicatement. Puis je les remontais le long de mes hanches, frôlant ma peau du bout des doigts me faisant frissonner, jusqu'à les déposer sur ma poitrine. Je prenais mes seins à travers mon petit haut et commençais à les malaxer doucement quelques minutes avant de le relever et découvrir ce qui se cachait dessous. Les tétons encore endormis, je laissais alors mes mains malaxer ma poitrine, puis mes doigts roulaient autour de ces doux boutons roses, les tirant, les pinçant. Je me mordais systématiquement la lèvre, c'était une zone sensible et je ressentais encore plus de plaisir quand ils se faisaient torturer, chose que mon ex, ne faisait jamais. Il se contentait de les lécher sans grande conviction, ce qui me frustrait à chaque fois. Aujourd'hui, j'arrivais enfin à comprendre ce qui les motivait à pointer et durcir.

Et à les torturer, je sentais des chatouillements dans mon bas ventre.

Après de longue minutes à varier les plaisir, à malaxer ou à torturer, je descendais les mains le long de mon corps. Je commençais à jouer avec l'élastique de ma culotte, caressant mon bas-ventre du bout des doigts. Je les glissait ensuite sur le tissus, écartant les cuisses lentement, les mains plongeant entre les deux. Très vite, je faisais des petits mouvements, caressant malgré le tissus mes lèvres puis de loin, mon clitoris. Le tissus devenait humide rapidement, j'avais la chance ou la malchance de mouiller rapidement, et en grande quantité. Je retirais alors cette culotte et la jeta au loin après avoir remarqué à quel point elle était déjà trempée.

Ma main revenait à son poste, caressant tendrement ma peau, mes lèvres, grandes puis petites, n'entrant pas à l'intérieur, juste effleurant. Je jouais à me mouiller les doigts les amenant ensuite à mon clitoris déjà tendu. Je le roulais entre mes doigts, le caressais, le pinçais. Je le sentais durcir et je sentais toute l'excitation qui commençais à monter. Le plaisir fut tel que je commençais à me cambrer, ma respiration devenant plus rapide, plus courte. Le désir montait rapidement, mais avant de m'y abandonner, je m'arrêtais nette. Je reprenais un peu mon souffle avant de revenir, plus lentement.

Dans le plus grand silence, me mordant les lèvres, je passais à l'étape suivante. Je faisais entrer deux doigts. Lentement mais au plus profond possible. De mon autre main j'attrapais mon sein pour le malaxer avant de la descendre et de caresser mon clitoris en demande d'attention. Je commençais à me doigter lentement, entrant et sortant de cette caverne humide qui n'attendais qu'à être explorée. Je sentais ma chair s'enrouler autour de mes doigts, le liquide coulant à l'intérieur de ma main. Un frisson me parcourait le corps, et mon ventre en demandait encore plus, mon cœur voulait battre encore plus fort, je me cambrais encore un peu plus, les reins en avant, comme un réflexe, comme si mon corps suppliait pour recevoir encore plus de plaisir. J'accélérais alors le mouvement, j'entrais et ressortais plus vite et plus brutalement, mes doigts dégoulinait à chaque passage surtout lorsque je les accompagnais en caressant et titillant mon clito à peine plus haut. Je variait la vitesse, accélérais, ralentissais jusqu'à presque m'arrêter quand je sentais que ça montait. Créant une addiction au plaisir, cette frustration me donnait plus envie que jamais, je me languissais de mes mains.

Je reprenais doucement avant de tout donner, je roulais du bassin en rythme, et je gémissais. Oh oui, je gémissais. Au bout de quelques minutes, je m'abandonnais à mes mains, m'abandonnant au plaisir. Je relâchais mes muscles qui se mettaient à trembler au fur et à mesure que le plaisir montait. Mes cuisses se resserraient sur mes mains et tout à coup, j'étais prise de spasmes. Ma tête basculait en arrière s'enfonçant dans mon oreiller, les yeux dans le vide tellement le plaisir me submergeait.

J'explosais.
C'était si bon, comme une décharge électrique qui se promenait dans tout mon corps.

J'attendais quelle passe son chemin pour ralentir mes caresses, puis retira mes mains, laissant mon corps se calmer.
J'avais chaud, et j'étais exténuée. Mais quel bien fou. Je me blottis dans les draps quelques secondes avant de me lever et d'aller à la douche.

C'était comme ça qu'on commençait une bonne journée.

J'allais ensuite au travail, les jambes engourdies, je m'asseyais à mon bureau et commençais à travailler. Et je me mettais à penser, peut-être que demain, j'utiliserai mes jouets.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Bonjour .
Merci pour cette très belle histoire .
Au plaisir de lire d autres de vos récits .
Je vous souhaite une délicieux réveil et une très agréable journée.
Franck

Histoire Erotique
Beau récit à l’imparfait. On aimerait bien savoir ce qu’il en est maintenant !

Histoire Erotique
Récit bien écrit, laissant la pensée suivre et imaginer les images en lisant ce récit toutefois un peu trop chaste



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