Un apprenti pour ma femme le vendredi

- Par l'auteur HDS Yvondumar -
Récit érotique écrit par Yvondumar [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Un apprenti pour ma femme le vendredi Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-10-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
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Un apprenti pour ma femme le vendredi
Bonjour à tous, je vais vous raconter une histoire que j'ai vécu avec ma femme.
Je vous présente ma femme. Elle fait 1,70 mètre pour 70 kilo. Elle est brune avec des yeux noisettes. Elle a un joli cul et une belle paire de seins. Voila pour le physique. Pour le caractère, elle aime diriger la maison mais côté sexe elle ne demande pas grand chose. Je dois faire les avances. Elle ne pratique pas la sodomie et elle me fait rarement des fellations.

Je suis responsable dans un centre de formation d'ap-prenti. Nous accueillons depuis quelque temps des jeunes migrants (somalien, nigérien). Ils se débrouillent bien au niveau professionnel mais leur intégration dans les entreprises est difficile. Ils n'ont pas toujours les moyens d'être hébergés. A côté de chez moi une entreprise est favorable à intégrer un jeune somalien. Mais le jeune doit se débrouiller pour son héberge-ment. Le jeune Amouda convient parfaitement pour le poste et il a été retenu par le DRH de la boite. Je lui propose de venir l'héberger chez moi.
Le problème s'est que je ne suis pas chez moi la se-maine car le centre de formation est éloigné de ma maison. De plus je ne sais pas si ma femme acceptera d'héberger un étranger. Elle sera seul avec lui toute la semaine. Elle travaille uniquement de matin de 5h à 15h30.
Je l'appelle et je lui demande si nous pourrions ac-cueillir un jeune apprenti pendant quelques jours dans notre maison. Je lui explique la situation du jeune. Elle a le cœur sur la main. Elle est toujours partante pour aider son prochain. Je comptais bien sur cela pour la persuader. Elle accepta mais à condition que cela ne dure pas plus de trois semaines.
Je pense que j'aurai trouver un hébergement dans ce délai. Le jeune accepta mais il me disait inquiet de venir me déranger.
Le vendredi suivant j'arriva à la maison avec Amouda.
C'est un grand gaillard de 19 ans, 1mètre 90 pour 85 KG, il est noire. Il est souvent habillé avec un short et un teeshirt.
Pendant le trajet nous avons beaucoup parlé. Il est très volontaire et il aime parlé. Il est attentif et il dit qu'il faisait beaucoup de massage en Afrique. Ces mains avaient un don de réchauffer les personnes qui souffraient du dos. Cela tombe bien. Ma femme a des douleurs dans le bas du dos qui l'empêchent de faire certaines choses le week-end.
En arrivant, je fais la bise à ma femme. Elle voit Amouda qui lui fait la bise. Elle me rejoins dans la cuisine pour le repas et me dit " mais tu ne m'avais pas dit qu'il était noir", Je lui réponds " pourquoi cela te pose un problème", Elle poursuit "Non, mais cela me surprend. Il est très grand et ne sais pas s'il pourra dormir dans le lit de la chambre de notre fils inoccupé".
"Ne t'inquiète pas il sais s'adapter".

Nous prenons le repas puis nous regardons un film après le repas. Je vois que Amouda regarde souvent ma femme. Elle est comme à son habitude habiller avec un teeshirt et un pantalon de pyjama.
Ma femme se lève pour aller aux toilettes. Il la regarde se déplacer. A son retour, je parle à ma femme des dons de massage de Amouda. Elle semble intéresser car elle a un mal de dos atroce. Je demande à Amou-da s'il accepterai de la masser. Il accepta. Ma femme se retrouva allonger sur la table de la salle à manger (nous n'avons pas de table de massage) avec une couverture sous son ventre. Ma femme est à plein ventre, la tête sur un oreiller. Amouda se place sur le côté de la table. Il commence par lui masser les épaules avec des mouvements très doux. Il a de grandes mains et des doigts immenses. Il poursuit son massage au milieu du dos en descendant progressivement dans le bas du dos. Il passe ses mains sous le teeshirt. Il remonte ses mains qui sont en contact avec la peau de ma femme. En faisant cela il remonte le teeshirt jusqu'aux épaules de ma femme. Elle ne dis rien. Elle se laisse aller au massage qui semble lui faire du bien.
Il fait plusieurs passage des épaules au bas du dos.
Ma femme d'un seul coup enlève son teeshirt pour faciliter le massage des épaules. En le regardant la masser j'ai vu une grosse bosse apparaitre sur son short. Ma femme avait les bras le long du corps. Il se frottait de temps le ventre sur le bras de ma femme.
Au bout d'un moment, j'ai fait semblant de m'endormir. J'ai même simulé un ronflement. J'avais une superbe vue sur ma femme et Amouda. Il descendis de plus en plus bas. Je le voyais masser les hauts des fesses de ma femme. Ce qui me surprit, c'est qu'elle ne disait rien. Il massait maintenant les fesses de ma femme au dessus du pyjama. Puis ses mains sont passés dessous. Je le voyais masser de plus en bas. Le pantalon descendait à vue d'œil. Je voyais maintenant les fesses de ma femme. Elle ne disait rien. Elle semblait dormir.
Puis il lui fit glisser son pantalon jusqu'aux pieds.
Il se mis à masser les chevilles puis les mollets et enfin les cuisses. Il s'attarda sur le haut des cuisses.
Puis je vis une de ses mains s'attarder entre les cuisses de ma femme . Il devait lui caresser entre les fesse puis son clitoris. Elle ne bougeait toujours pas.
Il approcha sa tête des fesses puis il les lécha entiè-rement l'une après l'autre. Il alla au bout de la table du côté des pieds de ma femme. Il monta sur la table et lui lécha sa chatte. Il faisait passer sa langue sur son anus et redescendait sur sa chatte. Il a titillé pendant une vingtaine de minutes le clitoris de ma femme. Elle adore cela. Après elle est en demande de sexe.
Elle se mis à quatre pattes. Elle qui ne veut même pas porter une robe, elle devient très frivole.
Amouda descend de la table et il enlève ses vête-ments. Il est nu comme ma femme d'ailleurs.
Mais je suis attiré par son sexe. Il était immense plus d'une vingtaine de cm de longue et 5 à 6 cm de dia-mètre.
Il remonta sur la table. Il lécha de nouveau la chatte d ma femme. Il lui massa de nouveau le dos des fesses jusqu'aux épaules. Je vois le sexe qui se rapproche de ma femme. Je pense qu'elle va être surprise car avec mon 15 cm et 4 cm de diamètre la différence, elle va la sentir passer.
Sa queue s'approcha des grosses lèvres du sexe de ma femme. Il ne la pénétra pas immédiatement.
Il lui caressa le clitoris avec son sexe pendant cinq minutes avec des va et vient. Sa queue semblait bien dur car on aurait dit un bout de bois qui frottait le clito-ris. Ma femme commença à se caresser le clitoris et elle a senti sa queue sur sa main.
Elle ne disait toujours rien.
Je me mis à bouger en respirant fort. Ce qui a eu pour effet de les figer. Je me remis à imiter un ronflement.
Ils ont repris leurs activités de caresses.
Puis j'ai vu le visage de ma femme se crispé.
Amouda a passé les lèvres du sexe de ma femme pour pénétrer dans son nid d'amour.
Il la pénétra doucement mais entièrement.
Il s'immobilisa pendant une minute.
Il sortis son sexe puis la pénétra de nouveau à fond doucement. Il attendit 2 à 3 minutes.
Ma femme respirait profondément. Elle avait un petit sourire qui me faisait penser qu'elle prenait du plaisir.
Amouda accéléra la cadence. Il la prenait en levettre à un bon rythme pendant une vingtaine de minutes.
Elle commençais à crier quelques sons, elle qui ne dit rien pendant nos rapports.
Amouda se mis à lui caresser l'anus pendant ses pé-nétrations.
Puis un moment donné, il pris la bite à la main et il la présenta à son anus. Ma femme se mis à dire " Non pas par la, cela me fait mal".
Amouda se rapproche de son oreille et lui dit " Ton mari doit mal si prendre avec moi je peux te garantir que tu ne pourras plus tant passer".
Il lui pris les deux mains dans le dos puis lui engagea sa grosse bite dans son anus. Elle a eu comme des frissons. Elle semblait tétaniser. Amouda a fait comme pour sa chatte. Il est resté quelques instants dans son anus. Puis il s'est retirer. Il l'a pénétré de nouveau en accélérant le mouvement.
Au bout de 10 minutes, il lui lâcha les mains.
Elle ne bougeait plus mais elle gémissait de plaisir.
Elle qui me l'avait toujours refuser était entrain de se faire sodomiser.
Il la sodomisa pendant une vingtaine de minutes.
Il arrêta et descendis de la table .
Il mis ma femme sur le dos et la mis sur le bord de la table avec les jambes de ma femme sur ses épaules.
J'avais l'impression que sa bite avait grossie. Elle devait faire 30 cm de longueur et 6 à 8 cm de diamètre.
Il commença à caresser les seins de ma femme.
Puis il les lécha un à un pendant cinq minutes chacun.
Ma femme avait recommencé à se caresser le clitoris. Elle adore se masturber.
Amouda pénétra de nouveau ma femme en enfonçant sa bite entièrement dans la chatte de ma femme.
Je ne pensait pas qu'elle pourrait avoir en elle une si grosse bite. Puis il commença ses va-et-vient qui de-vient plus rapides et plus violent que tout à l'heure.
Elle respire fort, crie, elle lui demande de la baiser.
Il accélère la cadence et la soulève par les bras.
Ma femme a la chatte rempli par sa bite, ses mains autour de son cou. Il fait des mouvements de va et vient qui soulèvent ma femme à chaque mouvement.
Je vois les fesses de Amouda se contractés. Je pense qu'il va bientôt éjaculer. Il repose ma femme sur le sol.
Il lui prend les cheveux et présente sa bite à sa bouche. Elle ouvre la bouche et lui lèche sa bite avec la langue. Le bout d'abord, puis toute la longueur de la bite. Elle essais de la mettre dans la bouche mais elle est trop grosse pour rentrée entièrement.
Il lui prend la tête avec ses deux grosses mains. Il fait glisser sa bite dans la bouche de ma femme.
Il se contracte et lui éjacule à l'intérieur. Elle manque de s'étouffer mais elle avale tout.
Amouda se rhabille et monte se coucher.
Ma femme semble fatiguer. Elle remet son pyjama et son teeshirt, viens m'embrasser sur la joue et monte se coucher. Dix minutes je n'entends plus rien. Je me lève du canapé, j'éteins la télé et je monte me coucher.

Je sens que les trois prochaines semaines vont être très longue mais je vais prendre mon pied.

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