Un après midi d'orage. - histoire érotique

Un après-midi d’orage.

(Nouvelle érotique par Ingrid Thorensen).


Je m’appelle Karin, j’ai dix-sept ans, c’est un jour de la fin du mois de juin, le dernier jour de cours au lycée. C’est à Stockholm, par un après-midi orageux, ciel de plomb, certains réverbères se sont allumés, je me sens moite sous ma petite robe d’été. Je me dépêche de courir vers l’arrêt de bus car le déluge menace.
Demain est le premier jour des vacances, je frétille car, avec mon amie Birgit, nous avons décidé de franchir le Rubicon. Nous irons rejoindre deux garçons de terminale qui nous ont donné rendez-vous dans la cabane familiale au bord d’un lac. Je vais le faire, …nous allons le faire… Demain nous serons femmes !
Hélas les premières gouttes m’atteignent bien avant l’arrêt du bus, puis ça tombe, dru, sans délai. C’est comme si le ciel s’ouvrait, déversant des tonnes d’eau. Ma petite robe est trempée quand j’atteins l’arrêt, et pas que la robe, ma petite culotte, mon soutient gorge. L’eau est froide, de la grêle fondue, je tremble de tous mes membres. Une fois arrivée, je ne suis pas seule réfugiée sous cet abri, des hommes d’âge mûr me dévisagent, …je comprends : ma petite robe blanche laisse transparaître mes sous-vêtements d’ado, cela m’excite d’être ainsi détaillée.
D’abord je ne réagis pas lorsque l’avertisseur de la voiture insiste. Puis je comprends, une Volvo vient de s’arrêter devant l’abri, c’est Hans, un ami de mes parents qui m’a reconnue, qui me propose de monter. Il me propose de venir me sécher chez lui, nous parlons, j’apprends que son épouse est absente pour huit jours et une idée indécente me traverse l’esprit. Il est de physique agréable, la quarantaine, le look de Robert Redford jeune. Combien de fois l’ai-je eu comme partenaire lors de rêves érotiques ? je n’ai pas compté mais j’en sortais toujours trempée de sueur, la chatte enfeu ! Je me disais, « c’est un homme mûr, expérimenté qui a souvent fait l’amour et sans doute déjà défloré des jeunes filles… »
Arrivé chez lui il me conduit à la salle de bain, me propose de faire couler un bain chaud et me prête un peignoir. Il est ensuite venu rechercher mes vêtements pour les faire sécher.
Je sors du bain, le soleil est revenu, l’orage a cessé. De la fenêtre de l’étage je l’aperçois dans le jardin qui étend mes vêtements. Je sors dans le couloir, me dirige vers l’escalier et passe devant une chambre dont la porte est ouverte…la chambre conjugale !
Qui pourra enfin me dire un jour ce qui s’est passé dans ma tête d’ado vierge de dix-sept ans ? Je me vois encore entrer et me diriger vers le lit, laisser choir le peignoir et, nue, me glisser sous la couette !
J’avais bien chaud sous la couette, le bain m’avait revigorée et, innocente, voire inconsciente, j’attendais, offerte ! Ne me voyant pas descendre il m’appelle, indiquant qu’un thé chaud m’attend ! Puis il monte, il entre dans la chambre et m’aperçoit, la couette m’arrivant au menton, mes frêles bras nus reposant par-dessus. Alors, je devine son trouble, ne me matait-il pas en douce depuis que j’étais formée. Il s’approche, se penche vers moi, « comme tu es mignonne ! » il se met à genoux, pose ses mains sur mes épaules nues. Alors, je relève la tête et plaque ma bouche sur la sienne. Ensuite ? Je ne sais plus, ou plutôt si ! Je lui dis que je suis vierge… que j’ai envie de le faire…que je voudrais bien le faire avec lui, que je suis sous pilule. Alors, il me dit d’attendre, qu’il va prendre une douche et mon petit cœur se met à battre fort.
Lorsqu’il reparaît, nu sous un kimono, il retire la couette et découvre ma nudité. Je suis toute menue avec des petits seins pointus et l’extrême blondeur de ma toison pubienne au demeurant peu fournie, dévoilent non sans indécence les détails de mon anatomie intime. Alors, il dit que je suis devenue une vraie petite femme…une « femme-enfant » et cette idée l’excite, je le sens bien ! Il palpe mes seins, caresse mon corps mes cuisses, les replis de mon intimité puis, écartant mes cuisses y enfouit la tête. Quelle divine caresse ! j’ai mouillé en l’attendant et voilà qu’il me lape la chatte. Il boit mes dix-sept ans !
Je ressens une immense décharge d’adrénaline, un immense bonheur dans le bas-ventre puis c’est l’orgasme ! Mais rien à voir avec une masturbation, un bonheur puissant qui vient des profondeurs de mon bas-ventre ! et il continue de laper, j’explose enfin !
Avec la touffeur du temps orageux je suis en nage, des gouttes de sueur ruissellent sur mon visage et mon corps. Puis il se met nu lui aussi et j’aperçois pour la première fois un membre adulte, je tiens à le prendre en main il est en totale érection et son extrême rigidité contraste avec la douceur de la peau de la verge. Puis il me taquine l’entrée du vagin de son gland qu’il introduit un peu, puis retire aussitôt…comme un jeu. Je sens de nouvelles sensations envahir mon bas-ventre tandis que le plaisir monte… Je suis décidée à me laisser faire, je me dis qu’il doit avoir l’habitude, qu’il sait comment donner un maximum de plaisir à une femme.
J’étais au bord de l’orgasme lorsque, me tenant fermement par les hanches, il m’enfile à fond, c’est à peine si j’ai senti comme une brûlure mais bien entendu « clac ! » comme un gros élastique qui se rompt - la rupture de l’hymen - j’étais femme à présent ! Puis lui, allant et venant en moi, sans se presser, maître de lui, puis un second, puis un troisième orgasme ! Avant que lui-même ne succombe au plaisir et, agités par ses spasmes, prenne tout le temps de bien vider ses grosses couilles ! Je sentais avec délices sa semence chaude envahir mon intimité. Quand il s’est retiré un flot de sperme mêlés de sang a dégouliné de ma « chatounette », souillant le drap en de multiples taches.
Alors, il m’a pris dans ses bras, blottie contre lui, il m’a tendrement câliné. Puis l’a fait encore…et encore, dans l’onctuosité du sang ! Combien de temps avons-nous dormi ensuite ? une bonne heure et je me suis réveillé la première. C’est alors que j’ai pris son sexe en bouche, il s’est réveillé surpris alors qu’il était en érection et j’ai voulu poursuivre….j’ai tout pris sur le visage et les seins ! c’était affreusement érotique, cette semence intime qui dégoulinait de la pointe de l'un de mes seins !
Il était plus de dix-huit heures lorsqu’il me raccompagna chez moi, le lendemain, à la cabane, ce fût torride avec mon partenaire, je sais qu’il en garde encore aujourd’hui un souvenir ému !



Ingrid .